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L’initiative n’est pas commune ; elle mérite amplement d’être citée à sa juste valeur. Celle de l’altruisme et de la solidarité envers autrui. Afin de doper le nombre d’inscription de dossier médical partagé (DMP) sur l’Yonne, la CPAM organise jusqu’au 26 avril révolu un jeu-concours auprès de ses assurés sociaux. Avec à la clé, cerise sur le gâteau oblige, un téléphone mobile à gagner !

AUXERRE : « Créez votre dossier médical partagé et gagnez un smartphone ! ». L’incitation à l’ouverture du plus grand nombre de DMP se meut en un exercice ludique insolite sur le département de l’Yonne. Une judicieuse initiative en termes de communication qui est conçue par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie !

Le vénérable organisme qui a été chargé de la promotion de ce carnet de santé numérique dès 2016 possède incontestablement de la suite dans les idées.

Pour booster le nombre d’ouverture de dossiers, la CPAM n’a pas hésité à concevoir un jeu-concours, sur la base d’une collecte de bulletins de participation et d’un tirage au sort, où une dizaine de smartphones seront à gagner.

L’action a démarré le 01er mars. Elle s’achèvera le 26 avril à minuit. Entretemps, la responsable du département régulation et santé Pascale QUICLET espère faire exploser les compteurs.

Dans le concret, il existe aujourd’hui trois possibilités pour ouvrir ce dossier qui regroupe toutes les informations indispensables au suivi d’un patient : dans une officine de pharmacie, auprès d’un conseiller de la Caisse ou par la voie numérique, sur la référence, www.dmp.fr.

Le tirage au sort permettant de désigner les heureux possesseurs de ces smartphones dont on ignore la marque et les potentialités techniques mais d’une valeur commerciale à l’unité d’environ 300 euros TTC s’effectuera le 22 mai. Il sera assuré par deux agents assermentés de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

Les lauréats, quant à eux, seront prévenus in fine par mail ou par contact téléphonique.

Précisons que le dossier médical partagé (DMP) représente un document très précieux pour sauver des vies. La caisse régionale de la CPAM d’Alsace a pu constater un gain de temps évalué à une vingtaine de minutes pour les personnes déjà bénéficiaires de ce dispositif lors de leur passage au service des urgences de Strasbourg. Vital et pratique, en vérité…


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L’opération s’est déroulée le 01er mars en présence du directeur régional SNCF mobilités TER Bourgogne Franche-Comté, Eric CINOTTI. Elle aura permis à la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, accompagnée de son vice-président en charge des transports, Michel NEUGNOT, de dévoiler les nouvelles couleurs pelliculées des TER Régiolis, en référence à MOBIGO Bourgogne Franche-Comté. Cette présentation officielle s’inscrivait dans le cadre des investissements que porte la Région Bourgogne Franche-Comté en matière de matériel roulant…

DIJON (Côte d’Or) : Demain, c’est-à-dire en 2020, vingt-quatre de ces machines, composées de quatre voitures, circuleront sur les axes ferroviaires de la Bourgogne Franche-Comté. A ce jour, dix-huit TER Régiolis électriques sont désormais opérationnels.

Mais, le programme Régiolis ne date pas d’hier. Convaincue de sa pertinence, la Région Bourgogne Franche-Comté s’est intéressée dès 2013 à ce matériel roulant. Neuf premières motrices fonctionnant à l’électricité ont ainsi été commandées pour une enveloppe de 57,9 millions d’euros. Parallèlement, l’adaptation de ce matériel aux besoins techniques de sa nouvelle forme d’énergie nécessita des travaux en atelier de maintenance (1,3 million d’euros).

Deux ans plus tard, et s’étant engagée sur un projet global de plus de 170 millions d’euros, la Région consent à ajouter sept autres TER dans son escarcelle. Soit un débours déjà prévu de 48,9 millions d’euros et de 2,2 millions d’euros permettant d’assurer l’adaptabilité du matériel.

Le terme de ce programme à arborescence fut atteint en 2017. Huit autres machines vinrent grossir les rangs de ce parc, qualifié de performant. Pour une ultime tranche financière de 56,2 millions d’euros, à laquelle il fallut adjoindre 4,8 millions d’euros d’adaptation et de maintenance.

