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Menée sur les secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois depuis le début de l’année, l’expérimentation s’est mise en place dans notre territoire avec le concours de Pôle Emploi et le suivi de l’Etat. Permettre aux bénéficiaires du RSA de retrouver le chemin qui conduit à la vie active n’est pas un vœu pieu pour le préfet de Région Franck ROBINE et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD à l’unisson sur le sujet…

 

AUXERRE : Il ne pouvait pas conclure la conférence de presse qu’il accordait aux médias de l’Yonne, lundi en début d’après-midi, sans faire une allusion au dispositif orchestré dans une vingtaine de départements – dix-neuf avec exactitude dont celui de la Bourgogne septentrionale – relatif aux bénéficiaires du RSA, acronyme se rapportant au « Revenu de Solidarité Active ».

Un item primordial pour le préfet de Région Franck ROBINE. Tant les tensions actuelles sur le marché du travail sont importantes et pénalisent de manière inéluctable les entreprises dans leur besoin à recruter.

Saluant l’initiative du Département de l’Yonne – notre contrée a été choisie par la gouvernance étatique pour expérimenter un nouveau dispositif de retour à l’emploi dans le cadre de la démarche « France Travail » qui vise les bénéficiaires du RSA -, le préfet de Bourgogne Franche-Comté, en visite ce lundi 13 mars dans la capitale de l’Yonne, félicita le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, d’avoir bien voulu accepter l’expérience.

 

Près de 2 100 bénéficiaires du RSA sur les secteurs d’Avallon et de Tonnerre…

 

Pour faire simple, l’idée de la nouvelle organisation « France Travail » dont le gouvernement est le porte-étendard dans le domaine de l’emploi, est d’aider les bénéficiaires du RSA à retourner le plus vite possible vers une activité professionnelle.

Un monde du travail qui échappe parfois, sur une très longue période – une étude nationale démontre que cette absence de vie active peut allègrement aller jusqu’à sept années –, à ces personnes qui perçoivent le Revenu de Solidarité Active.

 

 

 

Dans l’Yonne et sous la houlette de la conseillère départementale Sonia PATOURET, très investie sur ce dossier – on se souvient de l’initiative « Brique à Brique » menée par ses soins avec détermination auprès de la filière du bâtiment avec le concours de la FFB, la CAPEB, la FRTP et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en 2021 -, ce sont près de 2 100 bénéficiaires du RSA (2 070 avec précision) des secteurs géographiques de l’Avallonnais et du Tonnerrois qui se sont donc lancés dans cette nouvelle aventure depuis janvier.

Des personnes qui profitent d’un accompagnement spécifique et adapté à leurs besoins afin de favoriser ce retour immersif dans l’emploi.

« Grâce à cet engagement du Département de l’Yonne, devait-il souligner, ce sont des femmes et des hommes qui vont retrouver du travail. Cette initiative est extrêmement importante dans la vie de ces personnes… ».

 

Le Département a le devoir moral de remettre les gens au travail…

 

Vu par le prisme départemental, le RSA représente une enveloppe de 60 millions d’euros à la charge de l’institution icaunaise. Un chiffre que ne manqua pas de rappeler Patrick GENDRAUD, complétant ainsi les propos liminaires de Franck ROBINE. Une somme versée aux 8 200 destinataires de ce revenu minimal. Un nombre de bénéficiaires qui s’érode légèrement depuis plusieurs années.

Exprimant sa fierté de voir que le département dont il assume la présidence avait été choisi par le dispositif « France Travail » pour cette phase test, élément précurseur sans aucun doute avant le maillage hexagonal qui se fera par la suite, l’ancien maire de Chablis rappela que bon nombre d’offres d’emploi fleurissaient çà et là.  

Il cita, à titre d’exemples, le monde viticole et ses trois cents postes non qualifiés à pourvoir de suite ; les neuf cents opportunités qui ont été identifiées sur le domaine de la restauration et de l’hôtellerie ; etc.

Des arguments faisant dire au patron de l’exécutif que « l’organisme qu’il représentait avait un devoir moral de remettre les gens sur le chemin du travail… ».

Selon lui, les premiers frémissements se faisaient désormais ressentir dans ces deux secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois, avec l’implication accrue de Pôle Emploi.

