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Quarante-deux clichés à déguster sans modération : Jean-Michel LORAIN nous régale de sa passion pour la vie sauvage
décembre 18, 2021Ce regard, évocateur et si émouvant, est immortalisé sur la toile. Celui d’un jeune gorille, surpris dans son élément naturel qui fixe avec tendresse l’objectif du photographe. Ce dernier a des étoiles plein les yeux. Normal ! Quand on en est une soi-même sur un tout autre registre qui se nomme la gastronomie ! On connaissait le talent de l’une des grandes toques de la cuisine française derrière les fourneaux. Le voici qui exulte, visuels à l’appui, à travers sa passion de toujours : la photographie…
JOIGNY : Loin de l’univers épicurien fleurant bon les senteurs subtiles de recettes mitonnées aux petits oignons pour délecter les palais des plus fins gourmets de tout horizon, Jean-Michel LORAIN possède lui aussi son violon d’Ingres.
Son inévitable bouffée d’oxygène salvatrice qui lui permet de temps à autre mais avec une régularité constante de se ressourcer. Distillant le bien autour de lui, car il a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la vie animale et la préservation des espèces les plus menacées.
Une voie humaniste et écologiste que le chef étoilé aurait pu vivre sous le boisseau. Dans le secret absolu et en la limitant à son seul cercle familial ou privé. Mais, sa volonté de bien faire pour autrui en protégeant la biodiversité de notre planète en danger s’est révélée la plus forte.
C’est sûr : cette première exposition photographique en appelle déjà d’autres. Sélectionnant la quintessence de l’approche photographique parmi des milliers de visuels qui ont été savamment exécutés, à force d’abnégation, de pugnacité et de patience, le reporter gastronome nous propose un condensé de prises de vue du plus bel aloi.
La beauté troublante de visuels qui immortalisent les sujets…
A leur contemplation, on se surprend déjà à rêver. A parcourir des kilomètres à pied ou en 4X4 à travers la savane africaine pour débusquer un félin se reposant au beau des milieux des herbages. A approcher au plus près ces grands mammifères plutôt dociles que sont les gorilles, nos lointains cousins germains.
Intitulé « Regard Animal », ce rendez-vous artistique est finement ciselé. Dans une mise en scène parfaitement étudiée par l’auteur de ces photographies qui bascule de facto dans l’approche réussie de l’art animalier.
Quarante-deux visuels sont ainsi dévoilés à l’appréciation du public qui peut en admirer le rendu jusqu’au terme de ce mois de décembre. Une invitation au voyage dans les paysages de l’Afrique et de sa contingence animale. Un émerveillement inestimable pour le regard car la beauté des sujets est troublante.
Que dire de cette maman girafe et de son girafeau qui se promènent nonchalamment dans la savane ! De ce couple de singes, la mère et son petit, inscrit pour l’éternité dans ce travail esthétique qui se passe de mots pour le commenter ! De ces oiseaux couchés dans la brillance de ce cadre suspendu à sa cimaise !
L’Afrique est à portée de main. Dans la salle de cette galerie d’art de Joigny (L’app’ART) qui offre une excellente vision à l’ensemble. On ferme les paupières et on laisse courir son imaginaire. Prêt à entendre le feulement d’un guépard qui croise dans les parages !
La vente de visuels au profit de « Dessine-nous un avenir »…
Cerise sur le gâteau : on peut aussi acquérir les œuvres de Jean-Michel LORAIN afin de les mettre en lumière au beau milieu de son environnement personnel ou professionnel. Un achat synonyme d’altruisme puisqu’une partie des recettes obtenues est destinée à alimenter les fonds de l’association que le propriétaire de « La Côte Saint-Jacques » porte depuis plusieurs années avec la complicité bienveillante de son épouse, Karine.
« Dessine-nous un avenir » n’a d’autres objectifs que de sensibiliser les plus jeunes de ces générations à l’urgence de protéger la planète et sa biodiversité. En aidant en parallèle les structures associatives ou ONG qui luttent au quotidien dans l’accomplissement de ces lourdes tâches. Le combat de Jean-Michel LORAIN et de son épouse qu’ils souhaitent partager vers le plus grand nombre…
En savoir plus :
Exposition « Regard Animal » de Jean-Michel LORAIN
Galerie L’app’ART
Jusqu’au 31 décembre 2021
31 rue Cortel - Joigny
Mercredi à vendredi 14h-19h /
Samedi 10h-19h et dimanche 10h-18h
Thierry BRET
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Ses chroniques gourmandes s'arrêtent sur France Bleu : Gauthier PAJONA a su mettre en appétit les Icaunais épicuriens
décembre 16, 2021A fleuret moucheté, ce disciple de Bacchus, fervent admirateur de la bonne chère et de la large soif, aura distillé pendant huit années de réels plaisirs radiophoniques partagés vers le plus grand nombre son style inimitable, ses passions culinaires et ses commentaires gouleyants qui ont fait les grandes heures de France Bleu Auxerre. Un clap de fin radiophonique avant de nouvelles aventures numériques ?
