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« La Box du mois » fait figure aujourd’hui d’institution évènementielle dans l’Auxerrois. Du fait de la crise, cette transposition de la manifestation « Tous les VINgt du mois » rencontre le succès pour ses instigateurs que sont les membres de la Jeune Chambre Economique. Le concept promeut les produits viticoles et leurs producteurs locaux. Désormais, avec le soutien du Centre E.LECLERC, il va permettre de valoriser le cœur de ville…

 

AUXERRE: Déployée dans la capitale de l’Yonne depuis octobre 2017, l’opération « Tous les VINgt du mois » portée par la JCE Auxerre est un attrayant dosage de rencontres festives, de découvertes de nectars du cru et de moments de partage qui renforcent les relations publiques. Bref, tout ce qui nous manque à l’heure actuelle !

Jamais en manque d’imagination, les membres de la Jeune Chambre Economique, en bons leaders citoyens qu’ils sont, se sont très vite adaptés au contexte sanitaire inhérent à la pandémie de la COVID-19.

Suite au premier confinement, ils ont quelque peu modifié les règles de leur concept novateur (celui-ci a depuis fait des émules dans d’autres villes de Bourgogne-Franche-Comté mais également sur l’Hexagone) pour continuer à promouvoir les viticulteurs locaux.

Ainsi, ils ont créé ce concept de « boxs » comprenant une bouteille et des spécialités culinaires locales, vendus à un prix fixe de 25 euros.

A chaque rendez-vous calendaire marquant (la Saint-Patrick en mars, Pâques en avril), le contenu de ces récipients aux vertus gustatives si sympathiques propose un thème approprié.

 

 

Le Centre E.LECLERC s’invite dans la danse…

 

Le mois de mai pointant à l’horizon, la JCE veut mettre l’accent sur les prochaines livraisons avec la Fête des mères et la Fête des pères comme axes référentiels. L’idée étant de valoriser ce concept en le réintroduisant en centre-ville. Pour se faire, un partenaire de la grande distribution devait entrer en lice pour apporter sa plus-value commerciale et sa logistique, symboles de succès pour l’initiative.

La JCE, par la voix de sa directrice de projet, Laurianne BELLIER, a pris attache avec Jérôme CHAUFOURNAIS, responsable du Centre Edouard LECLERC auxerrois.

Il est dorénavant possible d’acquérir et de retirer les fameuses boîtes auprès du nouveau drive relais LECLERC implanté Place de l’Hôtel de Ville au cœur de la préfecture icaunaise. Une excellente nouvelle pour celles et ceux qui apprécient déguster les vins de la région.

 

Thierry BRET

 


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Première plateforme à promouvoir des logements senior dans l’Hexagone, l’entité de l’Yonne poursuit en toute sérénité son petit bonhomme de chemin. Soit son développement à l’échelle du territoire. Apparue en 2016, la société conçue par Joachim TAVARES gagne ainsi en notoriété en région Centre après s’être rapprochée de la Banque Populaire Val-de-France avec qui elle vient de contracter un partenariat…

 

JOIGNY : Vocation de ce rapprochement constructif pour la start-up bourguignonne : élargir le potentiel d’offres de services qui seront proposés dans son portefeuille. La cible privilégiée de cette nouvelle étape qui étoffe un peu plus le savoir-faire de la TPE : la clientèle d’un établissement mutualiste, la Banque Populaire Val-de-France, active sur le Loiret.

Créée en 2016, PAPYHAPPY développe un outil de recherche qui offre une réponse opportune aux seniors et aidants. Ce dispositif d’aide à la décision facilite l’accès à l’information et redonne le choix aux personnes âgées et à leurs familles de bénéficier d’un choix de logement en phase avec leurs attentes. Pour couronner le tout, l’entreprise accompagne également les collectivités, les assurances et les banques.

C’est dans ce cadre qu’a été conclue cette étroite osmose entre les deux partenaires. L’alliance va permettre aux deux structures de se dynamiser sur le territoire Val-de-France et de proposer des services adaptés à leur clientèle.

L’établissement bancaire présent à Gien ou à Montargis proposera à sa clientèle de bénéficier d’un bouquet de services à destination des seniors, soucieux d’optimiser leur quête de logement.

 

 

S’appuyer sur l’expertise de la start-up…

 

Collaboratrice de la Banque Populaire Val-de-France, Béatrice HUE livre ses impressions : « PAPYHAPPY, première plateforme collaborative et participative du logement senior nous a parue correspondre à nos attentes. À la fois digitale et humaine, cette start-up propose des conseils et un accompagnement sur-mesure dans la recherche d’un logement adapté aux besoins des seniors. Nos clients pourront donc s’appuyer sur leur expertise dans ce domaine... ».