« Je pense que nous sommes sur la bonne voie avec cette démarche initiée par « France Travail », devait-il préciser en guise de conclusion.

Une conclusion devant satisfaire un Franck ROBINE pédagogue sur le sujet, mettant un terme à ce deuxième rendez-vous relationnel avec la presse départementale.

 

Thierry BRET

 


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La sortie du palmarès étoilé « Michelin », puis de sa version papier en librairie, constitue chaque année un marqueur de l'actualité gourmande. Bien sûr, ce « jeune homme » de 123 ans que l’on peut trouver parfois un peu trop ou pas assez en matière d'avis, reste une référence à laquelle votre serviteur n'échappe pas d'ailleurs ! La version papier, après quelques errements passés, semble avoir enfin retrouvé quelques-uns de ses fondamentaux…

 

TRIBUNE: Une couverture rigide, un référencement alphabétique des localités, en lieu et place d’un ridicule classement régional ainsi que des hôtels, supprimés en 2022 (on se demande bien pourquoi ?!) : si « Bibendum » veut avoir l'air d’être dans le vent, il ne doit pas cependant négliger les basiques du succès qu'il constitua jadis avec soin d'ailleurs !

Un petit bémol pourtant : la catégorie « Bib gourmand » apparaît désormais sans limite tarifaire. Celle-ci constituait depuis 1997 (date de la création de cette catégorie) un marqueur aussi net que  précis : tel prix pratiqué en province, un peu plus cher à Paris.

Qu’en est-il de cette édition 2023 pour le département de l’Yonne ? C’est le statu quo. L’Yonne est à marée basse avec seulement deux « Bibs gourmands », accordés aux « Chenets » à Valloux et aux « Trois Bourgeons » à 

Chablis. Alors qu’il y en eut jusqu’à six, voilà peu ! Comment comprendre l'absence de cette distinction pour la bonne cuisine servie au « Rive Gauche » de Joigny ?

Du côté des tables étoilées départementales, elles sont au nombre de trois : « La Madeleine » à Sens, « Le Château du Vault-de-Lugny » ainsi que « La Côte Saint-Jacques » à Joigny. Cette dernière laisse désormais apparaître le nom prometteur du jeune neveu de Jean-Michel LORAIN, Alexandre BONDOUX, agir aux côtés de son auguste oncle, y constituant ainsi la quatrième génération de cette saga familiale. 

 

 

L’Yonne évolue en seconde division par sa présence culinaire…

 

Une nouveauté est à signaler : le référencement du « Noyo » à Auxerre. Cela avait été annoncé dans nos colonnes voici quelques semaines. C'est indéniable,  l'Yonne mériterait un peu mieux en termes de présence...

Difficile cependant de rivaliser avec des départements comme la Vendée, le Vaucluse, le Var, les deux Savoie, le Rhône, l'Alsace, les Pyrénées-Atlantiques, le Nord - eh oui ! - le Morbihan, le Maine-et-Loire, la Loire-Atlantique, la Loire, le Loir-et-Cher, l'Indre-et-Loire, l'Ille-et-Vilaine, l'Hérault, la Gironde évidemment, le Finistère, la Dordogne, la Charente-Maritime, le Calvados, les Bouches-du-Rhône ou encore les Alpes-Maritimes.

Ces départements constituent une sorte de « Ligue 1 » touristique, et nous ne sommes qu’en division inférieure avec seulement quinze adresses référencées. La Nièvre pointe, quant à elle, parmi les derniers du peloton avec cinq établissements…

 

 

 

Pas grand-chose à se mettre sous la dent en Bourgogne, côté nouveautés !


On peut penser aussi que nos dirigeants départementaux et autres collectivités pourraient impulser quelque chose en la matière, en essayant d'accueillir de jeunes talents culinaires et faciliter ainsi leur installation grâce à des aides. Que sais-je ?

Reconnaissons que cela ne semble pas à l'ordre du jour ! Même le magazine d'informations du Département a supprimé la petite chronique des tables locales, c'est dire !
Peu de nouveautés en Bourgogne, sauf en Côte d'Or où deux tables « bobos » dijonnaises émergent, une table au cœur du joli vignoble de Saint-Aubin, une auberge dans la belle bourgade de Semur-en-Auxois et aussi  « L'Auberge de Guillaume », sise à Vandenesse-en-Auxois. Le truculent chef MOF qui la dirige méritera sûrement notre attention gourmande l'année durant, avant le Michelin 2024 !

