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Ils ne sont pas si nombreux à connaître de leur vivant l’honneur de voir baptiser de leur nom une rue ou un édifice, qui plus est, une école ! Le groupe scolaire de Laborde portera désormais celui de Jean-Pierre SOISSON. L’inauguration s’est faite samedi 02 juillet, en présence de l’ancien ministre et député-maire d’Auxerre, sous le regard ému des amis de toujours.

 

LABORDE : Le bonheur supprime la vieillesse disait KAFKA… Il suffisait en ce samedi matin, de voir le visage de celui qui fut 27 ans durant maire d’Auxerre et 44 ans député de la circonscription (excusez du peu !), pour authentifier l’adage. Elus, habitants du hameau, amis d’hier et d’aujourd’hui, tous étaient venus saluer celui dont le nom est à jamais indissociable d’Auxerre et de Laborde.

Au diable les cannes pour aider à marcher. Au diable ces jambes qui ne portent plus, au diable la vieillesse ! L’esprit est toujours aussi vif et la voix, même empreinte d’émotion, porte encore fort et clair. En cette fin de matinée, le tutoiement est de rigueur ! Ici, il n’y a pas de ministre qui tienne, pas de député, pas de maire, juste « Jean-Pierre », que l’on vient saluer d’une accolade ou d’une bise, souvenirs en bandoulière, en quête d’un « selfie » pour arrêter l’horloge du temps…

 

 

"Une école ? C’est le plus beau des cadeaux que vous puissiez me faire !"

 

C’est à l’issue d’une consultation des habitants de Laborde et de Jonches, qu’il fut décidé de donner le nom du groupe scolaire du hameau à celui qui, sa vie politique durant, aura travaillé au côté de cinq présidents de la République et participé à huit gouvernements. Un choix validé en conseil municipal le 19 mai dernier.

« Une école ! Jamais, je n’y ai pensé ! Jamais, je ne l’ai espéré ! C’est le plus beau cadeau que vous puissiez me faire et le plus inattendu… ».

Visiblement ému, le bientôt nonagénaire savoure avec gourmandise cette escapade à Laborde : « j’ai des souvenirs ici extraordinaires. Les hameaux sont les joyaux d’Auxerre… ».

Un attachement qu’il a souhaité concrétiser par la remise d’un chèque de 1 000 euros afin d’aider au développement de la bibliothèque de l’école. L’occasion d’une petite pique à ceux qui, alors ministre des Sports, de la Jeunesse et des Loisirs sous GISCARD, lui avaient retiré la tutelle des bibliothèques pour la confier au ministère de la Culture : « mais la culture, elle avait encore moins d’argent que moi et ceux qui ont demandé ça, ont fait une très mauvaise opération financière ! ».

 

Tout se termine toujours autour d’un verre de chablis !

 

Il fait chaud en ce premier samedi de juillet. La cérémonie touche à sa fin, l’heure du pot de l’amitié a sonné et le héros du jour sonne le rappel : « Venez les gamins, on va boire un verre de chablis ! ».

A la bonne vôtre, Monsieur SOISSON, vive Chablis, vive Laborde et vive la vie !

 

 

Des petites phrases à retenir…

 

« Je crois bien avoir passé plus de temps avec lui qu’avec ma femme… » (Alain DROUHIN, maire de Bléneau et ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre SOISSON).

« Avec Camille DEBAY, votre adjoint de 1971 à 1984, vous nous avez toujours soutenu, vous avez toujours privilégié le « bien vivre » à Laborde, préférant une urbanisation raisonnée afin de conserver notre esprit village… ». (Marie-Ange BAULU, conseillère municipale déléguée aux hameaux de Laborde et Jonches).

« Vous savez, j’ai quand même passé près de quarante ans à ses côtés et c’est avec beaucoup d’émotion que je suis là aujourd’hui, alors qu’on lui rend cet hommage qu’il mérite… » (Jean-Paul SOURY, ancien assistant parlementaire de Jean-Pierre SOISSON).

« C’était un client d’une simplicité et d’une gentillesse sans pareil. A chaque fois, il passait en cuisine voir ce qu’il allait manger, grapillant au passage quelques gougères. Il faisait en général confiance à mes propositions, comme cette fois, où, recevant le « Club des 100 » dont il était membre, j’avais émis l’idée de servir des pieds de cochon gratinés sur toasts à l’apéritif. Il s’en était inquiété : « Tu n’y pense pas ! Il ne faut pas rigoler avec ces gars-là ! ». Ils n’en avaient jamais mangé et j’ai eu un succès phénoménal avec mes pieds de cochon, plus qu’avec tout le reste du repas ! Ils en avaient sans doute marre du homard… ». (Jean-Luc BARNABÉ, ancien restaurateur).

