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Représenté par le fils du récoltant vinificateur, Bastien, lui-même accompagné de son épouse, Carole, ce domaine viticole du Tonnerrois, cher à son propriétaire originel, Alain MATHIAS depuis 1982, a bénéficié d’une jolie carte de visite promotionnelle en répondant favorablement à l’invitation de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre. Surtout en y dévoilant les subtilités olfactives et goûteuses de deux de ses nectars, primés au Concours général agricole cette saison : un chablis Premier cru « Côte de Jouan » tout en finesse et de très belle facture et un bourgogne Epineuil « Côte de Grisey », issu d’une parcelle idéalement située qui réunit toutes les conditions pour l’élaboration de grands vins rouges…

AUXERRE : Comme une dizaine d’autres viticulteurs avant eux, Carole et Bastien MATHIAS ont pu apprécier les vertus judicieuses des initiatives portées par la Jeune Chambre Economique à Auxerre. Il est vrai que le concept « Tous les 20 du mois, un vin du coin » ne manque pas de pertinence. Ni d’intelligence, en vérité. Profiter d’une opération de relations publiques, façon « after work », pour y mettre en valeur les producteurs du terroir local ne peut être que positif pour ces viticulteurs du Tonnerrois qui souhaitent davantage s’ancrer au plan de l’image et de la notoriété au cœur de l’Yonne.

Evoquer les particularismes de ce domaine familial de 13 hectares ne fut qu’une simple formalité pour ce  jeune couple, encore auréolé de ses très belles récompenses glanées au Concours général agricole cette saison. Les deux œnologues ont pris plaisir à expliquer leur approche authentique de la vinification, faisant déguster au passage un panel de quelques produits.

Des crus exprimant de nombreuses caractéristiques gustatives…

Les blancs, élaborés à base de chardonnay sur les terroirs de Chablis et du Tonnerrois, ont su marquer les esprits des épicuriens. En particulier, ce chablis Premier cru « Côte de Jouan » 2016 obtenu à partir de cépages plantés sur la commune de COURGIS au sud de la rive du Serein. Longueur en bouche, rondeur et salinité caractérisent ce nectar qui a pu bénéficier de la formation géologique si atypique du Chablisien. Mention positive également pour le bourgogne Tonnerre, un cru qui a été vinifié et élevé en cuve, offrant des arômes fins et subtils au nez. La cuvée 2017 révèle toute la complexité du chardonnay, entre la justesse de l’équilibre et une richesse suave au palais.

Le pinot noir, autre cépage vedette de ce vignoble, donne naissance à des rouges de grande qualité. Le bourgogne rouge Expression possède une dominante de fruits rouges, agrémentées de notes fumées, d’épices et de réglisse. Sa garde dépasse les cinq ans. Quant à la variante bio, obtenue grâce au bourgogne Epineuil « Côte de Grisey », elle a été élevée en fûts de chêne récents où elle gagne en rondeur et en structure.

Un mot, enfin, sur le rosé qui aura aussi servi de rampe de lancement à cette soirée de dégustation estivale. D’une saveur fruitée, il est obtenu par le pressurage des raisins de pinot noir. Gouleyant et rafraîchissant, c’est le breuvage idoine de ce type de soirée dardée de rayons de soleil.

De très belles perspectives pour le domaine créé par Alain MATHIAS…

C’est en 1982 que le propriétaire récoltant intègre la catégorie des vignerons pionniers sur le vignoble d’Epineuil, pourtant malmené jusque-là par le phylloxera. Alain MATHIAS achète des parcelles et plante de la vigne. Peu de temps après, il loue des vignes à Chablis. Avant de les acquérir et de les ajouter dans son escarcelle.

Afin d’optimiser une croissance en pleine expansion, il étend son domaine. Cet amoureux du métier de vigneron fait montre de dextérité. Il érige son chai au cœur d’une ancienne carrière. Se dotant ainsi d’un bâtiment aux trois quarts enterré offrant une température et une hygrométrie parfaitement adaptées à l’élevage du vin. Une première distinction, une médaille d’or obtenue au Concours général agricole à Paris en 1988, couronne de succès sa pugnacité. Aujourd’hui, le Domaine Alain MATHIAS exporte une large partie de sa production annuelle (60 000 bouteilles) vers les Etats-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne mais aussi la Scandinavie et le Japon.

