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Telle la « Bête du Gévaudan » refaisant surface de manière sporadique au temps jadis dans les lointaines campagnes de la province de France, la psychose autour de la présence avérée du fameux canidé gagne de nouveau le territoire de l’Yonne. Au 02 juillet, deux attaques avaient été perpétrées par le carnivore sur des secteurs géographiques bien définis : en forêt d’Othe et dans le Vézelien. Des zones qui furent déjà visitées par l’animal en 2018 où les éleveurs d’ovins déplorèrent 33 victimes parmi leur cheptel. Pourtant, le préfet de l’Yonne Patrice LATRON avance à pas feutré sur ce délicat dossier à forte connotation réglementaire. Tout en comprenant la détresse des agriculteurs…

AUXERRE : Voilà un délicat dossier qui pèse sur les épaules du représentant de l’Etat. Près d’une année et demie qu’il fait récurrence sur un rythme haché dans le landerneau. Notamment aux confins de notre département à la frontière avec l’Aube ou dans les vallées forestières du Morvan, proches de Vézelay.

Le loup, puisque c’est de lui dont il s’agit rappelle par intermittence la dure réalité vécue par les éleveurs d’ovins. Provoquant des dégâts inéluctables et meurtriers parmi les troupeaux.

Certes, rien de comparable avec ce qu’endurent au quotidien les agriculteurs des Alpes de Haute-Provence. Là-bas, le nombre de malheureuses victimes se compte tels des moutons par une mauvaise nuit d’insomnie, c’est-à-dire à la pelle. Plus de trois mille têtes ont ainsi été versées au plan comptable dans le registre des pertes et profits. Au grand dam de leurs propriétaires.  

Fort heureusement, nous n’en sommes pas encore là dans l’Yonne. Ni en Bourgogne Franche-Comté. Ce qui nous éloigne de manière catégorique des normes réglementaires qui autoriseraient le tir sur le loup par un arrêté préfectoral.

« Il nous est interdit de tuer des loups dans notre région, stipule le préfet de l’Yonne Patrice LATRON qui a pourtant paraphé de sa propre main deux arrêtés officiels en faveur des tir d’effarouchement dans les zones concernées par la présence potentielle de l’animal.   

 

 

Les tirs d’effarouchement éloignent les problèmes…

 

Reconnaissant que ce dispositif ne prête guère à la facilité sur le terrain pour des raisons pratiques et de disponibilité des lieutenants de louvèterie, le préfet reconnaît que « ces tirs ne font que transporter le problème plus loin, même s’il éloigne le prédateur des zones d’élevage… ».

Alors, face à ce nouveau fléau nuisible au bien-être des ovidés qui broutent l’herbe folle de nos campagnes environnantes, que faut-il faire ?

Arborant un air solennel, Patrice LATRON souligne que « la volonté de l’Etat est de proposer tout ce que l’on peut faire pour aider les éleveurs à surmonter cette crise… ».

En 2018, sept attaques sanglantes avaient ravagé les troupeaux de l’Yonne, occasionnant plus d’une trentaine de pertes. Il est difficile, l’année d’après, de savoir s’il y a eu recrudescence ou non de ces méfaits.

Primo, l’année est loin d’être conclue. Secundo, les remontées d’information inhérentes à ces faits similaires n’ont pas encore rendu leur verdict définitif. Une chose est sûre : le féroce mammifère progresse vers le nord et l’est. Notamment les variétés originaires du versant italien des Alpes.

Les relevés statistiques demeurent complexes même si différentes hypothèses sont émises par les organismes ad hoc.

 

 

 

Et trois kilomètres de clôtures supplémentaires financées par l’Etat…

 

Personne n’est dupe : les agriculteurs attendent davantage de l’Etat. La cellule de veille sur les activités du loup, réunie lundi 16 septembre à la préfecture, devait le rappeler après de longues discussions passionnées. Pourtant, les pouvoirs publics agissent en conséquence. Ils ne restent pas les bras ballants face à cette sinécure insidieuse qui perturbe le moral des éleveurs.

« Ce n’est jamais très agréable d’animer ce type de réunion où la détresse humaine transparaît à fleur de peau, lança Patrice LATRON, nous sommes à l’écoute des éleveurs : mais notre action s’effectue en conformité avec les règles. Le financement des clôtures de protection est l’une d’entre elles. En 2018, 8,5 kilomètres de protection ont été budgétés pour les protéger. Nous allons acheter plus de trois kilomètres de clôture supplémentaires cette saison… ».