« En tant qu’enfant de Laborde, ça me fait plaisir que l’école porte son nom, même si personnellement, je pense que cela aurait été une bonne chose que le choix se porte sur Raymonde, l’ancienne institutrice qui, arrivée en 1963, a travaillé là pendant plus de 23 ans. A l’époque, l’école se trouvait à la mairie et elle s’occupait des quatre classes… ». (Didier, natif de Laborde).

« Lors des Conseils européens à Bruxelles, je débarquais toujours avec un carton de chablis. Je me rappelle d’un ministre allemand, un solide bavarois, qui connaissait Chablis mais pas Auxerre et me présentait toujours comme celui qui habitait une petite ville, pas loin de Chablis… ». Jean-Pierre SOISSON.

 

Dominique BERNERD

 


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C’est sûr : on en saura davantage sur le nouveau lieu d’affectation et les fonctions qui lui seront confiées au soir du 19 juillet ! Pour l’heure, et sans extrapoler sur la suite, contentons-nous de dire que le commissaire divisionnaire et directeur départemental de la Sécurité publique de l’Yonne, Raphaël JUGE, s’acquittera donc définitivement de sa mission icaunaise après bientôt trois ans de présence prochainement.

 

AUXERRE : Et une, et deux, et trois années en terre de l’Yonne, mais pas davantage, avant de refaire ses valises et de se rendre sur son futur lieu d’affectation ! C’est ce que vivra d’ici quelques jours, au cœur de la période estivale, Raphaël JUGE, commissaire divisionnaire de son état, directeur départemental de la Sécurité publique de notre département.

Celles et ceux qui ont été les bénéficiaires du petit « bristol », émanant de la préfecture de l’Yonne, arrivé dans leur boîte aux lettres ces jours-ci ont sans doute été surpris de la nature officielle du message préfectoral.

Le départ d’une nouvelle personnalité de notre territoire mais ceci étant d’une logique implacable au cœur de l’été, époque bénie des nominations et des promotions.

 

 

Après un séjour de trois années (déjà !) à la tête du district de Boulogne-sur-Mer, Berck et du Touquet et une nomination au pays des cèdres, au Liban, le policier parisien succédait en septembre 2019 à Thomas BOUDAULT, lui-même nommé chef de district et commissaire central de Palaiseau, en Essonne.

Il y a quelques jours encore, Raphaël JUGE, assistait aux côtés de Marion AOUSTIN-ROTH, directrice du cabinet du préfet de l’Yonne, et son homologue, le colonel Christophe PLOURIN, à une conférence de presse explicative sur les bienfaits de l’opération « Tranquillité Vacances ».

Agé de 47 ans, Raphaël JUGE qui aura œuvré autour de l’ordre public, de l’investigation et du renseignement quittera l’Yonne avec le sentiment du devoir accompli. Prêt à vivre de nouvelles aventures professionnelles…

 

Thierry BRET

 

 


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Plus rien des deux édifices ne restera debout aux alentours du 15 août. Curieuse coïncidence, en vérité, que le choix de cette date – totalement involontaire par ailleurs ! – correspondant à l’enlèvement au ciel de la Vierge Marie (Assomption) que célèbreront au cœur de l’été les Chrétiens ! Qu’on se rassure, la démolition de deux des bâtiments, l’un scolaire, l’autre administratif, qui accueillaient jadis le collège Bienvenu-Martin ne comporte aucun caractère ostentatoire empreint de mysticisme !

 

AUXERRE : Ah, les joies des constructions de type PAILLERON ayant bercé toute notre enfance ou une large frange de notre vie professionnelle ! Des bâtiments, tous conçus sur le même moule, ces fameux blocs de béton monolithiques sortis de terre au terme des années 60 et qui furent érigés sur plusieurs étages devant accueillir potaches et enseignants dans le cadre de la vie scolaire.

Une certitude quasi absolue : peu ont survécu aux affres du temps et au délabrement annoncé. Vétustes, ces édifices ne répondent plus aux normes actuelles de sécurité et de salubrité.

