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Cinquante ans. Pile poil ! Le bel âge pour ajouter une ligne supplémentaire à un CV qui est déjà bien fourni. Un parcours illustrant une carrière bien remplie au sein de l’un des corps préférés de nos concitoyens, les sapeurs-pompiers ! Successeur du colonel Jérôme COSTE – ce dernier a fait valoir ses droits à une retraite amplement méritée mais sans doute très active au printemps ! -, Sébastien BERTAU, colonel de son état, a pris ses nouvelles fonctions, celles de chef du corps départemental des sapeurs-pompiers de l’Yonne et de directeur départemental des services d’incendie et de secours le 01er juin…

 

AUXERRE : Il a réalisé sa première prise de commandement, le nouveau « patron » des sapeurs-pompiers de l’Yonne. Sous une étouffante chaleur estivale à l’occasion de la Journée nationale des sapeurs-pompiers, une manifestation qui s’est déroulée à travers l’Hexagone, ce samedi 25 juin. Sobre et solennelle, la cérémonie auxerroise rassemblait sur le site de la Plaine des Isles plusieurs personnalités de la sphère institutionnelle et politique. Dont le président du conseil d’administration du SDIS 89 (Service départemental d’incendie et de secours), le vice-président du Département Christophe BONNEFOND ou Marion AOUSTIN-ROTH, directrice de cabinet de la préfecture de l’Yonne.

L’opportunité pour le nouveau directeur du SDIS 89 de humer l’atmosphère ambiante de ce casernement qui lui sera désormais familier au fil de l’eau. Détenteur d’un master de droit et de gestion des collectivités territoriales, possesseur d’un certificat en sciences politiques, Sébastien BERTAU présente un parcours diplômant très riche. Il a ajouté à son escarcelle un master de gestion des risques de sécurité civile, obtenu à l’Université de Haute Alsace.

 

 

 

 

En provenance de la Moselle, où il assumait la direction adjointe et chef de corps départemental adjoint du SDIS de ce territoire de Lorraine, le colonel a connu de nombreux lieux d’affectation par le passé depuis ses premiers pas en qualité de sapeur-pompier.

Parmi ceux-ci : citons le Loiret, l’Ille-et-Vilaine ou encore Paris où l’officier supérieur exerça en qualité de lieutenant-colonel les fonctions de conseiller social du directeur général et du directeur des sapeurs-pompiers au ministère de l’Intérieur à la DGSCGC (Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises). Il va désormais devoir s’acclimater avec les typicités de l’Yonne…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est comparable à une rentrée scolaire (peut-être universitaire au vu de la moyenne d’âge de ces « bons élèves studieux » de la République ?!) que viennent d’effectuer ces jours-ci les nouveaux pensionnaires de l’Assemblée nationale au Palais Bourbon. Leur retour dans l’hémicycle après l’épisode électoral. Ils sont à pied d’œuvre, aujourd’hui, avec le scrutin permettant de désigner celle ou celui de ces députés qui s’installera au perchoir présidentiel de la vénérable institution ! Les néophytes, plongés dans le grand bain institutionnel à l’instar des élus du Rassemblement national de la région, découvrent…

 

PARIS : « J’ai voté pour que Sébastien CHENU devienne le prochain président de l’Assemblée nationale… ». L’enthousiasme du néo-député du RN Julien ODOUL n’aura été in fine que de courte durée en cet après-midi de scrutin dans l’hémicycle parisien.

La candidate se présentant sous les couleurs de la majorité présidentielle, Yaël BRAUN-PIVET, est arrivée en tête des votes après le premier tour de piste, recueillant 238 suffrages sur les 553 exprimés. Certes, un résultat pas suffisant, toutefois, pour lui offrir le perchoir dès sa première tentative. Elle obtiendra le Graal en fin de journée devenant ainsi la première femme politique de l’Hexagone à présider l’Assemblée nationale.

