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Cela sentait presque le parfum enivrant de la rentrée des classes pour la nouvelle secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre, en cette déjà copieuse journée de lundi. Une première immersion parmi le microcosme icaunais correspondant à la prise de fonction officielle de Pauline GIRARDOT. A 32 ans, la jeune femme jusqu’ici directrice adjointe des stages de l’Institut national du service public (ex-ENA) découvre ses nouvelles fonctions…L’écoute et l’humain seront ses priorités.

 

AUXERRE : Ce n’est pas vraiment un voyage en terre inconnu pour le successeur de Dominique YANI, partie la semaine dernière sous le ciel de Paris, nommée au sein de la DEPAFI, organe sous la tutelle du ministère de l’Intérieur.

Native de Nevers, ayant exercé une partie de sa carrière de serviteur de l’Etat dans la capitale des ducs de Bourgogne, en qualité de directrice de cabinet de la préfecture de la Région, Pauline GIRARDOT possède déjà une relative maîtrise géographique, patrimoniale et culturelle de ce département le plus septentrional où elle écrit en cette belle journée ensoleillée du lundi 29 août une nouvelle page de son cursus.

Secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre, la jeune femme, âgée de 32 ans, pourrait presque être considérée comme la « régionale » de l’étape dans le pool décisionnel de la préfecture tant ses connaissances sur notre territoire sont développées. Un indéniable atout pour celle qui souhaite privilégier l’écoute et la relation à l’autre, en y ajoutant un ingrédient capital qui a fait sa force et a su forger son caractère lors de ses vies professionnelles antérieures, le sens de l’efficacité !

 

Des dossiers importants à gérer dès septembre…

 

Du fait de sa fonction précédente – elle était en charge des stages des personnes fréquentant l’Institut national du service public (INSP) ex-ENA -, Pauline GIRARDOT a pu visiter lors de ses nombreuses pérégrinations professionnelles deux tiers des préfectures de l’Hexagone. Nommée sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre, elle aura à cœur désormais d’approfondir ses découvertes de la ville phare de l’Yonne.

Au sein de la Gendarmerie Nationale où elle a également servi, la jeune femme s’était déjà spécialisée dans l’accompagnement de ses collaborateurs et la préparation des cadres de ce corps d’armée.  

Basée à Dijon entre 2016 et 2018, elle exercera ses talents aux dimensions humaines en qualité de directrice de cabinet de la préfète de Région, Christiane BARRET. Suivant avec extrême vigilance l’épineux dossier de la sécurité routière sur le département de Côte d’Or qui incombe à la fonction de « dir cab ».

 

 

Née sous le signe zodiacal du sagittaire, Pauline GIRARDOT va prendre attache dans les jours qui suivent avec les représentants de la vie institutionnelle, économique et politique de notre territoire. Histoire de mettre tous les atouts dans son jeu en optimisant ses connaissances afin de mener à bien les grands dossiers qui se présentent à elle avec cette rentrée riche en problématiques. Des dossiers qui se nomment la gestion de l’eau et la sécheresse, la rationalisation des énergies, la transition écologique – elle salue au passage le terreau de l’hydrogène qu’est devenue la ville d’Auxerre depuis la création de la station -, mais aussi les relations avec les collectivités. Un courrier signé de sa griffe partira à destination des 170 élus communaux de sa nouvelle zone de compétence afin de se présenter…

 

 

Privilégier l’attractivité du territoire avec la transition écologique…

 

Se calquant au diapason avec la stratégie du préfet Pascal JAN, arrivé à son poste dans l’Yonne depuis ce printemps, Pauline GIRARDOT veut s’imprégner du terrain.

Le volet économique lui parle : elle aurait pu être d’ailleurs dirigeante d’entreprise au vu de sa passion pour les relations humaines, les ressources humaines et l’étude comportementale.   

« Ce département de l’Yonne est idéalement bien situé, explique-t-elle, lors de sa première prise de contact avec les représentants de la presse, venus faire plus amples connaissances, il est à la jonction entre l’Ile-de-France et le cœur de la Bourgogne Franche-Comté. Donc, son attractivité et son développement économique en lien avec la transition écologique ne peuvent que s’accélérer… ».

Puis citant le président de la République, la nouvelle occupante de cette aile d’un bâtiment qui lui est réservée à la préfecture à ses équipes et à elle-même évoque les « politiques publiques qui doivent se décliner en France jusqu’au dernier kilomètre sans qu’elles ne soient pour autant happées par des contraintes administratives ».

