Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Première immersion sur le terrain pour le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne depuis son élection. Jean-Pierre RICHARD n’avait pas eu encore l’opportunité d’étrenner son nouveau statut en croisant de visu des artisans. C’est chose faite désormais. L’intéressé s’est rendu dans la Boutique des Métiers d’Art afin d’y découvrir six exposants fraîchement installés.

 

AUXERRE : Elles se nomment Lorraine DESHAYE, Manon JARRY-SARFATI, Charlotte BLAZY, Fiona LATY, Catherine POTHERAT ou Claire GROSJEAN. Toutes proposent à la vente leurs dernières créations qu’elles soient céramistes, stylistes, créatrices de bijoux en cuir et plumes, en pierres naturelles ou décorations en papier recyclé.

Le dénominateur commun de leur présence en ce jour J de l’inauguration : défendre les couleurs de cet artisanat d’art qui mérite amplement le détour pour celles et ceux qui s’aventurent du côté de la rue Fécauderie à Auxerre.

La Boutique des Métiers d’Art fait recette en cette période de Noël, avec ces six nouvelles professionnelles qui y prennent leur quartier jusqu’au terme de ce mois de décembre.

 

 

 

Saluer un partenariat en faveur de la valorisation de l’artisanat…

 

Logique, donc, que le nouvel élu de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, y fasse plus qu’une simple visite de courtoisie aux côtés de Thierry HUMBLOT, cheville ouvrière de ce concept qui nous revient chaque année à pareille époque.

Un président, visiblement très heureux d’être là et fier de cette présentation d’autant de savoir-faire technique du plus bel aloi.

« Ma présence aux côtés des artisans d’art est une nécessité. Ces professionnels ont connu de grosses difficultés au cours de ces derniers mois. Etre en vitrine afin d’y présenter leurs collections dans cette boutique éphémère leur permet de mieux s’exposer au regard du grand public… ».

 

 

Le président de la chambre consulaire saluera au passage le partenariat mené entre son organisme, l’Agglomération de l’Auxerrois, le Conseil départemental et la Ville.

« Ce rapprochement existe plus ou moins sur cette base depuis quelques années, a ajouté Jean-Pierre RICHARD, mais, c’est vrai que là, l’accent a été mis sur le travail qualitatif produit par ces artisans d’art qui évoluent dans leur filière à la limite du cadre artistique… ».

Avant de visiter chacun des stands et échanger quelques minutes avec les professionnelles, Jean-Pierre RICHARD a insisté sur le réel plaisir qu’il éprouvait à découvrir le travail abouti de ces artisanes icaunaises.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Colette, de l'autre côté du miroir » est une pièce d'après l'œuvre de l'écrivaine, écrite par Samia BORDJI qui marque volontairement son style sur le mode de l'enquête théâtrale. Aux commandes : il y a Valentine REGNAUT, actrice. La mise en scène est signée de Sylvie POTHIER. A laquelle il faut ajouter son assistante-chorégraphe Louise GRENIER. Sublime, ce spectacle a été donné, pour sa première, au théâtre d'Auxerre. Avant une rencontre avec l'équipe artistique et le public.

 

AUXERRE : Créée en octobre 2020, lors d’une résidence au théâtre de l'Atelier Bleu à Fontaine-en-Puisaye, la pièce est une production de la Structure Compagnie. Un spectacle évoquant l'enfance rêvée à Saint-Sauveur, auprès de Sido, sa mère, et leurs relations contradictoires.

Le décor est simple. L’efficience s’apprécie autour de la scénographie, avec juste un grand castelet de métal, tour à tour maison, lit, geôle, agrès, écritoire. Valentine REGNAUT incarne seule l'univers de Colette sur le plateau. Dès lors, le spectateur plonge en immersion dans les souvenirs de l’écrivaine qui vont de l'enfance, au cœur de pures émotions, en traversant les âges, jusqu'à ce qu’elle soit chaussée d’escarpins et porte un manteau de fourrure, symbolisant la vieillesse.

Le récit, presque tramé comme un conte fantastique, éclaire une autobiographie tracée, liée, fixée, et révélée par une écriture ciselée, faite sur mesure, à haute couture et sans la moindre improvisation.

Cette œuvre théâtrale de Samia BORDJI dépeint une Colette aux différents portraits. En ce sens, Valentine REGNAUT y rayonne par son talent de comédienne, danseuse, par ses pantomimes et ses jeux de mimes. Elle offre à ce rendez-vous la quintessence du divin.