 

Le retrait de Sébastien CHENU pour que « l’institution fonctionne »…

 

Quant à Sébastien CHENU, le favori du nouveau député de la troisième circonscription de l’Yonne Julien ODOUL – pour mémoire, une victoire sans aucun suspense obtenue face à la parlementaire sortante Michèle CROUZET (MoDem) avec près de cinq mille voix d’écart et un score net et sans bavure de 55,84 % contre 44,16 % dans le Sénonais - il ne recueillera que les 89 voix naturelles des représentants du parti bleu marine. Plus un bulletin supplémentaire que les observateurs pourraient presque attribuer au seul et unique membre de Debout La France, présent dans cette recomposition législative 2022 : Nicolas DUPONT-AIGNANT !

Précisons que la candidate de la NUPES, Fatiha KELOUA-HACHI fera le plein des voix auprès de sa formation « kaléidoscope » avec 146 suffrages tandis que la prétendante des Républicain et de l’UDI, Annie GENEVARD ne récoltera que les 61 voix de son groupe. Nathalie BASSIRE, non-inscrite, fermera le ban avec 18 voix.

Quelques minutes plus tard, le RN Sébastien CHENU retirera sa candidature avant même que ne débute le second tour. Une décision qui engendrera le non-vote de la formation souverainiste de ce scrutin interne. Un retrait que le poulain de Marine LE PEN a justifié par cette simple déclaration : « On souhaite que l’institution fonctionne… ».

 

 

 

L’Yonne, nouvelle terre de prédilection du Rassemblement National…

 

Pour les élus RN de Bourgogne Franche-Comté (ils sont au nombre de cinq après ce très surprenant second tour du 19 juin à avoir fait leurs premiers pas au Palais Bourbon), c’était aujourd’hui l’opportunité de s’immerger immédiatement dans les rouages de l’appareil stratégique de la chambre basse du Parlement.

Et l’occasion de réaliser quelques photos de famille, façon rentrée scolaire potache, le sourire sans option !

Le chef de file du Rassemblement National en Bourgogne Franche-Comté – il en est le président de groupe à la Région – rappelait au lendemain de son succès « qu’avec ces victoires obtenues aux quatre coins de France, c’était le peuple qui faisait son entrée à l’Assemblée Nationale ».

Rien que dans l’Yonne, les trois candidats qualifiés pour le second tour – Audrey LOPEZ aura échoué de peu face au député sortant de la seconde circonscription André VILLIERS –, recueillirent plus de 54 000 voix. Confirmant ainsi le virage à 360 degrés vécu par le département septentrional de Bourgogne.

Désormais, le Rassemblement National occupe le leadership sur le territoire en devenant la première force politique. Du jamais vu jusque-là…

« Quand le peuple vote, le peuple gagne, avait alors déclaré Julien ODOUL au soir de son succès, avec l’arrivée de 89 députés RN à l’Assemblée, c’est notre ruralité abandonnée et méprisée par la gouvernance actuelle qui retrouve enfin une voix ! ».

De quoi faire oublier l’échec du porte-parole du Rassemblement national qui avait échoué lors de sa tentative précédente aux législatives en 2017…et de briser le fameux plafond de verre en remportant le match retour cinq ans plus tard.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Oups ! Le couperet de la défaite n’est pas passé très loin de la tête du député sortant, le candidat du centre droit André VILLIERS, ex-UDI, désormais rallié à la nouvelle mouvance de la majorité présidentielle qui a le vent en poupe, « Horizons ». Même si l’écart n’excède guère les huit cents voix avec sa dauphine, la conseillère régionale RN Audrey LOPEZ, le parlementaire n’a pu s’empêcher de tomber dans les bras de ses fidèles amis et soutiens au terme d’une soirée électorale délicate pour les nerfs…

 

AUXERRE : Il sera donc le seul des députés de l’Yonne à avoir pu (su ?) résister en préservant la marge de voix suffisante face à la vague bleu marine qui a tout balayé sur son passage sur notre territoire. A l’instar du quasi tsunami qui s’est abattu au soir du 19 juin sur l’Hexagone.

