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Président d’honneur du Club Ferguson France, l’artiste s’est accordé un petit moment de détente ce samedi après-midi avant de monter sur la scène d’AUXERREXPO pour son récital. Passionné par ces mythiques engins agricoles, des tracteurs de première génération dont le fameux « Petit Gris », il a partagé le verre de l’amitié aux côtés de Jean-Baptiste TREHOREL et de quelques amis férus de mécanique, sur le parvis du parc des expositions.  

 

AUXERRE : Parler de « Petit gris » en Bourgogne est de la pure logique. Au pays de la gastronomie et des traditionnels escargots qui ont fait saliver tant d’épicuriens fréquentant les tables régionales, c’est presque une lapalissade. Sauf que là, dans les discussions du jour entre l’interprète de l’indémodable « Céline » et la poignée d’amis icaunais venus saluer l’artiste sur le parvis du parc des expositions, c’est bel et bien de mécanique agricole dont il a été question !

Affable, affichant une excellente forme, le chanteur a retrouvé un public de connaisseurs en matière de « Ferguson TE 20 », le fameux modèle qui a envahi les espaces agricoles de l’Hexagone au sortir de la Seconde Guerre mondiale grâce au Plan Marshall. D’ailleurs, Hugues AUFRAY en possède plusieurs exemplaires.

Nommé président d’honneur du Club Ferguson France, l’admirateur de Bob DYLAN a pu admirer deux jolis spécimens de tracteurs, exposés devant l’entrée du parc auxerrois. Des engins placés là non pas du fait du hasard, naturellement !

Touché par cette délicate attention, l’artiste a pris le temps de déguster un petit verre de blanc du terroir régional (ce qui ne manque pas par ailleurs !), et prendre la pose avec ses amis du jour. Depuis 2014, Hugues AUFRAY est le président d’honneur de cette structure associative dont il est membre depuis fort longtemps. Celle-ci compte aujourd’hui 580 adhérents répartis aux quatre coins du pays.

Jean-Baptiste TREHOREL, l’un des administrateurs dans l’Yonne, a pour objectif de la développer au fil de ces prochains mois. Le 14 mai, au gîte « Ferme du Bois de la Dame » se déroulera la 19ème assemblée générale nationale du club à FESTIGNY dans l’Yonne. Une manifestation que sans doute d’ores et déjà Hugues AUFRAY a pu biffer sur son agenda…

 

Thierry BRET

 


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A 87 ans, la toujours verte propriétaire du Donjon Colette BECHET souhaite passer la main et trouver un acquéreur à son historique demeure. Soucieuse que la transmission de cette forteresse datant du XIIIème siècle se fasse dans les conditions les plus optimales possibles, la « châtelaine » aimerait aussi que ce lieu atypique, site d’accueil de la vie artistique et culturelle de l’Yonne, se pérennise après elle. Une sorte de transmission testimoniale, en quelque sorte…

 

CRAVANT : C’est elle qui le dit, non sans un certain humour caustique, « pour ma fin de vie, je désire transmettre le Donjon de Cravant à des personnes passionnées de patrimoine et de vie culturelle ». Un clin d’œil que l’ancienne styliste fait à son grand âge, 87 ans, qu’on ne lui donne pas au vu de sa présence d’esprit et de son dynamisme !

Pourtant, ce n’est pas d’hier que Colette BECHET tente tant bien que mal de céder cette construction peu ordinaire qui s’érige vers le ciel dans le paysage de la localité située entre Vermenton et Auxerre.

Après moult tentatives de vente, dont la totalité se sont avérées jusqu’alors infructueuses, la propriétaire de la rustique bâtisse a vu avec grand intérêt la démarche entreprise par la collectivité locale et son représentant, le maire Alain LOURY, intéressé par le site.

 

 

« C’est une excellente nouvelle, se confie-t-elle entre deux allers retours entre Dole, où elle séjourne généralement l’hiver, et l’Yonne, le maire a porté grande attention à cet édifice chargé d’histoire, un écrin de belles pierres classé monument historique… ».

Un projet d’achat devant être présenté lors de la prochaine séance du conseil municipal le 03 mars.