Les crédits d’urgence concernent aussi les techniques imputables au dispositif du cerclage, l’une des composantes du plan national d’actions contre le loup. Donner des subsides aux éleveurs pour l’acquisition de chiens de race Patou représente une autre piste de réflexion envisageable.   

Quant à l’observation, elle doit permettre la réactivité. Un réseau propre à relayer le maximum de renseignements dans des délais très courts a été approuvé par la cellule spécifique.

« La Direction départementale des Territoires et son directeur Didier ROUSSEL ont investi dans l’achat d’une dizaine de caméras, ajoute le préfet de l’Yonne, celles-ci sont réparties sur les zones de passage de l’animal. Une fois détectée la présence de celui-ci, l’information circule ensuite vers la Chambre d’agriculture qui assure la transmission aux éleveurs sur zone. L’objectif étant de maximiser la surveillance et la protection des troupeaux… ».

Reste enfin le volet de la formation. Elle se déroulera les 25 et 26 septembre dans l’enceinte du groupe scolaire La Brosse à Venoy. La DDT y accueillera vingt-deux volontaires (chasseurs, éleveurs, représentants associatifs…) ayant de l’appétence à connaître davantage l’espèce. Dans la réalité, ce réseau « qualifié » évoluant dans la nature pourra mieux détecter la présence d’un prédateur qui fait office encore aujourd’hui de « grand méchant loup ».

 


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Proposée sur une cadence bimestrielle, la formule offre une excellente opportunité pour les entrepreneurs de l’Yonne septentrionale de pouvoir se rencontrer en découvrant à chaque rendez-vous les spécificités des métiers exercés. La trêve estivale se situant derrière nous, la Communauté d'agglomération du Grand-Sénonais convie une trentaine de dirigeants ce mardi 17 septembre à la visite de la filiale française du groupe MATISA, un spécialiste des équipements de pose et renouvellement de voies ferrées…

SENS : Le site industriel de la zone des Sablons recevra dès 8 heures ce mardi matin  une petite délégation d’entrepreneurs et d’institutionnels, invités par la structure communautaire. Une reprise toute en douceur et de bel aloi, après environ trois mois de rupture imputable à la très longue pause estivale.

Mis en place au terme de l’été 2014, les « petits déjeuners d’entreprise » du Grand-Sénonais commémorent leur cinquième année d’existence ce mois-ci.

Compte tenu de l’appétence de ses participants à vouloir découvrir de nouveaux cadres professionnels, le schéma permettant d’entretenir un réseau relationnel efficient n’est pas prêt de s’interrompre visiblement. La demande est toujours forte pour y prendre part, sachant que le nombre de convives est à chaque fois limité pour des soucis logistiques.

D’autant que l’instigatrice de ces contacts privilégiés avec la sphère de l’entrepreneuriat, l’édile de Sens, Marie-Louise FORT, présidente de l’Agglomération, prend plaisir à y participer.

 

 

Des visites couplées à des échanges liés à l’actualité économique…

 

Avantage de ce processus d’échanges directs pour l’élue : tâter le pouls des milieux économiques et anticiper sur leurs divers projets. Les concepteurs de ce module d’expression et d’immersion en entreprise profitent aussi de ces retrouvailles pour y développer des thèmes de réflexion.

A titre d’exemples, le développement de la fibre optique, les aides apportées par BPI, les pistes menant à la formation supérieure ou l’insertion des travailleurs handicapés en entreprise ont représenté autant de sujets de discussion abordés au cours de précédentes rencontres.

En juin, dernier, dans les locaux du centre d’affaires, EUROPOLE, piloté par Thierry HOFFMAN, il fut même question des gens du voyage et la complexité de gérer ce type de dossier en cas de délogement lors d’occupation intempestive de terrains industriels par des caravanes.

On l’aura compris : il n’y aucun tabou sur les sujets d’actualité proposés en marge de la visite d’entreprise accueillante.

Parmi celles-ci, on peut citer CHEVILLON Imprimeur, ABA, TUBAUTO, CHAROT  ou encore FMC. On sait déjà que le calendrier du mois de novembre favorisera la découverte de la société CHEMETAL BASF.