Ses premiers rendez-vous en phase directe avec le terrain se feront dès le premier septembre à Gurgy avec l’inauguration d’un garage solidaire et en fin de semaine à Sommecaise à l’occasion de l’ouverture d’un café aux multiples activités.

Pas une seconde à perdre donc pour Pauline GIRARDOT : elle a hâte d’appliquer ses responsabilités au plus du terrain dans l’intérêt sociétal de nos concitoyens…

 

Thierry BRET

 

 


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« Pour être préféré, il faut être repéré ! ». Le slogan de l’organisme certificateur venant de renouveler le double agrément du centre de formation agricole La Brosse, AFNOR, semble s’adapter à merveille au décorum de l’endroit. Proposant des parcours de formation dans les filières de l’équestre, des espaces verts, de l’agriculture et de la viticulture, l’établissement est le seul sur son registre d’activité dans l’Yonne à avoir obtenu ces précieux sésames qualificatifs.

 

VENOY : Le cahier des charges est volumineux. Plus qu’une simple feuille de route, il offre une vision éclairée de ce qu’il est préférable de faire pour respecter les droits et les devoirs envers le public accueilli. Tant au niveau des apprenants. Que du personnel administratif et enseignant. Avec ce maître mot devenu usuel dans le vocabulaire de bon nombre d’entreprises, de collectivités et d’organismes de formation de l’Hexagone : la qualité !

Certifié initialement depuis le mois d’avril 2021 – en pleine crise de la COVID, dit en passant ! -, le centre de formation agricole de l’Yonne, le CFA La Brosse, a vu le renouvellement de ces précieux sésames s’effectuer presque comme une lettre à la poste en juin dernier.

Une ultime formalité qui s’est concrétisée par un audit assuré par une représentante de l’AFNOR, la fameuse et incontournable Association Française de la Normalisation. Un audit qui n’aura pas fait trembler la directrice de la maison, Hélène DECULTOT, confiante quant aux engagements pris par la structure qu’elle dirige depuis le lancement du processus.

 

Une double reconnaissance de la qualité des formations proposées dans l’établissement…

 

Détenteur de deux certifications, « QUALIOPI » et « QUALIFORMAGRI », l’établissement de l’Auxerrois peut s’enorgueillir d’être le seul centre de formation agricole de l’Yonne à être pourvu d’aussi belles cartes de visite. Connues et reconnues de toutes les instances officielles dans l’enseignement.

La première, « QUALIOPI », a pour objectif d’attester la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des savoirs, qu’il s’agisse d’actions de formation, de bilans de compétences, d’actions permettant aussi de favoriser la mise en œuvre des acquis de l’expérience en les validant.

Cette certification qui émane du ministère du Travail s’applique désormais à tous les centres de formation de l’Hexagone.

La seconde certification dépend du ministère de l’Agriculture. Elle concerne plus spécifiquement l’environnement professionnel.

Toutes deux offrent la garantie au public d’intégrer un organisme de formation, de validation des acquis de l’expérience de qualité ainsi que l’assurance d’un parcours de formation et d’acquisition de compétences personnalisées, adapté aux évolutions du monde du travail.

Bref : c’est la double reconnaissance de la qualité des formations proposées par l’établissement et d’un engagement sans faille dans une démarche d’amélioration continue.

Pour Hélène DECULTOT, cette visite de contrôle de l’AFNOR fut plus que positive, avec le renouvellement de facto des certifications pour une nouvelle période annuelle. Le CFA La Brosse avait su anticiper dès le début de la saison dernière cette obligation, l’inscrivant à son calendrier au printemps 2021 afin d’être certifié avant le terme de l’année civile.

 

 

 

En savoir plus :

Parmi les thèmes importants figurant au cahier des charges de ces certifications, on notera :

La gestion administrative et financière de l’établissement,

Le suivi de la facturation à l’aide de la comptabilité analytique par formation dispensée,

Le paiement des fournisseurs dans les meilleurs délais,

Le développement des circuits courts,

L’amélioration de l’accueil et la diffusion de l’information,

Le temps d’attente téléphonique,

Le volet des ressources humaines avec des formateurs recrutés à partir d’expériences, de diplômes et de compétences,

Le suivi des jeunes apprenants depuis leurs débuts dans l’établissement jusqu’à leur intégration dans la vie professionnelle,

Le déplacement physique en entreprise,

Les entretiens individuels, au nombre de trois durant la saison, des jeunes avec les professeurs principaux,

Appliquer des méthodes pédagogiques à la pointe de l’enseignement avec une stratégie évolutive.

