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Elles et ils sont représentatifs de cette volonté d’entreprendre qui chevillent le corps. Et, bien sûr l’esprit ! Sept candidatures pour seulement trois places d’accessits : ce fut un profond dilemme pour le jury de ce premier concours de la « Dynamique du territoire », composé de représentants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire et de l’association, INIACTIVE 89. Avec à la clé de beaux vainqueurs…

 

AUXERRE : Dans le paysage très hétéroclite des distinctions et autres concours devant saluer les initiatives prises par de valeureux porteurs de projets envers l’entrepreneuriat réussi, coup de projecteur sur le dernier né de ces challenges qui offrent un précieux sésame à ses lauréats !

Le prix de la « Dynamique du Territoire » a fait part de son acte de naissance dans le microcosme icaunais et de la plus belle manière que ce soit : l’organisation d’une cérémonie officielle de remise de récompenses.

Lieu d’accueil de ce rendez-vous : l’une des salles de réception de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire, à Auxerre. De la pure logique, en vérité, puisque cet acteur de l’activité assurantielle et de la prévoyance, toujours aussi bien ancré sur sa zone d’influence, est à l’origine de ce nouveau trophée qui en prévoit d’autres.

 

 

La création d’un nouveau concours valorisant les entrepreneurs…

 

Partenaire légitime de ce défi fait à l’adversité et à la chance (surtout pour les prétendants à ce challenge) : INITIACTIVE 89. La structure associative départementale, propre à venir en aide et à accompagner au financement des entreprises en création, reprise et en développement, peut s’enorgueillir de posséder une excellente vision de ce que se vit au quotidien dans la sphère de l’entrepreneuriat et de ses projets.

Puisque GROUPAMA est également membre du conseil d’administration de l’entité associative, il n’y avait qu’un pas qui fut très vite franchi par Angélique COEURDOUX, directrice d’INITIACTIVE 89, Malika OUNES, sa présidente et Jacques BLANCHOT, directeur des établissements de l’assureur en Seine-et-Marne et dans l’Yonne pour convenir d’un partenariat démonstratif et valorisant pour le milieu économique du territoire. La création d’un nouveau concours. On connaît la suite sur son appellation !

 

 

Une diversité professionnelle encourageante pour l’Yonne…

 

Un appel à candidatures fut lancé il y a quelques semaines. Sept PME/TPE se présentaient finalement sur la grille de départ afin de pouvoir s’adjuger les récompenses mises en jeu, au-delà du symbolique classement sur le podium. Celui plaçant les lauréats sous le feu des projecteurs.

Parmi la liste des candidats, on retrouvait des noms déjà connus dans le sérail professionnel, à l’instar de Ned CEKIC, patron de l’excellente société sénonaise « NEED ROBOTICS » qui a déjà eu les honneurs de la presse, à l’instar de la performante Christina NGOUMBI – Bien Etre des Petits et Compagnie Concept -, mais également la jeune Marie DUCORNET, à la tête de l’étonnante structure positionnée sur le tourisme, ALMA Héritage.

Invité à s’exprimer lors de la remise des distinctions honorifiques, c’est à tour de rôle que chacune et chacun de ces entrepreneurs venait présenter de manière rapide les contours et orientations de leur outil de travail.

Mentions spéciales, aussi, pour les quatre entrepreneurs non cités en amont : Carole LEFRANC de la société « Belle Autrement » à destination des femmes touchées dans leur corps par la maladie, Thibaud MAREC, créateur d’un projet d’astro-tourisme (la belle idée !) du côté de Vézelay (Du Ciel et des Hommes), un concept adossé à l’existence d’une savonnerie artisanale, Cynthia RELANGE, de FAIR MOMS qui prône les vertus des produits équitables et Rachid CHENOUNA, à la tête de PHOENIX 89, un garage « solidaire » de réparation automobile.