Solennelle, Colette BECHET, en fervente supportrice des arts et de la culture, lance aujourd’hui un appel aux passionnés d’architecture d’art et d’histoire de la région. Les invitant à contacter le maire de la commune afin de le soutenir dans ce projet de future acquisition. Pour que cet endroit magique lui survive. Un Donjon édifié il y a neuf cents ans, digne d’être préservé et visité par une jeunesse avide de curiosité.

Thierry BRET

 


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« Chers amis de France Inter, et allez..., ce matin encore ce 20 février 2022, c'est le tour d’une députée LREM qui parle de son expérience de jeune parlementaire. Quelle « audace », cette interview d'une jeune députée LREM ! Bien entendu, j’aurais pu en rester là, être en colère ou pas, et ne rien vous dire... parce que certains d'entre vous (pas tous j’espère) allez prendre la remarque d’un quidam quelconque (comme moi qui signe ce papier) en vous disant : encore un criticailleur de journalistes, un criticailleur des rues et/ou des ronds-points (pour rester poli). 

 

BILLET : Que se passe-t-il... à/sur France Inter ?  Pourquoi si peu d'indépendance ? Où est le pluralisme qui respecte les auditeurs ?  Elle est où l'égalité du temps de parole en ce temps d’élection ?

Cousues de fil blanc, ces interviews, sur un ton feutré, comme celle de ce matin, 20 février 2022 : elles sont insupportables ! D’autant qu’elles n’apportent rien de rien, sinon de faire un peu de pub (copinage peut-être ?) à une avocate qui va retrouver (peut-être) la vie civile et son cabinet d’avocate, si j’ai bien entendu car, avec mon amie-amour,  je buvais mon café tout en regardant le ciel nuageux.

Les bras ne m'en tombent pas (cette expression est redevenue trop à la mode), bien au contraire, mes bras montent au ciel et je me dis en écoutant cette interview si pauvre, si petite !

Ô mon dieu, qu’est devenu France Inter ?

Encore un journaliste (en l’occurrence une) qui ne respecte pas ce si beau métier.  À « l'Huma », journal d’opinion, on peut comprendre qu'on privilégie des interviews de communistes mais sur France Inter ? Radio de tous (?) les Français, qu’ils soient noirs, blancs, jaunes, rouges...de toutes confessions...

 

Des médias qui n’ont pas les mains libres et sont inféodés aux politiques…

 

Bref, vous ne devez pas sortir souvent des studios et vos masques vous couvrent les oreilles, semble-t-il, sinon vous entendriez bon nombre d’auditeurs qui s’indignent de ces grosses ficelles et de ce genre d'interviews...

Bref, vous avez beau dire et répéter, presque chaque matin, « France Inter est la radio la plus écoutée de France », beaucoup d’auditeurs ne sont pas dupes et moins polis que moi.

Chers amis de France Inter, ce n'est pas une colère, c’est un constat !

Et loin de moi de critiquer tous les journalistes (de France Inter ou d’ailleurs...) mais vous devriez vous battre pour plus de pluralisme car même si vous vous en défendez, vous n’êtes pas libres et certains ne sont que les porte-paroles de l’AFP (ou d’agences équivalentes) et trop souvent les porte-paroles de LREM et du chef de l’Élysée. 

Ai-je eu raison de passer du temps pour vous dire cela ?

Malheureusement, je sais que comme vous le faites lors des émissions de 8h20 où vous claironnez « appelez-nous » même deux minutes avant l’interview alors que depuis 30 à 40 minutes, les auditeurs retenus pour l’antenne ont été choisis et que vous n’en passerez qu’un ou deux après avoir dit et répété aussi «ce matin il y a de très nombreux appels, appelez-nous vite, joignez le standard au 01 45 24 70 00 ». Là aussi la ficelle est grosse !

Par souci de non anonymat, je signe de mon nom Gérard Gaillard, auditeur régulier de France Inter.