Le guide adore être là où on ne l'attend pas forcément. Là est aussi sa force !

 

 

Si deux étoiles étaient vaguement attendues dans la verdoyante Saône-et-Loire, il faut reconnaître qu'on les voyait attribuer ailleurs qu'à « L'Amaryllis », sise  à Saint-Rémy, au sud de Chalon-sur-Saône.

Après Sennecey-le-Grand, le chef Cédric BURTIN s'est établi dans ce paisible moulin, voilà une douzaine d'années. Ce cuisinier au fort joli parcours (il a été formé par le formidable Daniel DOUCET à Charolles, puis par Pierre ORSI à Lyon, enfin par Paul BOCUSE par la suite...) est valorisé par le « Michelin » pour sa cuisine sublime et ses sauces superbes.

Nous vous y emmènerons un de ces jours prochains, d'autant que le service y est décrit comme impeccable. Bravo à ce chef quarantenaire et sa brigade ! La Bourgogne compte désormais vingt-trois tables possédant une étoile, cinq tables aux deux étoiles (l'une devrait fermer néanmoins en cours d'année à Saint-Amour...) et une table trois étoiles à Chagny (« Chez Lameloise »).



Gauthier PAJONA

 

Dans la seconde partie de cette rubrique à paraître, gros plan sur le nouveau triple étoilé de cette édition, « La Marine », sur l’île de Noirmoutier…

 

 

 

 


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Au dire de certains, au Palais Bourbon, nous sommes plus proches de la bouteille de whisky que du livre d’Aristote, « Ethique à Nicomaque ».Tous les observateurs sont atterrés par l’attitude scandaleuse des élus de la NUPES lors des débats parlementaires sur la réforme des retraites. Invectives, gros mots, cris d’orfraie… pleuvent drus dans un monument historique construit au XVIIIème siècle par l’architecte Bernard POYET. Le mépris des ministres, des jeux de mains, des noms d’oiseaux qui volent bas, des tenues vestimentaires plus proches de celles de la Cour des Miracles que de la bienséance souhaitée pour des élus de la nation : mais où sont donc passés les préceptes de l’auteur « De l’Esprit des lois » ?

 

TRIBUNE: Qu’attendre d’un député LFI, à l’image de Louis BOYARD, qui se vante d’avoir pratiqué le deal de drogue afin de payer ses études ? Il doit, en théorie, être un exemple pour la Nation toute entière et le peuple qu’il représente. Face aux urgences nationales que sont le climat, l’emploi des seniors et la pauvreté, que dire de cette députée écologiste proposant, dans le cadre de son mandat, le partage des tâches ménagères dans les couples et des sanctions pour les compagnons qui n’effectuent pas leur quota journalier !

J’y perds mon latin ! Et, comme le latin est devenu une langue rare comme le sanscrit ou l’araméen, nos chers (et même coûteux) députés ont oublié la force morale avec laquelle l’être humain tend au bien : la « vertu ». Cette vertu décrite par Montesquieu, dans son célèbre ouvrage, « De l’Esprit des Lois ». Il ne reste que des lois mais plus d’esprit. Quand on n’a plus la culture et les mots, il ne reste que les poings…

 

« De l’Esprit des Lois » : Montesquieu, un oublié de l’histoire…

 

L'auteur, dans sa fidélité à Jean Domat (jurisconsulte de Louis XIV), à Cicéron ou à Aristote, demeure un « Ancien », perdu dans le monde des « Modernes ». Cet ouvrage sera publié à Genève en 1748 afin d’éviter la censure. Hélas, il ne l’évitera pas en France pas plus que l’anathème de l’Eglise. Par son plaidoyer pour la liberté, Montesquieu est apparu à de nombreux commentateurs comme un philosophe politique dont la pensée serait l’un des phares de la modernité. Il est certes exact, comme le remarque L. STRAUSS, que Montesquieu dépeint deux idéaux politiques opposés : la république romaine dont le principe est la vertu, et la monarchie constitutionnelle anglaise dont le principe est la liberté politique. Il accorde sa préférence au second modèle : il pense que celui-ci correspond au genre de vie dont la société ouverte de l’Europe du XVIIIe siècle. Aujourd’hui, on confond « liberté » avec « anarchie »…

