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Entamés à l’automne 2017, les travaux de rénovation de cette résidence d’accueil de personnes âgées se poursuivent au centre-ville de la localité florentinoise. Erigé en 1903, l’édifice principal concentre à l’heure actuelle tous les efforts des professionnels du bâtiment et de l’architecte Didier GALLARD. A terme, c’est-à-dire dès le troisième trimestre 2020, l’établissement d’hébergement des personnes âgées dépendantes Saint-Charles se dévoilera dans un écrin flambant neuf, pourvu de 46 chambres individuelles, spacieuses et adaptées aux besoins d’ergonomie de ses occupants…

SAINT-FLORENTIN : Spécialiste de l’agencement, de la réhabilitation et de la construction d’établissement d’hébergement de personnes âgées dépendantes (EHPAD), l’architecte Didier GALLARD œuvre depuis plus de deux ans à la rénovation globale de cet ancien site religieux, converti aujourd’hui en accueil pour seniors.  

Après les travaux de la première tranche qui ont permis de délocaliser de quelques mètres les pensionnaires de cette vénérable institution sanitaire afin d’éviter les contraintes, les phases de démolissage et de reconstruction prennent corps dans le bâtiment historique de ce site, implanté au cœur de la ville.

L’architecte icaunais possède la pleine maîtrise sur ce genre d’intervention. Il possède déjà à son actif l’édification de plusieurs résidences de notre territoire, « Les Forges » à Egleny ou « Les Deux Jardins » à Villefargeau.

Mais, ce n’est nullement un jeu d’enfant pour lui et les artisans qui agissent en faveur de la modernisation du lieu. Le chantier s’avère complexe et long. C’était le prix à payer pour conserver cet EHPAD en centre-ville (le désir du donneur d’ordre et propriétaire du site) plutôt que de l’externaliser en périphérie de Saint-Florentin, en construisant une nouvelle résidence.

Il est vrai que le cadre est bucolique avec ses espaces de promenade, agrémentés de verdure et de plantations séculaires.

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Une augmentation de la capacité d’accueil de la résidence

In fine, l’EHPAD bénéficiera de six chambres supplémentaires au terme des travaux. Mais, la création d’une unité d’accueil réservée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer offrira quatorze places. Ce qui est loin d’être négligeable compte tenu de l’évolution de cette pathologie. L’établissement, dirigé par Sonia MOUFFOK, devrait même faire croître son effectif de quelques recrues supplémentaires, qualifiées pour prodiguer des services dans cet univers de soin spécifique.

Dotée de sa nouvelle configuration, l’EHPAD Résidence Saint-Charles favorisera aussi l’hébergement temporaire. Le bâtiment originel sera repensé. S’ouvrant sur un vaste hall d’accueil comprenant les bureaux et le secrétariat.

Mais, la cerise sur le gâteau viendra de la suppression de l’immense véranda actuelle, avec ses écarts de température trop incommodants selon les saisons. Réduite et construite dans l’esprit du XIXème, elle profitera à l’aménagement d’une belle terrasse. Précisons, que l’optimisation thermique du nouvel édifice s’inscrit aussi parmi les priorités de l’architecte.

 


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C’est avec beaucoup d’émotion et une bonne dose de convivialité que le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne a mis un terme à sa fonction consulaire après quatre années de bons et loyaux services. Son ultime discours a été adressé à ses collaborateurs, en présence de nombreuses personnalités des milieux institutionnels et économiques du département. Un dernier salut avant qu’il ne vaque à de nouvelles occupations qui le conduiront sous quarante-huit heures à Nantes. Nommé directeur général adjoint du Conseil régional des Pays de la Loire, Sébastien VALLET se concentrera, parmi ses multiples tâches, à l’optimisation de l’emploi, de la formation et de l’apprentissage dans une contrée économique de tout premier plan…

AUXERRE : L’information circulait déjà depuis quelques semaines dans le landerneau économique, s’extrayant ainsi des coursives confidentielles ordinaires. Le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne quitte la vénérable institution après y avoir initié durant près de cinq ans de jolis projets et de multiples partenariats s’avérant fructueux.

