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Prônant les idées de Franck RIESTER sur l’Auxerrois (la Droite constructive),  travaillant aux côtés du référent départemental, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, Daniel DELVERT jouit d’une solide expérience parmi les arcanes stratégiques de la sphère politique. Créateur des Jeunes Giscardiens avec Dominique BUSSEREAU et Jean-Pierre RAFFARIN, membre de l’association « S’engager pour l’Auxerrois », cet exégète es communication auprès des milieux politiques souhaite sans plus tarder une rencontre avec le nouveau « chouchou » de La République en Marche, à Auxerre, son maire, Guy FEREZ qui vient d’obtenir l’investiture du parti présidentiel. Oui mais à quelles fins ? Interview…

AUXERRE : Vous venez de prendre connaissance de la décision de la Commission nationale d’investiture de LREM concernant la désignation de Guy FEREZ. Quels sont vos premières analyses suite à cette nomination ?

Ce n’est guère une surprise en soi. Cette orientation semblait être évidente. Le maire d’Auxerre avait annoncé il y a peu avoir quitté le Parti socialiste. En outre, ses choix récents en termes de scrutin électoral le plaçaient parmi la catégorie des hommes politiques, « Macron compatible ». Qu’il prenne un tel positionnement me semble, par ailleurs, aller dans la bonne direction…

Pourtant, cette désignation officielle vous amène à vous interroger quelque peu sur la nature profonde de ce choix stratégique…

Oui, car la décision attendue était de choisir le chef de file de LREM et non de départager différents prétendants à ce poste, comme pouvaient l’être Pascal HENRIAT ou Mathieu DEBAIN. D’ailleurs, la situation semble jouer en faveur de ce dernier. Toutefois, j’émettrai un léger bémol : il ne semble pas que la dénomination de chef de file lui soit attribuée. Cela reste du domaine de LREM…

Quelle est la position d’AGIR La Droite constructive vis-à-vis de cet accord ?

Je constate avec curiosité qu’on associe le MoDem à l’accord et AGIR. Pour le MoDem, cela semble logique : Pascal HENRIAT est également le chef de file du Mouvement des démocrates dans l’Yonne. Mais, concernant AGIR La Droite constructive, je découvre le contenu de cet accord dont je ne connaissais pas la teneur. Représentant cette formation sur l’Auxerrois, je précise qu’AGIR n’a pas été associée à ces négociations antérieures, qui ont été orchestrées strictement entre LREM et le MoDem.

 

 

Fort de cela, que demandez-vous ?

Il conviendrait désormais de rencontrer Guy FEREZ pour en connaître davantage sur ses intentions réelles avec AGIR La Droite constructive. Car, une question se pose en toile de fond à l’aune des futures échéances municipales : combien serons-nous parmi la liste des quatorze noms annoncés et pour quelles responsabilités ? Notre manière d’appréhender les choses est de réfléchir de concert sur quel projet municipal. Il est impératif, fort de ces nouveaux éléments, de rencontrer Guy FEREZ afin de pouvoir en discuter librement…

AGIR La Droite constructive représente-t-elle une force politique dans le département dont on ne peut ignorer les prétentions ?

Oui, même si la création de ce mouvement, issu des Républicains et du centre droit, est récente. Il est une composante essentielle de la vie politique. Plusieurs élus dont des maires intègrent cette famille dans l’Yonne. D’ailleurs, je m’insurge sur cette considération erronée que pourraient avoir certains élus qui prennent la valeur et le poids d’un parti politique à son nombre d’adhérents : ce n’est pas un bon critère. Nous nous définissons comme un sas de décompression qui peut accueillir tantôt des adhérents déçus de LREM ou ceux des Républicains.

Derrière vos propos, dénoncez-vous l’aspect un peu trop unilatéral des commissions d’investiture, notamment celle qui fait foi au sein de LREM ?

