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L’opus trône en plusieurs exemplaires sur la grande table qui accueillera d’ici peu la réunion. Sur sa couverture, se présente le visage tout sourire du candidat quadragénaire à la ville d’Auxerre. En arrière-plan : une Tour de l’Horloge à la vision symbolique. Le contenu, élaboré en vingt-quatre pages, déroule une multitude d’informations illustrées selon un sens graphique moderne et aéré. La double page centrale ne manque pas de focaliser les esprits. Y sont répertoriés les trente-neuf membres de l’équipe avec leurs portraits. Une iconographie originale, qui casse les codes photographiques habituels, à l’instar de ce programme ?

AUXERRE : « Soyons fiers d’Auxerre ». Fruit d’un travail de près de vingt-quatre mois de réflexions, la feuille de route du candidat rassembleur de la droite et du centre Crescent MARAULT se dévoile sous la forme d’un document à l’esthétisme plutôt abouti.

Ce livret récapitulatif des orientations stratégiques du principal opposant à l’édile en place a pour vocation d’être copieusement diffusé. Cela sera chose effective dès vendredi.

Au-delà de sa calligraphie et de l’abondance de photographies qui le parsème, l’auxiliaire en papier glacé n’a d’autre vocation que d’étayer la ligne d’horizon à six ans du prétendant au poste suprême.  

L’éditorial signé de la plume du candidat pose les jalons de sa politique sans vergogne. Et caractérise ses principales ambitions : sortir la capitale de l’Yonne du long marasme qui l’habite depuis si longtemps, selon ses écrits. Soit le renfort de la paupérisation, la perte de plusieurs milliers de ses résidents et le déclin de sa force économique.

« Dix-neuf ans à la gouvernance, c’est beaucoup trop long, plaisante presque innocemment un Pascal HENRIAT en grande verve et qui affichera sa constance orale tout au long de cet exercice si particulier que représente une conférence de presse.    

Pas de doute, la cible ouverte de ces énumérations alarmistes se personnifie clairement en un Guy FEREZ, édile aux trois mandats, aux manettes depuis le 25 mars 2001.

Pour écrire une nouvelle page de l’histoire d’Auxerre, il n’existe qu’une seule opportunité, dixit le candidat chalenger : porter sur le piédestal électoraliste une équipe novatrice, faite de compétences et possédant une véritable vision d’avenir. D’ailleurs, au plan de la sémantique, il n’est pas opportun d’employer le mot « liste » dans le sérail. Mais plutôt le terme « ambassadeur », louable, puisqu’il désigne celles et ceux qui se sont investis au fil des mois pour collecter les informations et insuffler la dynamique requise à ce groupe.

 

 

Un programme d’actions articulé en six actes…

 

Le programme se séquence en différents actes. Comme une scénographie théâtrale qui serait déjà bien huilée : économie, environnement, mobilité, aménagement, sécurité, bien-vivre ensemble…

Six actes pour convaincre avant que ne tombe le rideau de la générale au soir du 15 mars.

Cœur de ville, contournement sud de la ville, mobilité intelligente, transports urbains répondant aux réelles aspirations des utilisateurs : le mot d’ordre dans la bouche de Crescent MARAULT se nomme la transversalité.

« Huit millions d’euros sont dépensés pour le coût de fonctionnement du transport urbain aujourd’hui alors que celui-ci n’apporte pas la diversité nécessaire à celles et à ceux qui travaillent au quotidien, lâche le candidat, il nous faut une vision globale aux projets à décliner, une capacité d’anticipation qui doit être propre à l’élu qui exerce la gouvernance de la ville… ».

Ce qui ne serait pas, visiblement, le cas aujourd’hui d’après lui.

« Comment peut-on croire que la construction d’un nouveau parking, situé dans l’hyper centre, peut à lui seul sauver du mauvais pas notre centre-ville, s’interroge le challenger à l’élection, revisiter la gouvernance de notre agglomération s’impose comme une évidence aujourd’hui : elle doit être plus collective et conçue avec davantage de concertation… ».

Autre volet de préoccupation : la sécurité. Devant la prolifération des actes d’incivilités, Crescent MARAULT veut répondre par une hausse des moyens. Y compris humains. Mais, recruter des policiers municipaux supplémentaires semble être une sinécure : faute de candidats intéressés manifestement par la fonction !

Pascal HENRIAT livrer ensuite son analyse pertinente de la situation financière d’une collectivité qui s’est néanmoins désendettée depuis 2014. Malgré la perte d’une coquette enveloppe de dotations, évaluée à 9,6 millions d’euros.