L’appel du large a donc happé Sébastien VALLET. Il n’avait jamais caché ses appétences géographiques pour l’ouest de l’hexagone. En particulier la ville de Saint-Malo et la Bretagne. Mais, c’est à Nantes, en Loire-Atlantique, que ce garçon brillant, au profil de « gendre idéal » de l’avis de son président Alain PEREZ, posera ses valises dès le 01er mars.

Exit le milieu consulaire, retour à la case départ parmi la sphère plus politique et administrative d’un organisme régional. Un milieu que maîtrise à la perfection le diplômé de l’ENACT de Nancy (Ecole nationale d’application des cadres territoriaux) et de HEC Paris.

Une expérience accomplie auprès de la sphère politique…

Nommé directeur général adjoint en charge du développement de la formation et de l’apprentissage, Sébastien VALLET intègre la garde rapprochée de la présidente de l’exécutif ligérien, Christelle MORANCAIS (Les Républicains), chef d’entreprise quadragénaire qui devait succéder en 2014 à Bruno RETAILLEAU.  

Avant sa découverte du monde consulaire, Sébastien VALLET s’était déjà exercé avec brio et implication aux postes à responsabilité dans la commune de Yerres, tout d’abord où il occupa la fonction de directeur de cabinet au service de l’édile local. Un certain Nicolas DUPONT-AIGNAN. Une fonction similaire qui le propulsera ensuite vers la Bourgogne, sur le territoire de Côte d’Or, auprès de François SAUVADET, alors président du Département.

Au sein du Conseil régional des Pays de la Loire, le challenge à relever sera tout aussi passionnant pour ce connaisseur des rouages institutionnels. Il déclinera la politique mise en œuvre par la présidente qui souhaite tout mettre à plat en 2019 pour résoudre la récurrente problématique du chômage et l’absence de formation pour certains d’entre eux.

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Priorité à l’emploi et à la formation dans sa future vie professionnelle…

La Région Pays de la Loire développera de nouvelles formations cette année au bénéfice des demandeurs d’emploi. Elles seront adaptées aux besoins des entreprises ligériennes.

Parallèlement, l’un des dossiers majeurs qui attend Sébastien VALLET sur son nouveau bureau sera celui de l’essor d’un véritable parcours de réussite destiné aux jeunes pousses de la contrée.

Soit un potentiel de 160 000 lycéens, mais aussi plus de 32 000 apprentis. Ce combat de la formation qui mène à l’emploi représente la mère des batailles pour la présidente de l’exécutif régional.

Ardent défenseur de l’entité et de l’esprit consulaires, Sébastien VALLET n’a qu’un seul regret avant de déménager de l’Yonne : celui de ne pas avoir mené à leurs termes certains gros chantiers.

Toutefois, avant de partir, il a eu le temps de finaliser l’espace de co-working qui sera opérationnel au siège auxerrois dès la semaine prochaine. Ce lieu de vie accueillera un public interne/externe, propre à développer leurs projets.

Saluant le degré de performance des CCI et de ses équipes dont celles de Bourgogne Franche-Comté à l’échelle du pays, Sébastien VALLET se dit pleinement rassuré pour l’avenir.

D’autant que l’organisme consulaire conservera son statut d’établissement public. Le mot de la fin lui revint lors de cette réception de départ : « Je souhaite que les CCI continuent à avancer, en étant au service des entreprises, elles pourront de fait vivre ainsi quatre cents ans de plus sans être inquiétés ! ».