La philosophie du fondateur de la start-up, lauréate du réseau Entreprendre Bourgogne, Joachim TAVARES fait écho aux valeurs de proximité et d’engagement solidaire de la Banque Populaire Val-de-France.

Gageons que d’autres établissements financiers de l’Hexagone ne manqueront pas de suivre les mêmes prérogatives opérationnelles envers leur clientèle âgée à l’instar de la structure du Loiret !

 

Thierry BRET

 


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Les larmes de Julia CATTIN à la douloureuse évocation du décès de son père Roland, survenu soudainement en 2016, vont émouvoir la ministre de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO, de passage sur notre territoire. Immergée chez l’un des fleurons de l’activité industrielle de l’Yonne, FIMM, la représentante du gouvernement a salué le modèle d’adversité et le courage de la jeune trentenaire qui a succédé brillamment à son père. Le cas d’école idéal pour illustrer la réussite de l’entrepreneuriat au féminin…

 

JOIGNY : Il est de ces douleurs insondables qui à leurs simples allusions au détour d’un échange verbal laissent des bleus à l’âme et font couler des larmes sur les joues. Bouleversantes, celles de la PDG du groupe MANUVIT, Julia CATTIN, auront ému l’aéropage de personnalités qui accompagnait la visite de la ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO.

Difficile, voire insurmontable malgré le fil des ans de se remettre du départ d’un proche. Même si le deuil remonte à quelques années déjà (2016). D’autant que la perte de son père, dirigeant de plusieurs sociétés industrielles, aura chamboulé à 360 degrés le chemin de vie d’une jeune femme qui se destinait à embrasser une carrière dans les ONG, son master d’économie obtenu à Milan dans la besace.

 

 

A 34 ans, Julia CATTIN a su pourtant endosser la vêture d’un PDG de l’industrie, porté par le succès de son aventure professionnelle. Etonnant parcours que celui-là ! Dans un milieu où la gent féminine est loin d’être pléthorique. Où les termes de diables, de transpalettes, de chariots… intègrent désormais son vocabulaire au quotidien.

Alors quand la jeune femme, investie également d’une mission de représentativité au sein du monde consulaire, celui incarné par la Chambre de Commerce et d’Industrie, a su que la ministre de l’Egalité des chances avait biffé sur son agenda l’adresse de l’une de ses structures, l’icaunaise FIMM, pour une visite officielle, son cœur a dû battre la chamade et connaître l’état de grâce de la jubilation. La reconnaissance de l’Etat pour la présidente directrice générale du groupe MANUVIT et de ses équipes !

 

 

 

Une entreprise qui se positionne aussi sur les marchés publics…

 

Spécialiste de la manutention, la PME conçoit et fabrique ce matériel indispensable pour le port de charges lourdes que la morphologie humaine ne peut gérer seule et dont sont friands les industriels. Mais, aussi les collectivités, les commerces de la grande distribution, la filière du bâtiment et des travaux publics.

L’enseigne sait se positionner sur les marchés publics. Dans le secteur des maisons de retraite ou celui des centres hospitaliers. De précieuses informations que ne manqueront pas de glaner Elisabeth MORENO et ses accompagnateurs lors de cette découverte studieuse aux côtés de leur jeune guide.

 

 

 

A l’issue de la traversée de la multitude d’espaces où circulent sur des chaînes les tubulures en inox aux couleurs rouges chatoyantes permettant de concevoir la gamme éclectique de produits à l’estampille de la PME, la membre du gouvernement s’est prêtée à un exercice oratoire plutôt inattendu avec la cheffe d’entreprise : son interview ! Telle une journaliste curieuse devant officier devant les caméras et appareils photographiques des médias.

 

 

 

Un exercice inédit : quand une ministre devient journaliste…

 

Se glissant dans la peau d’une intervieweuse chevronnée du petit écran, la ministre interrogea la dirigeante de l’entreprise sur son ressenti personnel en sa qualité de femme à la tête d’un groupe industriel. Surtout dans un secteur peu enclin à la féminité !

Les réponses, plutôt positives de son interlocutrice, illustrèrent finalement en toile de fond la thématique du jour, celle qui était le prétexte à ce déplacement en Bourgogne du Nord.

C’est-à-dire l’annonce faite, quelques minutes plus tard, en faveur de l’entrepreneuriat des femmes dans le territoire (voir par ailleurs l’article déjà publié dans nos colonnes le 23 avril).

