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C’est la troisième rentrée scolaire pour l’Ecole de Production de Chalon-sur-Saône depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux. L’établissement affiche un taux de réussite de 100 % au CAP depuis ses origines. Un cap vers l’excellence pédagogique vient d’être franchi. Grâce à la digitalisation. L’initiative a reçu le soutien de la Fondation EDF qui a injecté 10 500 euros dans le projet…

CHALON-SUR-SAONE  (Saône-et-Loire) : Apparue en 2017 sous l’impulsion de l’UIMM 71 et du groupe EDF, l’Ecole de Production de Chalon (EDPC) accueille un jeune public âgé de 15 à 18 ans en situation de décrochage scolaire. L’établissement les prépare au diplôme de CAP professionnel dans les métiers de l’usinage. Un vivier de recrutement dont ont besoin la plupart des industriels de Saône-et-Loire.

Fonctionnant comme une véritable entreprise, l’EDPC réalise de vraies commandes au prix du marché au profit de ses clients. Une vingtaine d’élèves effectueront d’ici quelques jours leur grand retour sur le site. Ils y découvriront un équipement numérique flambant neuf mis à leur disposition dans le cadre de leur apprentissage des métiers de l’usinage.

L’école vient de se doter d’un logiciel d’assistance de production par ordinateur, couplé aux machines adéquates. Une mue nécessaire pour gagner en performance technologique.

 

 

 

Cette numérisation des ateliers concerne également la mise à niveau du réseau informatique qui offre des temps d’apprentissage supplémentaires en autonomie sur ordinateur. L’idéal pour la progression intellectuelle des jeunes apprenants.

Grâce à ces précieux auxiliaires technologiques, l’augmentation du volume de pièces fabriquées en réponse aux commandes passées par les entreprises industrielles du tissu local est désormais possible.

 

 

Une numérisation de l’école encouragée par la Fondation EDF…

 

Instigateur de ce projet pédagogique aux côtés de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de Saône-et-Loire, le groupe EDF n’a pas hésité à débloquer une enveloppe de 10 500 euros pour financer ce programme de digitalisation.

Fin 2018, l’entité via une opération de mécénat impliquant sa Fondation s’était déjà distinguée en remettant un chèque de 95 000 euros, complété par un don de 25 000 euros du FAPE EDF (Fonds Agir Pour l’Emploi) en faveur de l’insertion par le travail à cet établissement.

La somme fut alors convertie pour l’achat d’une machine à commande numérique destinée à l’usinage de pièces métalliques complexes. Grâce à elle, l’école a pu capter l’intérêt de nouveaux clients industriels et a su développer ses marchés depuis sa mise en service.

Avec ce nouveau geste financier de 10 500 euros accordé ce mercredi lors d’une cérémonie protocolaire, Yves CHEVILLON, délégué régional d’EDF et représentant de la Fondation du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, a renforcé ce soutien indéfectible fait à l’Ecole de Production du sud de la Bourgogne dirigée par Nicolas PROST.

Un don généreux fort en symboles qui vise à construire l’avenir professionnel de ces jeunes gens.

 

 

 


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Il aura fallu s’armer de patience pour vivre de pareilles retrouvailles. Celles qui ont rassemblé ces femmes et hommes de bonne volonté, distingués pour leurs mérites au nom de la nation française. La cause de ce retard ? Ce satané coronavirus dont chacun se sera accommodé tant bien que mal. Repoussée, l’assemblée générale annuelle de la société départementale des membres de la Légion d’Honneur a enfin pu se dérouler. En parfaite harmonie et sérénité, dans un cadre propice aux agapes sympathiques, dans l’un des salons de l’hôtel Mercure…

APPOIGNY : Le plaisir de s’asseoir à une table et de partager un agréable repas entre convives. Entre débats d’idées et réflexions sur les orientations données à la sémillante structure associative. Et excusez du peu, pas n’importe laquelle ! La Société des membres de la Légion d’honneur de l’Yonne effectuait son come-back ce jeudi 24 septembre après plusieurs mois d’atermoiements sanitaires sous le feu nourri des projecteurs médiatiques. L’occasion était fournie par la traditionnelle assemblée générale statutaire qui correspondait au passage obligé pour faire toute la lumière sur une actualité, se projetant sur de belles perspectives. A horizon 2021/2022.