« C’est vrai, observe l’actuel adjoint en charge des finances de la mandature FEREZ, la barre a été redressée de manière significative en 2015. Mais, il aura fallu, et j’en suis navré, accroître les impôts de 8 % dès l’année suivante pour y parvenir : il n’y avait pas d’autres alternatives… ».

 

 

Défendre les intérêts d’Auxerre en haut lieu grâce à un VRP…

 

Avec une épargne brute estimée à 2,3 millions d’euros et sept millions de désendettement, la situation d’Auxerre s’est quelque peu assainie.

« Il ne faudrait pas que la chaudière nous lâche de manière subite en cours de route, lance à la cantonade la figure emblématique du MoDem de l’Yonne, nos dépenses annuelles ne devront pas excéder dix millions d’euros. Cela va nous permettre d’investir de manière raisonnée sans dépasser nos objectifs… ».

Alors quand l’élu du Département évoque la nature des promesses faites par Guy FEREZ, son sang ne fait qu’un tour : il prophétise que le bas de laine actuel ne le permettra pas.

« La plupart des projets annoncés par le maire sortant ne sont pas budgétés : on peut les évaluer à environ cent millions d’euros. Autant dire que si ce programme venait à être appliqué, nous irions droit dans le mur ! ».

Sans réel levier fiscal pour glaner des fonds, les élus d’Auxerre n’auraient alors qu’une seule carte à jouer pour doper leurs projets : frapper aux bonnes portes pour en trouver !

A commencer par celles des ministères et de la Région Bourgogne Franche-Comté, qui sont restées trop longtemps hermétiques, voire ignorées par l’équipe en place.

« Ce qu’il nous manque pour dynamiser la ville, ajoute Pascal HENRIAT, c’est un VRP pour défendre nos valeurs et intérêts au niveau national : je veux bien endosser ce rôle ! ».

Les parlementaires deviendraient alors, et dans l’hypothèse de cette future mandature, des points relais névralgiques sur lesquels il serait de bon aloi de s’appuyer.

 

 

« Dans le seul souci de préserver les intérêts de notre ville et de son agglomération, complète Crescent MARAULT, ce sont ces personnes qui possèdent les clés des ministères et des administrations… ».

Cap vers Paris et l’Ile-de-France, donc pour les acteurs d’Auxerre au Cœur, qui souhaitent que la 157ème ville de France sorte enfin de l’ornière de l’indifférence dans laquelle elle se trouve depuis des lustres.

Un challenge pas si simple à relever, en vérité. D’autant qu’Orléans, Troyes, Reims, voire Dijon, ne nous ont pas attendues et font déjà figure de sérieux concurrents (voire de précurseurs) sur cette voie.

Qu’à cela ne tienne, de gros efforts de communication, bien ciblés, verront le jour en cas de scrutin positif. A destination des actifs, des entreprises et du secteur touristique.

Et Crescent MARAULT d’ajouter en guise de conclusion : « Si vous êtes élu à la tête d’une telle collectivité, il est fondamental de se montrer déterminé à vouloir appliquer les solutions les plus favorables à votre commune. Or, je ne ressens pas cette force chez nos élus actuels… ».

Un ultime tacle adressé à ses adversaires avant qu’il ne laisse la parole à quelques-uns de ses colistiers (pardon, « équipiers » !) devant expliciter leurs motivations profondes, justifiant ainsi leur ralliement au chef de file de la droite et du centre.

 

 


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Directeur du département « Opinion et stratégies d’entreprise de l’IFOP », Jérôme FOURQUET, diplômé de l’Institut d’études politiques de Rennes et titulaire d’un DEA de géographie électorale (Université Paris VIII), possède une expertise de vingt-et-un ans. Intervenant sur toutes les enquêtes d’actualité, ses pôles d’expertises portent notamment sur les enjeux électoraux, les sujets économiques et sociaux, les fractures territoriales et les questions internationales et de défense. L’auteur de « L’Archipel français », prix 2019 du livre politique, décerné par un jury réuni à l'Assemblée nationale, était l’hôte du Cercle Condorcet de Sens…

TRIBUNE : « Les géographes définissent un archipel comme un ensemble d’îles relativement proches les unes des autres. Cette image permet décidément de bien rendre compte des processus en cours au sein de la société française.