Il revenait à la présidente d’INITIACTIVE 89, Malika OUNES, et au président de la Fédération des caisses locales de GROUPAMA Paris Val-de-Loire dans l’Yonne, Pascal MAUPOIS, de remettre les prix au terme de cette animation très conviviale. Une cérémonie qui fit dire à ce dernier qu’il se félicitait de « contribuer à la mise en lumière de projets ambitieux, portés par des entreprises locales ». Une histoire de famille en somme au nom de l’entreprenariat.

 

 

 

En savoir plus :

Le classement de l’édition 2022

1er Christina NGOUMBI (BPC Concept) prix de 1 000 euros,

2ème Ned CEKIC (NEED ROBOTICS) prix de 700 euros,

3ème Rachid CHENOUNA (PHOENIX 89) prix de 500 euros.

 

Thierry BRET

 

 


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Défendant les intérêts de plus de deux cents entrepreneurs de l’Yonne, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises procédait à l’une de ses rencontres obligatoires, prévues par ses statuts, son assemblée générale, jeudi soir. Une simple formalité factuelle pour son président Olivier TRICON et la secrétaire générale, Emmanuelle MIREDIN, à la manœuvre…

 

AUXERRE: « Soyez fiers de la CPME ! ». Ce n’est pas de l’autocongratulation gratuite mais plutôt un signe d’encouragement positif que le président de l’antenne départementale de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne a adressé à l’ensemble des participants.

Face à un parterre d’entrepreneurs adhérents, un peu clairsemé toutefois alors que les retrouvailles au sein de la concession AUDI du groupe JEANNIN Automobiles s’annonçaient prometteuses, le responsable de la cellule icaunaise s’est voulu enthousiaste en évoquant le bilan d’une saison écoulée, encore perturbée par les scories de la crise sanitaire.

Le rapport du président ne fut guère entaché de fausses notes. Hormis la désillusion collective occasionnée par le verdict de l’élection consulaire de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, où la faible mobilisation peut expliquer en partie les mauvais résultats, la CPME de l’Yonne aura vécu une année 2021 plutôt satisfaisante, compte tenu du contexte.

 

 

Une indéniable poussée dans les élections professionnelles...

 

En matière de mandats (l’une des prérogatives essentielles de la confédération patronale), la CPME 89 a progressé en termes de présence, plaçant ses « pions » au sein d’organismes incontournables de la vie institutionnelle et économique du territoire. C’est le cas à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne avec le succès de Thierry CADEVILLE, qui en est aujourd’hui le président. Mais, cela l’est aussi au Tribunal de Commerce, avec en outre les nominations de Myriam MADELIN (ex-POIVET) et de Cyrille BRASSEUR, le patron de TTB. Un tribunal, à Auxerre, présidé par Pascal BAILLY, qui assistait à la soirée.

Commentaires du « patron » Olivier TRICON : « L’indéniable poussée élective de la CPME au sein de ces organismes se fait en bonne intelligence, nous regardons la qualité des personnes qui s’engagent au sein de ces mandats… ».

 

 

Bref, en saisissant toutes les opportunités pour lancer ses candidatures, la CPME est le syndicat qui prend de l’embonpoint dans le paysage patronal de l’Hexagone.

Incarnée au niveau national par le très médiatique François ASSELIN – ce dernier a remis de l’ordre dans la maison dixit le président de l’Yonne -, la CPME a défendu bec et ongles des orientations stratégiques importantes dont se sera inspirée la gouvernance étatique. On peut citer parmi les trente-quatre mesures retenues par le gouvernement, le report du Prêt Garanti par l’Etat (PGE) pour les entreprises, la prolongation des exonérations de charges pour certains établissements professionnels, la reconduction des aides à l’embauche des jeunes ou la défense des hôteliers-restaurateurs.

