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Troisième site touristique de l’Yonne en termes de fréquentation après ceux de Vézelay et le château de GUEDELON, l’espace horticole et végétal de Sens innove en commercialisant sa production de miels. Le partenariat avec le Syndicat d’apiculture du département officialisé en 2011 se concrétise dorénavant par la vente de produits issus de plusieurs ruches implantées sur le site, devenu le véritable poumon vert de la capitale du nord de l’Yonne…

SENS : Désormais, il est possible de consommer le miel produit par les colonies d’abeilles qui se sont installées dans les quatre ruches que possèdent le Moulin à Tan.

Chantre de la préservation de la biodiversité au cœur de l’agglomération sénonaise, le site s’est rapproché du Syndicat départemental apicole de l’Yonne pour tenter une expérience novatrice qui devient donc payante aujourd’hui. Même si l’objectif initial n’était pas de vendre le nectar qui émane des abeilles.

Un apiculteur de Rosoy, M. SUEZ, prend soin des ruches, disposant ainsi des produits, du matériel et de l’alimentation fournis par le parc pour traiter et élever les insectes.

Si l’objet primordial de cette démarche se justifie à des fins pédagogiques, à destination des plus jeunes et de leurs parents notamment, la direction des espaces verts Ville et Agglomération, incarnée par Aurélien LOIZEAU, a décidé de proposer à la vente les miels issus de ces colonies. Partant du postulat de pouvoir le faire si la récolte le permettait, évidemment.

Ce qui semblerait être le cas depuis 2019. Quarante kilos de miel ont ainsi été récoltés dans les ruches locales cette saison. Suffisant pour se lancer dans cette aventure de la vente, forte en symbole.

L’année précédente, la récolte de ce miel toutes fleurs, à base d’acacia, de colza, de châtaignier, avait permis de récolter une centaine de kilos. Mais, la production d’alors n’était pas destinée à la vente directe.

 

Le besoin de communiquer autour de la préservation des abeilles…

 

Conditionné dans des pots de formats différents (125 gr et 250 gr), le miel du Moulin à Tan a été vendu cet été auprès des services de l’Office du tourisme et au musée de Sens.

Les amateurs de ce produit naturel y ont trouvé leur compte. Grâce à des articles à la qualité gustative exceptionnelle qui se négocient à plus de deux euros pour les petits pots de 125 grammes et à 4 euros le contenant de 250 grammes.

Ici, naturellement, il n’est pas question de se faire de l’argent. La vente de ces miels sert uniquement à payer l’entretien, les soins et l’alimentation des abeilles présentes dans le périmètre.

 

 

On estime à 60 000 individus le nombre d’abeilles vivant dans une colonie qui est établie par ruche. Or, nous l’avons dit, le Moulin à Tan en possède quatre à l’heure actuelle dans l’un des endroits préservés du parc.

Depuis deux ans, cinq autres ruches ont également été implantées sur un autre site faisant office de conservatoire de pommes de Bourgogne à Saint-Savinien. Le filon offert par ce miel onctueux et aux saveurs délicates ne devrait donc pas se tarir de sitôt…Le Moulin à Tan veille aussi à la prolifération des frelons asiatiques qui s'attaquent aux colonies...

 

Un article réalisé avec le partenariat de la Communauté d’agglomération du Sénonais et de la Ville de Sens.

 

 

 


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Constituée en avril 2019, la SARL au capital de 10 000 euros se positionne sur le marché de la mécanique. Avec une spécificité toute particulière qui permet à son dirigeant de se distinguer sur son créneau de prédilection : la réparation d’engins agricoles et viticoles. De la pure logique, en vérité, quand on sait que Jean-Philippe GARDET exerce sur ce secteur d’activité depuis plus de vingt ans…

TONNERRE : Après le stage obligatoire assuré par les services de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat lui permettant d’acquérir les bases essentielles de l’entrepreneuriat, le quadragénaire à la tête de JP FLEX MECA s’est très vite fait remarquer de l’association INITIACTIVE 89.