Oui, je regrette sincèrement cet état de fait. Par exemple, dans le cas présent, la commission nationale d’investiture de LREM a fait davantage la part belle aux représentants de LREM et du MoDem au détriment de ceux d’AGIR. Vous savez, la question fondamentale autour du rôle du centre est essentielle. En son temps, Valéry GISCARD d’ESTAING l’avait déjà signalé : deux Français sur trois ont des préférences pour le centre. Compte tenu de la poussée des extrêmes, il est grand temps que le centre reprenne ses droits et sa véritable place dans le paysage politique national…

Puisque vous évoquez le centre, que pensez-vous de l’autre grande famille que représente l’UDI ?

Sur le plan local, je suis étonné de voir que l’UDI de l’Yonne a pris position ouvertement en faveur de la liste de Crescent MARAULT. Question que je me pose au sujet de cette personne : est-elle vraiment « Macron compatible » ?

Une autre candidature a déjà fait couler beaucoup d’encre depuis quelques semaines dans le microcosme auxerrois. Celle portée par le duo Maud NAVARRE et Denis ROYCOURT avec cette coloration « verte et écologique ». Votre avis ?

Je suis très curieux de connaître le réel degré d’ouverture de cette liste qui défend les causes de l’environnement. Si cette volonté d’ouvrir était le cas, je serais plus enclin à nous rapprocher des Verts. Et de réfléchir à de nouveaux axes politiques qui semblent devenus depuis inéluctables. AGIR représente aujourd’hui l’épicentre, le noyau et la source d’un changement de la tradition des alliances politiques. Cessons de pratiquer les alliances traditionnelles et soyons prêts à mettre en exergue des modifications de stratégie importantes. La démocratie locale attend beaucoup de ces changements de paradigme…

Comment tout cela se formaliserait-il au niveau d’une municipalité, voire d’une agglomération ?

Avec un petit groupe de travail, nous avons élaboré de solides pistes de réflexion, nous engageant à améliorer le devenir de la ville, autour de projets qui nous rassemblent. Parmi ces exemples à suivre : Auxerre doit gagner son rôle de défenseur des intérêts des 29 communes intégrées dans l’Agglomération. Mais, dans le même temps, il nous faut être acteur de la transition écologique en préservant le cadre de vie des habitants. Initier une démocratie locale, plus participative et plus directe, constitue un socle de travail essentiel à notre projet. Nous devons aussi réconcilier les administrés avec la gestion de leur ville. Bien sûr, Auxerre doit être un modèle numérique, une ville intelligente qui favorise la création de l’emploi et dynamise l’économie. Tout cela sous le prisme du bien-vivre et de son corollaire légitime, le vivre ensemble en parfaite harmonie…

Et vous, quelle mesure concrète prendriez-vous tout de suite pour améliorer la vie des Auxerrois ?

Je suis favorable à ce qu’il y ait plus de bancs en ville pour que la population des seniors (ils sont plus de 9 000 à résider à Auxerre) puisse bénéficier d’endroits pour s’asseoir ; ne serait-ce que pour se reposer…

 

 

 

 

 

 

 


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Confiant, Gian-Marco AMENDOLA n’en démord pas. Faisant fi des habituelles tracasseries administratives qui ont retardé son projet d’implantation dans l’Yonne – qui n’en subit jamais dans ce beau de France lorsqu’il désire entreprendre ! –, le franchisé de la célèbre enseigne de restauration rapide américaine (Kentucky Fried Chicken) espère accueillir ses premiers clients d’ici décembre. Explications…

SENS : La phrase, il l’a martèle à maintes reprises durant l’entretien qu’il nous a accordé. « Le KFC sera opérationnel à Sens d’ici la fin de l’année 2019… ». Méthode Coué, certitude absolue ou volonté inexpugnable de rendre fonctionnel au plus vite son outil de production ?