Celle-ci se compose de différents groupes ayant leur propre mode de vie, des mœurs bien à eux et parfois une vision du monde singulière. A l’image des îles d’un archipel, ces populations vivent à l’écart les unes des autres, tout en entretenant bien sûr des rapports entre elles... »

Il s’agit d’un constat. Sans parti pris, dépourvu de toute idéologie sur la France d’aujourd’hui pour mieux comprendre « les lignes de fractures » de notre société contemporaine et saisir les enjeux sociaux et politiques de cette fragmentation. Il émane de Jérôme FOURQUET, un spécialiste en la matière. Ces éléments éclatés permettaient-ils de faire une nation ?

« Nous sommes confrontés à un processus d’ « archipélisation » croissante du corps social. De multiples lignes de faille - éducative, géographique, sociale, générationnelle, idéologique et ethnoculturelle- s’entrecroisent engendrant autant d’îles et d’îlots plus ou moins étendus ».

La République française se déclare une et indivisible dans sa constitution. La souveraineté du peuple repose sur cette disposition. Cinq républiques ont montré que cette construction politique a été un combat constant pour les partis politiques et les groupes sociaux qui s’en sont fait les défenseurs.

Peut-elle encore aboutir ? Ou est-elle en voie de se défaire ? C’est la question que pose l’important ouvrage de Jérôme FOURQUET.

 

 

 

Etre « côte à côte » aujourd’hui, mais demain en « face à face » ?

 

Il observe depuis au moins cinquante ans une transformation inédite de la France : à travers la dissolution des matrices originelles, chrétiennes et républicaines laïques, dont la quasi disparition du communisme municipal ; l’individualisation des parcours de vie, la sécession des « diplômés » se regroupant dans un quant à soi plus large que les traditionnels « riches ». Ils témoignent notamment de cette transformation qui s’est concrétisée dans la dernière élection : un président et un parti nouveaux, renvoyant les anciens partis dominants, de droite et de gauche, à des portions congrues.

Autre analyse intéressante qui ne peut qu’interpeller : celle faite à travers l’évolution des choix de prénoms (l’anthroponymie : étude des noms de personnes, ici des prénoms plus particulièrement...marqueurs culturels des changements vécus par la société) avec l’évolution des formes d’union, ou l’évolution des revendications sociétales nouvelles (mariage pour tous, PMA, etc.). Une nation différente, multiple et divisée se dessine selon les conclusions de Jérôme FOURQUET. Une société en forme d’archipel dont les composantes appartiennent certes à un socle commun, mais qui se sont séparées en îles plus ou moins autonomes, ou désirant l’être. « Côte à côte aujourd’hui...et demain en face à face ? ».

La solidarité au principe de notre nation pourrait-elle faire défaut, avec ce néo-libéralisme qui ne serait que la poursuite des intérêts individuels ?

Les oppositions droite-gauche, chrétien-républicain, chrétien-communiste, qui ont structuré la vie politique française depuis deux siècles, et contribué aux progrès de la société sont-ils devenus inopérantes, voire sans fondements ?

Jérôme FOURQUET, après avoir observé cette évolution très rapide et inattendue, s’interroge sur ce que pourrait devenir cette nation. Il a accepté d’exposer ses analyses et de débattre avec nous de la question qu’il pose lui-même en bandeau rouge : où allons-nous ?

 

Michel GANDOLFO

Président du Cercle Condorcet de Sens

 

 

 

 


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Dorénavant, et après l’explication de texte fournie par la ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE, les toitures des bâtiments agricoles pourront accueillir d’ici peu des panneaux photovoltaïques. Une décision importante pour la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY. Elle y voit une petite victoire personnelle. L’élue avait interpellé en son temps le gouvernement pour qu’il lève les freins à ces installations utiles…

DIJON : La présidente de la Région a été entendue. Et visiblement écoutée sur sa requête auprès des instances gouvernementales où elle demandait la suppression des contraintes techniques liées à l’installation de panneaux photovoltaïques sur les toitures des bâtiments agricoles.

L’objectif de la sollicitation de l’élue régionale consistait à relever le seuil des appels d’offres nationaux auprès de la commission de régulation de l’énergie dans le cadre de la pose de ces panneaux.

Désormais, ce seuil passe d’une puissance de 100 à 300 kWc. Très attendue par la profession, la mesure favorisera la hausse du nombre de dossiers pour d’éventuelles candidatures. En simplifiant et en accélérant leur procédure d’instruction.

Commentaire à chaud de l’intéressée : « C’est un premier combat gagné en faveur de notre agriculture et de notre environnement… ».