André VILLIERS a donc sauvé les meubles. Au grand soulagement de ses partisans, nombreux, venus le féliciter dans le vaste hall de l’hôtel de la préfecture, au terme de ce second tour des législatives qui demeurera à jamais gravé dans les annales de la vie politique icaunaise. Un cataclysme pour la plupart, une réussite circonstanciée pour les lauréats !

 

 

André VILLIERS respire après une soirée éprouvante…

 

En récoltant 51,33 % des suffrages, le parlementaire de la seconde circonscription a bénéficié d’une cote de confiance suffisante de la part de son électorat qui ne lui a pas tenu grief de son récent ralliement à la cause élyséenne.

Les choses étaient claires et posées dans les esprits de l’électorat depuis un certain temps. André VILLIERS a toujours réaffirmé son engagement à la cause du centre-droit et à son positionnement politique. Le voir rejoindre Edouard PHILIPPE et « Horizons » n’aura finalement pas été une surprise pour personne. D’autant que le député n’avait pas apporté sa caution personnelle à la candidature de Valérie PECRESSE (LR/UDI) lors des dernières présidentielles.

 

 

Pourtant, face à la conseillère régionale du Rassemblement National Audrey LOPEZ, parachutée sur la circonscription, le scénario n’était pas forcément écrit d’avance pour le sortant. 867 voix seulement séparent les deux candidats qui se seront livrés une lutte farouche pour obtenir l’assentiment des votants. Avec une abstention qui reste à 51,45 % majoritaire. Comme dans moult territoires de France et de Navarre !

L’homme à abattre, celui dont les adeptes du « dégagisme » avaient fait leur tête de turc, a donc conservé son siège vaille que vaille, profitant au passage des suffrages des électeurs de gauche ayant respecté dans les urnes le sacro-saint principe du « front républicain ».

 

 

Embrassades et accolades à tout va : le « ouf » de soulagement…

 

A 67 ans, l’ancien sénateur de l’Yonne renouvelle donc son bail au Palais Bourbon ce qui n’était pas si simple à réaliser, compte tenu du contexte délétère que les Français dans leur grande majorité entretiennent avec leurs représentants politiques.

En exprimant un « ouf » de soulagement sur le coup des 21h30 dimanche soir quand le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD lui est tombé dans les bras en lui prodiguant une accolade chaleureuse, à l’identique de Christophe BONNEFOND (pourtant tous deux Républicains) et de quelques autres de ses plus fidèles amis qui arboraient un large sourire aux lèvres.

 

 

De son côté, la suppléante du vainqueur, Dorothée MOREAU ne cachait pas sa joie, sans pour autant verser dans un triomphalisme indécent. Elle aussi reprenait sa respiration après avoir connu des minutes vécues en apnée avant que ne soient confirmés les résultats définitifs.

Un sourire, qui malgré la défaite, apparaissait aussi sur le visage de la perdante, Audrey LOPEZ, déçue mais aussi satisfaite intérieurement d’avoir su faire parler la poudre et entretenue le suspense suffisamment longtemps par le biais de son électorat mobilisé. Une expérience dont elle pourrait tirer les enseignements pour d’autres échéances ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il y a si longtemps qu’il était fissuré ce plafond de verre, comment s’étonner qu’il ait fini par voler en éclats... ? Ce dimanche soir, à l’issue du second tour des législatives, la vague RN est passée, permettant à Marine Le PEN de décrocher 89 sièges à l’Assemblée Nationale, discréditant un peu plus s’il en était besoin, les instituts de sondages qui une fois encore, n’avaient rien vu venir !

 

BILLET : Après avoir longtemps flirté avec lui, le département de l’Yonne a décidé ce 19 juin de convoler en justes noces avec le parti à la flamme. Ni faire part, ni fiançailles, il fallait faire vite ! Un mariage avec pour témoins les vainqueurs des deux circonscriptions remportées par le Rassemblement National. Si à Sens, la victoire de Julien ODOUL n’est pas une surprise, la circonscription d’Auxerre ne semblait pas de prime abord, dévolue à l’inattendu et peu connu Daniel GRENON. La faillite du front républicain a fait le reste, jouant les maîtres de cérémonie.

