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Décidément, l’agriculture intensive ne semble plus être au goût du jour parmi les consommateurs de l’Hexagone et ne fait plus recette dans l’esprit de bon nombre de nos concitoyens. A l’appel de plusieurs organisations associatives (ADENY, Yonne Nature Environnement, NEUVY Nouvel Horizon…), une manifestation pacifique se déroulera ce samedi 12 novembre à 10h30 devant la préfecture de l’Yonne à Auxerre. Un rassemblement soutenu par les écologistes…

 

AUXERRE : Profitant de ce long week-end, synonyme de « pont » pour la plupart de nos concitoyens, un rassemblement orchestré par différentes mouvements associatifs défendant les valeurs de l’environnement et de la nature ainsi que de la protection animale sera justement proposé, samedi, dans la capitale de l’Yonne, en milieu de matinée, face aux grilles de la préfecture. Une manifestation qui se veut pacifique, certes, mais qui n’empêchera nullement celles et ceux qui y convergeront de faire entendre la voix de leur colère contre un développement économique « irraisonné » et « non développement durable ».

Dans le viseur des manifestants : l’élevage intensif, de plus en plus décrié par une multitude de structures associatives, politiques, économiques. C’est par le prisme des risques irréversibles de l’assèchement de la ressource en eau – on en voit les effets avec effarement aux quatre coins de la planète depuis que les épisodes de réchauffement climatiques se succèdent sur la Terre – que les participants de ce rendez-vous revendicatif ont acté leur présence devant l’édifice préfectoral.

 

Déjà 40 000 signatures obtenues sur une pétition contestataire…

 

A la base du problème, la concentration prévisionnelle de quatre-vingts poulaillers industriels hors norme, devant être installés près de l’abattoir de la société PLUKON (ex-DUC) à Chailley inquiète riverains et propriétaires fonciers. Quid des pollutions sonores, visuelles, olfactives, chimiques dans les sols imputables à la présence malvenue de ces malheureux volatiles ainsi que les risques économiques qui en incomberaient. Les organisateurs de la manifestation citent quelques exemples d’une limpidité évidente : ruine du tourisme, effondrement de la valeur mobilière des biens, coûts vertigineux de la rénovation des routes pour assurer la rotation des poids lourds, chute de la valeur faciale des terres agricoles, etc.

Présidente de l’association « NEUVY Nouvel Horizon », Nathalie CRONIER est formelle : « aucune étude sérieuse d’incidence sur les milieux n’a été réalisée à l’échelle du département… ».

Puis, de rajouter : « au gré des demandes d'autorisation, nous voyons des méga-poulaillers industriels fleurir, avec des analyses fractales donc sans objet (Neuvy-Sautour, Saint-Léger Vauban, Saint-Brancher, Sergines, Malay-le-Grand...). Nous avons déjà réuni 40 000 signatures au niveau de la pétition qui a été lancée et cela continue à monter... ».

 

 

88 % des Français sont contre l’élevage intensif…

 

De son côté, Claire MALLARD, présidente du groupe « Ecologistes et Solidaires » au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, précise que « riverains et écologistes seront mobilisés pour dénoncer l’implantation de ces quatre-vingts structures industrielles devant accueillir un million de poules par semaine ».

L’élue écologiste souligne que « l’élevage intensif et concentrationnaire n’a pas sa place ni ici à Chailley ni ailleurs en France ».

Un élevage qui est source de pollutions diffuses et de maltraitances animales – comme le démontrent le plus souvent les vidéos de l’association L 214 – source de nuisances pour les riverains.

« C’est une aberration, explique-t-elle, à l’heure de l’indispensable transition du modèle agricole et alimentaire… ».

A date, 88 % des Français se sont exprimés sur le sujet : ils sont contre ce type de pratique tandis que 82 % de nos compatriotes se disent favorables à l’interdiction de l’élevage en cage dans un délai de cinq ans. Par ailleurs, la Commission européenne a même interdit l’élevage en cage pour les volailles à horizon 2027.

