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A l’occasion de la Journée mondiale du Cœur – ce jeudi 29 septembre -, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne se rappelle à notre bon souvenir en lançant une campagne de sensibilisation en faveur d’un diagnostic précoce de l’insuffisance cardiaque. Essoufflements, prise de poids rapide, extrême fatigue ou œdèmes constituent autant de signaux d’alerte que nul ne doit ignorer. Surtout quand on a passé le cap des soixante printemps…

 

AUXERRE: La date n’est pas nécessairement connue de tous. Le 29 septembre, une journée qui correspond à celle du cœur et à sa prévention. Largement relayée, au plan national, sur les antennes de télévision, les ondes des radios et les colonnes de la presse écrite, la campagne de sensibilisation grand public voulue par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) ne pouvait immanquablement ne pas être déployée au plus près du terrain local. Via les Caisses primaires d’Assurance Maladie.

A l’instar des autres établissements répartis aux quatre coins de l’Hexagone, la CPAM de l’Yonne s’est penchée également sur la thématique, en jouant elle aussi la carte de la visibilité et de l’information.

En appui de la campagne de sensibilisation nationale – elle a été baptisée « Insuffisance cardiaque : et si votre cœur essayait de vous dire quelque chose ? » -, la CPAM de l’Yonne s’est donc intéressée elle aussi à cette pathologie chronique lourde qui affecte chaque année 1,5 million de personnes en France, une maladie qui devrait nettement progresser de plus de 25 % tous les quatre ans !

 

 

Seuls 19 % des seniors connaissent l’un des quatre signes d’alerte…

 

Les facteurs de stress, observés dans un quotidien de plus en plus anxiogène, expliquant en partie cet état de fait. Ce qui est inquiétant alors que la qualité de vie se détériore pour le plus grand nombre de nos concitoyens à l’heure actuelle.

Pour autant, les observateurs estiment – c’est comparable au diabète – que le nombre de personnes concernées par cette pathologie est proprement sous-estimé. Les malades tardent en effet à être diagnostiqués.

Tabagisme, sédentarité, alimentation trop riche, habitudes de vie délétères constituent autant de faisceaux d’incidences possibles au niveau des cibles potentielles de patients. Des personnes âgées de plus de soixante ans, en majorité, mais pas seulement.

Une récente étude publiée par BVA, menée en juin 2022 pour l’Assurance Maladie, mettait en exergue que bon nombre de seniors en connaissaient les signes d’alerte caractéristiques, à savoir l’essoufflement inhabituel, la prise de poids rapide, les œdèmes des pieds et des chevilles, et une fatigue excessive.

Les quatre signes s’additionnant : il est vivement recommandé de consulter son médecin traitant dans les meilleurs délais.

 

 

A l’occasion de cette journée, les médecins et les personnels paramédicaux sont également renseignés par la CPAM via les canaux d’informations classiques qui leur sont réservés, notamment le site AMELI ou des newsletters.

En parallèle, l’établissement sanitaire départemental a développé avec ses partenaires un parcours de soin spécifique afin d’optimiser la prise en charge des patients touchés par cette pathologie.

Cette campagne ne sera pas la seule de la saison à voir le jour. Il est prévu une suite, dès 2023, où les bons réflexes à adopter en cas d’insuffisance cardiaque seront expliqués.

 

  

Où se situe la Bourgogne Franche-Comté du côté des chiffres ?

 

Selon les études publiées par la CNAM, près de 41 000 personnes, résidentes sur notre contrée, ont été taxées d’insuffisance cardiaque en 2020, soit 1,5 % de la population totale de la Bourgogne Franche-Comté. Sachant que la prévalence de l’insuffisance cardiaque est légèrement plus basse, soit de 1,3 %. Si cette même prévalence augmente significativement avec l’âge, elle se situe dans tous les cas (40 ans et plus, 60 ans et plus, 75 ans et plus) bien supérieure en Bourgogne Franche-Comté qu’en France, avec respectivement + 2,6 % (40 ans), 4,5 % (60 ans) et 8,8 % (75 ans). On dénombrait plus de 6 000 personnes qui, pour le seul territoire de l’Yonne, sont classifiées dans la catégorie des personnes insuffisantes cardiaques en 2020.