« Les femmes doivent oser prendre leur destinée en main dans le domaine de l’économie et celui de la création/direction d’entreprise, insista lourdement la ministre déléguée auprès du Premier ministre.

Saluant au passage la force de caractère, le volontarisme et le courage de Julia CATTIN, personne à qui Elisabeth MORENO prédit un avenir exceptionnel. Et pourquoi pas en s’engageant davantage dans la vie consulaire d’autant que des élections sont programmées avant le terme de cette année ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le monde associatif est en phase de léthargie depuis plusieurs mois du fait de la crise sanitaire. Un comité de pilotage, initié par deux élus de la Ville Nordine BOUCHROU et Vincent VALLE, envisage de lui redonner vie dès le 11 septembre. A la clé, la tenue du premier « Forum des associations » qui sera accueilli à l’abbaye Saint-Germain… 

 

AUXERRE : La vie associative est d’ordinaire mise en avant au niveau sportif et culturel. Souvent sollicitée en début d’année scolaire pour exercer une nouvelle activité sportive ou encore pour s’engager afin d’aider les autres. Mais, depuis plusieurs mois, ces structures n’ont pas pu répondre présentes à cause de la COVID-19. Avec les différents confinements, les distanciations sociales et le respect des gestes barrières, les associations ont été contraintes de rester en retrait. Voire pour certaines, de fermer temporairement leurs portes.

Conseiller municipal en charge de la vie associative à Auxerre, Nordine BOUCHROU s’est rapproché de l’adjoint de la politique du logement, de l’habitat et de la vie associative Vincent VALLE afin de constituer un comité de pilotage, accueillant également le directeur des affaires culturelles de la ville Thierry CRETEUR.

Ensemble, ils prévoient d’organiser un forum des associations à l’Abbaye Saint-Germain le 11 septembre.

Celui-ci aurait pour vocation d’apporter une aide aux associations qui ont beaucoup perdu. Que ce soit au niveau de leurs adhérents ou au sujet de leurs recettes financières depuis le début de la crise.

 

 

Un village constitué par thèmes autour de la diversité associative…

 

Environ deux cents associations y seraient attendues. Ces dernières ont jusqu’au 30 avril 2021 pour confirmer ou non leur présence à l’évènement.

Quelques idées sont mises en avant pour la présentation de ce forum. D’une part, il s’agirait de créer un village par thématiques : les associations sportives, culturelles, etc. Sous réserve, différentes activités viendraient se greffer sous la forme de stands. D’autre part, des Food Truck seraient de la partie ainsi que des conférences pour informer les personnes venues se renseigner sur l’objet de ces entités collectives.

L’objectif est favoriser les échanges et d’accueillir gratuitement le public lors d’un après-midi instructif où de nouvelles activités et de nouveaux engagements sont recherchés par les citoyens.

Dans les faits, le comité de pilotage se donnera rendez-vous tous les deux mois afin d’évoquer ce que pourrait être la vie associative à l’avenir dans la capitale de l’Yonne après ce long moment de déshérence sanitaire. L’idéal serait aussi de réitérer l’initiative chaque année à Auxerre.

Signalons, en outre, qu’une rencontre liminaire avait été organisée il y a quelques jours avec l’association France Bénévolat afin d’aborder cet item.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 

 


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Du fait de la pandémie de la COVID-19 qui sévit en France depuis plus d’un an, tous les secteurs de la vie économique vont être impactés. Pour l’activité automobile, le problème est particulier. Concurrence, stratégies de marques, véhicules électriques, approvisionnements, coût des matières premières, réformes imposées par l’Europe et aides de l’Etat constituent un cocktail explosif. Qui pourrait faire de nombreuses victimes à l’avenir...

 

TRIBUNE : Renault et Peugeot sont au coude à coude pour les immatriculations de véhicules particuliers avec un léger avantage pour la marque aux losanges. La lutte sera vive en 2021.

Chacune des marques veut le leadership. Après une année 2020,  perturbée par la pandémie de coronavirus, 2021 tournera-t-elle au cauchemar pour l'industrie automobile mondiale suite à la pénurie de composants électroniques ? Ajoutons le blocage provisoire du canal de Suez !

Selon différentes prévisions, les retards de production pourraient toucher de 672 000 à 964 000 véhicules cette année. Peugeot et Citroën (STELLANTIS) à Sochaux et Rennes, Renault à Sandouville, Volkswagen à Wolfsburg et Emden, General Motors ou Ford en Amérique du Nord vont connaître de graves perturbations dans leur production.