SENS : Dans la boîte, l’ultime prise de son de la fameuse émission radiophonique, « Ici c’est l’Yonne », avec l’un de ses animateurs vedette ! Le lieu est prestigieux, limite mythique pour les adorateurs de la cuisine raffinée, façon succulence garantie au fond de l’assiette.
Pour son dernier rendez-vous avec ses chers auditeurs qui le suivent fidèles de manière hebdomadaire depuis si longtemps, le chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA a choisi de poser son micro à « La Côte Saint-Jacques ».
Cette antépénultième chronique, le roi de l’anecdote gastronomique, va la consacrer à l’un des maîtres de l’art culinaire à la française, le regretté Michel LORAIN. Dont son fils, Jean-Michel, qui a repris les rênes de ce vaisseau amiral de belle facture a hérité la passion et le don.
L’émission sera diffusée le 15 janvier prochain, dans sa tranche habituelle. Entre dix et onze heures. Avant de passer à table après s’être sacrifié avec délectation au rite de l’apéritif !
Une belle façon de commencer l’an nouveau. Une dernière pirouette pour dire adieu à cette voix passionnée et inimitable qui accompagnait les auditeurs de la station du service public depuis des lustres.
Une aventure radiophonique pour évoquer les produits du terroir…
Gauthier PAJONA qui appréciait les joies du direct sur le terrain au plus près des grandes toques de ce territoire et des plus obscurs mais tout aussi talentueux as de la gastronomie rend son tablier. Une séparation à l’amiable parce que l’émission dont il aura été le héraut durant huit années sera désormais enregistrée en studio. Loin, très loin des pianos et autres fourneaux des chefs à la dextérité si experte !
C’est cela qu’il adorait par-dessus tout cet amoureux de l’excellence culinaire, faire des directs en studio ou dans les cuisines regorgeant de victuailles de ses amis, membres de l’Académie culinaire de France, de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, des disciples d’Escoffier, ou portés au firmament de la célébrité puisque étoilés au Michelin.
Que ce soit avec Nathalie RIVAUD (une perle rare de l’animation radiophonique pour composer ce binôme anachronique qui se complétait à merveille pendant six ans) ou avec Catherine MARCHESIN, l’ami Gauthier que tous les amoureux de la table ont eu l’heureuse opportunité de croiser au moins une fois dans leur existence dans un restaurant ou un estaminet dans l’Yonne, vivait cette aventure sur les ondes comme un poisson dans l’eau. Logique pour ce grand amateur de noix de Saint-Jacques et de crustacés !
Une page se termine, une autre va s’ouvrir…
Pourvu d’une silhouette reconnaissable parmi mille, affublé de son éternelle coiffe, chapeau ou casquette selon les conditions météo, qui lui donnait des airs de turfistes à la Michel AUDIARD se rendant au « Gentleman d’Epson », Gauthier PAJONA restera le symbole flamboyant de l’art de vivre démystifié et vulgarisé pour le commun des mortels dans notre région. Un esthète se donnant tout entier aux auditeurs de l’Yonne à qui il aimait donner la parole lors de ses directs.
Que ce soit sur les nombreuses foires de Sens où il a animé des émissions ou dans le cadre dantesque des cérémonies vineuses telles que les Saint-Vincent bourguignonnes, à Irancy en 2016 ou à Vézelay quatre ans plus tard, ce personnage haut en couleur, truculent dans le choix de ses mots et d’une fidèle amitié (loyauté aussi) a pu exercer ses talents aux côtés de Jean-Luc PETITRENAUD, que l’on en présente plus.
Gourmand et gourmet à la fois, as des as de la cuisine à titre personnel, amateur émérite de grands crus, dénicheurs de petits producteurs du cru : Gauthier PAJONA a donc choisi de couper le son de son micro de manière définitive le 07 décembre.
Une page de sa vie journalistique se termine avec un pincement au cœur. Une autre se profile déjà dans l’univers de la presse en ligne…On en savoure d’avance l'idée !