Autres données intéressantes : l’âge médian de la personne insuffisante cardiaque s’élève à 82 ans (il existe peu d’écart d’un département à l’autre en Bourgogne Franche-Comté) et 6,2 % résident en EHPAD sur l’ensemble du territoire régional avec une envolée à 7,5 % pour l’Yonne, département qui enregistre le taux d’occupation en EHPAD le plus élevé.

Quant aux hospitalisations de ces patients, elles concernaient près de 15 % d’entre eux au moins une fois sur les deux dernières années avec un taux de ré-hospitalisation particulièrement important dans l’Yonne où près d’un tiers des patients hospitalisés le sont pour une rechute pathologique imputable à l’insuffisance cardiaque à six mois.

Enfin, les écarts de taux de mortalité de patients insuffisants sont importants au sein de la région : il est de 44 % dans la Nièvre, de 37 % dans le Doubs et en Côte d’Or ; l’Yonne se situant dans la moyenne.

Un mot, également sur les thérapeutes. En 2022, la Bourgogne Franche-Comté accueille 211 cardiologues en exercice en tant que libéral ou salarié d’un établissement. Un peu plus de 70 % d’entre eux exercent en ville à temps plein ou à temps partiel. Quant à la densité de la profession, elle est en deçà de la densité nationale qui est de 7,6 pour 100 000 habitants pour la région et 10,9 pour la France. L’Yonne fait malheureusement partie des territoires où la densité de praticiens cardiologues est inférieure à la moyenne nationale, avec 7,4. Il serait grand temps de remédier à cela et d’inverser enfin cette tendance démographique des cardiologues qui ne nous est pas favorable…

 

Thierry BRET

 


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Son patronyme évoque la typicité caractéristique de ses Côtes d’Armor natales. Pourtant, c’est bel et bien en Bourgogne Franche-Comté que ce diplômé de l’Ecole supérieure d’administration des entreprises de Paris exercera ses nouvelles activités professionnelles en qualité de membre du Directoire de la Caisse d’Epargne en charge du Pôle Banque de détail. Un challenge de haute volée pour ce presque sexagénaire…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il aura désormais la responsabilité de mille trois cents collaborateurs. Un chiffre, certes conséquent, mais qui ne l’impressionne guère, outre mesure, foi de Breton !

A 59 ans, Yann LE GUILLOUX vient d’être nommé à une fonction éminemment stratégique au sein de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté par le Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS) de l’établissement bancaire. Une nomination équivalente à une pure formalité administrative puisque le candidat choisi était proposé par le président du Directoire Jérôme BALLET et le président du COS, Eric FOUGERE.

Depuis 2011, Yann LE GUILLOUX occupait une fonction similaire au sein du directoire de la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées. Auparavant, ce cadre bancaire avait fait ses armes en qualité de chargé de clientèle professionnelle au…Crédit Agricole des Côtes d’Armor en 1988.

Avant de connaître de nombreuses évolutions de carrière dans cette filière bancaire qu’il n’a jamais quittée. Exerçant des fonctions dans le développement commercial et au siège des Côtes d’Armor jusqu’en 2002, avant de se rendre dans le Jura et de changer ainsi de climat (!), en tant que directeur développement commercial de ce territoire parfois un peu rugueux, côté températures, de la verdoyante Franche-Comté !

 

Un homme de terrain, proche de ses collaborateurs…

 

Dirigeant les ressources humaines, Yann LE GUILLOUX sera par la suite nommé directeur du développement commercial de la région franc-comtoise en 2007. Avant de rejoindre le midi en quête de nouvelles aventures professionnelles lui permettant d’étoffer son cursus et d’un peu plus de soleil !