Du point de vue méthodologique, la problématique de la liberté à laquelle Montesquieu a consacré toute sa vie, n’est étrangère ni à la mise en œuvre des procédures expérimentales qu’il pratique dès ses premiers travaux, ni à la philosophie de NEWTON qui l’a profondément marqué. Montesquieu définit les lois comme les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. De ce fait, toutes choses (animaux, hommes, Dieu, etc.) ont leurs lois. C’est là, la condition nécessaire pour que le monde, une fois crée, subsiste et ne s’effondre pas sur lui-même. L’existence de ces lois est donc prouvée par la persistance du monde.

Ces lois existent de tout temps, même les lois humaines, car elles vivent en puissance avant que d’être promulguées. Aujourd’hui, les lois deviennent iniques et vides de sens, voire perverses. Ainsi, aux Etats-Unis, on admet les rapports sexuels entre humains et animaux…A quand en France ?

 

 

Le peuple de France ne sent plus assez représenté au Palais Bourbon…

 

Dès que l’homme entre en société, l’état de guerre commence. Montesquieu décrit ainsi un processus historique inverse de celui de Hobbes, pour lequel les hommes rentrent en société précisément pour échapper à l’état de guerre qui caractérise l’état de nature. Pour Montesquieu, l’état de guerre est double : les hommes, à l’intérieur d’une même société, entrent en guerre entre eux, car chacun perd le sentiment de sa faiblesse ; de même, les nations entrent en guerre entre elles.

De ce fait, des lois de trois sortes apparaissent (constituant trois sortes de droits différents) : celles qui gouvernent les relations entre les peuples : le droit des gens ; celles qui régissent les rapports des gouvernants aux gouvernés : le droit politique et celles qui régissent les rapports des citoyens entre eux : le droit civil.

Montesquieu vante les mérites de la démocratie et fustige le despotisme. Il condamne les esclavagistes, son ouvrage est un plaidoyer pour la liberté organisée par des lois. Des lois votées par des représentants de citoyens. Dans ce régime, le citoyen est devenu gouvernant et gouverné.

 

 

Aujourd’hui, les manifestations dans nos rues s’expliquent par le fait que le peuple ne se sent plus efficacement représenté : à l’Assemblée nationale, combien de paysans et d’habitants de la France rurale, combien de personnes issues des classes moyennes et des couches les plus basses de la société ?

A l’Assemblée nationale, parmi les députés on compte 91 % de cadres et professions intellectuelles supérieures, 3 % d’agriculteurs, 3 % de retraités et 3 % de personnes sans profession ! Pas d’artisans et de commerçants et de chefs d’entreprise, pas d’ouvriers ni d’employés ! Où se situe la représentation du peuple ? 

De plus, nos lois, sont éloignées du pragmatisme voulu par Montesquieu ! Souvent dictées par Bruxelles, les lois incarnent d’avantage une technocratie sourde et muette aux aspirations des peuples que le bon sens populaire ! Non Monsieur MACRON, ce n’est pas une révolte qui gronde, « le diable boiteux » (Talleyrand) vous le déclare : « C’est une révolution, sire… ».

 

 

Une loi se doit d'être juste…

 

Montesquieu critique et définit le despotisme comme celui où un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et ses caprices. On peut ajouter : celui qui fait fi des lois, ne les faits pas appliquer et demeure sourd aux appels de la rue et du peuple…

Les lois doivent contenir les trois vertus républicaines : la liberté, l’égalité et la fraternité. Les gouvernants peuvent montrer la base de leur programme, la structure des lois nouvelles qui orientent l’avenir de chacun et de la nation. La recherche du bonheur du citoyen ne peut en aucun cas passer par la démagogie ou le « 49.3 », par le mensonge des statistiques, pour une justice qui s’applique surtout aux misérables !