 

 

Une coquille vidée de sa substance pédagogique…

 

Pour s’en apercevoir de visu, il suffit de traîner ses guêtres du côté de l’ancien collège, aujourd’hui désaffecté, Bienvenu-Martin au nord d’Auxerre pour observer de facto les ravages du temps sur ces immeubles décrépis. Il faut faire vite d’ailleurs ! Car, aux environs du 15 août, il ne restera plus grand-chose pour ainsi dire de ces deux verrues qui ternissent depuis si longtemps le paysage de ce quartier.

La déconstruction de l’ancien établissement scolaire a donc démarré fin juin. Les ouvriers du BTP sont à pied d’œuvre, et ce pour une période de plusieurs mois, sans doute jusqu’en novembre.

Condamné à la fermeture après moult péripéties ayant défrayé les chroniques médiatiques en 2019, le collège Bienvenu-Martin fait figure depuis de coquille vidée de sa substantifique moelle : une présence humaine.

Exit les collégiens, leurs professeurs et le personnel administratif de l’Education nationale, place aujourd’hui, et pour cette courte époque estivale, aux salariés d’entreprises spécialisées devant faire passer de vie fantomatique à trépas ce qui reste de ce vestige pédagogique.

Un crève-cœur, sans doute, pour celles et ceux qui eurent à fréquenter l’endroit durant ces décennies d’apprentissage mais une nécessité on ne peut plus louable pour le Conseil départemental de l’Yonne, en charge de la vie collégienne sur son territoire.

 

 

Des mauvaises surprises à tous les étages de l’édifice…

 

Une visite guidée dans cet antre de la désolation immobilière auxerroise montre à quel point l’insalubrité se constate à tous les étages de ce bâti et dans ses moindres recoins. Ici, c’est une fenêtre donnant sur l’extérieur qui s’affaisse ; là, c’est un panneau mural qui risque de s’effondrer. Heureusement qu’il n’y a plus de gamins et d’enseignants dans cet univers lugubre que même les squatters n’ont jamais osé occuper l’hiver.

Et comme tout bâtiment PAILLERON qui se respecte, les mauvaises surprises ne se situent pas forcément au-dessus des têtes de ces quelques visiteurs de fortune qui viennent observer le déroulé des travaux dont le conseiller départemental Christophe BONNEFOND, accompagné de techniciens, mais bel et bien au sol.

C’est là, précisément, sous nos pieds que se cache sournoisement l’amiante qui sert à l’isolation. Les 4 750 mètres carrés de ces deux bâtiments sont truffés de ce poison dont il faudra extraire avec moult précautions les morceaux lors de ces travaux de démolition.

 

 

Une nouvelle infrastructure pour l’accueil des archives…

 

Pour arriver à bon port, le Département n’a pas ergoté sur les moyens techniques à mettre en œuvre. Requérant après les appels d’offres légitimes, les services de professionnels comme le cabinet spécialisé de Saône-et-Loire, TEAM Ingénierie, les sociétés CODE PASS, en charge du désamiantage des lieux – la structure est vosgienne – et la SAS BARUCH Environnement, entité alsacienne, pour gérer le lot de curage et de la démolition. Bref, un budget global de 500 000 euros, TTC, entièrement pris en charge par l’institution départementale de l’Yonne.  

L’approche de ce chantier est également environnementale. Côté récupération, tout d’abord, puisque 3 300 tonnes de bétons feront l’objet d’une valorisation par le biais d’un concassage. Quant aux 400 tonnes de matériaux divers, ils seront triés avec le concours des filières appropriées.

D’une longueur initiale de 45 mètres, le collège Bienvenu-Martin, construit au début des années 70, ne sera donc bientôt plus qu’un lointain souvenir. Encore vivace, sans doute, pour celles et ceux qui y vécurent les joies d’une adolescence aujourd’hui révolue.

Nonobstant les pensées nostalgiques, le site vivra un retour en grâce au printemps 2027, avec l’inauguration probable du nouveau complexe immobilier devant accueillir les archives regroupées en un seul endroit : celles de la Communauté de l’Auxerrois, de la Ville d’Auxerre et, naturellement, du Conseil départemental de l’Yonne.

Autre temps, autre type d’affectation en somme !