 

Thierry BRET

 


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Comment se fait-il que les bourses remontent de manière fulgurante alors que les perspectives économiques sont si mauvaises ? Les cours de la bourse n’ont en fait que très peu à voir avec la réalité économique d’aujourd’hui. Parce que pour le dire simplement, ils ne sont pas le reflet de la santé économique des  entreprises cotées. Les cours sont le reflet de ce que les investisseurs ou spéculateurs espèrent des profits futurs...

 

TRIBUNE : Et les déterminants principaux de ces espoirs de profits à venir dans le contexte de crise sanitaire sont constitués par les réactions politiques aux évolutions des virus. Ceux qui ont guidé les marchés boursiers ces derniers mois ne sont pas les résultats des entreprises ou leurs perspectives, mais bien les courbes sanitaires, les décisions de reconfinement, de déconfinement, de confinement assoupli ou l’arrivée de vaccins.

La Bourse de Paris tente de faire oublier un début d'année très compliqué, marqué par le conflit ukrainien et les craintes d'une récession avec les actions concertées des banques centrales pour contenir l'inflation. En baisse dans les premiers échanges, le CAC 40 opte pour un rebond sur les plus de 6 300 points en août 2022 et après avoir encaissé l'un des pires semestres de son histoire.

 

L'inflation : épouvantail des marchés…

 

L'inflation hante les esprits des investisseurs, tant ses répercussions sur la santé de l'économie se matérialisent statistiques après statistiques. En juin dernier, les marchés ont pris connaissance de l'inflation dans la zone euro. Elle a atteint un niveau record en juin à 8,6 % sur un an. La guerre en Ukraine et la reprise de la demande post-COVID alimentent la flambée des prix de l'énergie et de l'alimentation. Autre statistique témoignant d'une dégradation du climat économique dans cette même zone : c’est celle de la production manufacturière qui a reculé en mai, et ce pour la première fois depuis le printemps 2020.

Résultat : des valeurs qui s’effondrent tandis que les valeurs pétrolières grimpent en flèche. N’oublions pas la progression de l’or et la reprise du bitcoin… Facteur important : les ordinateurs ont gardé dans leurs mémoires le fait qu’au XXème siècle, l’inflation a toujours mené aux guerres. Dans le cas présent, c’est la guerre qui a conduit à l’inflation. C’est l’inflation encore qui risque de la maintenir et c’est l’inflation toujours qui peut entraîner d’autres guerres sur la planète.

 

Quel impact pour les investisseurs ?

 

En raison de ces incertitudes caractérisées, la fin de l’année 2022 devrait être une année marquée par plus de volatilité sur les marchés boursiers. Pour rappel, la volatilité correspond à l’ampleur des variations (à la hausse comme à la baisse) du cours d’un actif financier. Certains analystes s’attendent ainsi à des oscillations de l’ordre de 10 %. D’où l’importance de surveiller régulièrement les marchés.

Mais pas question pour autant de paniquer à la moindre baisse : en effet, une stratégie d’investissement doit toujours être appréhendée sur le long terme. Un exemple ? En 2017, la valeur des actions APPLE a chuté suite à un fractionnement d’actions de l’entreprise. Certains investisseurs ont paniqué devant cette chute et revendu leurs actions. Or, s’ils avaient attendu que l’orage passe, ils auraient profité, dans les années qui ont suivi, d’une augmentation de 400 % de la valeur desdites actions !

Qu’en est-il du CAC 40 pour 2022 ? 

 

Après avoir affiché une tendance haussière en 2021, le CAC 40 semble patiner quelque peu depuis. Même si en 2022, l’euphorie devrait ainsi être contenue, en raison notamment de l’évolution de la politique menée par les banques centrales. Durant la crise sanitaire, celles-ci ont en effet inondé les marchés de liquidités et maintenu les taux d’intérêt à un niveau très bas. Cela a dopé les cours de la bourse, notamment sur le marché des actions. Mais, la fin annoncée de ces mesures de soutien à l’économie devrait avoir un impact négatif sur l’indice de la Bourse de Paris. 

Par ailleurs, la situation géopolitique actuelle et la persistance de l’inflation alimentent une certaine volatilité sur les marchés. Et tant que l’inflation n’est pas maîtrisée, les valeurs qui composent le CAC 40 risquent de baisser. Les sociétés cotées en Bourse souffrent en effet de la hausse des matières premières. Conséquences : les banques centrales vont raréfier la monnaie, donc l’augmentation des taux sur les crédits accordés, donc moins d’investissements, etc.… c’est un risque systémique qui ressemble à la réaction en chaîne d’une « bombe atomique ». 