Si le nombre d’adhérents ne cesse de progresser au sein de la structure honorifique (cent-quatre-dix membres au terme de 2019), une trentaine de participants n’auraient manqué sous aucun prétexte le rendez-vous du jour. D’ailleurs, on releva que le nombre de pouvoirs était aussi élevé que celui des présents dans les salons de l’hôtel Mercure.

 

 

Le président Baudouin DELFORGE évoqua l’avenir et ses perspectives. A l’occasion du centenaire de l’association, l’organisation d’un « bivouac » accueilli sur un site de prestige n’est pas à exclure. Une piste toute chaude désigne l’Abbaye de Pontigny comme lieu de prédilection où pourrait se tenir cette manifestation dès l’automne 2021.

L’autre temps fort de ce futur calendrier, mêlant érudition et convivialité, prendrait forme avec la découverte de la capitale de l’Aube, la ville de Troyes et ses joyaux historiques : ses vitraux de réputation mondiale et le jubé de l’église Sainte-Madeleine.

L’ombre de 2022 s’esquisse ensuite dans les paroles du président DELFORGE. La section envisage la visite du Musée de la Légion d’Honneur aux Invalides à Paris. Un lieu chargé de symboles et d’histoire pour les récipiendaires de la fameuse rosette qui se compléterait par le ravivage de la flamme à l’Arc de Triomphe.

Des perspectives aussi alléchantes que les agapes qui devaient réunir dans un esprit très fraternel les légionnaires à l’issue de cette séance de travail.

En savoir plus :

Présidences des comités :

Auxerre : le docteur Serge TCHERAKIAN

Sens Joigny : Michèle VIGNOT,

Tonnerre : Colonel Alain LAGARENNE

Bureau de la section Yonne :

Baudouin DELFORGE, président

Jacques PARMENTIER, secrétaire

Gérard MORETTI, trésorier,

Louise CARTIER, solidarité

Signalons la présence de l’ancien édile de Champignelles, Jacques GILET, délégué pour le secteur de la Puisaye-Forterre.

 

 


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L’édifice sera habillé d’un échafaudage pendant plus de huit semaines. La prise en charge des désordres observés en 2018 suite à la rénovation du bâtiment interviendra dès le 28 septembre 2020…

SENS: Le projet s’inscrit dans le plan « Action Cœur de Ville ». Rappelons que le gouvernement a lancé ce plan en 2017. Il visait à revitaliser les villes moyennes, entre 20 000 et 100 000 habitants, au nombre de 222 au total sur l’Hexagone et dont Sens fait partie. Un projet pour lequel 5 milliards d’euros ont été mobilisés sur cinq ans. Les communes bénéficiaires de ce programme ont signé un contrat-cadre qui engage la commune, son intercommunalité et les partenaires du plan.

A Sens, la rénovation de l’Hôtel de Ville s’inscrivait donc dans ce projet, à l’instar d’autres réalisations telles que la réfection des façades qui abritent le bureau de tabac « La Civette » ou encore la pizzeria « La Trattoria ».

 

Des désordres sont constatés après trois ans de rénovation

 

La réfection de l’Hôtel de Ville de Sens avait débuté en avril 2015 et s’était achevée à la fin de mai 2018. Les travaux s’élevaient à trois millions d’euros.  Ce bâtiment, du XIXème siècle typique de la Renaissance et de l’architecture classique, devait être restitué aux Sénonais en juillet, une fois débarrassé de son échafaudage.

 

 

Mais en juin de la même année, l’observation de fissures le long de la corniche et de pierre menaçant de tomber a donné lieu à la sécurisation des alentours du bâtiment, au déplacement de l’entrée principale sur le côté et au retrait des blocs de pierre fissurés à l’aide d’une nacelle. La ville a ensuite demandé un premier examen d’expertise des façades de l’édifice au maître d’œuvre, l’architecte des Bâtiments de France.

 

La municipalité n’engagera aucun frais pour les réparations

 

Le coût des travaux s’élève à un peu plus de 140 000 euros. Cependant, la municipalité ne dépensera pas un centime. En effet, la Ville de Sens a signé un protocole d’accord le 08 juillet avec la société UTB, qui a réalisé les travaux de couverture, de rénovation de la façade et de zinguerie. Une autre convention a été réalisée avec la société « OPUS 5 Architectes » qui a assuré la maîtrise d’œuvre et le suivi du chantier.