 

Thierry BRET

 

 


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Nos dirigeants, qu’ils soient politiques ou économiques, ne négocient plus : ils expliquent ! Les experts ne peuvent pas se tromper ?! On a assisté avec la crise de la COVID à des batailles de soi-disant spécialistes qui se contredisaient en permanence. La crise sanitaire fut salutaire à plus d’un titre : redonner aux citoyens le pouvoir de s’insurger en faisant perdre la confiance aux savants et dirigeants politiques. Avec les technocrates, le jugement et le verdict sont systématiquement imposés.

 

TRIBUNE: Les solutions préconisées sont soumises aux marchés financiers, ce que le sociologue Pierre BOURDIEU appelle « le nouveau Léviathan » ! Le terme « technocratie » est en général utilisé avec une connotation péjorative. Le mot dénonce un certain type de pouvoir légitimé par la technique, par opposition au pouvoir adoubé par les citoyens. Ce qui la rend incompatible avec la démocratie.

 

Depuis de nombreuses années, on tente de nous faire croire que les phénomènes sont trop complexes – que seuls les spécialistes peuvent trouver les bonnes solutions - qu’il est temps de céder le pouvoir aux « sachant » ! Seule, une élite normée, au sceau d’une grande école (de type ENA) peut apporter le remède à nos maux ! La déviation du système technocratique fait que nous laissons le pouvoir à ceux qui ne sont pas issus des urnes.

 

Il s’agit essentiellement de ceux qui connaîtraient les bonnes solutions pour le pays (les « sachant » ou comme les désigne Charles GAVE, les « Oints du Seigneur »), ceux dont la parole vaudrait ipso facto caution scientifique, quel que soit le salmigondis intellectuel servi. On peut y ajouter ceux qui présenteraient des gages de raison au système politico-administratif, notamment par le passage dans un grand « corps ». Par la technocratie, le Président de la République Emmanuel MACRON a tenté de nous embarquer dans un discours politique et une aventure politicienne où la notion de « parti » est sans intérêt. Plus de droite ni de gauche, seule la technique compte… Avec l’avidité du pouvoir qui anime ses nouvelles élites, avec plus d’idéologie, plus de programmes précis, plus d’ambitions. Dont celle de l’ego…

 

Des dérives évidentes et continuelles dans le système…

 

Si rien, au niveau de la pensée politique ou économique, ne permet de définir le « macronisme », du point de vue de la sociologie des élites, telle que l’envisage le sociologue Vilfredo PARETO, il s’agit de la tentative désespérée d’une technocratie monolithique de reprendre la main sur les passions populaires : « elle se construit contre une France périphérique qui se serait vendue au populisme ». C’est aussi la raison pour laquelle nos ministres et notre président nient toute forme de réalité pointée du doigt par le peuple !

La tentation autoritaire a déjà fait ses preuves lors du dernier quinquennat : pratiquer le « 49.3 » et sortir les ordonnances à qui mieux mieux représentent les armes légales absolues contra la vie parlementaire.

 

 

En finir définitivement avec l’ère des technocrates ?

 

L’échec constaté des mesures prises à l’encontre de la vie des institutions peut ouvrir une nouvelle voie. Une vie parlementaire où peuvent s’affronter des idées et surtout sur des programmes basés sur des idéaux.

La recomposition des partis peut être un chemin salutaire pour le redressement de la France. Le bons sens viendra-t-il de nos deux nouvelles députées qui exerçaient autrefois le métier de femme de ménage ?! Espérons qu’elles fuiront l’inévitable instrumentalisation…

Pour autant, souvenons-nous de Pierre BEREGOVOY. Comment un citoyen lambda, avec en poche un CAP d'ajusteur a pu devenir successivement ministre de l’Économie et des Finances puis le premier d’entre eux ?

Ce qui est certain, c’est que ce personnage politique atypique a admirablement tenu des postes réservés aux élites. Donc, c’est possible si l’on s’en tient, comme il a su le faire, à un idéal politique et en laissant vivre les institutions. Nous étions alors dans une république imaginée par Platon : « chaque citoyen est électeur et prêt à être élu ».

COLUCHE avait au moins raison sur ce sujet : « quand on pose une question à un technocrate, à la fin de sa réponse, on a oublié la question posée ! ».