Profitant du zéphyr virevoltant qu’elle a dans le dos, la CPME fédère plus de quatre millions de PME/TPE dans l’Hexagone et est appréciée à date par 78 % de nos concitoyens qui croient aux vertus des petites et moyennes entreprises dans l’univers économique. Une information qui revêt de la plus haute importance : ce n’est pas tous les jours en effet que les Français de base complimentent le patronat !

 

Thierry BRET

 

 


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Pour un coup médiatique, c’est une réussite ! Jean-Luc MELENCHON n’y va pas par quatre chemins ! Il passe par-dessus les règles de la nomination du Premier ministre de la République après une Assemblée nationale constituée. Il veut directement un troisième tour d’élection en disant à ses électeurs : « ne soyez pas frustrés de la présidentielle, nous pouvons diriger le pays, si grâce aux législatives, je deviens le locataire de Matignon ! ». Autrement dit, ne vous préoccupez pas des députés que vous allez élire, peu importe le nom, du moment qu’ils signent LFI !

TRIBUNE : Jean-Luc MELENCHON oublie juste une chose : le Premier ministre est nommé par le Président de la République. Emmanuel MACRON peut refuser de désigner le leader charismatique de La France Insoumise si d’aventure, celui-ci avait un nombre de députés majoritaire. Là est l’impasse : un blocage systématique de la vie parlementaire, donc de l’Etat.

Or, les marges de manœuvre sont restreintes. Le président peut nommer un Premier ministre consensuel (impossible si on croit l’ambition du leader de LFI), dissoudre l’Assemblée nationale, voire démissionner ce qui apparaît improbable. La seule alternative semble être la dissolution. Nous sommes dans une crise de régime cohérente avec une élection qui révèle encore une fois que le premier parti de France est constitué par les abstentionnistes !

Sommes-nous au bord d’un coup d’Etat ? Possible avec une nouvelle donne : trois blocs s’affrontent aujourd’hui. Deux blocs idéologiques, la « Gauche » (LFI, les Verts, les socialistes et les communistes), la droite nationaliste (Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN) et les « Macronistes », sans idéologie à défendre mais qui regroupe LREM, Horizons d’Edouard PHILIPPE, François BAYROU et le mouvement Démocrate, ainsi que les transfuges des Républicains et du PS.

 

Qui m’aime, me suive : les intentions claires du leader de LFI…

 

Jean-Luc MELENCHON veut un coup de force contre le pouvoir de MACRON et nous faire entrer directement dans la VIème République : son cheval de bataille depuis une dizaine d’années. Ce nouveau « Napoléon » veut profiter, comme son illustre aïeul des divisions nationales et d’un contexte où les Français s’inquiètent plus du prix du pain et de la farine, de la guerre aux frontières que de la vie politique. Le sentier s’apparente à une autoroute qui s’offre aux audacieux pour profiter de la déliquescence des partis politiques qui ne peuvent assurer leur survie, comme les « Verts » et le PS, qu’en s’associant inconditionnellement à Jean-Luc MELENCHON et ce qu’il représente.

 

 

Pour les Macronistes, c’est  plus flou : ce sont des personnalités controversées qui veulent des portefeuilles pour la plupart et un Edouard PHILIPPE qui n’a pas compris que « l’horizon » est une ligne imaginaire qui s’éloigne chaque fois qu’on s’en approche. A méditer ! La grande inconnue est le peuple de France et sa capacité insurrectionnelle en situation de famine et de danger…

Après l’appel du « 18 juin », l’ami Jean-Luc nous fait le coup de l’appel du « 19 avril » : élisez-moi Premier ministre ! Dans l’histoire de la Vème République, l’usage a voulu qu’une cohabitation se soit installée démocratiquement chaque fois que le Président de la République n’avait pas de majorité parlementaire. Commentant la nécessité d’un rassemblement de la Gauche, François HOLLANDE a rappelé « qu’on ne peut pas se nommer Premier ministre par décret, ça n’existe pas », en visant sans le dire le leader de LFI.