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De nouvelles possibilités de faire carrière dans l’Armée de Terre se profilent à l’aune du second trimestre 2019. Le CIRFA (Centre d’information et de recrutement des forces armées) de l’Yonne en dessine les contours. A réserver à celles et ceux qui se destinent à des métiers emplis d’aventure et peu casaniers…

AUXERRE : Un simple coup de téléphone, et vous obtenez des informations précises sur les nombreuses opportunités de carrière qui peuvent se présenter à vous. Au bout du fil, les services du CIRFA. Le Centre d’information et de recrutement des forces armées de l’Yonne, peu avare, pour distiller le maximum de renseignements explique les postes à pourvoir.

Prenons l’exemple du second trimestre 2019 : plusieurs possibilités professionnelles se profilent. Mécanicien de l’armement, mécanicien automobile ou électrotechnicien représentent autant de filières en quête de main d’œuvre à pourvoir, qu’elle soit qualifiée ou pas.

Le niveau requis pour prétendre déposer sa candidature débute avec un CAP. Mais, les détenteurs de diplômes supérieurs (BEP, baccalauréat, BTS…) sont les bienvenus. Y compris les postulants qui auraient déjà à leur actif une expérience professionnelle à faire valoir dans leur entretien d’embauche.

L’employabilité se situe à l’échelle nationale en termes d’affectation. Les salaires de ces contrats s’élève à 1 300 euros nets par mois.

Ouvert aux personnes âgées de 17,5 ans, ces postes concernent une large frange de la jeunesse jusqu’à 28 ans révolu.

Si vous rêvez de rejoindre l’Armée de Terre et d’embrasser une carrière militaire, pas l’ombre d’une hésitation à avoir : l’adjudant-chef Bruno NIRLO, responsable du CIRFA de l’Yonne, attend vos appels au 03.86.72.72.72. !

 


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Les Chambre de Commerce et d’Industrie tentent de faire face tant bien que mal aux changements de cap voulus par les politiques. Elles ont eu à subir des prélèvements importants en 2018, soit une ponction de cent millions d’euros. Chose qui avait été décidée l’année précédente. D’ailleurs, l’opération devrait être réitérée jusqu’en 2021. Toutefois, leurs dirigeants, à l’instar du président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, espèrent toujours dans leur for intérieur, que cette prise de décision initiée par la gouvernance soit revue à la baisse, voire totalement prorogée. En substance, cet argent est prélevé aux entreprises et qu’elles n’en sont aucunement bénéficiaires par un quelconque retour sur investissement même si le ministre des Finances avait pris un engagement contraire dans ses déclarations initiales.

SENS : Quelles en ont été les conséquences directes pour le budget de fonctionnement de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ?

Ce prélèvement induit quatre millions d’euros en moins pour la chambre consulaire de Bourgogne Franche-Comté et une enveloppe de 400 000 euros dont la chambre de commerce départementale doit se priver. Sachant, comme je l’ai précisé en préambule, que cette ponction se renouvelle chaque année. Concrètement, le budget icaunais aura été divisé par trois entre 2012 et 2021. Cela impacte nos investissements. Et si nous avons pu faire face jusque-là, c’est grâce aux économies de mutualisation que nous avions réalisées lors de la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté.

Avant tout, nous nous inscrivons sous le sceau de l’entrepreneuriat dans la gestion de la chambre consulaire. Grâce à ce rapprochement qui nous aura permis de mutualiser nos organismes, deux millions d’euros ont été économisés et ont été laissés dans les chambres territoriales. Mais, on n’est pas encore au bout de cette démarche.

Cette orientation stratégique n’a nullement affecté les investissements…

Maintenir la qualité et l’ergonomie de notre outil de travail demeure la priorité. La CCI de l’Yonne a assuré par exemple au cours de ces derniers mois la rénovation de ses bâtiments, la réalisation d’outils numériques à destination des mandants (les entreprises), l’adaptation des hôtels consulaires à devenir de véritables hôtels d’entreprises avec des locataires, et surtout l’optimisation des pépinières (six en nom propre et une déléguée) qui bénéficient aussi de rénovations régulières. Il nous faut par contre réfléchir à des solutions qui nous permettent de conserver nos espaces professionnels en l’état…

Vous mettez l’accent sur le côté entrepreneuriat dans la manière d’aborder le pilotage et la gestion de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Est-ce une entreprise à part entière ?