La liberté représente des manquements permanents pour les citoyens en quête de sécurité ; l’égalité des droits est à repenser, l’égalité sociale est un leurre face aux écarts de revenus et de patrimoine entre les plus riches et les plus pauvres. Quant à la fraternité : en France, ce sont des centaines de morts de froid chaque année, des milliers de sans-abris et des millions de mal-logés, des « Restos du cœur » pleins à craquer… Un inventaire à la Prévert à méditer…

« Une chose n’est pas juste parce qu’elle est Loi, elle doit être Loi parce qu’elle est  juste… ». Montesquieu. A méditer !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Bon, c’est sûr ! Comme noble cause à inaugurer, il y a nettement plus agréable dans notre quotidien ! Cependant, pour aborder la délicate période du deuil qui tôt ou tard nous affectera tous un jour ou l’autre, mieux vaut être bien encadré professionnellement en disposant d’un espace de recueillement confortable, adapté à ce besoin, et de se sentir presque « chez soi » comme le stipule l’accroche marketing de PFF. Installée à Appoigny, la franchise vient d’y ouvrir sa maison funéraire. Inaugurée par Frédérique CHATON, sa gérante…

 

APPOIGNY : Ce fut les petits plats dans les grands pour « PFF » (Pompes Funèbres de France) ! Présence d’un chapiteau afin d’éviter les gouttes de pluie vengeresses lors des discours des orateurs puisque se déroulant en plein air ; un cocktail de belle qualité gustative comme savent les confectionner les équipes de La Farandole Gourmande de chez Didier BARJOT ; une palette d’invités représentant toutes les coteries des sphères politiques, institutionnelles, économiques et associatives locales ; et enfin, une rayonnante entrepreneuse – cheffe d’entreprise jusqu’au bout des ongles par son professionnalisme et sa rigueur de perfectionniste avérée - qui depuis 2019 rayonne avec sa reconversion réussie dans ce nouveau métier que représente, avec un certain particularisme, la filière des pompes funèbres !

Bienvenue dans l’antre entrepreneurial de Frédérique CHATON, sympathique jeune femme, à l’écoute aiguisée et à la compassion naturelle lorsqu’elle y exerce son savoir-faire coutumier en accueillant les familles éprouvées par la perte d’un être cher.

 

La mort fait partie intégrante de la vie…

 

Une Frédérique CHATON ayant un brin le trac – elle est pourtant habituée à user de son timbre de voix en des circonstances beaucoup plus délicates que celles vécues lors de cette soirée inaugurale ! – qui se fera parfois timide – sans doute la présence de toutes ces personnalités et de ce public nombreux – mais heureuse de recevoir autant de monde dans ce qui est son outil de travail : son espace funéraire.

Il est vrai comme devaient le dire en plaisantant la plupart des convives présents un verre à la main et un canapé dans l’autre que « si l’on pouvait se passer de fréquenter un tel endroit, ce serait bien celui- là ! ».

Nonobstant : la vie est ainsi faite et sans pratiquer l’exercice intellectuel de la philosophie, on sait très bien au fond de soi-même que la mort fait partie intégrante de la vie…  

Ceci dit, c’est avec émotion et fierté que Frédérique CHATON découpera aux côtés des officiels le traditionnel ruban lui permettant ensuite d’accueillir à l’intérieur de cette maison « un peu particulière » ses visiteurs. Un endroit se composant de deux salons aux décorations raffinées et cosy, aux lumières douces, et aux coloris chatoyants. Le fruit de l’architecte et des artisans du cru qui ont œuvré durant quelques semaines pour construire cet appendice supplémentaire à la boutique originelle, visible depuis l’ancienne RN 6.

 

 

 

Le mot « maison » pour mieux se sentir chez soi…

 

« Notre métier nous rappelle que nos existences sont fragiles, soulignera l’entrepreneuse face à un auditoire à l’écoute, mais que cette étape de la mort ne doit pas être négligée. Avec l’apport de cette nouvelle maison funéraire, elle prend tout son sens. Car, c’est un lieu de rassemblement pour les familles et amis des défunts pour que chacun trouve sa place en ces circonstances pénibles dans un espace chaleureux et reposant… ».