Quoi qu’il en soit, le franchisé de la future enseigne de fast-food, attendu avec grande impatience par toute une frange de consommateurs en pénitence de ne pouvoir savourer les spécialités de poulet frit à la sauce made in USA, a des fourmis dans les jambes.

Il a surtout hâte de démarrer au plus vite l’aventure : celle qui procure de l’adrénaline et de l’enthousiasme, à tout bon entrepreneur qui se respecte !

Le professionnel de la restauration (il évolue dans cette bulle depuis plus de deux décennies) joue la carte de l’optimisme : les premiers coups de pioche devant contribuer à la prochaine édification du bâtiment seront donnés d’ici la fin de ce mois. Celui-ci recevra ensuite en ses murs le fonds de commerce. Le bâti, érigé sur une surface d’environ 300 mètres carrés, pourrait accueillir ses premiers visiteurs avant le terme de l’année.

Gian-Marco AMENDOLA possède déjà une autre vitrine commerciale à l’estampille de KFC. Celle-ci est implantée dans la capitale du Cher, à Bourges, depuis 2016.

« Je souhaitai me développer vers la région Centre, voire un peu plus à l’est, confie le chef d’entreprise qui a jeté son dévolu sur le Sénonais. L’attractivité et la dynamique de ce territoire m’ont convaincu de poser mes jalons ci… ».

Dans un premier temps, le dirigeant s’était intéressé à l’Auxerrois. Mais, le manque de possibilité foncière telle qu’il la concevait et la proximité avec l’Ile-de-France l’ont très vite ravisé sur son choix initial. C’est finalement la ville emblématique des Sénons qui a obtenu son onction.

 

 

Une stratégie de conquête mûrement réfléchie…

 

Toutefois, Gian-Marco AMENDOLA n’occulte pas la possibilité à moyen terme de venir tâter de nouveau le pouls de la faisabilité opérative d’Auxerre. Pour valider l’installation d’un troisième point de vente.

Aujourd’hui, le projet nécessite un investissement budgétaire qui oscille entre 1,5 million et deux millions d’euros. Même si cette boutique serait moins importante que celle ouverte à Bourges (Sens ne possède pas l’attractivité comptable de la ville de Jacques CŒUR), le restaurant bénéficierait du décorum de dernière génération de KFC.

Ce dont profiterait volontiers la centaine de clients pouvant se sustenter en même temps dans l’établissement.

L’un des sponsors atypiques de l’équipe de France de football championne du monde est devenu en l’espace de plusieurs années un poids lourd de la restauration rapide.

Ses principaux concurrents demeurent BURGER KING et Mc DONALD’S, déjà implantés dans le département. Précisons que BURGER KING s’installera à Saint-Denis-les-Sens au premier semestre 2020.

Avec cette ouverture, KFC comptabiliserait environ 250 établissements en France. Sachant que le groupe américain envisage le doublement du nombre de ses magasins d’ici cinq ans.

Ciblant en priorité les familles et les adolescents, amateurs patentés de fast-food à longueur de saisons, Gian-Marco AMENDOLA ne dédaigne pas s’orienter dans sa stratégie merchandising vers les professionnels. Notamment la clientèle au profil commercial de type VRP.

 

KFC à Sens équivaut à une cinquantaine d’emplois à la clé…

 

Reste l’emploi. La présence de la marque d’Outre-Atlantique sur le Sénonais se convertit en une cinquantaine de nouveaux postes créés. Ce qui est un argument non-négligeable dans le contexte d’aujourd’hui.

La Mission locale, Cap Emploi et Pôle Emploi ont été mobilisés dans cette quête qui consiste à rechercher ces collaborateurs et encadrants.

Comme le confirme Gian-Marco AMENDOLA : « le processus d’embauche, toujours d’actualité, est long, voire complexe. Au-delà des diplômes, je suis davantage sensible aux mises en situation autour des véritables compétences de l’individu… ».