La structure accompagnatrice des porteurs de projets à la création/reprise d’entreprise a eu vent de son projet : la constitution d’une nouvelle société. Une fois la rupture consommée avec son ancien employeur, un distributeur international du matériel agricole/viticole survenue en 2018, Jean-Philippe GARDET n’a eu de cesse de peaufiner son projet afin de le porter sur les fonts baptismaux de la création, en y injectant un maximum d’atouts.

L’un des conseillers techniques de la structure, Julien LACOMBE, prend alors connaissance de la composante du dossier et de son intérêt. Les potentialités sont bien réelles. Surtout que le néo-entrepreneur pourrait intervenir sur une zone de chalandise aux possibilités évidentes, située entre Tonnerrois et Chablisien.

 

 

 

Un prévisionnel déjà largement dépassé, de bon augure pour la suite…

 

 

Le feeling passe avec fluidité entre les deux hommes. Et ce dès le premier rendez-vous. Instruites rapidement, les choses vont s’enclencher avec certitude et efficience. Pour aboutir à la dotation d’un prêt d’honneur à l’enveloppe prometteuse de 15 000 euros. Une somme qui sera affectée ensuite à l’achat du matériel nécessaire et d’un utilitaire, servant à l’exploitation de la nouvelle entité professionnelle.

A 47 ans, le dirigeant Tonnerrois renaît de ses cendres. Locataire de ses bureaux administratifs et de son  atelier, il multiplie les missions auprès de cibles bien précises : les agriculteurs, les viticulteurs et même le milieu des travaux publics. La demande est telle que l’embauche d’un collaborateur au profil de polyvalent de la mécanique est envisageable. Sans doute au cours de l’exercice 2020.

A l’origine du projet, Jean-Philippe GARDET a investi une enveloppe budgétaire de cent mille euros. Un pactole obtenu avec le soutien de sa banque, le Crédit Mutuel. Aujourd’hui, les prévisions sont orientées vers le beau fixe après quelques mois de mise en pratique. Le chiffre d’affaires prévisionnel est déjà largement dépassé. De quoi augurer de belles perspectives de développement malgré une concurrence âpre sur cette niche de la réparation de matériels agri/viticoles.

 

 

Le chef d’entreprise a su aussi déjouer les chausse-trappes habituelles en faisant montre d’inventivité. Outre les activités du milieu agricole, JP FLEX MECA répare aussi le matériel de levage et de manutention. Une corde supplémentaire à son arc qu’il doit de son expérience de perfectionniste au contact des acteurs des travaux publics.   

Il peut même s’enorgueillir d’avoir ajouté une spécificité à sa démarche professionnelle. Celle-ci prend la forme de prestations de dépannage visant à améliorer les systèmes de climatisation des engins.

Aux côtés de son épouse, Anne-Lise, actionnaire au capital de la SARL, Jean-Philippe GARDET justifie sa réussite par le biais d’une politique tarifaire élaborée en phase avec la réalité du marché.

Ses qualités, il les définie ainsi : la réactivité, la disponibilité et la somme de conseils qu’il est à même de pouvoir prodiguer dans un domaine technique qu’il pratique avec bonheur depuis maintenant plus de deux décennies.

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


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L’évènement se déroulera le 06 février en fin d’après-midi à la Maison de l’Entreprise à Auxerre. Une centaine de représentants de l’univers entrepreneurial et institutionnel y sont attendus. Leur présence servira de prétexte à la découverte d’une filière économique en expansion. Porté par la structure associative, « défiSON », ce rendez-vous se déclinera sous la forme d’un plateau conférence, assorti de multiples ateliers démonstratifs…

AUXERRE : Qualifiée de rencontre primordiale afin de mieux se familiariser avec les diverses composantes technologiques et industrielles proposées par la filière sonore, l’animation jouera à la fois la carte de la convivialité, de la surprise et de la pédagogie.

Un cocktail insolite qui fera de ce rendez-vous officiel, le premier de l’année 2020 pour ses instigateurs : les membres du réseau associatif « défiSON ». Il pourrait faire converger dans l’une des salles de réunion de la Maison de l’Entreprise, prévue à cet effet, une centaine de participants.

Qu’il s’agisse de prime abord d’adhérents de la structure mais aussi d’invités issus du sérail économique régional, cible idoine pour accueillir ces informations.

