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Quoi de plus appropriée qu’une cérémonie des vœux pour dresser un tour d’horizon des actions menées et des prospectives pour demain ? Le président du Syndicat Départemental d’Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY, s’est prêté à l’exercice devant un parterre nourri de maires du département, usant d’un discours résolument tourné vers l’avenir, émaillé de « coups de gueule » dont le maire de Val-de-Mercy a le secret.

 

APPOIGNY: Si le déclenchement de la guerre en Ukraine a contribué à la hausse des coûts de l’énergie que l’on connaît, pas question pour autant de faire du conflit le seul responsable, selon le président du SDEY : « une situation due entre autres, et à mon sens à un défaut d’anticipation d’EDF et de la gouvernance pour la production énergétique liée notamment au défaut d’entretien des centrales nucléaires… , dénonçant dans la foulée, « tous les profiteurs qui n’ont rien à voir avec l’énergie et qui usent de ces circonstances pour faire des profits exorbitants mettant en grande difficulté les collectivités, les entreprises et les familles… ».

Rebondir et se réinventer, pour mieux anticiper le nouveau monde énergétique à venir, c’est l’objectif que s’est fixé le SDEY depuis déjà plusieurs années, au travers notamment des 160 bornes de recharges pour véhicules électriques déployées dans tout le territoire icaunais, faisant du département un leader en la matière. Leur gratuité jusqu’alors coûtait 400 000 euros par an au SDEY et depuis le 02 janvier dernier, leur accès est devenu payant : « cela n'était plus tenable financièrement pour notre collectivité, bien sûr, nous avons été confrontés à quelques râleurs… ». Des bornes appelées à se moderniser et être plus performantes dans un avenir proche, par le biais du plan « Energies Yonne 2026 ».

 

 

La clairvoyance de trois élus qui portent le projet d’un parc éolien…

 

Mais l’avenir, ce sont aussi ces « stations propres » sur lesquelles réfléchit le syndicat, où l’on pourra à la fois trouver des chargeurs électriques, à hydrogène et GNV, ce gaz naturel composé essentiellement de méthane. En parallèle, sont développés en partenariat avec ENEDIS, des chargeurs bidirectionnels qui permettront de « pomper » l’électricité d’un véhicule aux heures de pointe pour l’injecter sur le réseau en lui donnant la possibilité de se recharger la nuit. Deux bornes de démonstration seront installées sur le site auxerrois du SDEY, à destination des communes, mais aussi des écoles, collèges et lycées, « pour que toutes les générations s’approprient ce domaine… ».

Un futur associé également au développement de toutes les énergies renouvelables, méthanisation, hydro-électricité, éoliennes, porté par la SEM Yonne Energie dont le syndicat est actionnaire majoritaire à 80 %. En témoigne ce projet de méthanisation en filière biologique mené dans le nord du département à Pont-sur-Vanne, « une unité de production vertueuse à plusieurs égards, permettant d’injecter du gaz vert sur le réseau, tout en consolidant la filière luzerne et en préservant la ressource en eau dans une aire d’alimentation de captage… ».

Jean-Noël LOURY saluant dans la foulée « la clairvoyance des maires de Nuits, de Cry et d’Aisy-sur-Armançon », initiateurs dès 2016, d’un projet de parc éolien, « dont la capacité répondrait à un tiers de la consommation résidentielle de l’Yonne, c’est-à-dire 100 mégawatts… ».

 

 

Un coup de gueule contre des « pinpins » !

 

Le SDEY s’est aussi donné pour mission d’aider les communes à réduire de façon drastique leur facture énergétique, au travers notamment de la rénovation de l’éclairage public en « LEDS intelligents ». Un programme qui s’achèvera en 2023, au profit de174 communes et pour lequel le syndicat a contracté un emprunt de 15 millions d’euros, pour des travaux dépassant les 25 millions d’euros. L’occasion pour le président LOURY d’une mise au point : « vu le montant de nos investissements, je pense que nous n’entendrons plus de la part de personnes malveillantes ou ignares que le SDEY est riche. Il n’est pas riche, il fait travailler l’argent... ».