Un article en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens

 

 


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Boudée par l’ensemble des médias régionaux, la conférence de presse, concoctée en marge des manifestations populaires contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, aurait pu tourner court pour le Rassemblement national la semaine dernière. Faute de combattants ou presque ! Malgré la présence d’un trio d’élus, plutôt communicatif, composé de la députée européenne, Aurélia BEIGNEUX, d’un membre du bureau national et adjoint au maire d’Hénin-Beaumont, Christopher SZCZUREK et du président RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Nonobstant cet état de fait anecdotique, ces trois jeunes loups de la politique hexagonale avaient néanmoins des arguments à faire valoir sur cet épineux sujet de la maltraitance animale. Une thématique qui s’appréhende telle une priorité essentielle pour le mouvement « bleu marine »…

MEZILLES : Visiblement, le Rassemblement national ne fait pas recette lorsque ses représentants organisent un entretien spécifique avec la presse régionale. Surtout si l’objet de cet exercice oratoire participatif fait état de la maltraitance animalière, comme item principal.

Profitant de la grande manifestation unitaire organisée le 07 septembre à MEZILLES contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, des élus du parti « bleu marine » ont dénoncé à leur manière ce qu’ils considèrent comme une « honte » locale. Dont ils demandent l’arrêt sine die.

D’une part, en se greffant, à cette opération revendicative publique à laquelle participait une forte concentration de de mouvements associatifs défendant les droits et la protection des animaux. Sans y être nécessairement les bienvenus. D’autre part, en capitalisant sur cette vitrine de communication pour y rencontrer les représentants des médias du terroir.

Or, force est de constater que dans un cas comme dans l’autre, l’exercice fut assez complexe pour le Rassemblement national. Hormis votre serviteur numérique, la conférence de presse fit chou blanc sur toute la ligne. Les journalistes répondaient aux abonnés absents. Alors que certains d’entre eux arpentaient les ruelles du village en quête d’informations croustillantes à mettre dans leur escarcelle sur la thématique du jour.

Faisant fi de ces pratiques déontologiques pour le moins surprenantes, les élus du RN décidèrent après de longues minutes de patience de débuter enfin un exercice introspectif qui se mua en un tête-à-tête circonstancié !

« Nous sommes là sans aucun parti pris ni quelconque sectarisme, introduisit le régional de l’étape, le très médiatique porte-voix Julien ODOUL, à propos de la présence du RN sur cette manifestation, il n’y a pas de volonté de récupération de notre part car la cause animalière est l’un de nos sujets de préoccupation depuis fort longtemps… ».

 

Une proposition de loi pour protéger les animaux domestiques

 

D’ailleurs, l’élu régional d’affirmer qu’il a à maintes reprises, notamment lors des assemblées plénières du 25 mai 2018 et du 29 mars 2019, fait connaître l’opposition de son groupe à l’élevage d’animaux à des fins expérimentales.

« Nous avons demandé explicitement au préfet de l’Yonne de s’engager en faveur de la fermeture du centre de MEZILLES… ». En vain.

Quant à la volonté des organisateurs de la manifestation de ne pas voir l’ombre d’un membre du RN dans les parages, Christopher SZCZUREK s’est montré très catégorique : « c’est une opération unitaire, nous n’avons pas à nous exclure de tous les clivages…La cause animale mérite la mobilisation de chacun : il était donc évident que nous participerions à la manifestation… ».

Dès 2007, le leader historique du Front national Jean-Marie LE PEN affichait ses convictions en faveur de la cause animale. Ses héritiers, aujourd’hui réunis sous le vocable de Rassemblement national, continuent sur cette lancée. Même si les grands dossiers abordés en règle générale par le parti d’extrême-droite se situent parfois aux antipodes de celui-ci…

« Nous observons la recrudescence des actes de malveillance vis-à-vis des animaux, constate Aurélia BEIGNEUX, nous sommes favorables au principe d’identification devant s’appliquer aux animaux domestiques. Une proposition d’un texte de loi du député RN Bruno BILDE vient d’être déposé afin de mieux encadrer la possession des animaux domestiques et d’éradiquer le plus possible les actes de nuisance envers nos compagnons… ».

 

 

Privilégier les procédés de substitutions…

 

Quant au délicat dossier de la vivisection, les choses apparaissent encore plus évidentes pour les lieutenants de Marine LE PEN.

« En 2014, nous avons soutenu plusieurs initiatives contre cette pratique odieuse d’un autre temps, précise la députée européenne du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen, personne ne possède le monopole de la protection animale en France, c’est pourquoi nous prenons à cœur de défendre cette cause oubliée par la gouvernance actuelle… ».

Evoquant leur présence en terre icaunaise, les deux élus d’Hénin-Beaumont s’en expliquent : « Le centre des Souches de MEZILLES est le plus important élevage de chiens destinés aux laboratoires de France avec un effectif de 1 500 beagles et golden retriever dont deux cents chiots. Ces animaux de compagnie, les meilleurs amis de l’homme, sont élevés dans des conditions épouvantables pour la vivisection. C’est-à-dire servir de chair vivante aux expérimentations… ».