C'est par un enchantement captivant que le public de la scène studio du théâtre d'Auxerre découvre par touches et évocations littéraires, extraites du roman de «  Sido », suivi des « Vrilles de la vigne », cette galerie de personnages montrant ainsi, « de l'autre côté du miroir » l'itinéraire de cette grande femme de lettres.

 

 

Une construction scénographique qui n’a rien de fortuite…

 

Le spectateur découvre lors de cette évocation une myriade de souvenirs d'enfance, une graduation dans l'alchimie d’émotions mises en lumière dans une esthétique de clair-obscur.

Colette reste l'une des écrivaines importantes du XXème siècle, première femme nommée présidente de l'Académie Goncourt. Journaliste, danseuse de music-hall notamment dans la mythique salle de spectacle de l'Olympia de Paris, directrice d'un institut de beauté, fervente femme engagée durant la Première Guerre mondiale, toute acquise à la défense des droits de la cause féminine.

Le jeu de l'actrice se révèle dans un ballet de mouvements fluides. Tout respire ici le naturel et la grâce : la comédienne est surprenante. Elle restitue avec une jolie fraîcheur, un pan de l'œuvre de Colette.

« Colette, explique Sylvie POTHIER, est toujours attachée à quelqu'un. Elle a été peut-être été une femme libre, mais dépendante des métiers qui ont réussi à la faire vivre, à la force du temps et des époques de son parcours, de ses maris dont Willy qui l'obligeait au devoir rituel de l'écriture ».

De ce fait, l'adaptation de l'œuvre et les constructions scénographiques ne sont pas simplement fortuites. Comme le témoigne cette étoffe, bout de tissu blanc bien choisi, qui est une allégorie au cordon de la vie, qui nous lie tous quelque part.

Samia BORDJI réussit par l'excellence de son adaptation théâtrale à faire passer les spectateurs « de l'autre côté du miroir ». Sans narcissisme, aucun mais au final avec beaucoup d’émotion…

 

Merouan MOKADDEM

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Compagnie ETINCELLE interprétera la pièce de Jean-Baptiste POQUELIN ; le temps de deux représentations programmées ce week-end dans la petite salle du théâtre champêtre de Puisaye. Marquant ainsi le terme d’une saison spéciale où le coronavirus s’est invité dans le calendrier sans qu’on l’y ait autorisé…

 

ETAIS-LA-SAUVIN : Ultime tour de piste pour les artistes et autres saltimbanques de la vie culturelle qui fréquentent toujours avec plaisir le théâtre pittoresque de La Closerie. Au terme de ces deux dernières représentations d’une saison qui fut une fois encore perturbée par la présence persistance du coronavirus, Andrée et Gérard-André, hôtes de ces lieux au charme si bucolique, abaisseront le rideau. Tirant un trait définitif sur l’édition 2021 de ce festival des arts vivants !

Comme bouquet final, le couple propose une version moderniste de l’une des œuvres du prolifique Jean-Baptiste POQUELIN, alias MOLIERE ! Quatre siècles après la naissance de l’auteur, la pièce est toujours aussi plaisante à voir et à écouter.

C’est la Compagnie ETINCELLE qui sera sur scène dans une variante originale de cette introspection sur la vanité humaine. Si le texte est respecté à la virgule près, les comédiens se laissent bercer par la mise en scène de Caroline RAINETTE, comédienne et scénariste qui en a assuré l’adaptation. Le résultat est surprenant. Plutôt réussi selon les critiques…

En savoir plus :

Représentation le samedi 18 décembre à 20 heures et le dimanche 19 décembre à 15h30.

Participation Aux Frais: 15 € ou 11 € si adhérent de La Closerie ou du Théâtre d’Auxerre. Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   ou sur le site http://www.lacloserie-spectacles.fr/ ou par téléphone 03 86 47 28 16 NOUVEAU !  2 places PAF réservées = une place gratuite à offrir vous-mêmes aux ami e s (dans la mesure des places). 