La relève est assurée depuis 2015 avec la présence de Bastien, son fils et sa belle-fille, Carole, tous deux diplômés de la formation d’œnologie de l’université de Dijon. Ensemble, ils occupent brillamment la place de major de la promotion en étant ex-aequo ! La jeune femme ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Carole persévère sur cette voie en intégrant l’Ecole supérieure de commerce de la capitale bourguignonne. Elle y décroche un précieux sésame : un diplôme spécialisé dans le commerce de vins et spiritueux à l’international. Pendant ce temps, Bastien enrichit ses expériences en travaillant sur le secteur de Beaune auprès de la fine fleur de la filière.

Une fois intégré au sein du giron familial, le jeune couple développe une activité de négociant-vinificateur. La structure se nomme tout bonnement la Maison MATHIAS. Aujourd’hui, le domaine Alain MATHIAS et la Maison MATHIAS travaillent en totale connivence puisque tous les vins sont vinifiés et commercialisés par la même équipe.


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Même en nombre restreint, les membres de la Jeune Chambre Economique auxerroise ont bravé la chaleur étouffante qui sévissait ce vendredi 20 juillet dans l’Yonne pour concocter leur traditionnelle opération déclinée chaque mois autour d’une rencontre pédagogique (et gustative) avec un viticulteur du cru. C’est au « Millésime », établissement de la rive droite d’Auxerre que l’association de ces jeunes leaders de la vie économique et sociétale de la ville a proposé ce 10ème rendez-vous de la saison. L’immersion dans le terroir local était des plus goûteuses inspirée par les nectars de très bonne tenue du Domaine Alain MATHIAS, situé à Epineuil…

AUXERRE : Même le président de la JCE Auxerre Edouard LEPESME a fait preuve d’exemplarité en participant à ce nouveau rendez-vous dont les Auxerrois raffolent tant. D’ordinaire, plus d’une centaine de personnes se précipitent tous les 20 de chaque mois à cette manifestation ludique et initiatique qui fait la part belle à la découverte du milieu viticole de notre territoire.

Apparu dans le circuit des « After work » locaux depuis septembre, le concept promotionnel « Tous les 20 du mois, un vin du coin » a trouvé son rythme de croisière, entre réunions plaisirs autour des vins et échanges nourris de potentialités économiques et sociétales à développer entre ses participants.

Preuve que ce succès fait aujourd’hui recette dans le sérail auxerrois, ce sont les établissements de la filière CHR (Café hôtel restaurant) eux-mêmes qui prennent les contacts en amont afin de proposer leurs services permettant de recevoir dans des conditions optimales l’équipe organisatrice de la Jeune Chambre et ses nombreux convives.

La résultante de « Booster ton centre-ville » en créant des animations régulières…

Ce ne fut pas le cas, certes, ce vendredi 20 juillet pour cause évidente de vacances estivales mais bon nombre d’élus et de personnalités institutionnelles ne boudent pas leur plaisir à chaque rendez-vous pour faire une apparition. On notait la présence néanmoins de Marité CATHERIN, présidente de la Maison des jumelages, de la francophonie et des échanges internationaux, de Charline LENFANT, dirigeante des Femmes Leaders de l’Yonne ou encore de Laurent DEVELLE, chef d’entreprise.

Outil de communication relationnel évident, ce procédé représente aussi un vecteur de recrutement intéressant pour la structure associative. Elle y puise ses ressources nourricières auprès de jeunes gens âgés de moins de 40 ans et désireux d’apporter leur pierre à la construction d’un idéal sociétal et économique positif. Plusieurs observatrices et observateurs ont ainsi fréquenté l’antichambre de la JCE cette année à la suite de leur présence sur cette opération. Des recrues potentielles…

La genèse de « Tous les 20 du mois, un vin du coin » n’est que la résultante de l’enquête « Booste ton centre-ville », initiée par la JCE au cours de la saison 2016/2017. Celle-ci avait révélé l’impératif besoin de créer des animations qui facilitent les contacts relationnels à Auxerre.

Deux nouvelles commissions se mettent en place à l’automne…

La première aurait pour objectif de créer un événementiel à l’été 2019. Précisément sur la rive droite de la ville. La manifestation s’apparenterait à un concept très en vogue à l’heure actuelle dans certaines villes traversées de fleuves et de rivières, « Auxerre Plage ». La seconde réfléchirait à la problématique récurrente de la mobilité et du stationnement en centre-ville. Un recensement précis du nombre de places existantes constituerait le préambule de cette analyse menée par la commission ad hoc.

Avant qu’il n’y ait un lot de propositions pour identifier lesdites places et leur fonctionnalité (pose de capteurs électroniques au sol, amélioration de la signalétique, incitation à occuper ces aires de stationnement, etc.).