Thierry BRET
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Un crève-cœur pour Gérard DELAGNEAU : 110 Bourgogne annule son assemblée générale pour raison sanitaire…
décembre 08, 2021La fête aura finalement tourné court pour la coopérative agricole et ses responsables. Ces derniers se faisaient un malin plaisir de se retrouver ce vendredi 10 décembre à l’occasion de la traditionnelle assemblée générale accueillie dans l’enceinte du parc des expositions à Auxerre. Un revers brutal et soudain, imputable au contexte sanitaire du moment de plus en plus tendu…
AUXERRE: L’annulation soudaine de l’assemblée générale de la coopérative 110 Bourgogne replonge les mémoires des observateurs attentifs aux plus mauvais moments de la crise sanitaire. Le contexte actuel, avec la propagation exponentielle des nouveaux variants de coronavirus nous renvoie quelques mois en arrière. Au moment précis où s’annulaient en cascade toutes les manifestations, inscrites au calendrier.
Ce n’est donc pas de gaité de cœur que le président de la coopérative agricole régionale, Gérard DELAGNEAU, entérinait cette décision inextricable compte tenu de l’environnement ambiant.
Prévu ce vendredi 10 décembre à AUXERREXPO et devant accueillir plusieurs centaines de participants, l’évènement a été purement retiré de l’agenda. Un immense regret pour le toujours dynamique président qui s’est fait écho de cette annulation dans un bref et lapidaire message numérique adressé à l’ensemble des représentants de la filière agricole.
Gérard DELAGNEAU devait profiter de cette ultime séance de retrouvailles de l’année pour y fêter le terme de sa présidence. Un léger répit pour l’intéressé qui promet la tenue d’une réunion publique à programmer à une date ultérieure. Une fois que les conditions sanitaires le permettront. Le seul et unique rayon de soleil, finalement, qui permet au président de 110 Bourgogne de continuer à garder le cap en attendant des jours meilleurs !
Thierry BRET
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La pédagogie du CIFA de l’Yonne adoubée par l’Académie Culinaire de France : la reconnaissance des maîtres !
décembre 06, 2021De la pure logique. Elle se concrétise, non pas par la pose d’une simple plaque commémorative enrubannée de son référent tricolore à découper par les officiels comme le veut l’usage. Mais, de deux rappels à l’ordre, visuels et bien situés évoquant ce « saint des saints » de l’excellence gastronomique en mode apprentissage finement ciselé ! Adoubé par la vénérable institution qu’est depuis 1883 l’Académie Culinaire de France, le CIFA de l’Yonne bénéficie désormais d’une reconnaissance universelle aux petits oignons !
AUXERRE : Quelle palette face à nous ! La fine fleur des grandes toques du territoire Icaunais se retrouve dans l’antre de l’excellence gastronomique départementale exprimée dans sa version la plus éducative possible : l’apprentissage.
Des chefs de renom discutent avec le plaisir lors de ces retrouvailles enjouées. Parfois au glorieux passé. Pour d’autres, aux recettes succulentes dont certaines copiées n’ont jamais été égalées depuis leur jus initial !
Réunis dans l’espace brasserie du restaurant d’application, tous portent beau. Les vestes d’apparats sont munies de leurs insignes si caractéristiques et reconnaissables. Celles qu’ils arborent fièrement avec magnificence et droiture, traduisant leur appartenance à l’honorable Académie Culinaire de France.
Une institution mémorable que cette structure, fondée en 1883 par un esthète de la cuisine, le Suisse Joseph FAVRE, et qui accueille aujourd’hui plus de mille quatre cents membres. Le nec plus ultra de la gastronomie hexagonale : des académiciens…
Un dénominateur commun usuel aux deux parties : l’excellence !
La venue de toutes ces pointures de l’artisanat poussé à son paroxysme professionnel coïncide avec la pose de plaques commémoratives, au nombre de deux, marquant la reconnaissance de l’entité nationale, présidée par Fabrice PROCHASSON, Meilleur Ouvrier de France 1996, au centre interprofessionnel de formation d’apprentis auxerrois.
Cet incontournable CIFA dont on nous tresse des lauriers, synonymes de réussites et de victoires surtout auprès de celles et ceux qui le fréquentent, depuis bientôt plus de quatre décennies.
Un CIFA qui sait aussi se distinguer à travers l’une des filières corporatives dont il assure la promotion via ses jeunes pousses qui en sortent chaque année diplômes dans l’escarcelle. Les métiers de l’hôtellerie et de la restauration, service compris !
Avec à la baguette pédagogique l’une des figures locales de cette prestigieuse académie Jean-Marie LAMOUREUX, il apparaissait évident que tôt ou tard un tel rapprochement puisse exister entre gens de bonne compagnie ayant comme dénominateur commun ce mot : excellence !