Précisons que la capacité du centre et son agrandissement jusqu’à 3 200 têtes ont été validés par un arrêté préfectoral d’octobre 2018, actuellement contesté devant le Tribunal administratif de Dijon.  

« Conformément à la législation européenne, enchaîne Julien ODOUL, l’usage des animaux pour l’expérimentation médicale doit se réduire, se raffiner et être remplacée par des méthodes de substitution telles que les simulations par ordinateur, le croisement des résultats d’autres expériences passées, les tests in vitro sur des cellules souches. Il est devenu urgent d’interdire de telles méthodes dans l’ensemble des programmes de recherches financées par l’Etat et les collectivités… ».

Sur un tout autre registre, et dans les villes où leurs élus occupent le poste de maire, le RN a interdit la présence de spectacles de cirque mettant en scène des animaux. Quant aux accords de libre-échange avec le Canada (CETA) ou le continent sud-américain (MERCOSUR), le Rassemblement national les conspue pour les mêmes raisons, servant la cause animale.

« On veut nous faire manger de la viande en provenance du Brésil produite dans des conditions d’élevage calamiteuses. Il nous faut refuser cela à tout prix… ».

Naturellement, l’entretien ne put se conclure sans le couplet sur l’opposition à l’abattage rituel et à la présence du ministre de l’Agriculture, Didier GUILLAUME, à une corrida lors de ses vacances.

Avant de poursuivre sur les activités cynégétiques pratiquées en France : « la chasse est nécessaire à la régulation des populations animales. Il est judicieux de la contrôler pour prévenir des désastres écologiques qui peuvent exister après le passage d’une horde de sangliers dans les cultures. Arrêtons de caricaturer les chasseurs : ce sont les premiers écologistes qui vivent la nature comme des passionnés… ».

Clap de fin ! Et pas un mot de Julien ODOUL sur ces velléités électorales dans sa ville de prédilection : Sens. On devrait y voir plus clair d’ici peu sur ses intentions de chasser ou pas sur les terres de la Républicaine Marie-Louise FORT.


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Partira ? Ne partira pas ? La réponse à cette interrogation qui taraudait les esprits les plus aiguisés des observateurs du microcosme institutionnel de l’Yonne depuis plusieurs semaines est enfin tombée. Sous la forme d’un bref message émanant du cabinet de la préfecture ce vendredi 13 septembre sous le coup des dix-huit heures. La pièce jointe de cet e-mail contenait en effet le carton d’invitation de la future cérémonie de départ de l’une des pièces maîtresses de l’échiquier préfectoral, sa directrice de cabinet…

AUXERRE : Les rumeurs allaient bon train dès le début de la période estivale. Elles devaient petit à petit se transformer en réelles certitudes au gré des jours qui se sont écoulés depuis. Ce n’était donc plus un secret de Polichinelle pour personne dans le landerneau institutionnel : Julia CAPEL-DUNN, directrice de cabinet de la préfecture de l’Yonne devait quitter tôt ou tard le poste qu’elle occupait avec brillance et professionnalisme depuis le 28 août 2017.

Interrogée à ce propos, et ce pas plus tard que la semaine dernière au détour d’une manifestation qu’elle présidait dans le cadre de la Semaine de la Sécurité concoctée avec le concours de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris-Val-de-Loire, la diplômée de l’Institut régional d’administration (IRA) de Dijon (ville dont elle est originaire) confirma qu’elle attendait de découvrir sa prochaine lettre de mission imputable à sa nouvelle affectation. Bref : ce n’était donc qu’une simple question de jours…

Installée dans sa fonction peu de temps après l’arrivée du préfet Patrice LATRON, Julia CAPEL-DUNN avait remplacé Emmanuelle FRESNAY au poste de directrice de cabinet ; cette dernière étant nommée au ministère de l’Intérieur à Paris.

Précédemment, elle avait exercé des fonctions de sous-préfète dans l’une des villes emblématiques des Ardennes, non loin de la frontière belge, à Sedan. Une agglomération ayant comme point commun avec la capitale de l’Yonne d’avoir eu une équipe de football qui a évolué jadis dans les hautes sphères du championnat de France.