L’objectif de cette rencontre où se mêleront échanges, transmission de savoir et tests grandeur nature, sera de promouvoir les opportunités offertes par la filière sonore applicable à notre environnement. En priorité, celui de la sphère professionnelle via ses innombrables déclinaisons.

Pour l’heure, les moindres détails du programme définitif de cette soirée s’esquissent avec le charismatique porte-étendard de « défiSON », Serge GARCIA, à la baguette de chef d’orchestre.   

Ce dernier procèdera à un bilan d’étape sur l’évolution du concept et de ses projets au terme de l’exercice 2019. Un point d’actualité qui s’avère nécessaire pour mieux appréhender le devenir du collectif via, notamment, la constitution d’un pôle de référence, outil indispensable à l’essor de l’entité d’envergure hexagonale.

 

 

 

Présence de start-ups aux ambitieuses perspectives…

 

Plusieurs focus complèteront le tableau. Avec en guise de dénominateur commun : l’attractivité économique pouvant s’exercer sur un territoire. Ainsi, les organisateurs ont décidé d’étayer ce vaste panorama didactique autour de la filière sonore en conviant ce jour-là quelques belles pépites, devenues des références en la matière.

Ce devrait être le cas, en principe puisque les tractations sur sa présence sont toujours d’actualité à l’heure où se rédigent ses lignes, de la venue de Jean-François BAU, ingénieur du son et conférencier.

Spécialiste de l’écoute spatialisée, cet ingénieux créatif pourrait expliquer les dessous de l’une de ses géniales inventions favorisant une écoute auditive à 360 ° à l’aide d’un appareillage acoustique approprié. Proprement bluffant pour celles et ceux qui l’ont déjà testé !

Autre présence à ne point négliger : celle de William DULOT, jeune ingénieur de 23 ans qui exerce ses compétences à la Cité Nicéphore Niepce à Chalon-sur-Saône et qui défend un ambitieux programme (THEREMIX) véhiculé par une start-up déjà présente lors de l’opération « Sens Numérique » concoctée à l’automne 2019 avec le concours de l’Agglomération du Grand-Sénonais et de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Le garçon développe une application de réalité virtuelle destinée à la création et la performance musicale.

 

 

Quant à l’autre start-up régionale à suivre de près lors de ce futur rendez-vous, la bisontine « METABSORBER », elle serait aussi de la partie.

Ses deux concepteurs, ingénieurs en mécanique, Aliyasin EL AYOUCH et Youssef TEJDA, créent du mobilier acoustique, à partir de composantes diverses comme le bois, le métal ou les polymères, qui absorbe les  sons.

Aujourd’hui accueillis par l’Institut FEMTO-ST dont les travaux sont soutenus par le CNRS, les deux entrepreneurs réalisent des solutions anti-bruit afin de les développer sur les marchés de la mobilité, du bâtiment et du mobilier.

Un vrai potentiel empli d’opportunités pour ces jeunes gens qui ont pris conscience que la pollution sonore représentait chaque année en France un coût social évalué à 57 milliards d’euros !

Précisons que la start-up a reçu également le précieux soutien de BGE au moment de sa constitution.

 

 

 


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Prétendre au label Villes et Villages Fleuris n’est pas une affaire à prendre à la légère pour les collectivités. Si son obtention traduit la volonté intrinsèque des communes lauréates à vouloir respecter l’environnement dans le souci d’améliorer la qualité de vie de leurs résidents, les retombées de la manne touristique ne sont pas négligeables. Celles et ceux qui se déplacent à travers l’Hexagone ne sont pas insensibles à ce symbole de qualité supplémentaire. Pas étonnant que 94 localités icaunaises aient eu envie de participer à ce concours cette année…

VERMENTON : Le palmarès départemental des Villes et Villages Fleuris a été dévoilé il y a déjà quelques semaines lors d’une cérémonie conviviale organisée dans l’une des salles de réception de l’Abbaye de REIGNY. Un site exceptionnel, hanté par la mémoire des moines qui y vécurent aux siècles précédents. Il a offert ce cadre idyllique et fonctionnel si appréciable au bon déroulement de ce raout populaire, toujours très suivi.