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Une quarantaine de Régiolis circuleront d’ici la fin de 2021…

Or, les deux premiers engins, portant les couleurs de MOBIGO Bourgogne Franche-Comté, proviennent précisément de cette dernière commande, sortie des unités de production de chez ALSTOM sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin).

Déjà présente sur plusieurs autocars du réseau, l’estampille chromatique de MOBIGO BFC suppose un investissement de 300 000 euros pour le coût du pelliculage, sur la base de huit TER. Une future commande de seize nouvelles machines, composées de six voitures, devrait être validée lors de l’assemblée générale plénière régionale le 29 mars à Dijon. Ce qui porterait alors le nombre de TER Régiolis à quarante d’ici le terme de 2021.

Cette nouvelle commande nécessitera une enveloppe financière de 224,2 millions d’euros. Somme qui avait été votée au mois de décembre lors de la présentation du budget primitif 2019.

Quant au coût de l’habillage complet des seize futures rames – cela comprend aussi la mise en place des couvertures vertes en toiture-, il s’élèvera à 1,1 million d’euros.


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Exercice de style réussi pour l’ensemble des débatteurs de ce énième rendez-vous, décliné cette fois-ci par l’Association des Maires de l’Yonne et la municipalité. Observés attentivement par le politologue Pascal PERRINEAU, l’un des garants de la bonne tenue de cette consultation nationale, les orateurs-malheureusement trop peu nombreux- ont pu balayer large au niveau des doléances et suggestions à propos des changements de paradigmes dont notre société a grand besoin…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Si le principe de cette grande consultation nationale, ouverte à tous, est vertueux car il libère la parole de celles et ceux que l’on entend jamais ; nonobstant, il n’aura pas fait florès parmi la population de la localité vigneronne ce vendredi 22 février en fin d’après-midi.

La faute incombe à une confusion manifeste autour de l’horaire exact de cette rencontre qui était concoctée conjointement par l’AMF de l’Yonne et la commune. La réunion ne se déroulait pas à 21 heures comme cela avait été abondamment annoncée mais bel et bien à 18 heures…

Pourtant, force est de constater que le vieil adage, bien connu de tous (« les absents ont toujours tort ») s’est révélé une fois de plus révélateur à plus d’un titre. Tant l’intérêt des doléances et suggestions émises par ce public, certes dispersé, a été à la hauteur des attentes des organisateurs de ce rendez-vous consultatif.

C’est en maître de cérémonie scrupuleux mais très compréhensif dans la libre circulation du verbe et de la parole que le président de l’Association des maires de l’Yonne, et tout récent conseiller départemental, Mahfoud AOMAR, anima les échanges. Respectueux du protocole devant préciser les modalités opératoires de l’exercice.

Le cadre étant ainsi posé, les quatre grandes thématiques structurant le canevas habituel de ce Grand Débat national délocalisé purent enfin être soumises à la sagacité de l’assistance. Parmi laquelle avaient pris part des élus représentatifs de l’Yonne, la sénatrice Dominique VERIEN, le conseiller départemental Xavier COURTOIS ou encore-elle en était la force accueillante légitime- la maire de Saint-Bris-le-Vineux et Vice-présidente de l’Agglomération de l’Auxerrois, Rachel LEBLOND.

De la transparence au niveau de la fiscalité et sur l’Europe…

Que dire de ces énumérations successives de désidérata, de critiques, de remarques sur ce qu’il serait nécessaire de faire et de ne plus faire dans toutes les strates de la société française ?

Déclinant thème par thème, et consciencieux que chacun puisse s’exprimer à loisir sans contraindre ses interlocuteurs à un minutage trop strict de la parole, Mahfoud AOMAR énonça les différents sujets, provoquant ainsi des réactions à brûle-pourpoint de l’auditoire. Timides au démarrage de la séance, elles devinrent plus franches et très nettes au fur et à mesure du déroulé de cette séance oratoire.