Sous les plafonds lambrissés de la préfecture, la centaine de personnes présente est comme anesthésiée. Certains, à la mine des mauvais jours, par dépit ou KO debout, après une droite extrême en pleine face ! D’autres tout à leur joie contenue, comme s’ils n’en revenaient toujours pas…L’heure des comptes a sonné pour la candidate malheureuse, Florence LOURY, qui refait le match et ne décolère pas, évoquant des soutiens qui ne sont jamais venus, des désistements restés lettre morte…

 

 

« Ensemble » mais chacun sa route, chacun son chemin…

 

S’il n’a pas donné signe de vie depuis une semaine, nul doute que les oreilles de son challenger du premier tour, Guillaume LARRIVÉ ont dû siffler ce dimanche… Dans le collimateur également, certains élus de Puisaye soupçonnés de ne pas avoir ouvertement appelés à voter pour la candidate écologiste. Est-il fallacieux d’imaginer que nombre de poyaudins n’ont pas sorti leur mouchoir pour pleurer ce soir et que dans certaines cours de fermes, l’on ait même fait « péter la roteuse » !

André VILLIERS le sait, la balle n’est pas passée loin et ce soir devant les caméras, l’élu d’Avallon a le triomphe modeste, avec seulement 867 voix de plus que sa rivale Audrey LOPEZ, sauvé par son ancrage de terrain. Il s’en est fallu d’un rien pour que le RN ne fasse le « strike » et s’assure du grand chelem en remportant les trois circonscriptions du département. Au micro, l’ancien président du Conseil départemental « défouraille » à tout va à l’encontre de son adversaire de toujours, Jean-Baptiste LEMOYNE. Et dire que ces deux-là se revendiquent de la sphère « macroniste », l’un pour s’être présenté sous les couleurs d’un parti cornaqué par l’ancien Premier ministre Edouard PHILIPPE, le second, pour avoir été cinq ans durant membre du gouvernement… « Ensemble pour la majorité présidentielle », mais chacun son chemin !

 

 

De lourds nuages noirs accompagnent les résultats…

 

Il est près de 21 h quand Daniel GRENON, accompagné de son épouse, fait son entrée, usant de la discrétion qui fut la sienne tout au long de la campagne. Quelques mots échangés avec le préfet Pascal JAN, dans la plus pure tradition républicaine et déjà tout autour, des visages qui se détournent, ou subitement attirés par l’écran de leur smartphone…

Pas facile tous les soirs de représenter le « parti du peuple » ! Dehors, la chaleur suffocante s’accompagne de lourds nuages noirs, l’orage menace, comme un certain 10 mai 1981, mais la place des Cordeliers n’est pas celle de la Bastille… Pas de déluge « fantasmagorique » sur Auxerre, juste quelques larmes de pluie, larmes de tristesse, larmes de honte, larmes de colère…

 

Dominique BERNERD

 


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Aujourd'hui, l'on casse sa tirelire pour se rendre dans un bien joli endroit : direction le château du Vault-de-Lugny, l'une des trois tables étoilées Michelin de l'Yonne. Pour mémoire, voilà trente ans, il y en avait neuf ! Soit trois fois plus !

 

VAULT-de-LUGNY : L'on peut y arriver à pied, à cheval ou en voiture. A moins que l'on préfère le train via Avallon, permettant ainsi de faire un tour dans cette jolie cité, tout en ayant profité de ce joli périple ferroviaire depuis l'Auxerrois. En ville, l'accueil est aimable au « 20 heures vingt », un bar à vins récent aux multiples références solides (joli Viré-Clessé du domaine JP MICHEL entre autres !). Quant au BHV (Bar de l'hôtel de ville) de l'entreprenant Jérôme  SUREAU, il confirme, une fois de plus, sa statue de commandeur bistrotier, juste au pied du marché (jeudi et samedi).