Puis, poursuivant sur les explications de texte très utiles à la compréhension schématique et stratégique de l’entreprise, Frédérique CHATON rappela qu’elle aurait pu désigner cet endroit par des vocables plus conventionnels de « funérarium » ou de « chambre mortuaire ». De cela, elle ne voulait pas !

« J’ai préféré le mot « maison », insistera-t-elle, parce que je désirai que les familles se sentent comme chez elles,  au domicile de la personne disparue… ».

Une Frédérique CHATON qui agit toujours avec le cœur et le sens de la personnalisation, pour le bien des familles comme devait le préciser par la suite le maire et conseiller départemental, Magloire SIOPATHIS ému – ce dernier éprouvé par le départ de son épouse Marie-Aimée avait fait appel aux services de la professionnelle il y a un an à peine - ; une maison funéraire qui a pour objectif d’être complémentaire à cette volonté de personnalisation aux moments des adieux définitifs avec l’être aimé.

C’est par une citation empruntée au répertoire livresque d’Antoine de Saint-Exupéry que se résuma toute la portée de cette cérémonie inaugurale : « Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité… ».

Un rêve que vit les yeux grands ouverts une Frédérique CHATON comblée par son nouveau métier après celui de l’assurance, en véritable « passeuse d’âme » et fière de l’être en vérité…

 

Thierry BRET

 


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« Quand deux préfets se rencontrent, qu’est-ce qu’ils se racontent ? » ! Le prétexte sémantique à cette visite du haut fonctionnaire de l’Etat en terre icaunaise, lundi après-midi à Auxerre, aurait pu inspirer cette phrase introductive, digne des virevoltants chansonniers de « La Revue de Presse », incontournable émission du paysage audiovisuel national que les seuls initiés – et bénéficiaires – de la chaîne « Paris Première » peuvent écouter à loisir ! Plus sérieusement, la venue de Franck ROBINE, préfet de Région, permettra de faire un point d’étapes sur les grands dossiers de l’Yonne suivis par l’Etat…

 

AUXERRE: Le 09 novembre dernier, une date forte en symbole pour les fidèles (ils sont toujours légion dans l’Hexagone) se réclamant encore de l’idéologie politique de feu le Général de GAULLE décédé à l’automne 1970, le nouveau préfet de Région, Franck ROBINE, effectuait son premier déplacement dans la zone la plus septentrionale de son territoire : le département de l’Yonne.

Un secteur dont il connaissait évidemment les grandes caractéristiques informatives, comme tout à chacun à la façon de cartes postales évidentes, entre Chablis et ses nectars à l’universalisme affirmé, Auxerre et son mythique club de football le plus souvent associé à la presque légendaire silhouette de son ancien entraîneur, Guy ROUX et Vézelay, dite la « Colline éternelle » sublimée par l’édification au Moyen-Age de sa célèbre basilique romane en souvenir de Marie-Madeleine, reconnue depuis par l’UNESCO.

Ce jour-là, le successeur de Fabien SUDRY, accompagné du  préfet de l’Yonne Pascal JAN, avait pris soin de s’immerger en profondeur parmi les dossiers importants dans lesquels l’Etat régional et l’Etat départemental sont investis, entre Auxerre, capitale du territoire à découvrir, et Vézelay où la délégation était accueillie par le maire de la localité, Hubert BARBIEUX.

 

 

L’Yonne et son fort potentiel d’attractivité économique et touristique…

 

On peut citer, pêle-mêle, l’évolution architecturale du quartier de Sainte-Geneviève avec l’ANRU, la rénovation du quartier du Batardeau sur les quais de l’Yonne, la station hydrogène implantée non loin de la pépinière d’entreprises de la CCI, l’Opération Grand Site (OGS) de Vézelay et sa mise en application, etc.

Lundi 13 mars, le préfet de Région Franck ROBINE – il s’en entretiendra par ailleurs face à la presse en début d’après-midi à la préfecture – dressera un état des lieux précis sur ces différents projets en les réactualisant quatre mois après son dernier déplacement.

Lui qui avait reconnu lors de sa précédente visite le fort potentiel de ce territoire en termes d’attractivité tant économique que touristique avait promis de revenir sous peu. Cette deuxième immersion concrétise ainsi la promesse faite d’alors !

 

Thierry BRET

 

 


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