La fiscalité fut l’un des points d’orgue de cette soirée de concertation. Traçabilité de l’impôt, emploi de l’argent pour quels objectifs…autant d’interrogations de la part de villageois qui exprimaient leurs réelles attentes. Le poids des services publics dans les campagnes ne fut pas oublié de ces dissertations orales. Le risque de la dématérialisation à tout crin menaçant le facteur humain et la proximité, chère à beaucoup de nos concitoyens, fut avancé également par certains des intervenants.

Plusieurs problématiques inhérentes à la désertification des territoires ruraux firent surface : le recul de la santé avec la rareté des médecins, le droit à l’Internet pour tous (ne faudrait-il pas constitutionaliser un tel droit au niveau de l’accès à la fibre et faire preuve d’égalitarisme ?), l’éducation qui est en réel danger avec l’absence de repères auprès des jeunes générations…

La transition écologique ne se décrète pas, elle s’apprend grâce à l’éducation…

Face aux aberrations de la fonctionnalité administrative de notre pays, les débatteurs n’ont pas manqué d’être réactifs et précis dans leurs commentaires avisés. Et de monopoliser la parole à la grande satisfaction des observateurs présents dans la salle : à savoir, le politologue Pascal PERRINEAU, l’un des garants de la bonne tenue et conformité de ces débats nationaux dont le carnet à spirale se noircissait abondamment de notes détaillées.

« Quid du rôle de l’élu de proximité qui demeure la pierre angulaire pour gérer l’aspect social dans les communes ? », s’interrogea Rachel LEBLOND lors de sa prise de parole.  

Avant que le débat ne statue sur le rôle de l’Europe dont seraient assujettis de nombreux pans de l’économie (l’alliance entre les deux poids lourds du transport, SIEMENS et ALSTOM, qui vient de capoter…).

Quant à la transition écologique, elle ne fut pas évincée pour autant de ces discussions passionnantes. Un thème capital pour différents témoins où il est nécessaire de changer les paradigmes. L’un des habitants de Saint-Bris-le-Vineux n’hésita pas à dire que l’on n’imposait pas la transition écologique de manière forcée et sans explicatif. Que ces notions environnementales devaient se vivre par le biais de l’éducation et de l’adhésion collective.

Bref, la joute oratoire perdurera un long moment entre ces diverses composantes de la sphère citoyenne française. Une manière constructive et positive de créer du lien social afin de mieux se connaître et de pouvoir démocratiquement dire tout ce que l’on a sur le cœur. Avant la prochaine étape restitutive ?


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Spécialisée dans la pose de canalisations électriques et numériques, qu’elles soient sous-terraines et aériennes, la société de travaux publics de Saint-Florentin diversifie ses activités. Un mode opératoire qu’elle va intensifier au cours de ces trois prochaines années, pour faire face à la baisse conséquente de la commande publique dont elle était trop dépendante. Une perspective encourageante selon son dirigeant, Eric CHARTON, qui ambitionne de s’entourer de nouvelles compétences professionnelles pour parvenir à ses desseins. Une vingtaine de postes, au profil qualifié, devraient renforcer les effectifs des quatre centres d’activité d’ici le terme de l’année…

SAINT-FLORENTIN : Le changement de tactique devrait s’avérer payant pour DRTP, la PME positionnée dans le domaine des travaux publics. Grâce à la diversification de ses activités et l’ouverture vers la multi-clientèle dont le secteur privé, la structure contournera la récurrente problématique inhérente à la restriction de la commande publique. A laquelle l’entreprise était un peu trop liée depuis plusieurs années, de l’aveu de son responsable, Eric CHARTON.

Conséquence immédiate de ce choix stratégique novateur : l’entité de Saint-Florentin recrute. Afin de pourvoir ses quatre centres de profit des personnels idoines en matière de compétences professionnelles, pouvant répondre aux besoins spécifiques. Ces centres sont implantés dans l’Ain, le Loiret, la Marne et l’Yonne.

Un chiffre est d’ores et déjà annoncé par le dirigeant de la PME ; une vingtaine de postes devraient être créés d’ici la fin de l’année. Quant au profil type, il vise à s’adjoindre le bénéfice de personnes diplômées, ayant parmi leurs appétences, outre leur motivation et qualification, le désir de manager des équipes. Ce personnel d’encadrement de chantier comprendra des techniciens supérieurs issus des écoles spécialisées dans les travaux publics.