Le départ de la jeune femme correspond à une promotion répondant à ses appétences professionnelles. Aux côtés du préfet Patrice LATRON, Julia CAPEL-DUNN composait un solide binôme à disposition et à l’écoute des concitoyens, des entreprises et des milieux associatifs. Un duo qui ne sera plus opérationnel d’ici quelques jours, et laissera alors la place aux lointains souvenirs. Ainsi va la vie du corps préfectoral…


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Tout sourire et en galante compagnie lors de la visite inaugurale de la Foire exposition d’Auxerre le temps d’un cliché pris sur le vif, le chef de file du MoDem de l’Yonne est suspendu à la décision officielle du Comité d’investiture national de La République en Marche. Si ce dernier s’est déjà exprimé, et ce depuis longtemps sur l’autre point névralgique de l’Yonne à Sens, rien ne semble encore filtrer de manière formelle sur les décisions envers la capitale de l’Yonne. Le suspense reste donc entier…et les supputations de s’étendre.

AUXERRE : Il ne cesse de le réaffirmer à chaque réunion publique où il apparaît. Le chef de file du Mouvement des démocrates de l’Yonne, Pascal HENRIAT, ne possède pas de prétentions particulières sur le sujet.

Celui de jouer le rôle de leader incontestable et désigné par une investiture officielle venant de très haut. Pourtant, depuis quelques jours, son patronyme circule de plus en plus dans les coursives du microcosme politico-institutionnel auxerrois.

Dans l’absolu, il deviendrait l’Elu. C’est-à-dire celui qui obtiendrait la bénédiction suprême du Comité national de La République en Marche pour y mener campagne lors des futures municipales qui s’esquissent à horizon 2020 à Auxerre.

Toutefois, le conseiller départemental et adjoint de l’actuel maire ne cesse de le proclamer : « c’est un travail d’équipe vers lequel je m’engage dans l’intérêt des Auxerrois… ».

Il y a quelques jours, le porte-étendard de François BAYROU dans l’Yonne commentait les résultats d’un questionnaire (voir article) présentant les attentes et besoins des habitants de la ville si convoitée par de nombreux prétendants. Un travail mené par la majorité présidentielle et ses composantes locales, En Marche, le MoDem et AGIR-la Droite constructive.

A cette occasion, l’élu de l’Yonne se présentait aux côtés de Malikha OUNES et de Nordine BOUCHROU, deux figures notoires et indissociables de LREM. Un prolongement tangible du programme « Renaissance » mis au goût du jour lors de la récente campagne européenne.

« Ensemble, nous sommes dans une démarche constructive et non pas tacticienne, précisa à cette occasion Pascal HENRIAT, c’est un vrai projet de co-construction ».

Selon toute vraisemblance, la constitution de la future liste prend corps. Rappelons que celle-ci devra comprendre trente-neuf noms (Auxerre) et trois candidatures supplémentaires pour les hameaux périphériques gérés par la ville phare de l’Yonne.

« Ce sera une liste ouverte, où il y aura un certain nombre de surprises, a prévenu avec un regard malicieux Pascal HENRIAT, sans en déflorer davantage sur l’identité de ses futurs membres. Il y aura aussi des représentants de la société civile… ».

Une évidence tant cette nouvelle caste de la politique moderne a pris ses repères dans l’espace public.

 

La politique de la main tendue et de l’ouverture…

 

Resteront ensuite les accords de principe. Et les inévitables alliances qui pèseront de tout leur poids dans la balance.

Deux noms émergent inévitablement lorsque se dessine ce projet participatif polymorphe : celui de Guy FEREZ et celui de Mathieu DEBAIN.  

Le maire actuel a quitté le Parti socialiste de manière officielle. Proche de la majorité présidentielle, il n’a pas caché, en cas de candidature déclarée de sa part, qu’il concourrait à sa succession en tenant compte de ce nouveau paramètre dans son positionnement idéologique.

Quant au président de « S’engager pour l’Auxerrois », structure associative à vocation politique et sociétale, il a gagné en influence depuis plusieurs mois dans le landerneau. Devenant lui-aussi une clé de voûte intéressante dans le nouvel échiquier qui se profile à brève échéance.

Nonobstant, Pascal HENRIAT balaie les doutes d’un revers de la main si tant est qu’il y en avait : « Il n’y pas d’oukases, la porte est grande ouverte à toutes celles et ceux qui veulent travailler à nos côtés en parfaite harmonie…Ils sont les bienvenus ! ».

Une main tendue partagée par ses deux coreligionnaires, Malikha OUNES et Nordine BOUCHROU, qui place les têtes de file de la majorité présidentielle face à leurs responsabilités.

Ne manque plus alors que l’investiture officielle de LREM pour entériner ce schéma stratégique bien huilé et permettre ainsi au personnage central de cette équation de dérouler la feuille de route qui se profile devant lui…


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