Dans la seconde partie de cette tribune à venir sera abordée la manière de se protéger des incertitudes boursières…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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S’appuyant sur la complicité et la plume de Jean-Claude ALLANIC, journaliste de France 2, le dirigeant de l’agence de relations presse et relations publiques PAYMAL NETWORK avait co-signé un ouvrage de référence sur les dessous des relations avec les médias en 2018. Spécialiste du design, de l’architecture et de la communication touristique, Christophe PAYMAL, après deux décennies vécues à Paris, entend bien laisser une empreinte indélébile sur sa nouvelle terre de prédilection : la Bourgogne Franche-Comté…

 

CHEVANNES: Sa silhouette et son sens relationnel sont connus de tous dans le petit village situé en périphérie d’Auxerre. Le conseiller municipal a déjà eu en effet l’heureuse opportunité de mettre en exergue ses talents en favorisant la venue d’une belle exposition photographique sur les fonds marins et la protection de l’environnement à l’amorce de l’été.

Habitant une très belle demeure patrimoniale de caractère au cœur de la bourgade, Christophe PAYMAL aime aussi se ressourcer dans l’immense espace de verdure qui lui fait office de jardin. Un parc à la dimension de ses envies de villégiature ?

Ce petit coin de paradis où sifflent les merles rieurs et où se promènent furtivement les écureuils représente un endroit salvateur pour le repos de l’âme où respire vraiment la plénitude. Un site idéal pour peaufiner durant cet été caniculaire sa stratégie afin de mieux se propulser des starting-blocks dès les premiers jours de septembre.

 

Un pur créatif de la communication et de la relation presse…

 

L’esprit de ce personnage sympathique et communicatif phosphore en permanence. Normal, ce chef d’entreprise, attaché de presse pour des agences de design, de publicité, de communication touristique cultive avec maestria sa constante effervescence : c’est un pur créatif.

L’un de ceux qui a osé franchir le Rubicon de l’entreprenariat en créant sa propre entité professionnelle en 2009 (PAYMAL NETWORK), un bureau de presse où il aime se rassasier depuis de projets intenses et insolites où la communication avec un grand « C » retrouve enfin ses lettres de noblesse.

Désormais, un peu plus éloigné de la capitale où il a œuvré durant deux décennies, Christophe PAYMAL désire poursuivre l’aventure de la mise en valeur relationnelle des autres en Bourgogne Franche-Comté. 

 

 

La distillerie VALOUR + LEMAIRE profite déjà de ses conseils…

 

Certes, la crise sanitaire et ses diverses conséquences (baisse de régime dans les affaires, insalubrité à Paris…) sont passées par là. Mais, pas seulement. Le garçon souhaitait depuis un moment se diversifier et goûter aux joies salvatrices de la province. Depuis son installation au cœur de l’Auxerrois.

L’une des premières structures départementales lui ayant accordé sa confiance, se nomme « VALOUR + LEMAIRE ». Dans le giron, on connaît très bien la fameuse distillerie de Tonnerre, portée sur les fonts baptismaux au printemps 2020, qui conçoit ses spiritueux (gins, vodkas, liqueurs) avec le concours financier de la Région. Un vrai succès…

Aujourd’hui, la structure bénéficie de l’aide précieuse et experte de ce fin pédagogue de la communication qui n’a, par ailleurs, pas hésité à publier un petit opus sur les bonnes pratiques des relations presse.

Un fascicule utile et pertinent dans lequel son auteur livre une dizaine de commentaires très avisés à son lectorat pour réussir ce délicat exercice ô combien déterminant à la notoriété d’une entreprise.

Exerçant ses activités avec une journaliste free-lance, Fabienne RIPON qui lui rédige de façon régulière des articles, ce communicant pur jus veut tisser sa toile d’araignée de manière progressive mais déterminée en Bourgogne Franche-Comté.