 

 

Sensibilisée par les différents épisodes de sécheresse, la présidente de l’exécutif régional s’est rapprochée de la filière agricole en étudiant les pistes les plus adéquates pour lutter contre les effets du changement climatique. Des sujets de réflexion qui devaient aussi prendre en compte l’amélioration de la situation financière des agriculteurs.

Aujourd’hui, il apparaît manifeste que la production d’électricité solaire à partir des toitures des bâtiments agricoles soit l’une des pistes à privilégier. Le système se veut autonome, sans impacter ni les surfaces ni les rendements agricoles.

Le cheval de bataille de l’élue régionale sur ce point est bien de développer et diversifier les énergies renouvelables en optimisant la transition de l’agriculture. Tout en offrant à ces professionnels le bénéfice de revenus complémentaires.

 


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Comme à l’accoutumée, l’Yonne sera à l’honneur au Salon de l’agriculture 2020. Le carrefour international accueillera différents acteurs de notre savoir-faire artisanal au cours de deux journées de mise en valeur organisées sur le stand régional Bourgogne Franche-Comté les 27 et 28 février.

PARIS : Cinq thématiques serviront de fil d’Ariane à ces retrouvailles annuelles vécues sur le fameux salon professionnel francilien. « Goûter », « Visiter nos pays », « Déguster », « Picorer » et « Découvrir » seront les mots d’ordre de cette concentration de savoir-faire artisanal qui permettra aux nombreux visiteurs de cette exposition universelle, consacrée à l’agriculture et à ses diverses filières de se forger leur propre opinion.

Durant deux journées, dans le hall 3 de l’immensité du parc des expositions de la Porte de Versailles, différents ambassadeurs de notre patrimoine n’hésiteront pas à se surpasser pour vanter les mérites et les bienfaits de ce terroir, bourguignon, dont nous sommes fiers, cela va de soi !

Côté cuisine, c’est le chef du « Moulin de la Coudre », bel établissement « Logis de France » à VENOY, Jean-Pierre VAURY, qui régalera les curieux de recettes culinaires icaunaises, à base de produits salés et sucrés dont il a le secret.

 

 

L’opportunité sera aussi donnée d’apprécier la succulente saveur d’un morceau de Soumaintrain, accompagné de son verre de l’AOC Irancy avec une animation proposée par le groupement « Gastronomie et Promotion des produits régionaux ».

Il y sera également présenté un livret de jeux à vocation ludique et pédagogique grâce auquel les jeunes pousses à l’instar des adultes découvriront les différentes étapes de fabrication des fromages.

 

Yonne Tourisme assure la promotion de ces prochains rendez-vous…

 

Autre suggestion découverte intéressante : le pop-corn 100 % made in Yonne, concocté avec minutie et originalité par la maison GRAMM’S. Les frères RIVALLAIN devraient remporter tous les suffrages des adorateurs de cette confiserie agréable à croquer en bouche.

On notera aussi les préparations à base de légumes secs de la ferme de Bruno MEAN (Cruzy-le-Châtel) –lentilles, pois chiches, graines de courge, coriandre – ainsi que les gourmandises à base de miel de l’apiculteur Adérald CARON (ADE FABRIK), localisé à Charbuy.

Notons la participation des artisans de pratiques séculaires et ancestrales : celles des esthètes des métiers anciens qui exercent leur labeur à la construction du château d’inspiration médiévale de GUEDELON.

Quant à l’agence de développement économique, YONNE TOURISME, elle figurera, quoi de plus normal, en bonne posture sur ce stand afin de présenter ses futures opérations telles que « Vélo et Fromage » ou la fameuse « Family Week », qui sera déclinée à la Grange de Beauvais les 28 et 29 mars prochains.

 

 


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Le Pôle environnemental arrive bientôt à maturation. Les dernières équipes de professionnels du BTP  s’activent sur le chantier afin de le rendre viable dès que possible. Il y aurait presque un caractère d’urgence, désormais, à le voir s’achever. Certes, il y a les échéances municipales. Mais, quoiqu’il en soit, l’édifice, ayant nécessité une enveloppe budgétaire de plus de trois millions d’euros, devrait être inauguré après les élections. Quant aux trois premiers occupants, des structures délibérément positionnées sur le secteur de l’économie verte, ils piaffent d’impatience de prendre possession de leurs bureaux…

AUXERRE : Branle-bas de combat dans les locaux de la Communauté de l’Auxerrois ! L’instant se veut solennel et surtout communicatif. Et pour cause, le Pôle environnemental, toujours en phase de construction dans le périmètre du parc des expositions, lève enfin le voile sur ses futurs locataires. Les premiers, du moins, qui se présentent au nombre de trois.