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ce regard, évocateur et si émouvant, est immortalisé sur la toile. Celui d’un jeune gorille, surpris dans son élément naturel qui fixe avec tendresse l’objectif du photographe. Ce dernier a des étoiles plein les yeux. Normal ! Quand on en est une soi-même sur un tout autre registre qui se nomme la gastronomie ! On connaissait le talent de l’une des grandes toques de la cuisine française derrière les fourneaux. Le voici qui exulte, visuels à l’appui, à travers sa passion de toujours : la photographie…

 

JOIGNY : Loin de l’univers épicurien fleurant bon les senteurs subtiles de recettes mitonnées aux petits oignons pour délecter les palais des plus fins gourmets de tout horizon, Jean-Michel LORAIN possède lui aussi son violon d’Ingres.

Son inévitable bouffée d’oxygène salvatrice qui lui permet de temps à autre mais avec une régularité constante de se ressourcer. Distillant le bien autour de lui, car il a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la vie animale et la préservation des espèces les plus menacées. 

Une voie humaniste et écologiste que le chef étoilé aurait pu vivre sous le boisseau. Dans le secret absolu et en la limitant à son seul cercle familial ou privé. Mais, sa volonté de bien faire pour autrui en protégeant la biodiversité de notre planète en danger s’est révélée la plus forte.

C’est sûr : cette première exposition photographique en appelle déjà d’autres. Sélectionnant la quintessence de l’approche photographique parmi des milliers de visuels qui ont été savamment exécutés, à force d’abnégation, de pugnacité et de patience, le reporter gastronome nous propose un condensé de prises de vue du plus bel aloi.

 

 

La beauté troublante de visuels qui immortalisent les sujets…

 

A leur contemplation, on se surprend déjà à rêver. A parcourir des kilomètres à pied ou en 4X4 à travers la savane africaine pour débusquer un félin se reposant au beau des milieux des herbages. A approcher au plus près ces grands mammifères plutôt dociles que sont les gorilles, nos lointains cousins germains.

Intitulé « Regard Animal », ce rendez-vous artistique est finement ciselé. Dans une mise en scène parfaitement étudiée par l’auteur de ces photographies qui bascule de facto dans l’approche réussie de l’art animalier.

Quarante-deux visuels sont ainsi dévoilés à l’appréciation du public qui peut en admirer le rendu jusqu’au terme de ce mois de décembre. Une invitation au voyage dans les paysages de l’Afrique et de sa contingence animale. Un émerveillement inestimable pour le regard car la beauté des sujets est troublante.

Que dire de cette maman girafe et de son girafeau qui se promènent nonchalamment dans la savane ! De ce couple de singes, la mère et son petit, inscrit pour l’éternité dans ce travail esthétique qui se passe de mots pour le commenter ! De ces oiseaux couchés dans la brillance de ce cadre suspendu à sa cimaise !

L’Afrique est à portée de main. Dans la salle de cette galerie d’art de Joigny (L’app’ART) qui offre une excellente vision à l’ensemble. On ferme les paupières et on laisse courir son imaginaire. Prêt à entendre le feulement d’un guépard qui croise dans les parages !

 

 

La vente de visuels au profit de « Dessine-nous un avenir »…

    

Cerise sur le gâteau : on peut aussi acquérir les œuvres de Jean-Michel LORAIN afin de les mettre en lumière au beau milieu de son environnement personnel ou professionnel. Un achat synonyme d’altruisme puisqu’une partie des recettes obtenues est destinée à alimenter les fonds de l’association que le propriétaire de « La Côte Saint-Jacques » porte depuis plusieurs années avec la complicité bienveillante de son épouse, Karine.    

« Dessine-nous un avenir » n’a d’autres objectifs que de sensibiliser les plus jeunes de ces générations à l’urgence de protéger la planète et sa biodiversité. En aidant en parallèle les structures associatives ou ONG qui luttent au quotidien dans l’accomplissement de ces lourdes tâches. Le combat de Jean-Michel LORAIN et de son épouse qu’ils souhaitent partager vers le plus grand nombre…

 

 

En savoir plus :

 

Exposition « Regard Animal » de Jean-Michel LORAIN

Galerie L’app’ART

Jusqu’au 31 décembre 2021

31 rue Cortel - Joigny

Mercredi à vendredi 14h-19h /

Samedi 10h-19h et dimanche 10h-18h

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Plus une minute à perdre pour assurer la conservation de l’emblématique édifice architectural, richesse du patrimoine culturel de la capitale de l’Yonne ! L’état de déliquescence avancée s’observe de part et d’autre du bâtiment séculaire rongé par l’humidité et le gel. Quant au toit du cloître, il est en piteux état avec ses bâches plastifiées qui cachent la misère : d’énormes trous où ruisselle en abondance la pluie. Un crève-cœur pour le maire-président Crescent MARAULT qui a intégré la réfection du site dans le cadre de son Projet de Territoire à dix ans. Chantier de réhabilitation à l’appui…