Incubateur d’idées à part entière, la JCE via son mode opératoire initie les projets avant de les transmettre à d’autres structures qui en déclineront ensuite le concept. La Ville d’Auxerre, mais aussi l’Office du Tourisme Auxerrois ont pris connaissance de ces différents dossiers portés par la structure associative. Le Conseil de quartier du centre-ville d’Auxerre, exerçant ses activités en liant étroit avec les associations commerçantes locales, a lui aussi été mis dans la boucle.

La valorisation du territoire demeure l’axiome prioritaire de la JCE à travers ses actions qui ne peuvent s’effectuer que par la concertation et l’adoption des projets de l’ensemble des acteurs sociétaux reconnus.


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Prescrits par un praticien pour des raisons médicales, les arrêts de travail poursuivent leur constante progression sur notre territoire. Les premiers mois de 2018 ne dérogent pas une règle déjà observée l’année dernière. L’évolution se situe à 3,2 % de mieux par rapport à l’exercice antérieur, avec une forte poussée des arrêts maladie supérieurs à trois mois (6,7 %). Dans le même temps, les arrêts pour cause d’accident de travail ont augmenté de 7 % par rapport à 2016. Conséquence directe : le coût croissant qui est supporté par la Caisse primaire d’assurance maladie. Les indemnités journalières se sont envolées.  Pour atteindre au terme de l’exercice 2017, près de 62 millions d’euros sur le seul département de l’Yonne…

AUXERRE : « Quand on est malade, on reste à la maison et on se soigne ». Péremptoire, le message adressé par la Caisse primaire d’assurance maladie aux assurés est on ne peut plus clair ! Avec un débours précis de 61 734 000 euros de dépenses annuelles, les arrêts maladie grèvent fortement le budget de l’ancienne Sécurité sociale sur le territoire septentrional de la Bourgogne.

Connaissant toujours une forte augmentation d’année en année, les arrêts de travail entrent aussi dans le collimateur des services de contrôle de l’organisme financeur. Les fraudes sont récurrentes. Ce que ne tolère plus la CPAM de l’Yonne qui intensifie les vérifications à domicile…

L’organisme insiste désormais aux détours de ses campagnes de communication et de ses conférences de presse sur les droits et les obligations des personnes en arrêt de travail. La dernière d’entre elles rappelait avec véhémence parmi les arguments évoqués qu’un arrêt de travail n’est pas approprié pour pratiquer le jardinage, exécuter des travaux de maçonnerie à la maison, partir en vacances ou encore assister à des spectacles !

Une statistique retiendra l’attention des journalistes témoins de ces échanges instructifs : celui de 24 % d’absences injustifiées de la part des personnes indemnisées.

Les contrôles vont s’intensifier dès la rentrée…

Insistance vigoureuse de la part des responsables de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne sur le fait que les contrôles existent (ils vont se propager dès l’automne prochain sur l’ensemble du territoire) et que les personnes arrêtées se doivent de respecter des horaires de présence à leur domicile, de 9h à 11h et de 14h à 16h, y compris les week-ends et les jours fériés. Quant aux convocations faites par un service médical, elles doivent être scrupuleusement respectées. Sous peine de remettre en cause l’arrêt de travail. Mais, force est de constater que depuis cinq ans, les dépenses continuent de progresser de manière constante dans le département.

« La prescription inadaptée d’arrêts de travail peut avoir des conséquences économiques, médicales et sociales fâcheuses qui ne doivent pas être prises à la légère, précise Etienne BERROUET, directrice adjointe de la CPAM de l’Yonne, de toute manière, l’arrêt de travail ne constitue pas une solution durable… ».

Dans l’Yonne, 14 699 salariés ont bénéficié au moins d’un arrêt indemnisé au cours des quatre premiers mois de l’année 2018, dont 12 288 pour maladie, 1 836 en raison d’un accident du travail, 218 pour un accident de trajet et 373 pour des maladies professionnelles.

« Le prolongement non justifié d’un arrêt de travail représente un frein à la reprise d’une activité professionnelle, continue Mme BERROUET, à terme, cela peut entraîner des effets délétères sur la vie du patient avec la désocialisation, la précarité, voire le licenciement… ».

A ce titre, la CPAM accompagne les assurés concernés par un arrêt de longue durée. Histoire de remettre la personne vers le retour progressif à l’emploi. Sur le territoire, 8 % des arrêts maladie indemnisés ont une durée ininterrompue de plus de six mois et représentent 52 % des indemnités journalières versées.