Le panel de personnalités qui assiste à la gestation du concept est à la hauteur de l’évènement : Guy FEREZ, président de l’Agglomération et édile d’Auxerre, son premier adjoint, Guy PARIS, le spécialiste de l’économie en la personne de l’adjoint municipal, Didier MICHEL. Sans omettre le premier cercle des directeurs de service et autres exégètes du développement économique du sérail.

Il est vrai que le concept est plutôt flatteur pour l’institution communautaire qui finance les travaux avec l’aide de subsides émanant des partenaires habituels. Ce Pôle environnemental (rare concept de cette envergure conçu en Bourgogne Franche-Comté, voire au niveau hexagonal) fera office d’incubateur de start-up mais aussi d’hôtel d’entreprises pour structures confirmées in fine. Offrant ainsi de nouvelles et ambitieuses perspectives économiques à un bassin qui a choisi de privilégier l’économie circulaire et le développement durable à d’autres pistes de réflexion.

 

 

 

Un nouveau centre d’accueil dédié à l’économie verte…

 

 

Le projet a évolué au fil des ans. De la conception purement pédagogique autour de l’écologie telle qu’elle avait été imaginée jadis, il est devenu un lieu d’accueil pouvant recevoir son lot d’entrepreneurs brillants et ayant de la jugeote pratico-pratique.

Une circonvolution à 360 ° qui ne chamboule pas forcément ce qui avait été pensé au départ mais qui en améliore la finalité et les objectifs. Auxerre va donc bénéficier de ce nouveau centre d’accueil destiné à attirer des entreprises un tantinet branchées sur leur segment d’intervention. Faisant la part belle à l’Economie sociale et solidaire, circuits courts et autres structures de proximité.

Lorsque le projet a été proposé, l’ADEME s’est engouffré dare-dare dans la brèche en apportant son accessit. D’ailleurs, l’édifice, même s’il n’est pas un bâtiment reconnu autonome en matière énergétique, n’en recevra pas moins un précieux sésame : le fameux label HQE (Haute Qualité Environnementale). Sa toiture y accueillera des panneaux photovoltaïques. A proximité, une mare qualifiée de pédagogique créera un biotope. La présence d’une pompe à chaleur géothermique complètera l’ensemble.

Bref, ce que Guy FEREZ désigne communément comme le « bras armé des politiques publiques écologistes » sera en fait un excellent réceptacle pour y initier l’essor de nouveaux possibles économiques en maille directe avec l’environnement.

 

 

 

 

Une inauguration devant survenir après les municipales…

 

L’accompagnement de ces entités entrepreneuriales sera l’un des fers de lance de ce pôle qui a requis les services, après l’appel d’offres usuel, de l’organisme BGE Nièvre Yonne.

A terme, le site auxerrois atteindra son rythme de croisière dès que la quinzième structure sera dans ses murs. Les sociétés locatrices occuperont des bureaux ergonomiques et équipés de taille diverse selon leurs moyens financiers.

Sachant qu’il sera nécessaire de procéder au distinguo entre les start-up, hébergées au sein de l’incubateur, et les structures bénéficiant déjà d’une certaine expérience, orientées vers l’hôtel d’entreprises après l’aval d’un comité éthique.

 

 

 

La mise en œuvre de cet éco système profite de la manne financière négociée par le biais d’une convention avec l’incubateur régional qui déposera dans l’escarcelle des porteurs de projets une enveloppe pouvant s’élever jusqu’à 22 000 euros sur deux années au maximum. Un précieux auxiliaire pour bien débuter leurs activités !

Plusieurs entreprises ont été identifiées en amont. Les trois premières (AK-TEAM, ECOLLANT et PHENIX – voir articles de présentation à paraître) auront le privilège d’ouvrir le bal, devenant les néophytes à vouloir intégrer ce lieu entre fin mars et début avril.

Il ne restera plus ensuite à officialiser grâce à son inauguration l’ouverture de ce pôle innovant de l’économie verte.

Un rendez-vous qui, s’il n’est pas encore programmé en termes de date et horaire (et pour cause !), compte tenu des élections municipales des 15 et 22 mars, permettra à la détentrice ou au détenteur de l’écharpe tricolore de la ville de s’illustrer sur une veine économique à peine installé…

 

 

 

 


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