 

Un peuple peu représenté dans sa diversité au Parlement…

 

Jean-Luc MELENCHON veut s’imposer comme le dirigeant de la France sans pour autant nous dire comment il définit la démocratie. Si on regarde l’histoire, les Marxistes Léninistes et autres Staliniens sont tout de même plus proches du totalitarisme que de la sagesse de GANDHI. N’oublions jamais que le communisme a fait plus de morts que le nazisme. Hors de question, toutefois, de comparer MELENCHON à ces sombres dictateurs. Mais, le risque de voir un leader, que l’on peut qualifier d’extrême gauche, prendre les rênes de l’exécutif, laisse songeur lorsque l’on sait que notre régime présidentiel donne quasiment les pleins pouvoirs au président et à son assemblée. On peut aussi craindre une pluie de « 49-3» !

Bref, Monsieur MELENCHON assure l’événement en réclamant un poste de Premier ministre en dehors des voies traditionnelles. Il oublie tout de même que Marine LE PEN a été au second tour des élections et qu’elle totalise bien plus de voix que lui. Les huit députés du Rassemblement national et les 17 de La France Insoumise posent tout de même le problème de la vie démocratique d’un pays où le peuple est finalement peu représenté dans sa diversité.

Pour les nostalgiques des révoltes et révolutions, n’oublions pas la constitution de 1793, qui précise dans son article « 35 » : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. ».

Cette belle constitution ne vécut pour ainsi dire jamais à cause du coup de force du 18 Brumaire…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Certains de ses contradicteurs le disaient non partant. D’autres de ses fidèles pensaient, bien au contraire, qu’il allait y retourner. Ne serait-ce que pour poursuivre ce qu’il avait déjà entamé durant ce dernier mandat. Mais, tous peuvent s’accorder que le député de la deuxième circonscription de l’Yonne n’est pas homme à lâcher du lest sur le terrain. A 67 ans, l’ancien sénateur et ténor du Conseil départemental sera bel et bien dans les starting-blocks les 12 et 19 juin, investi par le Président de la République…

 

AVALLON : La liste des heureux nominés était attendue avec beaucoup d’impatience. Pas de celle de Cannes qui fait son cinéma, mais bien celle en provenance de la confédération « Ensemble », une mosaïque regroupant La République en Marche (LREM) – devenue entre-temps « Renaissance », avec son clin d’œil à l’illustre Phénix mais aussi aux dernières joutes européennes de 2019 -, l’inamovible MoDem et Horizons, nouveau venu dans le paysage politique hexagonal, un parti porté sur les fonts baptismaux depuis l’automne par l’ancien Premier Ministre, Edouard PHILIPPE.

 

Une liste de prétendants au Palais Bourbon validée par Emmanuel MACRON…

 

Et parmi les 187 premiers prétendants à l’Assemblée nationale, quelques patronymes concernaient la Bourgogne. Dont trois pour le département de l’Yonne : Michèle CROUZET, sur le Sénonais (députée sortante), Victor ALBRECHT – la surprise du chef ! – sur l’Auxerrois/Puisaye et André VILLIERS, sur l’Avallonnais/Tonnerrois. Lui aussi, député sortant. Des investitures qui selon les dires auraient été directement entérinées par le locataire de l’Elysée en personne !

A 67 ans, André VILLIERS se lance donc pour un nouveau tour de piste électoral. Tel qu’il les aime, lui, l’homme de communication et des relations publiques qui n’est pas un adepte de la langue de bois et adore se frotter à la réalité du terrain. Sauf que dans le cas présent, l’ancien sénateur et président du Conseil départemental de l’Yonne ne partira pas sous l’étendard UDI. Exit la bannière de l’Union des Démocrates et Indépendants ! Une formation que l’agriculteur de Pierre-Perthuis avait pourtant intégrée en 2009, avant d’en prendre la présidence départementale en décembre de l’année suivante.