Oui ! Chaque président de CCI est un patron en puissance, à la tête d’une structure indépendante et autonome. Cependant, il existe d’énormes disparités d’une région à l’autre et un manque de cohésion flagrant de ce réseau économique. Peut-on réellement comparer le domaine d’intervention de la CCI du Territoire de Belfort à celles de l’Ile de France ? Cela ressemble à l’écart qui existe entre une multinationale et un commerce local. Aujourd’hui, je suis favorable à l’émergence d’un lobby des CCI qui aurait pour vocation de fédérer l’ensemble des organismes de la métropole à travailler en parfaite osmose et non pas de les opposer entre elles. Mais, attention, cela n’empêcherait nullement les CCI territoriales de posséder chacune leurs ambitions et de défendre leurs intérêts…

Selon vous, ce réseau avait-il besoin de se réformer ?

Je pense qu’il était temps de procéder à une réforme en profondeur. Mais dans mon esprit, je l’envisageais plus en phase directe avec le monde économique. En accentuant notre écoute vers toutes les entreprises. Devenir in fine, une sorte de parlement à leur service. Alors que la réforme actuelle, de par la dépendance dans laquelle elle nous met vis-à-vis de l’Etat, pose de réels problèmes.

La vocation des CCI est de revenir à nos fondamentaux. Les entreprises ne sont pas forcément informées de la pertinence de cette situation. Car, il existe un vrai déficit de communication.

Si cette réforme doit aboutir à la création d’un réseau de CCI plus soudées et solidaires, qui soient plus à l’écoute des entrepreneurs avec des solutions modernes et concrètes à leur proposer, ce serait hautement positif. C’est sûr, on dépoussière, on innove, on prend des risques et on se remet en cause. On entre de plain-pied dans un principe disruptif comme le souhaite l’Etat, en y injectant de la libre concurrence tout en proposant des services payants, autour de l’innovation et de l’assistance.

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Bref, la Cci devient un prestataire de services. Mais, c’est un plan qui aurait une chance de réussir si l’Etat nous laissait dix ans devant nous pour sa mise en œuvre. Aujourd’hui, cela va bien trop vite pour compenser, sans casse cette perte de ressources. Il nous aurait fallu un peu plus de temps pour le faire dans les règles de l’art. Avec la révision de nos missions, on aurait pu réussir…

Vous parlez de cette réforme comme si elle avait d’ores et déjà échoué…

Non, elle n’est pas vouée à l’échec ; la réforme peut se vivre de trois manières différentes. La première, et j’espère que ce sera le cas en Bourgogne Franche-Comté, renforcerait les efforts dans la mutualisation, en gérant les actifs de manière optimale tout en maîtrisant le coût des activités onéreuses.

La seconde serait de tendre vers une régionalisation complète avec la suppression du statut d’établissement public départemental et un rattachement à la région. Certes, il y aurait sans doute une possibilité de s’en sortir à moyen terme mais ce serait la mort garantie du réseau de la CCI sur notre territoire.

Reste la troisième option : ce  serait le rapprochement des Chambres de commerce et d’industrie avec les chambres des métiers et de l’artisanat au niveau départemental. Cela nous permettrait de sortir de ce faux débat qui existe sur les statuts des entreprises adhérentes et de constituer un véritable parlement des entreprises sur le territoire.

De ces trois réformes, nous allons travailler avec la Chambre régionale où nous avons la chance d’avoir un président qui a été élu sur le respect du territoire, et qui se bat pour le maintien d’un organisme territorial.

Quant à mon souhait personnel, il faudrait que de ces trois hypothèses, ce soit la première solution qui soit adoptée en privilégiant des rapprochements ponctuels avec la Chambre des métiers et de l’artisanat. D’ici fin mars 2019, une décision sera prise lors de l’assemblée générale…

Vous effectuez votre troisième mandat à la présidence qui court jusqu’en novembre 2021. Comment voyez-vous ces trois prochaines années pour la CCI de l’Yonne ?