Rappelant que si sept millions d’euros de trésorerie avaient bien été engrangés au moment de la fusion des 23 syndicats primaires, huit millions d’emprunts avaient été « récupérés » conjointement, qu’il faudra rembourser jusqu’en 2030.

Le SDEY accompagne également le Conseil départemental pour la partie génie civil en cas de travaux mixtes liés au déploiement de la fibre dans le département, avec là encore, ce petit « coup de gueule » du président : « A plusieurs reprises, j’ai réagi fortement contre l’installation de poteaux dans des communes où nous avions enfoui les réseaux. C’est quand même assez déplaisant alors que nous œuvrons à l’amélioration de sites, sur le plan environnemental, en enfouissant des réseaux, de voir des « pinpins » qui arrivent derrière et qui replantent des poteaux en disant c’est la fibre ! Ça je ne le supporte pas… ».

 

 

La France détient le pompon en terme de delai pour réaliser des choses !

 

A noter qu’après les douze premières communes récompensées en 2022, de nouveaux labels « Terre d’Innovation » seront décernés cette année, aux communes les plus performantes en la matière portées par le SDEY. Un label qui a séduit par-delà les seules frontières icaunaises, puisqu’il sera repris au niveau national.

C’est à l’unanimité moins une voix, que le SDEY a voté une motion sur l’avenir énergétique de la France, préconisant entre autres, l’accélération du développement des énergies renouvelables, de l’hydrogène, du gaz vert, de la biomasse et de la simplification des procédures pour un aboutissement plus rapide des projets. Il y a urgence tonne son président : « Faut reconnaître quand même que la France détient le pompon en termes de délai pour réaliser quelque chose… ». Et le temps, c’est justement ce dont on manque le plus cruellement pour construire le monde énergétique de demain…

 

Dominique BERNERD

 


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Tiens, on se croirait presque revenu à la formule des matchs disputés en aller/retour version coupes européennes ! Et pour cause, la précédente opposition entre l’AJ Auxerre et l’AS Monaco date du 28 décembre dernier. Une rencontre qui eut lieu en pleine période de « Boxing Days » à la française. Une exception culturelle pour les supporters de la Ligue 1, pas habitué à un tel calendrier. Une confrontation initiale qui s’était soldée par une défaite sur un score méritoire de 2 à 3 face au club du Rocher. En sera-t-il de même mercredi soir sur les bords de la Méditerranée ?

 

AUXERRE : Ce n’est pas vraiment le hasard. L’explication se trouve dans le principe du championnat de France, disputé en phase de matchs « aller » et de matchs retour. Un mois à peine après la première rencontre qui avait vu la formation monégasque l’emporter d’une courte tête sur les Icaunais, l’AS Monaco reçoit les protégés de Christophe PELISSIER au stade Louis II. Une rencontre qui sent le soufre pour les Bourguignons, en cruel manque de points !  

Qu’espérer, dans le fonds, de ce déplacement périlleux si loin de ses bases arrière à une heure et demie de vol depuis Orly un mercredi soir de février ?! Beaucoup de choses, si l’on en croit les propos du coach, qui lors de son point de presse d’avant-match, a assuré que le groupe effectuait le déplacement avec la ferme intention de montrer ses qualités de jeu face à l’adversaire. Et de ramener quelque chose dans la besace ?

« Nous allons apporter la même résistance sur le terrain que lors du match aller, souligna Christophe PELISSIER, qui s’épancha longuement sur le mental de ses troupes après le revers immérité face à Montpellier dimanche. Une partie perdue sur le score de deux à zéro et un pénalty raté du pauvre capitaine Birama TOURE, en manque de confiance devant la cage du portier adverse.

Il est vrai, au vue de la physionomie de la rencontre face aux Héraultais que le sort de la partie aurait pu être tout autre, avec une belle domination des Bourguignons et deux frappes qui allaient mourir sur les poteaux.

Toutefois, attention, changement de registre face aux quatrièmes de Ligue 1 et prétendants à l’Europe : l’ASM représente un tout autre calibre que Montpellier en proie aux affres du doute. « C’est une formation de très haut niveau, concède le coach qui se livre face aux journalistes, on sait très bien ce qui nous attend ! ».