 

 

 

Un député de l’Yonne parfaitement « Macron compatible »…

 

Absent du comité de soutien icaunais à la candidature de Valérie PECRESSE (LR) (et pour cause !) lors des récentes présidentielles, André VILLIERS a décidé de se rapprocher de la nouvelle formation dont Edouard PHILIPPE est le chef de file et d’arborer les couleurs « Horizons » en juin prochain.

Rien d’étonnant à cela, puisque à maintes occasions, l’élu de l’Yonne avait réagi positivement à la politique menée par le Président de la République au cours de cette mandature. Notamment sur la réforme des retraites.

A l’automne, André VILLIERS avait publié à l’intention de ses électeurs un opuscule récapitulatif de ses actions, des propositions de lois où il était cosignataire et de centaines d’amendements de seize pages. Soit quatre années de travail à la députation afin d’en dresser un bilan avant cette nouvelle joute électorale qui l’attend. La décision de se lancer dans ce nouveau défi, se succéder à lui-même, a été entérinée par l’intéressé en février dernier.

Dès l’annonce de son investiture connue publiquement, ses aficionados ont déjà réagi sur la toile en le félicitant. Dont l’un de ses plus fidèles amis et alliés parmi le sérail politique départemental : Patrick GENDRAUD, actuel président du Département ! Ils ont été les premiers des élus à s’être investis sur le dossier des réfugiés ukrainiens dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Cinquante secondes. Pas une de plus pour effectuer un maximum de figures acrobatiques. Il faut être à l’unisson et en harmonie avec les autres partenaires. Tout en privilégiant la coordination et la mémorisation des gestes à accomplir. Facile à dire, plus complexe à réaliser surtout lorsque l’équipe se compose de huit parachutistes. Et que l’épreuve se déroule dans une soufflerie !

 

LILLE : De la graine de championne, Manue NICOLS ? Oui, et confirmée avec ça ! Présidente et directrice technique du centre de parachutisme de Saint-Florentin, la sportive icaunaise ne comptabilise plus ses titres de gloire. Ceux obtenus dans les airs à près de quatre mille mètres d’altitude en belle saison. Auxquels s’ajoutent les accessits glanés, çà et là, en indoor lors de challenges compétitifs qui sont concoctés en soufflerie.

Cette fois-ci, cette spécialiste du vol relatif a complété sa collection de médailles et de titres lors des championnats nationaux qui se sont déroulés dans la capitale du Nord, en VR 8, le week-end dernier. Après, un laps de temps très court à accorder à la phase d’entraînement. C’est le lot des esthètes en la matière. Tout est dans la mémoire et l’habitude des mouvements, en quelque sorte.

Pourtant, tout n’était pas forcément bien engagé pour la championne, membre de Paris Jump, le club qui a pris ses aises sur l’aérodrome de Saint-Florentin. La formation accusait dix-sept points de retard sur les leaders au terme de la première journée de compétition. Un gouffre quand on connaît la précision millimétrée et l’exigence requise de la discipline.

 

Une véritable « remontada » malgré un handicap de 17 points de retard…

 

Disputé en dix manches, le concours national réserva de sacrées surprises. Les huit équipes qualifiées présentant des spécialistes en la matière parmi ses compétiteurs dont les filles de l’équipe de France.

Il aura fallu toute l’abnégation, la combativité et les forces mentales nécessaires pour renverser la vapeur. Une véritable « remontada » selon l’expression consacrée !

Au final, Manue NICOLS et les siens firent bien mieux que réagir. Ils finirent en tête sur le fil du rasoir, devançant la seconde formation d’un unique petit point ! Empochant au passage la gloriole et surtout le titre de champion de France de la spécialité.

La sportive de haut vol a reçu les félicitations de Paul (Polo) GRISONI dans les minutes qui suivirent cet exploit. Le manager de Paris Jump, dont le palmarès est impressionnant, s’est dit très satisfait de cette belle performance qui rejaillit sur le parachutisme de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


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