Se définissant comme un « homme de terrain, proche de ses équipes », Yann LE GUILLOUX qui a su placer la caisse régionale méridionale parmi les plus performantes du groupe BPCE au niveau de la dynamique commerciale, aura la responsabilité du Pôle Banque de détail à Dijon, un ensemble névralgique comprenant le réseau d’agences réparti en six groupes commerciaux, le marché des particuliers, des associations et le multi-canal, les marchés spécialisés avec les professionnels, l’agriculture-viticulture, la gestion privée et le marketing qui englobe entre autres la banque numérique et le data. Objectif prioritaire du dirigeant : servir du mieux possible les 820 000 clients de l’entreprise ! Un joli challenge pour débuter une nouvelle saison…

 

Thierry BRET

 

 


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Le faire-part de ce baptême politique a été officialisé le 17 septembre dernier. A l’issu d’un vote devant mobiliser plus de 25 000 adhérents dans l’Hexagone. Le parti présidentiel, « La République en Marche » (LREM) troque son appellation originelle au profit de « Renaissance ». Un concept où viennent se greffer deux autres formations de la majorité présidentielle, AGIR et Territoires de Progrès. Dans l’Yonne, les explicatifs de cette construction feront l’objet d’une conférence de presse, vendredi à Auxerre…

 

AUXERRE : C’est un nouveau chapitre de la vie politique nationale qui vient de s’ouvrir. De manière quasi consensuelle puisque les militants de « La République en Marche », invités à s’exprimer via un vote en interne il y a quelques jours, se sont manifestés à 83 % en faveur de la nouvelle direction, à 87 % pour les nouveaux statuts du parti et à 96 % pour le corpus des valeurs exprimées. Avec en sus, le choix d’une nouvelle appellation, « Renaissance », et la désignation d’un nouveau responsable devant animer les équipes, le secrétaire général Stéphane SEJOURNE. Une figure déjà connue dans l’échiquier politique en sa qualité de président du groupe « Renaissance » au sein du parlement européen…

Ce nouvel ensemble politique s’appuiera aussi sur la présence des partis AGIR La Droite Constructive et Territoires de Progrès, en qualité de « formations associées ». Démontrant ainsi que la volonté du chef de l’Etat n’a pas changé d’un iota depuis sa réélection au printemps entre « dépassement politique entre la droite et la gauche » afin de constituer la majorité présidentielle.

 

 

Un point presse pour expliquer les modalités d’actions de cette construction…

 

Dans l’Yonne, une conférence de presse, accueillie dans un bar de la place des Cordeliers à Auxerre ce vendredi en début de soirée, permettra de présenter les modalités d’actions à mettre en exergue par les différentes composantes de « Renaissance » pour continuer à soutenir le travail du Président de la République et son gouvernement.

Aux côtés de Patrice-José TAMPIED AZURZA, référent de « La République en Marche » dans l’Yonne, le président d’AGIR 89, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, et la cheffe de file de « Territoires de Progrès 89 », Muriel VERGES-CAULLET, donneront des éléments de réponse permettant de mieux appréhender la construction de ce projet d’un avenir commun.

En amont de ce rendez-vous avec les médias, les trois personnalités politiques du sérail échangeront également avec les militants de chaque formation.

 

Thierry BRET

 

 


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Obligatoire, la pause « sanitaire » aura duré in fine beaucoup plus longtemps que prévue. Longue de deux années. Avec la mise au placard (certes, temporaire) de l’un des évènements les plus suivis d’ordinaire par les représentants des collectivités locales. L’une des raisons d’être du SDEY, à savoir les « Assises de l’Energie ». Il aura fallu s’armer de patience pour renouer avec ce fil d’Ariane de l’information technologique, concocté par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne. La prochaine échéance est pour bientôt : le 13 octobre à Monéteau…

 

AUXERRE : C’est presque un « ouf » de soulagement. L’un de ceux que l’on exprime avec bon cœur quand on veut faire table rase sur une série de contraintes qui aura perturbé durablement un calendrier. Deux ans sans pouvoir réunir les élus des collectivités locales de l’Yonne. Un comble ! Surtout lorsque les affres de la crise des énergies se sont montrées particulièrement virulentes autour de nous et ont totalement brassé les cartes de leur consommation !

C’est que depuis le dernier exercice, organisé au même endroit mais au printemps 2019, il s’en est tellement passé des choses ! Entre les multiples effets à rebondissement de la crise sanitaire qui n’en finissait pas et l’éclatement d’une guerre d’une rare intensité sur le sol européen, devant impacté le volet énergétique de la planète, il n’y a en fait que l’embarras du choix.