Par ce protocole, ces deux sociétés se sont engagées à assumer la totalité des frais inhérents à ces travaux des réparations du dispositif anti-volatile ainsi que la reprise de la façade sud/ouest et du campanile. Un échafaudage a été mis en place dès le 15 septembre. Les travaux débuteront le lundi 28 septembre pour une durée de huit semaines.

Floriane BOIVIN

 


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Les futures élites de la politique nationale et les cadres supérieurs à vocation commerciale seront-ils issus à l’avenir des classes préparatoires mises en exergue par le groupe éducatif lassalien auxerrois ? C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à la judicieuse initiative de l’établissement privé dans sa quête de la diversification des savoirs et de la recherche de nouvelles opportunités…

AUXERRE : Le  23 septembre 2020 est une date qui est biffée depuis très longtemps dans l’agenda déjà bien garni de Marc BESANCENEZ, responsable du groupe Saint-Joseph-la-Salle.

C’est aujourd’hui en effet que débutent les cours de la préparation au concours de Sciences politiques et à celui permettant d’obtenir le précieux sésame qui donne accès aux écoles de commerce. C’est un pas de plus vers les plus hautes sphères de l’enseignement supérieur pour le groupe pédagogique catholique auxerrois après la précédente initiative menée en 2019 : la classe préparatoire au concours de médecine.  

Il y a quelques jours, le responsable du pôle éducatif avait réuni familles et candidats potentiels à ces nouvelles sections pour qu’ils viennent humer la température ambiante. Histoire de leur présenter le mode opératoire décliné en terminale. Une cinquantaine de personnes y participait.

 

 

Selon des modules de trois heures suivi le mercredi, l’ensemble des bacheliers peut s’immiscer dans cet univers didactique de haute volée. Soit un cycle de vingt-deux semaines pour un budget de 330 euros à l’année. Toutefois, des quotas ont été mis en place, limitant l’engouement des élèves à une trentaine de places seulement.

La prépa médecine, opérationnelle depuis deux saisons, a encore enregistré un net succès avec vingt-cinq élèves.  Autre innovation : la création de cette classe préparatoire à la double connotation aura favorisé le rapprochement du groupe Saint-Joseph avec l’EGC de Sens, l’école de gestion et de commerce sous la tutelle de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, pilotée par le responsable du pôle formation consulaire, Hervé AUBERGER.

 


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Les supputations allaient bon train dans le sérail politique depuis plusieurs semaines. On l’attendait comme un candidat potentiel aux sénatoriales. Mais, ultime coup de théâtre !  In fine, l’intéressé ne se présentera pas à la chambre haute du parlement. Le conseiller départemental de l’Yonne et président de l’AMF 89 (Association des maires) préfère se soustraire à cette échéance automnale. Un retrait volontaire dûment réfléchi pour mieux rebondir par la suite ?

INTERVIEW : Vous étiez pressenti pour jouer un rôle dans ces sénatoriales 2020, et finalement vous y avez renoncé. Quelles ont été  vos réelles motivations pour ne pas y aller ?

D’un point de vue de la légitimité, j’ai fait des choses en faveur de notre territoire. J'ai été présent auprès des élus à chaque fois qu'ils avaient besoin de moi. Après, mon expérience de 2017 m’a montré que la légitimité, cela ne suffit pas. Puisque c'est une élection qui est bizarroïde. Les réseaux jouent un rôle important. C'est-à-dire que si quelqu'un vous aime bien, tout va bien ! Mais s’il y a quelqu'un qui ne vous aime pas et qui vous soutient, il part du principe, que rien que pour faire suer celui qui vous aime bien, il ne votera pas pour lui. Mais, ce n’est pas cela qui me gênait : j'avais de très bons échos. Très positifs…
Ensuite, est venu dans ma réflexion le fait que je venais d’être élu maire de Valravillon avec la confiance des habitants et celle du Conseil municipal. Je venais d'être porté à la présidence de la Communauté de communes de l’Aillantais en étant adoubé par mes pairs pour ce poste. Sur ce territoire, il y a tant de choses à faire. Une question m’a cependant tarabusté : est-ce que j'avais le droit de trahir cette confiance ?

Aviez-vous d’autres interrogations qui vous ont traversé l’esprit ?