La Bourgogne Franche-Comté, seconde région de France où les arrêts de travail sont les plus nombreux…

L’Yonne représente l’un des départements les plus touchés par cette recrudescence des arrêts de travail observés au cours de ces dernières années. La hausse des dépenses d’indemnités journalières excède les 6,1 % en 2017. Un chiffre qui place le département au-delà de la Bourgogne Franche-Comté (+ 5,3 %) qui se positionne pourtant sur la seconde marche du podium national, et de l’Hexagone, avec une augmentation de 4,6 % des dépenses.

D’autres régions se situent dans le haut du panier. C’est le cas notamment de Nouvelle Aquitaine, qui précède notre contrée, mais aussi Pays de la Loire, Normandie et Bretagne. Curieusement aux idées reçues, PACA, l’Ile de France et…la Corse ferment le ban !

Il existe une explication rationnelle à cela. Les réformes des retraites ont conduit les salariés à différer leur départ hors de la vie active à minima 62 ans et non plus à 60 ans. Davantage de sexagénaires restent désormais en activité : ils peuvent éventuellement présenter un arrêt de travail s’ils sont fragilisés.


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Publié à 20 000 exemplaires, le premier opus de ce nouveau magazine puise sa ligne éditoriale en expliquant les rouages opératoires et fonctionnels de l’organe communautaire. Distribué par les services postaux sur l’ensemble du secteur géographique, ce support informatif consacre son premier numéro au mode d’emploi de la communauté de communes.  Au fil des 16 pages d’un bulletin conçu avec esthétisme par son service communication, la collectivité, présidée par Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, se dévoile chiffres et rédactionnels à l’appui. L’outil qui se veut pédagogique comprendra in fine trois publications par an…

TOUCY : Ce numéro spécial fait office de mode d’emploi pour bien appréhender toutes les arcanes d’une communauté de communes. L’objectif que s’était fixé en préambule de cet exercice le service de communication de l’organe institutionnel avant de s’atteler à cette tâche est donc atteint. En créant ce premier bulletin d’information de la Puisaye Forterre, il a rempli sa mission. Celle d’informer l’ensemble des résidents sur le rôle et les missions de l’organe institutionnel.

A la lecture des 16 pages qui composent ce fascicule, distribué dans les boîtes aux lettres de tous les foyers depuis le début de la semaine, on peut dire que le pari est réussi. Sont présentés dans ce support papier le territoire né le 01er janvier 2017, qui compte 58 communes pour 35 461 habitants, d’une superficie de 1 750 km2 ; ses compétences, ses élus, son fonctionnement, son budget et ses projets.

De nombreux thèmes y sont évoqués : le développement économique, l’environnement, l’enfance, la santé ou encore le  tourisme. Une large part informative est faite aux services dont peuvent bénéficier dans leur vie quotidienne les habitants de cette contrée, située à proximité de la Nièvre.

Trois numéros édités à l’année pour prendre connaissance du territoire…

Conçu intégralement (rédaction, conception, maquette, visuels…) par le service communication de la collectivité, le magazine est disponible sur différents sites administratifs : Saint-Fargeau, Moutiers en Puisaye, Molesmes, Ronchères et Toucy. Mais aussi auprès des mairies.

Existant aussi en format numérique, « InterCom’ » peut se commander auprès du service communication institutionnelle de la collectivité (4 rue Colette 89130 Toucy – 03.86.44.13.50). Il est également téléchargeable sur la page Facebook de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre : facebook.com/ccpuisayeforterre.

A raison de trois numéros publiés à l’année, ce nouveau média institutionnel devrait très vite trouver sa place auprès des lecteurs de cette « terre de nature et de développement ». Les prochains magazines comporteront des rubriques thématiques correspondant aux compétences de la collectivité ainsi qu’un dossier central de plusieurs pages…


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La 43ème cérémonie de la remise des prix du centre de formation icaunais restera gravée longtemps dans les mémoires de ses très nombreux participants. Les trois cent cinquante personnes présentes n’oublieront pas de sitôt cette soirée d’exception placée sous le signe du…ballon rond et de la performance, eu égard à la Coupe du Monde de football 2018. Un parallèle légitime pour les organisateurs de cette manifestation qui ont ainsi fait le rapprochement entre la discipline rigoriste engendrée par la pratique sportive et l’abnégation continuelle vécue par les apprentis et leurs maîtres d’apprentissage dans la découverte experte d’un métier. L’excellence était au rendez-vous avec la présence sur scène de onze lauréats de concours professionnels régionaux ou nationaux, plébiscités par leurs pairs…

AUXERRE : Un show servi sur un plateau doré en l’honneur de l’apprentissage. Voilà ce qui a été proposé durant plus de deux heures aux 350 convives du CIFA de l’Yonne à l’occasion de ce rendez-vous annuel, faisant toute la lumière sur les valeurs sûres de demain. Esthéticiennes, coiffeuses, mécaniciens, métiers de bouche, filières de l’hôtellerie et de la restauration, commerciaux et vendeurs, gestionnaires…tous les représentants de ces corporations ont pu recevoir leurs lauriers des mains de personnalités diverses issues des milieux politiques, institutionnels et économiques de notre territoire.