Au-delà des résultats (une liste abondante de récipiendaires qui salue l’opiniâtreté et la créativité de celles et ceux qui concourent à ce label), ce fleurissement, qu’il s’agisse de celui exercé par la collectivité ou celui des particuliers, voire des scolaires, suscite toujours autant d’enthousiasme de la part de ses fervents supporters.

Soixante ans après qu’il ait été porté sur les fonts baptismaux, ce concours élevé au rang national passionne les amoureux de la nature et de la pratique horticole. Et c’est tant mieux !

Nonobstant l’embellissement d’une localité, il y a désormais un réel attrait à concourir chaque année dans cette épreuve de savoir-faire à la pratique végétale et de bon sens afin d’y obtenir le précieux sésame.

Embellir le territoire de l’Yonne, c’est lui donner l’opportunité, au détour de l’amélioration d’un cadre de vie, d’accroître son attractivité touristique auprès des voyageurs venus en visite sur celui-ci.

 

 

Il y a 60 ans, l’Yonne ne présenta que trois dossiers !

 

Pour cette édition 2019, ce schéma tactique était nécessairement dans toutes les pensées. Quatre-vingts quatorze communes de l’Yonne avaient déposé un dossier de candidature. Elles eurent droit à la visite du jury officiel devant statuer durant la période estivale. Précisons que quatre nouvelles localités se lançaient pour la première fois dans ce challenge. En parallèle, plus de deux cents particuliers avaient également instruit des dossiers qui furent présentés aux membres du jury.

Un cru de bonne facture comme l’avait précisé la présidente de l’agence de développement touristique et relais territorial des offices du tourisme et des syndicats d’initiative, Yonne Tourisme Anne JERUSALEM. On est loin en effet du temps ancestral où notre département ne recensait la présence que de trois participants !

La vice-présidente du Conseil départemental en charge du tourisme salua l’importance de cet évènement.

« Une soirée de remise de prix est l’occasion de souligner l’implication et la mobilisation des municipalités et des Icaunais, au fil de toutes ces années, pour embellir notre territoire. Je tiens également à mettre à l’honneur les très belles réalisations des enfants et leurs professeurs, c’est-à-dire de cette douzaine d’écoles et de centres de loisirs qui ont concouru pour le prix des Jardins des écoles de l’Yonne… ».

Une distinction honorifique qui, pour la sixième année consécutive devait être décernée conjointement par l’association Romarin et l’agence de développement touristique de l’Yonne.

Un prix qui revêt de la plus grande importance pour les instigateurs de cet événement puisqu’il contribue à sensibiliser les plus jeunes à la préservation et l’amélioration de notre cadre de vie.

 

 


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Le business center de la Banque Verte continue de se remplir en Côte d’Or. Dernièrement, ce sont six entreprises supplémentaires qui ont rejoint la dizaine de structures aux secteurs d’activités et aux profils variés déjà présentes en ce lieu de la technologie et de l’innovation. Prouvant de manière inéluctable la pertinence du concept sur le territoire régional…

DIJON (Côte d’Or) : Excellente idée que ce Village by CA Champagne Bourgogne ! Depuis sa création, le concept peut s’enorgueillir d’avoir accueilli une quinzaine de start-up issues des secteurs de l’alimentation/nutrition, santé/médical, industrie, gastronomie…

Ces entités aux ambitions prometteuses figurent aux côtés de deux partenaires résidents et acteurs incontournables de la Bourgogne Franche-Comté que sont VITAGORA et la Food Tech.

Facilitateur du développement des entreprises, le Crédit agricole Champagne Bourgogne s’est fait l’écho récemment de l’agrandissement de ce site avec l’accueil de six nouvelles entreprises.

Ces nouveaux occupants sont MEREMPSA, Le GRAND VERRE, LIFE LOVING FOOD, COCOLIS, BEBE SOON et ORA VITIS.

Ces sociétés interviennent respectivement dans les domaines du recrutement dans la santé, la distribution pour rendre le vin français plus accessible aux jeunes Américains, l’utilisation de protéines végétales en guise d’alternatives aux viandes animales, la livraison de colis, l’organisation de week-ends bien-être pour futurs parents et le développement commercial des domaines viticoles.

D’autres structures devraient les rejoindre au cours de 2020…

 


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