 

Gérard GAILLARD

 


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Il fait beau en ce mardi de février. Un vol de grues passe au loin dans le ciel bleuté. Bien qu'elles ne disposent pas encore d'Internet, on peut penser que leur retour annonce la fin de la froidure hivernale, qui hélas n'a pas vraiment eu lieu d'ailleurs. Bientôt midi, et l'assurance en poussant la porte d'une des meilleures tables icaunaises, de se régaler une fois de plus. Bienvenue au Rive Gauche à Joigny…

 

JOIGNY : C'est feu  Michel LORAIN (trois étoiles au Michelin en 1986), surnommé le chef bâtisseur par ses équipes  qui contribua à la construction de ce bel établissement, voici une trentaine d'années. Sa dynamique fille, Catherine, en fut longtemps à la tête, la laissant désormais peu à peu, à un véritable binôme de professionnels : Anne-Claire JOUBERT, côté salle, et son mari, Jérôme en cuisine.

La salle est confortable. Quant à la terrasse surplombant la rivière, elle semble cligner de son œil taquin, en  nous susurrant « à bientôt » ! Edwige est la souriante maître d'hôtel de la maison. 

Cette ancienne élève du lycée des métiers Vauban à 'Auxerre arriva gamine ici, et sut y gravir les échelons à la force du poignet. En 2020, sous la férule de chef « Jéjé », elle contribua largement à cette belle seconde place, lors de l'exigeant  concours national de la meilleure brigade de France, après avoir durant les entraînements découpé moult poulardes de Bresse.

A peine le temps de le commander au menu, qu'un impeccable « américano » surgit avec d'onctueuses gougères. Durant ce laps de temps, arrive un quatuor de copines souriantes. Pauline y est la reine du déjeuner, fêtée dignement, en trinquant avec un « coteau du Layon ». L'aînée de la tablée ouvre alors son enveloppe de feuille de paie : « quoi 168 heures alors que j'en ai fait 170… se plaint-elle, rapidement consolée par une rasade de vin moelleux !

Pendant ce temps, Edwige et sa mini-équipe installent les nouveaux arrivants. Tiens, un trio de mise en bouche atterrit sur cette table bien dressée !  Le chef aime les poissons bleus (maquereau ou sardine en saison), il y en a ! Un mot sur l'excellent pain fourni par la boulangerie locale « La Gerbe d'or ». C'est quand même autre chose que l'industriel  « coup de pâte » auquel trop de tables ont  désormais hélas succombé.

 

 

Le délice des sauces qui accompagnent les produits de la mer…

 

L'entrée est aussi fine que délicate : marinade de Saint-Jacques et céleri boule, avec une rémoulade de radis d'hiver et de baies roses (clin d'œil au soleil des tropiques !). Une belle alliance avec le bourgogne blanc générique de la côte de Beaune, choisi par notre maître d'hôtel.

Trois amies arrivent ensuite à la table voisine. Elles sont pressées, très pressées évidemment. Voyons ! Lorsque l'on est quelqu'un d'important : c'est ainsi ! A la commande, elles déconstruisent tous les plats, avec force rasade de ce soda made in USA que je ne citerai point ! L'une d'entre elles est en arrêt maladie, mais a plutôt bon appétit. Comme le disait feue ma grand-mère : « l'appétit,  c'est la santé ! ». Alors…

Demeurant dans l'océan, par table jovinienne interposée, c'est au tour d'un délicieux ragoût d'encornets et de crevettes grises, sauce chablis de s'attabler ! Un plat qui a de la mâche, mention spéciale pour la sauce, aussi onctueuse que goûteuse. On le sait, mais passé antan par de belles tables étoilées (« Le Père Bise » à Talloires, « Stéphane DERBORD » à Dijon...), le chef Jérôme JOUBERT est un véritable saucier, pour le plus grand plaisir de la clientèle. 

 

 

Un établissement « délaissé » par le Michelin : une hérésie !

 

Le plat suivant est un peu un historique de la jeune maison. Pas pour l'entrecôte-échalotes, impeccablement saignante, mais pour son accompagnement que l'on doit à Chris, l'un des fidèles seconds de cuisine. Il s'agit d'un aligot filant, spécialité du jeune papa.

Que les puristes aveyronnais me pardonnent : certes  sans tomme  fraîche de Laguiole. Ce jour-là, ce véritable délice fut servi au comté. Parfois Chris le prépare au soumaintrain, voir en annexe la recette de ce fils de restaurateurs bordelais !