Plus grave encore pour la suite de la crise économique : « quand tu demandes quelque chose à un homme politique, il t’explique comment t’en passer ! ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Les agendas se noircissent déjà aux pages du mois de septembre, annonciateurs de rendez-vous probants à suivre de très près pour mieux appréhender l’univers éclectique de l’économie. Parmi ces dates essentielles, l’une d’entre elles doit figurer en bonne place dans l’emploi du temps, biffée à l’encre noire et entourée de rouge : le 08 septembre ! Ce jour-là, des experts nationaux et régionaux du numérique débattront de l’impact et des enjeux de la révolution digitale que nul entrepreneur ne peut plus ignorer désormais…

 

AUXERRE : Le XXIème siècle sera numérique ou ne le sera pas pour les entreprises et collectivités réfractaires à cette technologie, condamnées aux fourches caudines de l’oubli. La phrase aurait pu être prononcée jadis par un André MALRAUX, alors ministre gaulliste de la Culture. Ce dernier prophétisait bien avant que ne survienne ce siècle moderniste, sur ses potentialités à venir, le souhaitant davantage spirituel qu’il ne l’est, en vérité, aujourd’hui !

Mais, une chose est sûre : quiconque s’abstiendrait de méconnaître ou de transgresser l’appropriation du numérique à bon escient s’exposerait à échouer dans sa quête professionnelle, dorénavant ! Plus qu’une certitude, c’est un sacerdoce pour bon nombre d’experts et autres érudits qui aiment disserter à propos de ce sujet !

 

 

L’événement indiscutable de la rentrée économique…

 

Quelques-unes de ces personnalités, éminents spécialistes de cette thématique, effectueront donc le déplacement en terre auxerroise le 08 septembre prochain lors d’un rendez-vous attendu que nous gratifie désormais la Maison de l’Entreprise de l’Yonne et de la Nièvre en début de saison : son évènementiel de rentrée !

Une manifestation qui est placée sous le sceau de l’économie, peu de jours après le retour des élèves dans leurs écoles : c’est dire si ce nouveau point d’ancrage, apparu en 2020 en pleine période du COVID, dans le landerneau icaunais s’inscrit parmi les incontournables. Indéboulonnable ?

 

 

Après la mobilité électrique – item on ne peut plus d’actualité avec l’augmentation galopante des prix à la pompe – et la RSE, liée à l’environnement, la Maison de l’Entreprise a donc décidé à s’attaquer à l’un de ces sujets majeurs qui font les choux gras de la presse spécialisée sur le registre économique : le numérique.

On ne dit plus d’ailleurs les nouvelles technologies car de « nouvelles », elles sont passées depuis des lustres dans les mœurs de bon nombre de nos concitoyens.

 

Deux pointures dans leur domaine de prédilection en guise de fil d’Ariane…

 

Résultat des courses, les équipes rapprochées de Claude VAUCOULOUX, chef d’orchestre de la Maison de l’Entreprise, de l’UIMM et du MEDEF de la Nièvre et de l’Yonne, se sont mises en mode opérationnel depuis plusieurs semaines afin de concocter le fil rouge de cette animation de belle envergure à laquelle bon nombre d’entrepreneurs et de représentants institutionnels vont se raccrocher. Soucieux d’en savoir toujours plus comme le narrait François de CLOSETS !

Surtout que sont prévues les interventions sous forme de conférences de deux figures hexagonales de la question : Agathe MALINAS, en charge du thème du « métavers » au sein du cabinet de conseil international SIA Partners et Kalina RASKIN, sur le bio mimétisme. Cette dernière, ingénieure physico-chimiste et docteur en neurosciences dirige le CEEBIOS, le Centre d’études et d’expertises dédié au déploiement du bio-mimétisme en France.

Autant dire que les questions devraient fuser dans un amphithéâtre certainement rempli comme un œuf.   

 

 

Faire travailler ses neurones avec les esthètes de la discipline…

 

Ce cocktail explicatif mais pas explosif – quoi que ! - sur la révolution numérique et ses enjeux se complétera par deux tables rondes où les acteurs régionaux et du terroir icaunais feront part de leurs expériences – leurs initiatives, aussi – en matière de technologies numériques.

La première de ces deux vitrines analytiques se rapportera aux technologies numériques au cœur des process ; la seconde insistera volontiers sur les nouveaux usages, l’émergence des nouveaux métiers et formations ainsi que la décarbonation du numérique. Bref : de quoi s’enrichir les neurones pour pas cher et avec les compétences qui vont bien à partir d’exemples concrets à l’appui !

 

En savoir plus :

Conférence Numériquez-vous !

Maison de l’Entreprise Auxerre

Le 08 septembre 2022

De 09 heures à 17 heures

Entrée gratuite

Inscription obligatoire sur www.numeriquez-vous.fr

 

Thierry BRET

 

 

 


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