Alors, que ces retrouvailles proposées par le SDEY le jeudi 13 octobre prochain s’interrogent aux « solutions à adopter par les communes pour faire face à la crise des énergies », cela semble dans la logique parfaite des choses. Plus que jamais, l’heure est à la sobriété énergétique ! Et dans ce domaine, côté préconisations et idées, le SDEY possède des atouts, déjà éprouvés, dans sa besace, en ne restant pas les deux pieds dans le même sabot.

 

Un bel outil pour épauler les collectivités dans leur mue énergétique…

 

Ces « Assises de l’Energie », nouvelle mouture, vont donc nous le rappeler à bien des égards : le territoire de l’Yonne dispose avec cet organisme institutionnel d’un bien bel outil pour épauler les collectivités dans leur quête de réductions drastiques de leurs économies d’énergies. Et après ces deux saisons de pause, les élus auront tôt faire de reprendre leurs automatismes pour mieux réfléchir à la question.

Il incombera à Jean-Noël LOURY, vice-président national de la FNCCR (Fédération nationale des Collectivités Concédantes et Régies) d’ouvrir les travaux. D’une part, en sa qualité de référent à l’innovation. D’autre part, comme président de la commission des « smarts grids », c’est-à-dire les réseaux électriques intelligents qui favorisent la circulation d’informations entre les fournisseurs et les consommateurs. Une intervention d’une quinzaine de minutes qui lui permettra de brosser le panorama exhaustif de cette actualité que l’on imagine fort riche sur le sujet.

Puis, selon le protocole organisationnel habituel se succèderont différentes tables rondes sur l’estrade du SKENET’EAU. Avec son lot de spécialistes et experts ! On y évoquera la crise énergétique. On y abordera les solutions existantes pour les collectivités, via les énergies renouvelables. Avec, pour les collectivités qui ne peuvent obtenir des tarifs réglementés de vente, une des préconisations dans l’air du temps : le groupement d’achat.

 

 

  

Un panorama éclectique de solutions pour l’avenir…  

 

On y discutera de rénovation des bâtiments communaux. Précisément, sur ce volet, il faut savoir que le service conseil en énergie partagé du SDEY accompagne les élus pour y voir plus clair dans les choix techniques, mais aussi organisationnels et financiers. Autre aspect qui ne manquera pas de capter l’attention de l’assistance : l’autoconsommation et la revente d’énergie. Sachant que les collectivités ont la possibilité désormais de produire de l’énergie pour leurs propres bâtiments et de revendre le surplus. Mais, les élus de l’Yonne en connaissent-ils vraiment toutes les modalités ?

Quant aux projets déclinés par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne, ils seront explicités par différents porte-parole de l’organisme. Le solaire, d’une part, tiendra la dragée haute de ces interventions puisque le SDEY va conduire un projet novateur en matière d’autoconsommation collective mettant en lien ses consommations (bâtiments, bornes de recharge de véhicules électriques, mâts d’éclairage…) et sa production (installation photovoltaïque sur toitures et ombrières). Puis, on s’intéressera aux bornes de recharge bidirectionnelles, pouvant consommer de l’électricité pour recharger les automobiles mais également réinjecter de l’électricité stockée dans la batterie du véhicule.

Forcément, le volet des éoliennes et de la méthanisation figurera au programme de cette journée intense en réflexions. Deux projets ont d’ailleurs trouvé grâce aux yeux des organisateurs de ces « Assises » : le fameux parc éolien des Hauts de l’Armançon (ndlr : plusieurs articles ont été consacrés à l’avancée de ce dossier porté par WPD) et le projet de méthanisation de Pont-sur-Vanne, porté par un collectif d’agriculteurs en filière biologique.

 

L’hydrogène, une énergie pouvant être une alternative crédible…

 

Enfin, le bois énergie, le solaire photovoltaïque et le solaire thermique constitueront un autre exemple de ces énergies renouvelables usitées pour le chauffage, la production d’électricité ou celle de l’eau chaude sanitaire sur lesquelles se pencheront les congressistes.

La conclusion de ces « Assises 2022 » ne pourra ignorer l’hydrogène, une énergie d’avenir sur laquelle a misé le bassin de l’Auxerrois. Une énergie qui paraît être une alternative crédible et qui pourrait à horizon 2024 permettre à 120 000 véhicules, majoritairement utilitaires, poids lourds, cars et bus, de circuler librement dans l’Hexagone. A l’aide de 250 stations qui pourraient y être installées.