Sitôt arrivé, on ne peut qu'être saisi par la beauté des lieux. Ce château,  comme souvent, c'est d'abord une histoire de passion familiale. Elisabeth, la patronne actuelle, en hérita voici quelques années, à charge pour elle d'y créer quelque chose. Un hôtel-restaurant, par exemple ! La pugnace jeune femme se battit vaillamment, seule d'abord, puis ensuite avec Pascal, son mari. Pareille séculaire bâtisse demande souvent quelques travaux, respectueux de l'âme, et de la magnificence des lieux. Chez l'architecte spécialisé, cela se monnaye comme de bien entendu.

 

 

Franco et Karina règnent en cuisine…

 

En cuisine, règne un chef formidable, de grand talent. Ce chef, c'est le mauricien Franco BOWANEE, un cuisinier au joli parcours, qui l'amena notamment aux Etats-Unis. Franco ? Même ses collègues cuisiniers, en parlent avec force gentillesse. Dans ce métier quelque peu individualiste, cela mérite d'être souligné !

En pâtisserie,  c'est sa compagne, la souriante Karina qui officie. Cette amoureuse des fruits est missionnée pour parfaire la fin du repas. Franco et Karina viennent d'avoir une petite Iris, qui, avec de tels parents se régalera des saveurs des deux hémisphères ! Mais, revenons sur une autre année d'importance. En 2019, le château du Vault-de-Lugny décrocha son étoile au Michelin, faisant entrer l'adresse dans une autre catégorie.

 

 

Ce midi-là, le paon ne fait pas la roue, même si discrètement,  un cygne passe au loin. Ici, c'est un peu l'arche de Noé, cela parachève le décor ! Il est fort plaisant de pouvoir déjeuner dehors. Ce fut le cas ! Des tables élégamment dressées, à l'unisson de ce lieu magique. L'Américano maison est notamment accompagné d'une délicieuse sphère « tomatée » au goût bien présent ! De multiples attentions émaillent ce début de repas. La crème brûlée aux épices est délicieuse aussi, ces épices sont un peu l'ADN du chef, étant, comme de bien entendu, très finement maîtrisées ! 

 

 

 

Finesse et élégance : de la pure magie culinaire !

 

Les plats sont dressés avec finesse et élégance. Ils sont accompagnés des légumes de saison, du potager voisin. Le homard « Michel HOUELLEBECQ » (on vous conseille son imitation savoureuse faite par Laurent GERRA le matin sur RTL !) est d’une cuisson impeccable. Voire un modèle du genre.

Un plat terre-mer des plus inattendus fut ce ris de veau avec des écrevisses locales. Saveurs et mâches surprenantes, pour ce mets au jus aussi précis que délicat. Des mets servis avec amabilité et professionnalisme. C'est alors l'heure de la venue discrète d'un des bons chiens de la maison, qui tel un maître d'hôtel quadrupède s'assure que tout va bien ! Rassuré,  il peut alors s'adonner à l'un des passe-temps préférés du monde canin : la sieste !

 

 

« Dame Cerise » est à l’honneur pour les desserts…


De jolis desserts aux couleurs variés marquent aussi un « p'tit clin d'œil » à « Dame Cerise » qui le mérite bien ! 

C’est un repas où l'on s'est régalé du début à la fin, peut-on songer, vaguement repus, en appréciant le café et un bas Armagnac « Laberdolive 1986 », d'excellente tenue. Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, il faut alors songer à retrouver le monde plus ordinaire du transport ferroviaire et la gare de Sermizelles-Vézelay ! Quai numéro un (là aussi, il est unique !). Attention au départ !

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : l'Américano facturé à 24 euros peut sembler un rien « chérot » !

Les + : un lieu magnifique, une cuisine précise et goûteuse, bref, un moment magique. Et pour les amateurs, en octobre, le chef prépare le lièvre à la royale. Sûrement l'un des plats les plus aboutis de la gastronomie française, que peu de cuisiniers savent vraiment réaliser.

 

 

Contact :


Château de Vault-de-Lugny,

11 Rue du Château

Tel : 03.86.34.07.86.

Premier menu du midi servi à 69 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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