Confrontée au cycle infernal de six matchs à jouer en une vingtaine de jours, dont celui de la Coupe de France face à Rodez à domicile le 08 février, l’AJA qui présentera un groupe au grand complet mercredi soir sans la moindre absence imputable à une blessure doit relever la tête très vite et sortir du guêpier de la zone de relégation où elle occupe pour l’heure la dix-neuvième place.

« Il nous faut retrouver la confiance, lâche l’entraîneur auxerrois, on n’arrive pas à concrétiser alors que l’on peut être dominateur comme face à Montpellier… ».

Défendre ses chances, crânement. Voilà l’objectif avoué et assumé par Christophe PELISSIER qui a su distiller les mots psychologiques qu’il fallait au lendemain de la nouvelle défaite de son équipe. Des mots où le positivisme et l’unité ont subjugué les joueurs avec détermination en leur permettant de retrouver le bon chemin qui mène à la victoire.

Des mots qui ne doivent pas pour autant occulter les actes ! Rendez-vous est donc pris ce mercredi 01er février à partir de 20 heures…

 

Thierry BRET

 


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Présent ce dimanche au stade Abbé Deschamps, l’ambassadeur plénipotentiaire de la République populaire de Chine, Lu SHAYE, a répondu favorablement à une invitation lancée par le propriétaire de l’AJ Auxerre, James ZHOU. Une manière symbolique de célébrer le nouvel an chinois, placé sous le signe du lapin…

 

AUXERRE : Selon vous, pourquoi le football de haut niveau ne parvient-il pas à percer en Chine ?

C’est difficile à dire, mais l’histoire du football en Chine est beaucoup plus récente qu’en France. A peine une trentaine d’années pour les matchs professionnels contre plus d’un siècle en France. La culture du foot existe en Chine, mais n’y est pas aussi solide qu’ici, que ce soit au niveau de la formation des joueurs ou du système d’organisation. Personnellement, j’en suis désolé, même si je ne suis pas expert en la matière, mais j’espère que les échanges sur ce plan entre nos deux pays, ne feront qu’améliorer les choses et un club comme l’AJA a un rôle à jouer bien sur… 

Sport et politique ont toujours été étroitement liés. On se souvient de la première visite du président américain Richard NIXON en 1972 et de ce qu’on appelait alors la « diplomatie du ping-pong »…

Oui, je crois que la diplomatie du foot peut exister à son tour. Et si la France nous aidait à améliorer notre niveau concernant ce sport, ce serait un grand succès de la diplomatie et cela pourrait même avoir une signification politique… 

 

 

En ce début de nouvelle année, que souhaitez-vous pour votre pays ?

Bien sûr, le bonheur, le succès et la prospérité… 

Et pour le reste du monde ?

La même chose ! (rires). Mais aussi la stabilité, le développement et la paix. Il y a la guerre dans le monde aujourd’hui.Et on espère qu’elle prendra fin au plus tôt. La Chine et la France peuvent ensemble faire des efforts en ce sens… 

Pour en revenir au sujet du jour, quel est votre pronostic pour ce match de l’AJA contre Montpellier ?

Je prévois 2 à 1… En faveur de l’AJA bien sûr ! (rires).

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 

 


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La séance de vœux des élus du Rassemblement National de l’Yonne s’est muée en un exercice oratoire récapitulatif des premières actions concrétisées sur le terrain par les intéressés eux-mêmes depuis la prise de leurs fonctions. Un bilan non exhaustif de sujets, effectué sur différentes strates d’intervention. Qu’elles soient hexagonales, régionales ou locales. Avec à la baguette, le chef de file de la représentation souverainiste sur le territoire, un Julien ODOUL, très en verve qui devait profiter de la circonstance pour rappeler que le RN reste le premier parti d’opposition à la gouvernance actuelle…

 

AUXERRE: L’heure du bilan s’est-il établi en guise de grandes résolutions à tenir chez les élus du RN ? Afin de montrer toute leur détermination à jouer plus que jamais leur rôle de premiers opposants à la politique gouvernementale et au chef de l’Etat en 2023 ?