 

La majorité de la Région a émis un vœu visant à supprimer cette pratique…

 

Nathalie CRONIER précise : « nous sommes pour le développement économique mais avec des stratégies intelligentes qui poussent des productions de meilleur rapport qualité/prix, vertueuses pour notre santé et pour l'environnement. Le rapport de la commission sénatoriale est inepte et va à contre-courant du sens de l'histoire. La Chambre d'Agriculture aide techniquement les éleveurs à candidater avec en perspective, un revenu très modique, sans se préoccuper de la détresse que cela va engendrer en cas de problèmes sanitaires et de banqueroute colossale... Ce sont eux qui prennent tous les risques ! ».

Les instances politiques bougent sur le sujet. A l’automne 2021, la majorité régionale a voté un vœu visant à sortir de l’élevage intensif lors d’une assemblée plénière. Un scrutin qui n’aura pas été soutenu par les groupes d’opposition de droite ni du Rassemblement National.

Claire MALLARD profite de la circonstance où elle s’exprime sur ce thème pour égratigner le RN et ses représentants : « la position, sans conviction, qui consiste à dénoncer les poulaillers industriels du président du groupe RN au Conseil régional (Julien ODOUL) est une véritable imposture ! Face à l’escroquerie, les écologistes se mobilisent pour accompagner la reconversion de tous les éleveurs du système industriel en soutenant une agriculture locale et familiale, créatrice d’emplois et de dynamisme rural respectueux des ressources naturelles… »

Précisons que la mise en ligne de la pétition est d’atteindre cent mille signatures pour fédérer un maximum de personnes contre ce projet (https://chng.it/rzTq5fmjSh). Alors pourquoi pas, si le cœur vous en dit en l’honneur de la cause animale…

 

Thierry BRET

 

 


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Trois semaines après sa prise de fonction en Bourgogne Franche-Comté, le nouveau préfet de Région Franck ROBINE multiplie déjà les visites, notamment dans des lieux stratégiques qui ont pour dénominateur commun, l’hydrogène. Présent il y a quelques jours, sur le Territoire de Belfort pour y découvrir les multiples facettes de la plateforme de recherche « FC-Lab », le haut-fonctionnaire s’est immergé, mercredi, à Auxerre pour y visiter la prometteuse station « AuxHYgen »…

 

AUXERRE: « Le président-maire de l’Auxerrois prend des risques et je salue sa prise d’initiatives… ». Ainsi parle le préfet de Région Franck ROBINE, nouveau représentant de l’Etat à la tête de l’une des contrées régionales les plus réceptives au développement de la nouvelle ressource d’énergie qu’est l’hydrogène, c’est-à-dire la Bourgogne Franche-Comté !

Sans faire de triomphalisme excessif, il est vrai que ce territoire du quart Grand-Est de l’Hexagone a depuis le début des années 2000 prouvé une certaine appétence envers cette ressource énergétique que l’on peut qualifier de prometteuse à bien des égards dans de nombreux domaines d’exploitation.

Une ressource qui est devenue par ailleurs le cheval de bataille stratégique du Conseil régional et de sa présidente, la franc-comtoise Marie-Guite DUFAY qui plaide en sa faveur depuis sa première mandature. Et fort heureusement, elle n’est pas la seule à en faire l’écho…

 

 

La station hydrogène, étape légitime de la visite du préfet de Région…

 

Vu de l’Yonne, Guy FEREZ, dans un premier temps, puis Crescent MARAULT lui emboîtant le pas après son accession à la Ville d’Auxerre et à l’Agglomération de l’Auxerrois dès 2020 se sont distingués eux-aussi en faveur de cette ressource qui symbolise l’avenir.

Mieux : Auxerre peut se targuer d’avoir accueilli au plan hexagonal la toute première station hydrogène, un concept aux ramifications nombreuses et productives quant à ses potentialités.

Lors de son premier déplacement en terre icaunaise en sa qualité de patron de la préfectorale de la région, l’ancien collaborateur de l’ex-Premier ministre Jean CASTEX ne pouvait pas décemment manquer un rendez-vous aussi important avec l’hydrogène dans l’Yonne. Il s’est donc rendu sur le site installé près de la pépinière d’entreprises de la CCI, « AuxHYgen ».

 

 

Il y fut accueilli par le maire d’Auxerre Crescent MARAULT qui lui présenta avec moult détails les diverses potentialités existantes dans le futur proche pour l’Auxerrois à travers son réseau de mobilité.

Une visite qui se poursuivit dans l’un des quartiers de la capitale de l’Yonne, aux côtés du préfet Pascal JAN et des élus communautaires, celui de Sainte-Geneviève en phase de restructuration afin de l’ouvrir au reste de la ville.

 

 

L’enseignement supérieur qui s’ouvre davantage à Auxerre : un plus pour l’attractivité !

 

En sus, Franck ROBINE a eu vent de l’ouverture de nouvelles offres d’enseignement supérieur sur la place auxerroise, notamment le projet pédagogique soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne avec l’installation d’une session de première année de médecine à Auxerre – elle sera aussi effective à Sens – et ce dès l’automne 2023, en accointance avec l’Université de Dijon.

Un projet qui a fait tilt à l’oreille du nouveau préfet de Région, satisfait de cette initiative qui se situe en parfaite harmonie avec l’attractivité du territoire dont il soutient les principes…

 

Thierry BRET

 


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De la passion. De l’envie, aussi. Partagée avec gourmandise qu’elle soit vineuse ou sportive par une multitude de personnalités, issues de la sphère institutionnelle, associative et économique du territoire. Tous sont réunis pour cette opération de séduction montée par les services du Conseil départemental, accueillie dans le cadre champêtre du Domaine Jean-Marc BROCARD. Les Jeux prennent leur envol dans l’Yonne, c’est une certitude : le futur évènement planétaire vient d’y frapper les trois coups…

 

PREHY : « Cela fait chaud au cœur ! ». Seul à la tribune, après la présentation de quatre tables rondes explicatives concernant les finalités du projet et de ses implications territoriales, il revint au président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD de conclure une soirée évènementielle qui avait revêtu le sceau du succès.

Du monde, beaucoup de monde – peut-être un peu trop eu égard au nombre de chaises disponibles pour accueillir les invités ?! - représentatif du terroir icaunais avait décidé de converger vers l’espace champêtre du Domaine Jean-Marc BROCARD pour assister à cette animation unique et que l’on ne verra pas de sitôt, le lancement de « Terre de Jeux 2024 ».

Un ambitieux programme dans lequel le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté et le plus proche de la capitale ne pouvait se soustraire. Il y a trouvé ses marques selon la fameuse phrase chère aux sportifs. Grâce à l’impulsion d’un Conseil départemental qui s’est engouffré dans la brèche offerte par l’alléchant concept participatif imaginé par le Comité national Olympique et Sportif hexagonal.

 

 

Le relais de la flamme : l’Yonne doit être vue de tous !

 

Mardi, en début de soirée au beau milieu du vignoble – un paysage qui incarne le mieux ce que représente l’Yonne et ses richesses -, et non loin d’une église qui égrenait régulièrement le carillon de l’espérance, Patrick GENDRAUD a pu dévoiler les enjeux de ce projet « Yonne Terre de Jeux 2014 », se situant bien au-delà du seul volet sportif.

Un ensemble d’idées qui vont s’articuler autour d’un programme d’actions destinées à valoriser la dynamique et l’attractivité de notre territoire.

« Tout le monde est là, les forces vives, les industriels, les représentants de la culture, ceux du tourisme : c’est formidable ! ».

Ne dissimulant aucunement sa satisfaction, le patron de l’exécutif départemental s’est donc réjoui de l’organisation de cet évènement, fédérateur à plus d’un titre derrière les valeurs chères à Pierre de COUBERTIN.

Un clin d’œil sympathique adressé à l’inoxydable ambassadeur du sport icaunais – l’ancien coach de l’AJ Auxerre Guy ROUX qui se lèvera brièvement de sa chaise afin de saluer l’assistance -, avant que Patrick GENDRAUD ne délivre quatre messages, succincts mais ô combien importants pour la suite des évènements.

Le premier d’entre eux se rapporte à l’existence d’un label « Yonne 2024 » que souhaiterait mettre en place l’élu de l’Yonne. Destiné au monde économique, ce signe distinctif serait apposé sur chacune des manifestations qui seraient désormais organisées à l’avenir par les entreprises du département. Voire, sur les produits à l’estampille du made in Yonne qui seraient commercialisés. Une labellisation qui traduirait la fierté d’appartenance à ce territoire et qu’il serait judicieux d’afficher.

Second point : le relais de la flamme.

« C’est un engouement extraordinaire, souligna Patrick GENDRAUD, l’Yonne a été retenue par les organisateurs et verra passer la flamme olympique sur son territoire. Il faut que nous soyons vus de tous, l’Yonne doit être vue ! ».

 

 

« Terre de Jeux » : au-delà de l’attractivité, il faut véhiculer la paix…

 

Quant au troisième message, qui n’a rien de prophétique à la manière de celui qui fut délivré à Fatima, il concernait la constitution d’une équipe, fédératrice et unie en bloc derrière le projet.

« Vous êtes tous là, vous formez la « team » ! Certes, c’est de l’anglais mais on a le mot équipe qui nous rassemble : il nous faut donc créer le club des partenaires parce qu’on a le droit d’y croire… ».

Qualifié de plus important, le quatrième message délivré par Patrick GENDRAUD est lié à la stratégie de communication mise en place par l’appareil institutionnel départemental.

Dans les faits, un site multimédia sera opérationnel dès le premier janvier 2023 avec une newsletter et de multiples points d’entrée afin d’amplifier le label « Terre de Jeux » dont profite dorénavant notre territoire.

Rassembler toutes les intelligences et les bonnes volontés autour de ce concept novateur, « Terre de jeux », devient un axe stratégique fondamental pour le président de l’exécutif, adepte inconditionnel de la pétanque mais amoureux du football ! Il ne manquera pas de le signaler lors de cette soirée de lancement.

Le président du Conseil départemental termina son discours en faisant allusion au sens premier de l’olympisme, cet état d’esprit exhumé par le baron Pierre de COUBERTIN lors des Jeux modernes d’Athènes de 1896, à savoir la trêve.

« Nous vivons des moments difficiles avec des guerres ; les Jeux Olympiques sont l’occasion de faire la paix. Ce sont des rencontres fraternelles entres des femmes et des hommes, dans l’amitié et la solidarité. Nous avons besoin de paix. Et c’est dans cet esprit-là que je veux placer notre engagement dans ce projet « Terre de jeux ». Et que je vous associe à cette volonté que nous avons tous… ».

De l’humanisme et de la sagesse, au-delà de l’attractivité, voilà ce que véhicule le concept « Terre de Jeux », en somme…Un projet consensuel, forcément.

 

Thierry BRET

 

 


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Sous la lumière crue du projecteur, elle n’en est que plus belle. Peinte de son coloris mauve, décalé et inattendu, tirant quelque peu sur le « lilas » comme il sera par ailleurs précisé par le responsable régional des agences de l’entreprise. Même la responsable marketing du constructeur de l’engin mécanique, CASE, est séduite par la robe violette de cette « Pelle du Cœur », sujet de toutes les convoitises d’un soir inaugural au profit d’une noble cause…

 

MONETEAU : C’est la vedette du soir ! Son nom de scène pourrait évoquer l’un des personnages énigmatiques de « Stars Wars » : CX 60 C ! Une pelleteuse flambant neuve dont vient se munir l’agence icaunaise de la société TPI Location, spécialiste de la manutention et des engins de chantier à louer destinés à satisfaire la clientèle de professionnels – elle représente 80 % du chiffre d’affaires de l’entreprise dont le siège social est implanté à Varennes-Vauzelles près de Nevers – et de particuliers.

Toutefois, l’engin ayant troqué ses couleurs habituelles pour ce coloris violine des plus surprenants à l’œil n’est pas unique en son genre. D’autres spécimens de ces « CX 60 C » ont été assignés au réseau commercial de TPI Location. A Clermont-Ferrand, à Moulins et naturellement, à Nevers. Et toujours avec la bénédiction de l’équipementier, CASE.

Posséder de tels engins aux couleurs improbables d’ordinaire sur les chantiers du BTP n’est pas imputable à un phénomène de coquetterie ou de mode soudaine pour alimenter les réseaux sociaux auprès des plus jeunes générations !

 

 

 

Un pourcentage de chaque location est reversé au Centre régional Jean Perrin…

 

Derrière ce code couleur un peu flashy se cache en réalité un véritable symbole chromatique. Celui qui correspond à tous les cancers reconnus pour tels qui frappent nos concitoyens, et en particulier avec le coloris violet propre à la pathologie qui affecte les testicules.

On l’aura compris, l’initiative dévoilée par TPI Location en cette douce et humide soirée du 08 novembre dans la zone industrielle de Monéteau se voulait avant tout sensibilisatrice. En y ajoutant aussi l’aspect caritatif.

Le processus de soutien à la cause – l’envoi de dons au Centre régional Jean Perrin à Clermont-Ferrand, référence en la matière dans l’Hexagone dans la lutte contre la maladie – se veut très simple. Puisque cette pelleteuse est à louer comme n’importe quel autre engin du parc accueilli in situ, il sera reversé à chaque transaction un pourcentage du bénéfice de l’acte locatif à l’organisme partenaire. Très facile, en somme, d’être altruiste et solidaire !

Petite subtilité à connaître, vous êtes également invités à faire des dons sans obligatoirement louer cette « Pelle du Cœur » - la bien-nommée qui baptise cette opération sans date de limite ! – au profit du centre médical auvergnat qui rayonne de par son efficience bien au-delà de ses frontières.

 

Thierry BRET

 


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Il ne tarit pas d’éloges sur les bienfaits de l’entreprise, le maire de la petite commune de Sury-près-Léré, Pascal VIGUIE ! Située près de La Celle-sur-Loire, la collectivité n’a pas hésité à faire appel, après les consultations d’usage, à une toute nouvelle structure entrepreneuriale, implantée dans l’Yonne depuis 2020. Son nom, elle le signe à la pointe de son jet d’eau qui lui permet de redonner une cure de jouvence aux toitures et façades de tout type d’édifices, « PULVERY CLEAN ».

 

AUXERRE : Les avis convergent tous dans la même direction. Du positivisme à l’état brut, à n’en plus finir ! Que ce soit les commentaires enthousiastes formulés par un élu de la campagne berrichonne ou ceux d’une particulière ayant eu recours à ses services pour le compte de sa génitrice, le concept novateur de la franchise « PULVERY CLEAN » les aura donc bluffés !

« Que dire de cette technique sinon que du bien ? » affirme l’un de ces témoins s’exprimant sur le site de la marque, encore toute juvénile puisque apparue pendant la cruciale période de la COVID.

Opérationnelle depuis le mois de juin 2020 – l’entité devra quand même s’armer de patience en traversant les épisodes successifs des confinements -, « PULVERY CLEAN » positionne son offre de service sur le nettoyage des toitures et façades de toute typologie de bâtiments. Des maisons individuelles aux logements collectifs, des ouvrages professionnels à ceux qui accueillent des collectivités, voire des monuments historiques et patrimoniaux : rien n’arrête l’appétit croissant de cette entreprise à qui tout semble réussir.

 

 

Les toitures retrouvent leurs couleurs comme les façades des maisons…

 

A la base de ce concept qui se meut dorénavant à travers l’Hexagone par le biais d’une franchise en pleine expansion de semaine en semaine, il y a une technique. Pas n’importe laquelle, visiblement puisqu’elle autorise même la pratique d’une politique tarifaire plus que raisonnable pour la qualité de ses prestations rendues. Ce qui fait des heureux parmi les bénéficiaires, on en aurait douté !

« Le dispositif repose sur l’utilisation d’un matériel autonome développé en interne, permettant de projeter du produit nettoyant jusqu'à dix à douze mètres de hauteur. L'utilisation de ce matériel autorise une mise en chantier rapide et se traduit pour la clientèle par le prix au mètre carré le plus bas du marché. Outre le matériel, les produits utilisés ont été développés en partenariat avec un chimiste. Ils sont sans chlore, ni javel (des produits agressifs qui rendent les matériaux poreux) et sont biodégradables quasiment en intégralité sous un délai d’un petit mois… ».

 

 

 

Ainsi s’exprime Francis MOREAU, l’un des trois codirigeants de cette jeune société. Avec Serge GOUSSE et Laurent PICOUET, à eux trois ils nourrissent de sérieuses perspectives pour leur « dernier né ». Cet outil, dont ils sont fiers.

Notre interlocuteur qui a pris à sa charge tout le développement commercial du concept et sa stratégie de communication, ajoute : « dans le cadre des opérations de « démoussage », traitement de toitures, façades et terrasses, une fois le produit appliqué, Dame nature « se charge » du nettoyage qui se fera naturellement au cours des semaines qui suivent. A terme, les toitures retrouvent leurs couleurs, comme les pignons ou façades des maisons... ».

 

 

Des secteurs offrant un panel de 45 000 maisons individuelles et 150 000 habitants…

 

Mazette ! A l’écoute de ces précisions techniques, on a l’impression d’être en face d’un produit « miracle », d’un de ces ingrédients révolutionnaires à souhait dont on ne connaîtra in fine pas la véritable composition chimique et qui fait de cette activité très spécifique de l’entreprise un particularisme de niche où elle n’a pas de concurrence frontale à travers l’Hexagone ! Donc, en résumé, c’est un atout précieux pour le développement de la franchise qui en découle.

Le hasard de la vie aura bien fait les choses, en vérité. Réunissant sur la même longueur d’ondes Serge GOUSSE, porteur initial du projet, et Francis MOREAU, qui exerçait à l’époque des activités de consulting au sein de sa propre structure. Viendra se rajouter dans cette aventure le troisième contributeur à la réussite de ce concept, Laurent PICOUET que le landerneau économique de l’Yonne connaît bien, à juste titre, pour le développement de la franchise de coiffure, YSEAL à l’échelle hexagonale.

La franchise qui a désormais le vent en poupe pose ses premiers jalons auprès de personnes franchisées. Elles sont à La Rochelle, à Marseille, du côté de Fontainebleau ou de Besançon. De ces contacts judicieux naissent de nouvelles vocations et de réelles opportunités de développement pour la toute jeune enseigne. L’Yonne, et pour cause, ne déroge pas à la règle puisque la découpe territoriale offre l’opportunité à trois franchisés de se distinguer professionnellement. Le terrain de jeu sectoriel permet l’exclusivité, il correspond à l’exploitation d’un panel de 45 000 maisons individuelles (soit un potentiel de 150 000 habitants). Un sacré grain à moudre pour celles et ceux qui croient en la marque et à son principe de nettoyage innovant !

« On est loin de connaître le réel potentiel business offert par la franchise, confie Francis MOREAU, pourtant un spécialiste des « business plan », on estime qu’une personne seule peut dès la première année atteindre un chiffre d’affaires de 150 000 euros… ». Ce qui n’est non négligeable, convenons-en !

Le droit d’entrée reste minime, s’élevant à 5 000 euros, c’est tout. Mais, attention, cela ne devrait pas durer car la valeur de « PULVERY CLEAN » commence à s’affirmer bien au-delà des frontières de l’Yonne où elle a vu le jour. Prometteur…

 

Thierry BRET

 


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