Les élus de l’Yonne disposeront avec ces « Assises » de solides bases de renseignements. L’avenir énergétique est face à eux, c’est sûr !

 

Thierry BRET

 


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Avec une crise économique qui impactera directement les cours de la bourse, la restructuration des patrimoines se fera nécessairement vers les investissements immobiliers. On peut acheter directement ou par l’intermédiaire d’une société civile : la SCI (Société Civile Immobilière). Il existe des modes en matière de création juridique des sociétés. La SCI est hélas trop souvent présentée comme une panacée. Dans le cadre de la création d’entreprise, on ne doit jamais commencer par se dire, « je crée une  SCI » ou une « SARL »… Non, le choix juridique correspond au panier qui contient un projet et des personnes. La SCI présente des avantages et des inconvénients considérés comme autant de pièges !

TRIBUNE : C’est la liberté la plus totale ! Pas de montant minimum, quel que soit le montant de l’investissement, deux actionnaires minimum, les associés se répartissent les parts comme ils le veulent et choisissent  le démembrement des parts, « nue propriété et usufruit ». Si une SCI ne peut pas être unipersonnelle, on peut contourner légalement cette disposition. Pour avoir votre SCI tout seul, il suffit de créer une société holding unipersonnelle (comme une EURL ou une SASU), puis de vous associer avec votre société unipersonnelle pour créer votre SCI. Ainsi, il y a bien deux associés, mais en fin de compte, vous êtes la seule personne physique.

Démembrer les parts, c’est une possibilité qui peut faciliter les aspects de la transmission du patrimoine. On démembre ainsi les parts, en parts de nue propriété, parts d’usufruits et plus récemment en parts de « fiducies » ou de « quasi-usufruit ». La fiducie est parfois pratiquée pour désigner le ou les gestionnaires dans le cas d’héritage d’entreprises. Par rapport à une indivision classique, il peut être avantageux, financièrement et fiscalement, de créer une SCI. Attention, seul le notaire pourra vous indiquer si votre choix est judicieux et par conséquent comment orienter le testament.

On le comprend bien, même si on peut trouver des modèles gratuits de statuts de SCI, ne pas faire appel à un notaire ou un avocat semble suicidaire ! Honoraires de conseils, frais de publicité et frais d’enregistrement au Registre des Sociétés, il faut compter entre 3 000 et 5 000 euros.

 

 

Les inconvénients de la SCI…

 

Créer une SCI, c’est être immédiatement dans le collimateur de l’administration fiscale. Ceux qui pensent éviter de payer leurs dettes personnelles fiscales grâce à une SCI sont dans l’erreur. Par « l’action Paulienne », si le fisc démontre que la création de la SCI avait pour but de générer votre insolvabilité,  il pourra saisir le bien quelle que soit la répartition des parts et leur démembrement.

Attention, le but est purement civil, ceux qui sont tentés d’augmenter les loyers en intégrant du matériel, se verront redressés fiscalement : rappels sur cinq ans de TVA et d’impôts sur les sociétés. Les salaires ou émoluments divers versés à des associés ne peuvent pas être pris en compte dans les charges de la SCI, mais intégrés dans les revenus imposables de l’associé. Le choix de l’option à privilégier, soit l’impôt sur les sociétés, soit l’impôt personnel concernant les revenus de la SCI fera encore l’objet de l’avis de l’expert.

Si vous êtes plutôt léger en matière de connaissance comptables, il faut prendre un expert-comptable. De plus, ne pas oublier de convoquer chaque année et dans les règles, les actionnaires pour l’assemblée générale et ensuite établir le rapport d’assemblée. L’expert pourra vous dire ce qui relève de l’AG ordinaire et de l’AG extraordinaire.

Oui, la SCI peut correspondre à une réalité d’investissement patrimonial pertinente mais attention DANGER ! Sur le net on a vu passer un dossier gratuit : « SCI, l’arme secrète des millionnaires ». J’ajoute, l’arme non secrète du fisc ! Et méditons cette pensée de Serge MIRJEAN : « Le percepteur est un homme vraiment intraitable dans l'exercice de ses ponctions ! ».

 

Jean Paul ALLOU

 


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