C’est en substance le message liminaire qu’ont voulu passer le parlementaire de l’Assemblée nationale Julien ODOUL (député de la troisième circonscription de l’Yonne) et les deux conseillers régionaux, assis à ses côtés à la tribune d’une rencontre avec la presse, Audrey LOPEZ et Pascal BLAISE. Le député de la première circonscription de l’Yonne Daniel GRENON était excusé pour raisons personnelles.

Prenait part également à cette explication de texte très fournie dans les détails, Xavier ROSALIE, le singulier maire de Piffonds qui ne pratique pas la langue de bois dans ses propos et multiples anecdotes qui relatent le quotidien de sa commune rurale.

 

Quatre propositions de lois portées par Julien ODOUL…

 

A quoi servait exactement cet exercice oral, se définissant comme une véritable rétrospective des actions menées lors de ce semestre écoulé ? A prouver en l’argumentant de chiffres et d’exemples détaillés à l’appui que les élus du RN ne restaient pas les bras croisés comme des spectateurs inertes en attendant que les choses se passent au sein des hémicycles respectifs qu’ils fréquentent. Y compris à la Région

Cet entretien testimonial autour du bilan de ces six derniers mois de 2022 devait s’articuler autour des propositions de lois – au nombre de quatre - déposées par Julien ODOUL dont la toute dernière se rapportait à la possibilité de pouvoir expulser un étranger sous le coup d’une OQTF. Il fut également question des textes visant à interdire les rodéos urbains sauvages. Des actes d’incivisme qui font avec régularité constante la une de l’actualité. Mais, il était aussi question du texte offrant la possibilité de financer le permis de conduire via le compte personnel de formation ainsi que celui renforçant le respect et le bien-être animal afin de mieux lutter contre les abandons massifs de nos amis domestiques chaque année en France. Environ 100 000 animaux laissés au bord du chemin en moyenne, ce qui est en toute objectivité proprement scandaleux...

 

Des travaux rejetés par « dogmatisme et bêtise » par les autres groupes…

 

Le travail des parlementaires du Rassemblement National – le groupe d’opposition le plus important en termes de représentation au Palais Bourbon - se traduit aussi dans les faits par vingt-huit questions écrites au gouvernement. Celles-ci ont touché des sujets de terrain, la résultante de sollicitations d’élus locaux ou de représentants associatifs – notamment le thème des transports avec le TER circulant au nord de l’Yonne, la désertification médicale ou le besoin d’un second lycée sur le Sénonais ainsi que la hausse des charges pour les locataires de logements sociaux…, sans omettre les professionnels – on pense aux artisans boulangers et aux bouchers devant faire face à l’augmentation inéluctable des coûts de l’énergie.    

Ne se privant pas de prendre la parole dans le saint des saints de la vie démocratique que représente l’Assemblée nationale, l’élu de l’Yonne est intervenu dix-huit fois au micro, la plus récente abordait le port de la tenue uniforme des scolaires dans les écoles et les collèges. Un item proposé dans le cadre de la niche parlementaire du groupe bleu marine qui n’aura pas connu le succès auprès des autres députés ni leur approbation, puisque rejeté à l’instar des six autres projets présentés par le RN.

« Par dogmatisme, bête et méchant de tous les autres groupes politiques, ces propositions de lois ont été rejetées systématiquement, lâche un Julien ODOUL profondément amer, ces propositions concernaient la vie quotidienne des Français en augmentant leurs salaires, en luttant contre les inégalités à l’école, en refusant les ZFE, ces zones territoriales anti-pauvres qui vont exclure de fait toutes celles et ceux qui ne peuvent pas acquérir un véhicule électrique. C’était aussi revivifier la démocratie en instaurant les principes de la proportionnelle. Bref, que du bon sens partagé par une large majorité de Français et cela a été balayé…».

La verrue au beau milieu de ce bilan semestriel du RN ? Vraisemblablement !

 

Une pique qui cible les élus des Républicains qui ne « travaillent » pas !

 

En qualité de président de groupe au Conseil régional Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL procéda ensuite à un exercice similaire, résumant point par point les activités de sa formation durant l’année écoulée à Dijon.