La pénurie mondiale de puces électroniques impacte progressivement tous les constructeurs automobiles, qui sont obligés d’arrêter la production de leurs usines, au moins partiellement, depuis quelques semaines. Les constructeurs manquent en effet de semi-conducteurs, et plus particulièrement de microcontrôleurs, qui sont devenus indispensables dans les voitures modernes.

Par exemple, 38 unités sont nécessaires à bord d’un gros SUV Audi, que ce soit pour le moteur, l’ABS, les airbags, ou encore l’aide au stationnement. Alors que la production des usines est programmée à flux tendus, on estime ainsi que la pénurie pourrait retarder la production de 672 000 voitures au premier semestre, dont 250 000 en Chine. Tandis que le prix des pièces devrait augmenter.

AutoForecast Solutions estime de son côté que cela pourrait impacter la production de 964 000 véhicules sur toute l’année 2021. Cette situation risque encore d’aggraver la perte historique de 8 milliards d’euros pour Renault. Pour l’ex-groupe PSA aujourd’hui appelé STELLANTIS, après un mariage de raison avec Fiat, Peugeot a vu au cours de 2020, ses ventes s’effondrer dans le monde. La marque est passée du 4ème rang mondial au 6èmrang. La situation des marques françaises reste précaire.

 

2021, la bonne année pour Peugeot ?

 

Dans ses prévisions pour l'année 2021, le cabinet IHS Markit abonde dans ce sens, tablant sur un volume de quelque 325 000 immatriculations pour Peugeot, contre 321 400 pour Renault (sur un marché français légèrement supérieur à 1,8 million de voitures neuves). En conséquence, dans son plan stratégique appelé « Renaulution », Renault prévoit 15 000 suppressions de postes dans le monde, dont 2 500 en France : de quoi faire remonter le cours de bourse !

Les salariés du groupe STELLANTIS restent dans l’expectative pour le futur. Si des coupes franches et sombres se dessinent pour les intérimaires, la direction se veut rassurante quant à l’avenir. Les 430 millions d’intéressement versés ont de quoi donner du baume au cœur aux salariés.

 

 

Où sont fabriquées les voitures françaises ?

 

Renault, Peugeot, Citroën sont les trois fabricants tricolores emblématiques. Tous ont plusieurs usines en France, mais encore plus à l'étranger. Chine, Espagne, Russie, Turquie, Roumanie ou Slovénie… elles quadrillent le globe. Pourquoi ? Essentiellement pour aller là où la main d'œuvre est à bas coût et les cotisations sociales plus faibles que dans l'Hexagone.

Résultat, aujourd'hui l'essentiel des voitures des marques tricolores est construit et assemblé hors de nos frontières. Et quand les autos sont emménagées en métropole, les différentes pièces sont souvent importées des autres pays où les constructeurs sont implantés. 

En plus des conséquences sur l’emploi en France, le plus nuisible de la sous- traitance et de la construction de voitures à l’étranger est contenu dans le transfert technologique.

 

Pas de construction de batteries dans l'Hexagone ?

 

Si le diesel résiste bien l’électrique et les hybrides ont le vent en poupe. Progressivement cette situation modifie le paysage de la construction automobile et nous rend encore plus dépendant des autres pays.

Le cœur du véhicule électrique est la batterie de lithium.  Notre dépendance est totale vis-à-vis des producteurs de batteries.

Parmi les principaux fabricants mondiaux, citons le chinois Contemporary Amperex Technology (CATL), le japonais Panasonic ou encore le sud-coréen LG-Chem.

Le géant américain TESLA a lui implanté sa "Gigafactory", une énorme fabrique de batteries au lithium, au Nevada (Etats-Unis).

La Chine abrite les deux tiers des capacités de production du globe. Assurant un quart de l'offre planétaire, le mastodonte chinois CATL est numéro un, devant le japonais Panasonic, un autre chinois, BYD, et le sud-coréen LG-Chem. Cette domination est logique : la Chine représente la moitié des ventes mondiales de véhicules électriques et Pékin impose aux constructeurs l'usage de composants locaux.

Par ailleurs, les chinois Tianqi et Ganfeng contrôlent un tiers de l'offre mondiale de lithium via leurs investissements dans les mines australiennes et chiliennes. Pour l’Europe et la France, c’est un retard difficile à combler. Dans ces conditions, le boycott du coton chinois ne va tenir longtemps !

Les marques automobiles françaises refusent d’investir dans la fabrication de batteries. Elles estiment que c’est aux « futurs » fabricants de batteries de le faire ! Une stratégie somme toute suicidaire qui méritera tôt ou tard une intervention de l’Etat ou de l’Europe.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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