Le dessert est l'œuvre de Céline, la chef pâtissière : un tiramisu bourguignon dans lequel l'acidité du cassis vient se confronter à la douceur sucrée du biscuit. C'est bon le cassis ! Et pas uniquement en kir ! Pour Noël, je fus très agréablement surpris par la bûche marron-cassis de la pâtisserie QUIRIE, sise à Malay-le-Grand.

Toutes les tablées de copines sont parties. A mon tour d'en faire de même, après un bon déjeuner, gentiment servi ! Et je l'écris à nouveau : « Le Rive Gauche » est une table injustement délaissée par le guide Michelin, qui l'a depuis 2021, supprimée honteusement de sa sélection. D’ailleurs, on aimerait mieux en comprendre les objectifs actuels,  entre les cités de D1 (Lyon, Courchevel, Cannes...) et l'immense restant du territoire de France !

 

 


En savoir plus :

 

Les + : table confortable et de qualité. Chambres à l'unisson et au goût du jour.
Les - : jadis, au « Rive Gauche », les tables  étaient nappées. C'était joli. Oui mais ça, c'était avant ! Comme nombre d'autres établissements, ce bon restaurant a désormais succombé au moderniste set de table. Ben, tant que l'on ne nous impose pas la serviette en papier, assortie de couverts en plastoc, dignes d'un plateau éco de compagnies aériennes !

Premier menu à 29 euros avec un verre de vin et café.

La recette de l’aligot au soumaintrain

Pour quatre personnes :

1kg de pommes de terre à chair ferme

300 g de soumaintrain au lait cru

500 g d’emmental râpé de bonne qualité

Beurre et crème fraîche

Faire cuire les pommes de terre à l’eau salée, les égoutter puis les écraser en purée et en y ajoutant crème et beurre,

Tailler le soumaintrain en très fines lamelles, puis à feu doux l’ajouter à la purée avec l’emmental râpé en mélangeant avec une spatule en bois.

Mélanger la masse jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse qui se détache des parois de la cocotte en faisant des fils.

 

 

Contact :

Le Rive Gauche

Hôtel/restaurant

Chemin du Port au bois

89300 JOIGNY

Tel : 03.86.91.46.66.

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. www.hotel-le-rive-gauche.fr

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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« KITSUNE ». Etymologiquement, ce mot tout droit emprunté du vocabulaire nippon signifie le renard. Toutefois, en approfondissant quelque peu la recherche autour de ce terme venu de l’archipel du Soleil Levant, on découvre un autre sens, propre au folklore local. Il définit un personnage polymorphe, un étrange animal qui se meut sous la forme d’un esprit surnaturel. Un être fantomatique dont est friand la littérature japonaise. Que met en lumière la plasticienne Ursula KRAFT.

 

AUXERRE : Sans doute, apportera-t-elle plus amples explicatifs à la réalisation de son travail ? Ce sera en tout cas l’un des objectifs de cette singulière rencontre avec l’artiste d’origine allemande, Ursula KRAFT, native de Stuttgart qui a élu domicile depuis 2019 en Bourgogne après un très long séjour à Paris.

Quoi de plus naturel en somme, pour clore le cycle de projections dont nous a habitué la galerie Hors Cadre que de rencontrer l’artiste trentenaire (le bel âge pour repousser les retranchements de l’imaginaire le plus loin possible) et lui poser toutes les interrogations qui vous trottent dans la tête !

C’est à cela que vous convie la toujours dynamique Nathalie AMIOT, qui pèse de toute sa créativité et de son énergie pour renouveler sans cesse les belles trouvailles devant être exposées au 49 de la rue Joubert, juste en face du théâtre auxerrois.

Ainsi, le terme de ce cycle de projections « Des Lumières dans la Nuit », jolies lucioles tourbillonnantes qui ravivèrent les cœurs emplis de tristesse de la première période de confinement – la culture était en deuil de son manque d’évènements – se fera ce samedi 12 février aux alentours de 18 heures avec la réception de la jeune créatrice d’outre-Rhin.

Forcément, elle dévoilera les arcanes de cette intrigante vidéo, projetée depuis la fin janvier sur les fenêtres de la galerie, un court-métrage onirique et troublant mettant en scène un « KITSUNE » : une femme renard venue hantée nos nuits hivernales. Un message typiquement shintoïste puisque ce personnage mythique a souvent été associé à une divinité, INARI, en qualité de messager.  

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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