« Nous sommes rentrés dans l’hémicycle régional en juin 2021 avec l’intention de protéger les citoyens de notre territoire, souligne le député de l’Yonne septentrionale, cela s’est traduit dans les faits par plus de deux cents prises de parole en séance plénière, cent-quatre textes qui ont été déposés depuis le début du mandat. Sur la seule année 2022, c’est 151 interventions orales, 56 textes déposés, 41 amendements, quinze motions et vœux…Très franchement, nous sommes le seul groupe d’opposition régionale à remplir notre mission car les élus Les Républicains ne travaillent pas, de manière volontaire ou involontaire, peu importe ! ».

Et le numéro cinq de la formation bleu marine de saluer le travail des deux conseillers régionaux assis non loin de lui, Audrey LOPEZ et Pascal BLAISE. Ce dernier ayant pris souvent la parole sur le dossier dont il a la charge au sein de sa commission, c’est-à-dire les transports.

Défense des automobilistes avec la suppression de la TIPCE, désertification médicale ou gratuité des transports pour les étudiants, autant de sujets au demeurant importants qui auront été défendus par les élus du RN dans la capitale des ducs de Bourgogne l’année dernière.

Julien ODOUL rappela aussi son attachement patrimonial au site de l’abbaye de Pontigny – « un sujet qui n’a pas fini de faire parler de lui déclare-t-il un brin prophétique, il existe une sorte de malédiction sur ce dossier ! » - mais aussi autour de la mobilisation contre la fermeture de BENTELER, le site industriel de Migennes et la perte de ses 400 emplois, « une motion a été rédigée par tous les groupes, adoptée à l’unanimité… ».   

Considérant le bilan de l’année écoulée, « riche » et « constructif », le porte-étendard du souverainisme à l’estampille RN ne comprend pas l’obstruction permanente faite par les élus des autres formations envers leurs projets. Une forme de « sectarisme » primaire qui n’apporte rien de bon à la vie démocratique, selon lui. L’un des enjeux politiques de la nouvelle année qui commence pour changer de paradigme…

 

Thierry BRET

 

 


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2022 a ouvert le chemin d’une inflation galopante. Les perspectives sont plutôt sombres ! La valse des étiquettes est hélas au programme cette année. Qui mène la baguette de ce concert, dramatique pour beaucoup ? Face à une augmentation record des prix, il est temps de trouver les meilleurs plans pour obtenir les meilleures conditions d’achat. Comme pour la célèbre danse, le tango, le bon plan devient une improvisation permanente, en s’adaptant aux offres et en recherchant les meilleures propositions présentes dans l’instant. Identique au tango, la recherche du bon plan commence souvent au salon : sur son ordinateur, grâce à son moteur de recherche préféré…

 

TRIBUNE : Les produits alimentaires sont largement concernés par l’inflation. Qu’il s’agisse de la viande ou du pain, la chasse aux promotions est ouverte toute l’année. Au-delà des offres promotionnelles de nos enseignes préférées, de bonnes nouvelles arrivent en 2023 : l’ouverture de nouveaux magasins dans le cadre de nouvelles enseignes. Notons au passage le lancement de  « TOUTJUST », avec 7 500 produits proposés de 5 % à 10 % moins chers. C’est une marque indépendante française qui  a été créée récemment par un ancien directeur d’hypermarché.

Mais, il y aussi « POTAGER CITY », filiale de CARREFOUR, qui assure la promotion du bio et « ATACADAO », filiale du même groupe, qui propose des entrepôts avec des denrées présentées à des prix inférieurs de 10 % à 15 % moins chers qu’ailleurs. Ce réseau s’adresse aux particuliers comme aux professionnels. On peut acheter par palettes entières, et le prix varie selon les quantités achetées.

Dans ces nouveaux cadres, les circuits courts sont privilégiés ainsi que les productions locales. L’implantation de ces magasins sera progressive mais débutera dès le mois de mars 2023.

N’oublions pas non plus, que même sur son balcon on peut récolter : des tomates cerise, des plantes aromatiques, des fraises…

Dans le cadre de promotions de viandes, réaliser un plat, comme du bœuf bourguignon, de la rouelle de porc et autres blancs de poulet est facile. Il ne faut pas hésiter à concocter des plats pour six à huit personnes. En effet, on peut congeler le surplus, et surtout, la cuisson de ces plats, qui peut dépasser les deux heures, permet de réaliser des économies d’énergie.