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S’appuyer sur les bienfaits de l’alternance…

Toutefois, la recherche de ces personnels qualifiés s’avère toujours complexe. Il est, en effet, très difficile aujourd’hui pour les entrepreneurs des travaux publics de pouvoir se doter de cette main d’œuvre indispensable à leur épanouissement. L’un des objectifs de l’entreprise est aussi le développement de la formation.

Son rayonnement national lui impose de répondre avec efficience et spontanéité à la complémentarité des équipes qui interviennent selon la typologie des chantiers.

Ainsi, l’apport de l’alternance, au niveau de l’accueil des apprentis, s’inscrit parmi les sages résolutions mise en exergue avec les besoins de la structure. Quant à la féminisation, elle gagne peu à peu du terrain.

De 5 à 10 % de l’effectif de la société proviennent de l’apprentissage. C’est le fruit de conventions formalisées avec les centres pédagogiques de Châtillon-sur-Seine et des écoles techniques qui préparent aux métiers des travaux publics (IUT Génie civil à Auxerre ou à Troyes). La démarche est similaire avec le CIFA de l’Yonne, via son atelier de mécanique et assistant PMI.

Réalisant un chiffre d’affaires annuel de vingt millions d’euros, DRTP entame donc la nouvelle année avec de sérieuses ambitions pour conquérir les marchés publics et privés. La PME emploie plus d’une centaine de collaborateurs.

 


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Chantre de la transition écologique et du développement durable, la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, fait montre d’extrême réactivité sur le dossier de la motorisation automobile électrique. L’élue régionale vient de transmettre en bonne et due forme à Emmanuel MACRON le dossier de candidature officiel de la Bourgogne Franche-Comté pour l’obtention du premier site industriel qui fabriquerait ce type de batteries. Un geste fort qui témoigne de la pugnacité et de l’intérêt porté par la responsable de l’exécutif régional à l’essor économique et à la création d’emplois…

DIJON (Côte d’Or) : C’est fait ! D’ici peu, le pensionnaire de l’Elysée disposera en main propre du dossier de candidature de la Bourgogne Franche-Comté dans la perspective de développer une usine de batteries électriques dans notre pays. Ce serait la première des infrastructures à produire l’indispensable mode d’alimentation de ces véhicules dont la prolifération a été annoncée à grand renfort de messages repris par la voie médiatique par le chef de l’Etat en personne.

Interpellée par les divers moyens technologiques existants pour assurer une transition écologique et mobilité optimale (hydrogène), la présidente de la Région s’est très vite engouffrée dans la brèche afin de positionner notre territoire sur de bons rails.

Arguant d’éléments légitimes et reconnus (la région a su développer un écosystème pluriel et efficient), Marie-Guite DUFAY est plus que jamais déterminée à obtenir gain de cause, et faire que la Bourgogne Franche-Comté devienne le premier territoire régional de France à ouvrir un tel site industriel.

Un site d’accueil a d’ores et déjà été identifié. Ce complexe de production de batteries électriques de nouvelle génération pourrait s’intégrer sur la zone de cinquante hectares que le groupe PSA va libérer à Sochaux.

Sur place, le lieu possède une desserte multimodale (fer, route et fluvial) ainsi que des édifices industriels aptes à recevoir une telle activité.

En outre, au plan stratégique, créer cette typologie d’usine à Sochaux ne serait pas fantasque. Le groupe va investir, dans le cadre du projet de transformation de son site historique, 200 millions d’euros pour accélérer l’accueil de tous les types de motorisation en phase avec les enjeux de la transition écologique.

Bref, implanter cette future activité dans cette zone géographique tombe sous l’évidence. Montbéliard, Sochaux et Mulhouse concentrent à eux trois plus de la moitié de la production automobile française.

La filière représente au bas mot 45 000 emplois, en y englobant les constructeurs, les équipementiers internationaux et les sous-traitants.

Prompte à réagir, Marie-Guite DUFAY a su anticiper sur ce dossier. Sera-ce suffisant pour obtenir le marché et convaincre le président de la République de la pertinence de cette candidature ? A suivre…


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