 

AUXERRE : Les choses sont claires comme cette eau de pluie qui détruit sournoisement les pierres de l’édifice depuis des lustres. Avant de parler de restauration de l’endroit, voire de son aménagement spécifique pour y optimiser le tourisme d’affaires et l’afflux massif de visiteurs à l’horizon 2027, l’essentiel parmi les priorités de ces travaux qui devraient débuter au cours du premier trimestre de l’année prochaine se situent bien ailleurs : c’est-à-dire la conservation de l’Abbaye Saint-Germain !

Il y aurait presque péril en la demeure à en écouter en filigrane les exégètes de l’édifice médiéval qui ont accompagné de leurs commentaires techniques, avisés et précis la visite du préfet de Région Fabien SUDRY, lundi en fin de matinée.

Un déplacement capital pour bien considérer l’ampleur des futurs travaux (surtout financiers !) auquel s’associaient le préfet de l’Yonne, Henri PREVOST (en visite la semaine dernière à Sens à la cathédrale elle-même en rénovation) et Crescent MARAULT, maire-président de l’Auxerrois.

 

 

Une Cité des arts et de la parole qui pourrait rester muette en cas d’absence de travaux…

 

Il est vrai que la nouvelle « Cité des Arts et de la Parole », au-delà de sa façade culturelle newlook qu’apprécie bon nombre d’Auxerroises et d’Auxerrois, a grand besoin d’un sérieux lifting pour retrouver enfin de sa superbe !

Une petite visite effectuée en catimini sous les toits du bâtiment principal laisse rêveur, dans la version cauchemardesque. Etat de délabrement garanti, revêtements au sol déplorable et une hasardeuse implantation d’une chaudière de plusieurs tonnes en hauteur qui laissent très perplexe !

Que dire de ces tôles et bâches en plastique qui enlaidissent les toits de ce majestueux édifice, chargé d’histoire et recelant des trésors uniques en France, posées çà et là au fil des ans pour tenter de résoudre la problématique principale, à savoir l’infiltration de l’eau !

 

 

Un projet global évalué à environ 35 millions d’euros…

 

Des rustines appliquées sur une jambe de bois qui font qu’à l’heure actuelle l’abbaye à défaut d’être la cité de la parole telle qu’elle devrait être dans sa flamboyance pourrait rester muette pour l’éternité à terme si l’on n’y remédie pas !

Crescent MARAULT, pour sa part, a décidé de relever le défi de ce chantier à la dimension pharaonique, au vu de l’importance des travaux. Il se dit affligé devant la dégradation du site. Et encore, il n’a peut-être pas tout vu !

Inscrivant ce projet de réhabilitation d’envergure (le chantier devrait courir sur cinq ans avec une demi-douzaine de tranches selon une enveloppe globale d’environ 35 millions d’euros), il a fait appel à la préfecture de Région et à son représentant, Fabien SUDRY, dans la perspective d’obtenir de louables subventions même si la Ville en mettra de sa poche, évidemment.

Les enveloppes européennes seront les bienvenues aussi pour mettre du beurre dans les épinards de ce très coûteux projet.

Rien que la réfection du cloître devrait générer le besoin d’un million d’euros. Douze millions seraient nécessaires à la phase de réhabilitation à proprement parlé. Un budget de 22 millions serait assuré pour les différentes phases d’aménagement du site.

« L’idéal, confie le maire d’Auxerre en contemplant le désastre imputable aux effets de l’érosion et de la pluie qui s’affichent sur les murs humides de l’église de l’abbaye, il nous faudrait obtenir 40 % de subventions des autres partenaires… ».

A terme, précisera-t-il en substance, l’abbaye Saint-Germain rénovée pourrait accueillir de 50 000 à 150 000 visiteurs d’ici une dizaine d’année, recevoir des séminaires et des colloques, devenir une place forte artistique et culturelle, s’ouvrir vers les quais de l’Yonne, être dotée d’un restaurant et de jardins.

Devenant ainsi le phare de l’attractivité touristique que la ville recherche tant pour attirer et capter l’intérêt des visiteurs venant de plus en plus loin…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil