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Les législatives ont livré leur verdict sorti des urnes mais elles ont aussi permis aux élus de montrer leur véritable visage aux Français. Un exemple ? La NUPES, où son leader Jean-Luc MELENCHON chauffe  les troupes pour annoncer les futures luttes de l’automne. Au passage, durant la campagne, il aura condamné la police tout en demandant à ses ouailles de voter Emmanuel MACRON ! Que penser aussi d’une Sandrine ROUSSEAU qui avait promis à Damien ABAD, alors ministre des Solidarités, de ne pouvoir se faire entendre dans l’hémicycle tant le chahut serait insupportable. Elle avait  juste oublié que la destitution d’un membre du gouvernement ne s’effectue pas en faisant une simple « ola » !

 

TRIBUNE : De nombreux militants de formations politiques en vogue côté popularité refusent la  démocratie. Le patron de la NUPES l’a annoncé à moult reprises : « les luttes se feront dans la rue ! ».

C’est sans doute pour cela qu’il propose de désarmer la police, au cours des futures manifestations. Avec le scandale du Stade de France, on a donc vu naître l’idéologie du mensonge. De nombreux membres du gouvernement refusent aussi la réalité et la vérité : la misère, le chômage, les zones de « non-droit » ou de « non-France »…

La confrontation dans la rue ou à l’Assemblée nationale promet d’être agitée, pour ne pas dire violente.

Le « Convoi de la liberté », mouvement né au Canada, se répand dans d’autres pays du globe, comme en Australie, et risque de débarquer en France d’ici peu.

Le point de départ est liminaire : les libertés aliénées par les obligations vaccinales. Les Français se sont plaints de ce cruel manque de liberté durant la pandémie. Mais, au vu des récents soubresauts de la crise sanitaire, on est toujours dans « l’état d’urgence ».

 

 

Le fléau de la « guerre civile » à venir ou présente selon les cas…

 

La prochaine étape inciterait-elle à « l’état de siège » ? Les frustrations sont grandissantes. La grande inconnue, c’est l’état d’esprit du parti majoritaire : c’est-à-dire les abstentionnistes. Certains pensent que la « guerre civile » est proche alors que d’autres, comme Eric ZEMMOUR et de nombreux partisans du Rassemblement National affirment qu’elle a déjà commencé.

Ajoutons à cela que nos concitoyens se privent de nourriture, et que nous voyons un gouvernement affaibli et désavoué par le peuple : des décisions impossibles ou difficiles à prendre face à toutes les crises que nous  vivons. Les crises économiques et financières, écologiques, militaires face à la guerre en Ukraine, mais aussi celles engendrées par la souveraineté nationale ou l’immigration…

Quand HITLER, MUSSOLINI et HIROHITO déchaînaient les passions de la haine, il existait un GANDHI, homme de paix et de sagesse qui apportait un contrepoids positif à l’Humanité ! Existe-t-il un GANDHI dans notre paysage de désolation, aujourd’hui ?

Bref, si la pizza napolitaine est désormais classée par l’UNESCO, il est urgent de faire enregistrer « la fraternité » au patrimoine mondial de l’humanité !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Seraient-ils sportifs dans l’âme les « VIP » de l’Auxerrois au cœur de cet été si caniculaire ? On pourrait presque le supposer vu l’intérêt croissant qu’ils accordent à cette manifestation itinérante que représente le « Yonne Tour Sport ». Une animation qui se veut initiatique, à la découverte de multiples disciplines dispensées sur notre territoire et qui agrègent moult familles et leur progéniture aux abords des ateliers de démonstration. L’étape du jour était accueillie à Chevannes. Florilège de quelques moments vécus…

 

CHEVANNES : Entre deux gouttes de pluie, sous un ciel gris souris aux allures menaçantes, devant virer à l’orage le tantôt de toute évidence, ce « moment de fête », comme devait le qualifier en guise de préambule un Dominique CHAMBENOIT, maire de la commune, toujours aux petits soins pour ses hôtes et d’une belle efficacité oratoire derrière le micro pour détendre l’atmosphère, était placé sous le sceau de la convivialité et de la courtoisie…dans la plus pure des traditions républicaines.

Si l’on avait ôté de ce décor un brin champêtre et bon enfant les différents ateliers démonstratifs répartis çà et là qui accueillaient par petits groupes les têtes blondes du village, ainsi que quelques parents se muant épars en accompagnateurs, on se serait presque cru à une garden-party aux intonations résolument politiciennes, une veille de 14 juillet ! L’Elysée en moins !

 

 

Un aéropage de personnalités appréciant la qualité des installations…

 

Jugez plutôt : on pouvait y croiser les représentants de diverses coteries dont un député, nouvel impétrant dans la fonction de parlementaire, en la personne de Daniel GRENON (RN) ; son binôme, Pascal BLAISE (Avenir français) qui semble vouloir redonner ses lettres de noblesse à la fonction d’ordinaire peu usitée de « député suppléant » en multipliant les sorties tous azimuts sur le terrain ; des représentants du Conseil départemental de l’Yonne – logique, le « Yonne Tour Sport » est l’une de ses émanations les plus populaires -, et non des moindres avec le vice-président Christophe BONNEFOND (LR), Pascal HENRIAT (MoDem) et sa colistière Delphine BILLON, l’incontournable Yves VECTEN, éloigné pour un temps des moissons pour s’immerger au cœur de l’évènement, Michel DUCROUX, tout sourire et encore jeune le seul ayant osé se vêtir d’un short et t-shirt pour faire bonne figure dans ce milieu de sportifs en herbe !

Sans omettre des conseillers communautaires de l’Auxerrois à l’instar d’une Emilie LAFORGE, pimpante et radieuse comme l’astre diurne au zénith dans sa robe estivale, venue en proche voisine depuis Branches. On d'une Florence LOURY, de la NUPES, en tenue de sport et en famille.

Bref, cet aéropage de personnalités hétéroclites où s’ajoutait aussi Mathieu PASQUET, directeur de cabinet du président Patrick GENDRAUD – absent, car sous d’autres cieux en vacances ! – profita d’un rapide tour de terrain, au pas de charge, pour humer l’air ambiant de ce rendez-vous récurent qui se prolongera au-delà de la mi-août dans l’Yonne, en observant les bambins et de jeunes ados tenter l’impossible en gravissant un mur d’escalade gonflable ou en s’essayant au vélo tout terrain sur un tracé un rien sinueux entre des plots.

Le tout sous quelques encouragements nourris de parents admiratifs qui immortalisaient l’instant avec la dernière version de l’IPhone à la main.

 

 

Partageons ensemble les moments de fête et de mise à l’honneur…

 

Vint ensuite le temps des prises de parole. Une fois n’est pas coutume, un exercice plutôt écourté malgré la présence de plusieurs officiels se tenant très proche du pupitre sonorisé prêt à sauter sur le micro !

Chef d’orchestre de la journée, à l'instar de sa première adjointe Anna CONTANT toujours au four et au moulin au niveau de la logistique, Dominique CHAMBENOIT ouvrit le bal de cette séance oratoire. Texte posé devant lui dont il s’inspira parfois, le maire de la localité périphérique d’Auxerre exprima sa fierté d’accueillir cet évènement se voulant « rassembleur » et de « grande ampleur ».

« A Chevannes, devait-il renchérir, nous aimons partager avec vous tous et en toute simplicité ces moments de fête et de mise à l’honneur… ».

 

 

Puis, le maire remercia les équipes du Conseil départemental et salua les agents municipaux pour leur totale implication. Avant de passer le relais sine die à Daniel GRENON, dont se fut l’une des toutes premières interventions publiques depuis son élection datant du 19 juin.

Il est vrai, et comme il l’expliquera en aparté, que l’élu du Rassemblement National prend également ses repères au palais Bourbon où les activités ne manquent pas depuis le début de l’été ! C’est le moins que l’on puisse dire. Hier soir encore, Daniel GRENON assistait dans l’hémicycle au vote du projet de loi concernant le pouvoir d’achat.

 

 

Les « spécialistes du tir à l’arc oratoire » décochent leurs premières flèches !

 

Loin des ors de l’Assemblée, l’élu de la première circonscription fit donc une brève introspection dans sa propre carrière lorsqu’il salua le travail des éducateurs – « sportifs » devait ajouter péremptoire un Pascal HENRIAT au meilleur de sa forme en coupant net le député ! - qui encadrent le « Yonne Tour Sport ».

« Dans mon existence, poursuivit en ponctuant de quelques silences pesants le parlementaire se remémorant ses lointains souvenirs, j’ai été instructeur dans l’univers du tir à l’arc à Migennes… ».

Un peu plus loin, Daniel GRENON exprimera le souhait, en s’adressant aux représentants du Conseil départemental, de « voir davantage de manifestations mini-sportives se décliner dans les communes aux quatre coins du territoire pour y occuper les enfants et faire naître ainsi de la graine de champions…».

Réponse du tac au tac et un tantinet ironique du très en verve Pascal HENRIAT, casquette rivée sur la tête version hip-hop : « C’est ce qui se passe déjà depuis un mois avec le Yonne Tour Sport ! ».

Sans s’en laisser compter malgré les sourires naissants de quelques-uns, le député bleu marine reprendra la balle au bond derechef, concluant ainsi son intervention : « eh bien moi, je veux que cela s’accélère à l’avenir car je suis plutôt d’un naturel exigeant ! ».

Et bing ! C’était la première passe d’armes verbale en directe, distillée presque à fleuret moucheté pour rester dans l’esprit sportif entre ces deux-là – ils ne devraient pas passer leurs vacances d’été ensemble, on l’imagine aisément ! – et pas si anodine que cela.

Elle en dit déjà long sur les futures prises de parole publiques et les divergences qui émailleront l’actualité politico-institutionnelle de notre territoire dès la saison prochaine.

Vivement la période de rentrée afin de pouvoir observer de visu si toutes les flèches décochées par ces « archers » de la politique territoriale – des Guillaume Tell qui s’ignorent ?! - toucheront bel et bien leur cœur de cible à l’avenir !

 

Thierry BRET

 

 


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Cycles et piétons n’ont plus que quelques semaines à patienter avant de pouvoir traverser en toute sécurité la D 606 à hauteur du pont de la Cour Barrée, entre Escolives et Champs-sur-Yonne. Grâce aux feux tricolores mis en place et à la passerelle en phase finale de réalisation qui leur sera réservée pour passer d’une rive à l’autre. Un atout supplémentaire pour le département en matière touristique, que ce soit dans le cadre du « Tour de Bourgogne à vélo » ou d’une boucle familiale, au départ d’Auxerre, via les sections aménagées de chaque côté de la rivière.

 

LA COUR BARREE : A peine ralentis par les températures caniculaires de ces derniers jours, les travaux vont bon train sur le pont enjambant l’Yonne et le canal du Nivernais à hauteur de Champs-sur-Yonne, sur l’ancienne route nationale aujourd’hui rebaptisée D 606. Débutés le 16 mai dernier, ils devraient s’achever mi-septembre. Avec à la clé, une passerelle flambant neuve toute de bois et métal revêtue qui, associée à des feux tricolores pour réguler le trafic routier, permettra aux cyclistes comme aux randonneurs, de ne plus avoir à se confronter à la circulation automobile pour continuer leur balade.

Montant de l’opération : 627 K€, cofinancés pour 30 % par le Département, 30 % par la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois. Les 40 % restants étant du ressort de la Région. Plusieurs projets ont été envisagés, dont l’un passant sous le pont existant mais vite écarté, du fait d’un coût trois fois plus élevé. La solution retenue est celle d’une passerelle en bois au tablier incrusté d’aluminium anti dérapant, qui déborde du pont de 80 cm pour une largeur totale de 2,50 m, séparée de la route par un muret, tout en conservant une largeur de circulation de 6,50 m pour les véhicules.

 

 

Une réalisation qui ressemble à un bon compromis…

 

Un « bon compromis » selon Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental, en charge de la commission des structures, qui mise aussi sur l’intérêt touristique d’une telle réalisation : « outre le fait de s’inscrire dans le grand « Tour de Bourgogne à vélo », cette passerelle permettra à des familles d’effectuer, une boucle cyclable au départ de l’Arbre-sec et, via la route de Vaux, de rejoindre en toute sécurité l’autre rive pour revenir le long de l’Yonne sur Auxerre par Augy ».  

 

 

Si le projet n’a souffert d’aucune contestation au sein de l’instance départementale, comme de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, quelques voix protestataires se sont fait entendre parmi les riverains. Certains craignant notamment des nuisances sonores supplémentaires engendrées par le redémarrage des voitures et camions arrêtés aux feux. Plus de 8 500 véhicules dont 750 poids lourds empruntent quotidiennement cet axe et les feux tricolores seront équipés d’un bouton d’appel, à l’image de ce qui existe en ville pour les piétons, afin de limiter les nuisances que pourrait provoquer un arrêt prolongé.

 

 

Priorité à la sécurisation des lieux…

 

Pour Christophe BONNEFOND, il y avait urgence à sécuriser les lieux : « même s’il n’y a jamais eu d’accident grave, on joue la prévention avant tout. Et puis, qui peut dire combien on aura de vélos dans dix ans ? Certainement beaucoup plus qu’aujourd’hui et je suis convaincu qu’à l’été 2023, ils seront nombreux à faire la boucle en famille… ».

Son homologue au Conseil départemental Yves VECTEN est déjà dans les starting-blocks : « dès que les moissons sont finies, on va m’y voir souvent du côté du canal et pour l’instant, toujours sur un vélo normal sans assistance électrique… ».

L’on n’en attendait pas moins du maire d’Escamps, dont tout le monde connaît l’âme sportive bien trempée !

 

Dominique BERNERD

 


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Rejoindre le cercle vertueux des « Petites Villes de demain » offre aux localités bénéficiaires, comme on pourrait sans douter, son lot de précieux avantages. Tant au niveau des moyens mis en œuvre par l’Etat au service de l’ingénierie que dans le cadre de la redynamisation de l’attractivité commerçante d’une commune. Pourtant, de l’aveu même de Nicolas SORET, édile de Joigny et président de la Communauté de communes du JOVINIEN, il persistait un sérieux « angle mort » dans le dispositif : celui du volet sécuritaire. Aujourd’hui, résolu et contractualisé par une convention d’engagement avec la Gendarmerie et le Parquet…

 

JOIGNY : Fidèle à son franc-parler, Nicolas SORET l’affirme sans ambages : avoir omis le volet sécuritaire du programme initial « Petites Villes de Demain » déployé par l’Etat, était une « erreur » manifeste. Celle-ci vient donc se réparer en toute logique, du moins au vu du prisme local, avec la signature de la convention d’engagement et de sécurité, venant compléter ce dispositif.

Un accord multipartite qui réunit les services de l’Etat, la Gendarmerie nationale, les représentants de la Ville de Joigny et le Parquet. Il aura pour vocation première de renforcer la protection du territoire et des citoyens en mettant en œuvre, selon la formule consacrée, « des moyens adaptés ».

Avant que ces derniers ne soient dévoilés concrètement par les différents signataires, le vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté évoqua l’engagement de la Ville de Joigny à vouloir travailler aux côtés des forces de l’ordre et de l’Etat à l’optimisation de la sécurité de tous les acteurs de la vie sociétale.

 

L’entente parfaite entre tous les acteurs de la sécurité citoyenne…

 

Dans l’absolu, cet accord quadripartite se matérialise par l’installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance – cinq appareils supplémentaires devraient être posés d’ici la fin d’année grâce aux subsides financiers issus du Fonds d’intervention et de prévention de la délinquance (FIPD) -, quant à la coordination entre la police municipale et la gendarmerie, elle devrait s’accroître au fil de prochaines semaines, grâce au déport des images collectées par la vidéo-protection municipale vers la gendarmerie. Un procédé de contrôle dont les éléments audiovisuels sont par ailleurs conservés une quinzaine de jours.

 

 

Cette coordination s’articulera aussi au niveau de processus basiques d’identification (le fameux « qui fait quoi ? ») afin que la fluidité règne en maître absolu dans cette relation qui unit la police municipale, la gendarmerie et le parquet.

D’ailleurs, très prolixe sur le sujet, Nicolas SORET ne manquera pas d’insister sur les « bonnes relations » existantes entre toutes ces parties, liées étroitement à la sécurité de ses administrés. Ce qui ne fut pas toujours le cas, manifestement, lorsque par le passé, la ville du Centre Yonne manquait cruellement d’effectifs afin de veiller au grain de la dérive sécuritaire.

 

Des « armes efficaces » pour remettre sur le bon pied les délinquants…

 

Fort heureusement, ce chapitre est désormais clos et se classe dans les méandres du passé. Sur un registre un peu similaire, l’élu de l’Yonne devait souligner un peu plus tard que « les relations que la municipalité entretient avec le Parquet n’avaient jamais été aussi fructueuses ».

Confortant ainsi les propos tenus par l’ancienne Garde des Sceaux Nicole BELLOUBET qui, lors de sa visite à Joigny en mai 2018, avait encouragé les magistrats à parler en direct avec les élus !

Un dégel des relations qui aura permis in fine à Nicolas SORET de mettre en place un Groupement local du traitement de la délinquance (GLTD), une « arme stratégique » que l’élu juge extrêmement efficace dans la lutte contre la délinquance, fédérant la justice et tous les services sociaux de la collectivité.

Grâce à l’emploi de cet instrument de travail, cela aura permis de remettre sur les rails du civisme plusieurs personnes du cru qui prenaient ostensiblement le chemin de la marginalisation.

On notera également, parmi les actions ciblées amenées à se développer à la suite de cette convention, des campagnes de sensibilisation aux dangers d’Internet, la lutte ô combien d’actualité en cette période estivale contre les cambriolages et celle qui l’est tout autant face à l’insécurité sur les routes.

Le préfet de l’Yonne Pascal JAN insista sur l’adaptabilité, la proximité et la réactivité imputables à cette convention devant se décliner entre les quatre parties. Une sécurisation de proximité qui fera appel aux aspects « inventifs » et où il pourrait sans aucun doute « s’expérimenter » des choses…Comme à Tonnerre et à Saint-Florentin, localités également signataires de ce contrat.

 

 

 

En savoir plus :

 

Les signataires de ce contrat d’engagement et de sécurité « Petites Villes de Demain » :

Nicolas SORET, maire de Joigny,

Frédérique COLAS, maire-adjointe de Joigny,

Pascal JAN, préfet de l’Yonne,

Le colonel Christophe PLOURIN, commandant du Groupement de gendarmerie du département,

Le major Julien OURY, commandant de la Brigade territoriale autonome de Joigny,

Hugues de PHILY, procureur de la République, était excusé : il avait précédemment signé la convention…

 

Thierry BRET

 

 


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Pourtant ravi de l’initiative, le réalisateur Thierry POUGET ne sera malheureusement pas présent lors de cette soirée spéciale, conjuguant les arts gustatifs de la dive bouteille à celui, septième du nom, identifié par le cinéma ! Dommage, certes, mais cela n’enlève en rien à la qualité spécifique de ce programme estival qui se déclinera à mi-chemin entre la découverte culturelle d’un savoir-faire – les métiers de la vigne – et l’initiation œnologique, vantant une nouvelle cuvée. La bien-nommée « Triptyque », élaborée par le Domaine FERRARI, instigateur de ce projet et dévoilée avant sa future commercialisation…

 

IRANCY : L’hymen entre le vin et le cinéma ne date pas d’hier ! Mais, vu par le petit bout de la lorgnette purement icaunaise, ce n’est pas chose courante dans la réalité. Alors quand un domaine viticole prend l’initiative de conjuguer les deux matières pour en faire un événementiel déclinable lors d’une soirée unique, là, bien évidemment, en bon épicurien que nous sommes tous, au fond de notre âme, nous en redemandons !

D’ailleurs, les premières tendances en termes de fréquentation plaident déjà pour le renouvellement de l’animation et ce, dès la saison prochaine. Une soixantaine de personnes ont déjà biffé sur leur agenda ces retrouvailles entre grand écran – le long métrage choisi pour la circonstance sera projeté en fait sur le mur de la nouvelle « cuverie » du domaine opérationnelle depuis l’hiver – et la séance d’œnologie d’usage, permettant de déguster avec la modération nécessaire quelques nectars issus de la maisonnée.

 

Un « Triptyque » à découvrir en avant-première…

 

Aidé par le BIVB (Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne) dans le choix du documentaire thématique à diffuser, le Domaine FERRARI a pris soin de concevoir seul la manifestation, proposée ce vendredi 22 juillet en nocturne, sur son site à Irancy.

Une première dans l’historique de ce domaine, piloté par Christophe et Nicolas FERRARI, dont les vins ne sont plus à présenter dans ces colonnes.

Il aura suffi d’une actualité, et de taille, à relater auprès du plus grand nombre pour esquisser les prémices de ce projet novateur, mis en chantier avec l’une des autres représentantes de cette famille de vignerons, Marie FERRARI. Dans une vie antérieure : architecte de profession !

 

 

La présentation d’une nouvelle cuvée, baptisée « Triptyque », sert donc de prétexte agréable et légitime à ce rendez-vous concocté en plein air dans le joli village de l’Auxerrois pour amateurs avertis mais aussi touristes de passage.

Dès 20 heures, horaire d’ouverture de l’animation, les explicatifs fleuriront parmi les convives afin de connaître les dessous de cette cuvée mono-cépages où le gamay, le pinot noir et le fameux « césar », faisant référence sur les coteaux du cru, tiendront la vedette. Une nouvelle cuvée qui devrait être proposée en phase de commercialisation dès le mois de septembre.

 

 

Une belle leçon d’humanisme et de courage avec « Ligne de Vignes »…

 

Deux heures plus tard, le cinéma reprendra ses droits sans pour autant omettre un petit grignotage gourmand, agrémenté d’un verre de l’un des nectars à l’estampille du domaine.

Le documentaire réalisé en 2016 par Thierry POUGET, « Lignes de Vignes », offrira ensuite une très émouvante illustration visuelle de ce qu’est la réalité au quotidien ou presque de celles et ceux – les tâcherons – qui travaillent avec pugnacité et courage dans les vignes malgré les aléas de la météo.

Malgré l’absence du réalisateur, retenu par ailleurs sur un nouveau tournage, les spectateurs auront de quoi méditer en partageant ces histoires de vignes et de vin, grâce à cette immersion humaine dans la vie journalière d’un couple qui consacre son existence aux travaux viticoles.

Une manière de rendre hommage aux équipes qui créent et élèvent ce breuvage dont les Bourguignons sont fiers d’exporter à travers le monde.

Présenté hors compétition en mai 2017 au Festival de Cannes, « Ligne de Vignes » avait ému larmes dans le regard ses spectateurs mais aussi les médias par ces images éblouissantes traduisant la dure réalité. Une fois ce film projeté, c’est sûr : on ne regarde plus le prix appliqué à une bouteille avec les mêmes yeux…

 

Thierry BRET

 

 

 


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