Ces dernières n’auraient en aucun cas manqué une telle cérémonie protocolaire, parfois emprunte d’une certaine légèreté et dose d’humour véhiculée par la grande prêtresse de la soirée, une « Madame Loyale » véritable pierre angulaire de cet édifice si solide, Delphine ENGELVIN. Accompagné de la jeune stagiaire Mirella, chargée de communication qui découvre les rudiments du métier au CIFA, le bras droit de Marcel FONTBONNE, directeur de ce centre de formation qui prône dès qu’il le peut les vertus de l’excellence, aura mis en exergue chacun des jeunes récipiendaires, trop heureux de gravir les quelques marches menant sur l’estrade…

21 000 Icaunais ont obtenu un diplôme au CIFA depuis 1975…

Invité à prendre la parole en sa qualité de président de l’Association inter-consulaire de formation, Michel TONNELLIER exprima sa profonde fierté devant tant de réussites concédées au fil de ces années d’effort et d’apprentissage par ces jeunes gens si prometteurs. « Ils représentent l’avenir de leur métier ; peut-être deviendront-ils eux-aussi entrepreneurs d’ici quelques années… ».

Précisant que l’apprentissage représente une clé de voûte indispensable à la réussite professionnelle aujourd’hui, Michel TONNELLIER insista sur la modernisation des équipements mis à la disposition de la jeune génération dans l’Yonne. « Dès la rentrée, une étape novatrice va s’enclencher avec davantage de digitalisation et la poursuite du vaste programme de numérisation des cours destinés à améliorer le travail des apprentis et de leurs maîtres d’apprentissage ». Saluant le rôle des pouvoirs publics à développer ce moyen pédagogique efficace, il fit allusion à la valorisation des filières de l’excellence voulue par le chef de l’Etat. D’ailleurs, une charte départementale, commune aux trois organismes consulaires et l’Etat, sera signée en ce sens. Quant à la Région, son rôle est prégnant dans ce réel soutien à l’apprentissage. « Tout cela est de bon augure avant d’aborder la grande réforme que nous attendons avec sérénité devait conclure Michel TONNELLIER.

Une succession de belles valeurs professionnelles sur scène…

Invitant l’ensemble des promus de cette édition 2018 à rejoindre la scène, Delphine ENGELVIN et Mirella donnèrent ensuite la juste tonalité de cette cérémonie, accueillie avec enthousiasme par les familles présentes. Les équipes pédagogiques et les maîtres d’apprentissage eurent droit, eux-aussi, aux honneurs pour le travail accompli durant la saison écoulée. On notera quelques temps forts mémorables. Notamment la mise sous les projecteurs des seize majors de la promotion, ayant obtenu les meilleures notes aux examens. D’autres ont été distingués pour leurs comportements exemplaires. Enfin, une dizaine de ces jeunes gens ont brillé parmi les nombreux concours professionnels régionaux ou nationaux dans lesquels ils étaient engagés pour remporter un accessit supplémentaire à leur jeune carrière. Quant à la Major des majors de ces différentes promotions, Méline DUPRE, elle a suscité une profonde admiration de la part du président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, lors de la remise de son diplôme (voir article complémentaire).

« Cet apprentissage de l’excellence tel que vous l’exercez, devait-il préciser, donne une belle image de notre département… ».

Des compliments qui fusèrent à l’identique dans les propos du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ (« C’est grâce à vous Messieurs, en s’adressant à Michel TONNELLIER et Marcel FONTBONNE, que cet outil de l’excellence qu’est devenu le CIFA de l’Yonne depuis sept ans en est là aujourd’hui… »), du vice-président du Conseil départemental Christophe BONNEFOND, de Sarah DEGLIAME-PELHATE, représentante de la Ville d’Auxerre ou de Martine MICHEL, la présidente de la Maison de la Coiffure de l’Yonne.

Le mot de conclusion revint au directeur du centre de formation Marcel FONTBONNE. « Nous travaillons sur de nombreux projets pédagogiques avec des équipes d’une extrême qualité… ».

Logique, en somme que l’excellence soit devenue le credo de cet établissement qui accueille plus d’un millier d’apprentis et apprenants à chaque rentrée.


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