D’où le recours à la MRS, système ayant déjà fait ses preuves chez Pôle Emploi. La méthode de recrutement par simulation est déjà abondamment usitée dans d’autres univers corporatistes tels que l’industrie ou la viticulture. KFC ne pouvait pas faire autrement que d’en bénéficier.

Un article réalisé avec le concours de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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La venue d’un médecin généraliste supplémentaire dans ce secteur ouest de notre territoire renforce l’offre de soins destinés aux habitants. Une arrivée qui s’inscrit parmi les prérogatives de l’organisme institutionnel…

CHARNY : Depuis le 15 septembre, le docteur POPESCU prodigue ses soins dans la Maison de santé intercommunale de la nouvelle commune de Charny Orée-de-Puisaye. Le patricien assure des consultations selon un rythme qui n’a rien de définitif. Soit, à l’heure actuelle, trois demi-journées hebdomadaires. Mais, ces plages de disponibilité à la patientèle devraient s’accroître au fil des prochaines semaines. Pour ne devenir in fine que du plein temps.

Interrogé, le président de la Communauté de communes, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, le précise : « la présence de services de santé de proximité est indispensable, voire vitale, au territoire. Nous sommes en lien avec l’Agence régionale de Santé (ARS) et les professionnels de la filière pour mener des actions concrètes dans le cadre d’un CLS, c’est-à-dire un contrat local de santé… ».

La préservation et le développement de soins consistent le nerf de la guerre dudit contrat. Les actions définies dans ce cadre visent à diminuer les inégalités sociales et faciliter à de nouvelles installations. Sachant que l’organisme institutionnel gère à ce jour quatre maisons de santé et un EHPAD, la résultante de cette mission se traduit donc par l’implantation du cabinet du docteur POPESCU dans la localité de Puisaye.


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Une nouvelle liste de 46 personnalités investies par le parti présidentiel a été communiquée en début de soirée par nos confrères de la presse nationale. Parmi les noms qui se sont détachés de cet inventaire à la Prévert : celui de l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ. Sa désignation officielle coupe court désormais aux diverses supputations quant à une hypothétique candidature de l’intéressé…

AUXERRE : Décidément, La République en Marche distille toujours au compte-goutte les patronymes de ses futurs chefs de file devant incarner les valeurs de la « Macronie » aux prochaines échéances municipales.

Alors que l’investiture à Sens avait été donnée à l’heureuse élue (Claude VIVIER LE GOT) dès la fin du mois d’août, il aura fallu attendre quelques semaines de plus pour qu’enfin sorte du panier le nom du candidat investi dans la préfecture de l’Yonne.

Cette fois-ci, c’est fait ! L’actuel maire de la ville phare de l’Yonne dispose de son précieux sésame, lui permettant de briguer si les suffrages lui sont favorables les 15 et 22 mars son quatrième mandat consécutif. A l’instar de 45 coreligionnaires dont l’ancien footballeur professionnel de la glorieuse équipe de Saint-Etienne, Patrick REVELLI, il rejoint de fait le rang des têtes de liste officialisées depuis juin par le parti présidentiel : soit 183 personnes dans les communes de plus de 9 000 habitants.

 

 

L’attente de la déclaration avant de connaître les alliances…

 

Divorcé du Parti socialiste (PS) depuis plusieurs semaines, Guy FEREZ se voit ainsi adouber par le néo-parti au pouvoir, un conglomérat de forces politiques disparates venues de la gauche, de la droite et du centre. Bref : une vision socio-démocrate de la politique qui lui sied à merveille au plan intellectuel.

La suite sera sans doute connue dans les jours qui vont suivre quant à la position officielle de l’édile auxerrois à se déclarer. Et surtout de mieux appréhender sa stratégie en matière d’ouverture et d’alliances, afin de bâtir un programme éclectique à soumettre à l’approbation des Auxerrois lors du scrutin du printemps 2020…

 

 


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