Des bulles de bonheur dans les yeux des apprenants…
Comme devait le préciser lors de son intervention le vice-président des Toques Françaises et ancien chef chez LENOTRE à Paris Fabrice PROCHASSON : « la vocation de notre institution est de défendre, perfectionner, transmettre l’art culinaire français à travers le globe… ».
Pour les jeunes apprentis qui auront le plaisir de servir à la table du Com’des Chefs cette noria d’étoiles et de références de cet art sublime qu’est celui de la cuisine, c’est l’effervescence façon champagne millésimé !
Des bulles de bonheur qui pétillent jusqu’au fond des regards. Y compris dans les yeux de Michel TONNELLIER.
Le président du CIFA boit du petit lait. Autant de toques connues et reconnues dans un environnement qu’il connaît si bien : cela le laisse rêveur. A l’instar de Marcel FONTBONNE, vaillant directeur de l’établissement qui a même décidé d’entamer un cycle de découverte à la cuisine depuis le mois d’octobre, devenant à son tour apprenant parmi les élèves ! Belle manière d’illustrer le volet de l’exemplarité !
Thierry BRET
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Elles célèbrent l’an un de VINO UP sur une péniche : Betty BUFFAUT et Flavie CULOT, deux vrais poissons dans l’eau
novembre 30, 2021La formule est plaisante. Très marketing, certes de prime abord, avec ce zeste indispensable de bienveillance philosophique. « Concrétisons vos idées, transformons vos opportunités ! ». A l’énoncé de leurs parcours respectifs, c’est certain : les deux jeunes femmes ne manquent ni d’allant ni de compétences. Export, gestion de projet, digital, oenotourisme, distribution. Placée en orbite depuis plus d’un an dans l’univers viticole, la start-up n’est pas prête de redescendre de sa courbe elliptique…
AUXERRE : La recette miracle de VINO UP ne tient qu’en un seul mot : assemblage ! Comme celui qui permet de façonner d’excellents nectars à consommer avec modération en temps ordinaire.
Mais, là, dans le cas présent, il n’est pas question de se restreindre, ni sur la quantité, pas davantage sur la qualité ! Voilà deux jeunes filles (de bonne famille !) dont il faut absolument croiser l’itinéraire tôt ou tard pour mieux en savourer la substantifique moelle professionnelle.
L’une est férue de distribution, de gestion de projet et d’export. Il s’agit de Flavie CULOT. Une évidence empruntée à son patronyme : elle n’en manque surtout pas !
L’autre s’est réalisée dans une vie antérieure au contact du digital, du marketing et du développement du tourisme viticole.
Betty BUFFAUT n’est autre que la progéniture du plus connu des cordonniers de la place, aujourd’hui coulant des jours heureux dans le sud de la France à la suite à une retraite méritée, Dominique. Les deux filles forment un tandem unique. Porteuse d’un projet entrepreneurial hors du commun dont elles dirigent la destinée depuis treize mois.
Alors quand il s’agit de célébrer comme il se doit le premier anniversaire de la structure, en faisant la nique à la COVID et à son climat anxiogène, nul autre endroit que « la Scène des Quais » et sa fameuse péniche, bien amarrée au port, ne convient mieux !
Les premiers clients hors de l’Yonne se manifestent pour bénéficier de leurs services…
Etrange paradoxe que celui-ci : ces deux esthètes au service de la vigne et de ses professionnels fêtent leur concept économique sur une surface aquatique ! Le sourire aux lèvres à grand renfort d’empathie dès que le moindre invité descend les quelques marches de la péniche faisant office de cabaret à Auxerre.
Que de chemin parcouru depuis un an pour les deux responsables de la start-up ! Une entité qui se positionne délibérément dans le conseil en développement commercial. Aujourd’hui, les exploitants du Grand Auxerrois et de la région de Chablis applaudissent des deux mains les judicieuses recommandations prodiguées par ces duettistes de choc et de charme.
Immatriculée le 06 novembre 2020, VINO UP a même élargi son champ d’actions auprès des acteurs de la filière de la bière et des spiritueux. Comptant parmi ses aficionados la brasserie FAYYAR de Saint-Bris-le-Vineux. Même un viticulteur de la Loire s’est déjà manifesté. Preuve que les deux comparses peuvent s’exonérer allègrement de la tutelle matricielle de leur département d’origine.
A court terme, des projets d'embauche devraient permettre de compléter l’équipe dès que l’activité partira en flèche. Ce qui ne devrait pas tarder au vue de la solide réputation que la TPE est en train de se faire. Dans l’Yonne mais également dans les territoires limitrophes…
Thierry BRET
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