Mon objectif est de préserver le statut d’établissement public de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Cela passe par une analyse approfondie de l’existant et un abandon de certaines missions qui en découlera. Forcément, cela engendrera des conséquences sociales. Notamment, grâce à des départs à la retraite.

Quant aux entreprises, elles deviennent, et c’est normal, plus exigeantes en termes de qualité de services. Ces derniers vont évoluer. Certains n’existeront plus. D’autres apparaîtront. Nous sommes à la veille de cette disruption. Mais, cela n’altèrera pas la suractivité de la chambre consulaire…

 


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Spécialisée dans la pose de canalisations électriques et numériques, qu’elles soient sous-terraines et aériennes, la société de travaux publics de Saint-Florentin diversifie ses activités. Un mode opératoire qu’elle va intensifier au cours de ces trois prochaines années, pour faire face à la baisse conséquente de la commande publique dont elle était trop dépendante. Une perspective encourageante selon son dirigeant, Eric CHARTON, qui ambitionne de s’entourer de nouvelles compétences professionnelles pour parvenir à ses desseins. Une vingtaine de postes, au profil qualifié, devraient renforcer les effectifs des quatre centres d’activité d’ici le terme de l’année…

SAINT-FLORENTIN : Le changement de tactique devrait s’avérer payant pour DRTP, la PME positionnée dans le domaine des travaux publics. Grâce à la diversification de ses activités et l’ouverture vers la multi-clientèle dont le secteur privé, la structure contournera la récurrente problématique inhérente à la restriction de la commande publique. A laquelle l’entreprise était un peu trop liée depuis plusieurs années, de l’aveu de son responsable, Eric CHARTON.

Conséquence immédiate de ce choix stratégique novateur : l’entité de Saint-Florentin recrute. Afin de pourvoir ses quatre centres de profit des personnels idoines en matière de compétences professionnelles, pouvant répondre aux besoins spécifiques. Ces centres sont implantés dans l’Ain, le Loiret, la Marne et l’Yonne.

Un chiffre est d’ores et déjà annoncé par le dirigeant de la PME ; une vingtaine de postes devraient être créés d’ici la fin de l’année. Quant au profil type, il vise à s’adjoindre le bénéfice de personnes diplômées, ayant parmi leurs appétences, outre leur motivation et qualification, le désir de manager des équipes. Ce personnel d’encadrement de chantier comprendra des techniciens supérieurs issus des écoles spécialisées dans les travaux publics.

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S’appuyer sur les bienfaits de l’alternance…

Toutefois, la recherche de ces personnels qualifiés s’avère toujours complexe. Il est, en effet, très difficile aujourd’hui pour les entrepreneurs des travaux publics de pouvoir se doter de cette main d’œuvre indispensable à leur épanouissement. L’un des objectifs de l’entreprise est aussi le développement de la formation.

Son rayonnement national lui impose de répondre avec efficience et spontanéité à la complémentarité des équipes qui interviennent selon la typologie des chantiers.

Ainsi, l’apport de l’alternance, au niveau de l’accueil des apprentis, s’inscrit parmi les sages résolutions mise en exergue avec les besoins de la structure. Quant à la féminisation, elle gagne peu à peu du terrain.

De 5 à 10 % de l’effectif de la société proviennent de l’apprentissage. C’est le fruit de conventions formalisées avec les centres pédagogiques de Châtillon-sur-Seine et des écoles techniques qui préparent aux métiers des travaux publics (IUT Génie civil à Auxerre ou à Troyes). La démarche est similaire avec le CIFA de l’Yonne, via son atelier de mécanique et assistant PMI.

Réalisant un chiffre d’affaires annuel de vingt millions d’euros, DRTP entame donc la nouvelle année avec de sérieuses ambitions pour conquérir les marchés publics et privés. La PME emploie plus d’une centaine de collaborateurs.

 


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