Ses cibles sont en priorité les PME et les PMI de tout secteur d’activité. Même si le tourisme, le design et les arts de vivre lui collent toujours à la peau. Sans doute le côté épicurien de ce personnage affable qui mérite le détour !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Bénéficiaire du plan de relance accordé aux structures industrielles lors de la crise sanitaire de la COVID, BAM – traduction littérale pour « Business ALU MASUE » – faisait partie des entreprises biffées par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY à son agenda lors de sa mini-tournée, jeudi dernier, dans l’Yonne. Si la fonderie se porte bien du côté de sa valeur ajoutée et de son gain en compétitivité, c’est le volet énergétique qui aura été l’un des thèmes de discussion. D’autant qu’il y a urgence pour tenter de faire face aux hausses considérables attendues à l’automne…

 

DIJON: Lors de la conférence de presse qu’elle a donnée à l’hôtel de la Région vendredi en fin de matinée, la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY s’est montrée particulièrement vigilante et inquiète quant à l’envolée inflationniste des coûts de l’énergie, devant impacter durablement les industriels au cours des semaines à venir.

Une situation qui pourrait mettre en péril bon nombre de PME/PMI confrontées à des hausses très significatives imputables au contexte géopolitique actuel. Celles-ci utilisant obligatoirement du gaz et de l’électricité pour alimenter leurs unités de production. Si ce n’est pour s’éclairer et se chauffer.

Faisant une courte digression sur la thématique du jour (la rentrée scolaire dans les lycées où là aussi des coupes sombres doivent s’envisager pour réaliser des économies plus ou moins drastiques), l’élue régionale a évoqué devant les journalistes, à titre d’exemple, les préoccupations existentielles des dirigeants de la fonderie BAM à Joigny.

 

Une forte présence concurrentielle de sociétés américaines et indiennes…

 

Structure, au demeurant de belle envergure et créatrice de valeurs ajoutées, dans laquelle la présidente s’est immergée en compagnie de Nicolas SORET, édile de la ville du Centre Yonne, et de Gilles DEMERSSEMAN, l’un des conseillers régionaux de l’Yonne, ce jeudi.

Précisons que BAM dont le responsable n’est autre que Bruno JANVIER a obtenu à l’instar de vingt-et-une autres industries de Bourgogne Franche-Comté de précieux subsides, soit une enveloppe de 800 000 euros, dans le cadre du plan de relance économique, catégorie fonds de soutien à la modernisation et à la diversification des filières automobile et aéronautique, en 2021.

 

 

Concevant des pièces et de petits composants pour divers secteurs économiques comme l’automobile, l’électroménager, l’aérospatiale, l’agriculture, les poids lourds ou encore l’aéronautique, sans omettre le secteur de l’énergie, BAM est confrontée à une très forte présence concurrentielle sur les différents marchés où elle intervient. Notamment des enseignes qui sont implantées aux Etats-Unis ou en Inde.

Or, ces sociétés extra-européennes ne subissent pas de plein fouet les conséquences funestes de la pénurie d’énergies qui frappe le Vieux continent depuis que la Russie a envahi son voisin ukrainien et a coupé de manière progressive le robinet de l’énergie.

 

Une lettre au ministre de l’Industrie pour étendre le bouclier énergétique…

 

Déductions prévisibles : les factures de gaz (+ 8 %) et d’électricité (+ 11 %) s’envolent pour la PMI et cela ne semble pas être terminé au vu des projections particulièrement pessimistes qui sont annoncées par tous les experts d’ici l’hiver prochain.

Un état de fait très anxiogène à vivre pour les dirigeants de la société qui ont interpellé Marie-Guite DUFAY lors de son séjour à Joigny. Celle-ci, avec un zeste d’ironie destiné à ses détracteurs, en profita pour rappeler aux représentants des médias « qu’elle ne pratiquait pas le tourisme industriel lors de ces immersions dans les entreprises ! ».

Pour preuve de leurs utilités, la présidente de l’exécutif évoqua l’existence d’un bouclier tarifaire voulu par l’Etat devant soutenir et protéger certaines entreprises. Celles les plus exposées à l’augmentation des prix du gaz ainsi que les entreprises les plus fragiles.

Usant de son levier politique, Marie-Guite DUFAY s’est fendue dès le lendemain de sa visite icaunaise d’une lettre adressée au ministère de l’Industrie, suggérant au passage un élargissement de ce bouclier tarifaire protectionniste au bénéfice des entreprises. Notamment, les fonderies, considérées comme des établissements très énergétivores.    

« La Région se doit d’aider la société BAM face à cette problématique énergétique, ajoutera-t-elle en guise de conclusion, si nous le faisons pas, quid de son avenir ? ».

La balle est désormais dans le camp de la ministre Agnès PANNIER-RUNACHER quant à la solution efficace à préconiser !

 

Thierry BRET

 


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