 

 

 

Bien négocier en sa faveur les offres de services…

 

 

Les contrats d’assurances incendie sont à vérifier. Attention, si dans le descriptif de la maison, fourni à l’assureur, il n’y a pas de cheminée, en cas d’installation d’un poêle. Il est obligatoire de le déclarer à l’assureur aux fins de signer un avenant. Une augmentation des cotisations en découle. C’est l’occasion de revoir le niveau des couvertures. A titre d’exemple : passer de 50 000 euros à 30 000 euros de couverture pour le mobilier, a permis de diminuer la cotisation globale, malgré la cotisation ajoutée et due à l’installation d’un poêle.

Pour les banques, la bonne nouvelle c’est que le taux d’usure va être calculé tous les mois. En conséquence, les banquiers vont plus facilement prêter. La mauvaise nouvelle, c’est qu’ils vont pouvoir s’adapter, en permanence, à une hausse des taux inéluctable.

Il semble important de réaliser son acquisition immobilière afin de s’engager uniquement sur des taux fixes. Pour les investisseurs en immobilier, un conseil : il faut toujours réaliser le montage financier avec un crédit (70 % d’apport personnel et 30 % de crédit, par exemple). Calculer l’échéance du crédit afin qu’elle soit équivalente au loyer encaissé. Retenons, que pour les crédits, l’assurance décès-invalidité est négociable et même ailleurs que chez la banque prêteuse.

Pour les placements immobiliers, en tête du podium de la rentabilité, se trouve la location courte durée, ainsi que sa variante, la location saisonnière. On peut aussi privilégier les résidences pour étudiants.

 

 

Il existe pléthore de bons plans pour acheter moins cher !

 

Pour les mutuelles d’assurance, il est important de comparer ce qui est comparable : pointer les niveaux de couvertures, point par point et non en se focalisant uniquement sur les cotisations. En ce qui concerne les cabinets dentaires associatifs, restons vigilants face aux dérives de certains, fermés pour raison sanitaire : ils ne sont pas soumis aux contrôles habituels des cabinets médicaux !

Quant aux voitures d’occasion, elles ont augmenté de 34 % en un an. Si on n’est pas impatient, les concessionnaires proposent des voitures neuves à prix cassé : voir sur Internet les meilleurs plans. En ce qui concerne l’électroménager, il faut d’abord aller sur les comparateurs de prix et déterminer ainsi les marques et les distributeurs les moins chers.

On peut trouver du mobilier à bas prix dans le réseau des dépôts « Emmaüs ». Certains cites propose de réaliser des achats groupés : le « team buying » qui consiste à faire des achats groupés via dealissime.com ou entreacheteurs.fr. 

Pour les vêtements, les « vides greniers » ont le vent en poupe. On peut ainsi trouver, des chemises et des pulls à un ou deux euros, en très bon état et parfois jamais portés.

Trouver un bon plan pour acheter moins cher, c’est aussi l’occasion d’échanges en famille, entre voisins…C’est surtout l’occasion de vivre une plus grande solidarité. Solidaire de nos anciens, isolés et qui ont des difficultés à se repérer sur Internet.

Nous l’avons vécu dans notre histoire, les difficultés ont souvent permis de s’engager sur le partage et l’entraide. Les exemples se multiplient : de jeunes couples proposent d’apporter les courses à des anciens en échange de la garde d’enfants, des échanges de participation concernant des travaux en tout genre (bricolage, jardinage…), des étudiants qui proposent des cours de soutien à des enfants, etc.

Si certains parlent de l’apparition d’un nouveau cycle économique, la crise que nous traversons, fait l’objet de l’émergence d’un monde plus solidaire, plus fraternel, plus humain tout simplement.

L'humanisme affirme la valeur, la dignité et l'autonomie des individus et le droit de chaque être humain à la plus grande liberté possible. Les humanistes ont le devoir de se soucier de l'humanité entière incluant les futures générations. C’est à la portée de chacun.

« Un humanisme bien ordonné ne commence pas, par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l'homme, le respect des autres êtres avant l'amour-propre. » Claude LEVI-STRAUSS.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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