Oui, une troisième question est venue dans mes pensées : est-ce qu'il faut se « prostituer » pour être élu à un poste de sénateur ? Quelque part, je réponds par l'affirmative ! Par conséquence, je ne veux pas m’engager dans une bataille en altérant mes convictions que je ne changerai jamais. Je ne joue pas dans la même catégorie que d’autres et je ne suis pas prêt à tout accepter. Je me suis dit : « tu vas être malheureux parce que tu vas rencontrer des gens qui vont te dire ceci, qui vont dire cela, mais c’est certain, ils ne te diront pas ce qu’ils pensent réellement ! ». Et moi, je ne veux pas être obligé de dire des choses que je ne pense pas pour obtenir les voix de telle ou telle personne. Je me refuse à cela.

Je ne vis pas la politique dans le mauvais sens du terme. Je pense que quand on est élu par nos concitoyens, on l’est par eux pour mieux les servir. Quand j’ai de grandes décisions à prendre, je pose la question à mon grand-père et à mon père par les forces de l’esprit. Parce que c’étaient des hommes simples et justes, des hommes durs mais profondément humains…Moi, je veux garder mon âme.

Certes, ce n’est pas une décision facile parce qu’on pourrait penser et prendre cela comme un manque d’ambition, voire une crainte. Alors que ce n'est pas du tout le cas. Dans ma vie, je me suis battu avec des victoires et des défaites. Celles-ci ne m'ont jamais arrêté et m’ont toujours permis de remonter la pente. Moi, ce qui me passionne en fait, c’est de m’investir pour mon territoire, au service des personnes qui y vivent et qui éprouvent le besoin de faire des choses.

Les élus devraient regarder d’un peu plus près comment se déroulent le quotidien de leurs administrés. Parce que si nous autres, avons des comportements pas toujours objectifs et sincères envers eux, on ne peut pas alors reprocher aux électeurs de ne pas venir voter parce qu'ils sont dégoûtés ! L’exemplarité n'est pas que dans les termes : elle doit l’être également dans les actions. Dans sa manière d’être et de se conduire, c'est assez dur comme propos, mais c'est une réalité.

 

 

Pour autant, ne pas participer à ces sénatoriales qui vous tendaient les bras ne remet pas en cause vos envies de servir. Quelles sont-elles ?

Elles sont assez simples. D’abord, au niveau de la commune : il s’agit de faire émerger l’ensemble des projets. Pour la communauté de communes, et du territoire de l’Aillantais, on a commencé à créer le pôle santé. Je voudrais qu’il soit complet avec un cabinet dentaire et j'y travaille. Sur le plan économique, je voudrais que des entreprises viennent s’installer. Je souhaite augmenter et valoriser la politique de la petite enfance. C'est quelque chose auquel je tiens énormément ainsi que mes conseillers communautaires. Au niveau des infrastructures, précisons que la construction du gymnase va démarrer. C'est un projet important et je voudrais le mener à son terme.

Mon rôle de conseiller départemental m’incite à vouloir une collaboration plus franche et prégnante entre Charny-Orée-de-Puisaye et Aillant. Chaque partie doit s’apporter mutuellement à l'autre en toute complémentarité. Quant à savoir si je serai candidat aux cantonales de mars, il est encore trop tôt pour avancer sur le sujet. J’ai cependant la certitude que je peux être utile à ce canton et au département de l’Yonne.

Reste l’AMF avec les élections du nouveau bureau en octobre…

J’y occupe la fonction de président. Il faut rappeler que c'est un poste complètement bénévole et que mon rôle est de gérer et animer une association. Il y a des gens qui confondent l'association des maires de l’Yonne avec un mandat politique ! Je présenterai une liste d’élus qui sera, je le sais déjà, féminisée avec des volontaires ayant envie d’œuvrer pour le bien de tous les élus de l’Yonne.

 

 

Que souhaitez-vous apporter au département de l’Yonne ?

Cela peut presque paraître un détail, mais c’est la vision que toutes les parties du département doivent travailler ensemble pour le bien de l’Yonne.

On a des perles rares sur notre territoire. Aujourd’hui, l'objectif est que toutes ces perles rares s’unissent pour pouvoir apporter une vraie identité à l’Yonne et la sortir de la méconnaissance de nos autres compatriotes d'une façon générale. Faire en sorte que l’on ne soit plus un département où l'on passe, mais un département où l'on a envie déjà de s’arrêter et ensuite d’avoir envie de rester.

Nous avons la chance de vivre à côté de la capitale de l’Hexagone. Or, si nous voulons attirer les Franciliens en quête de départ, il nous faut vraiment développer la présence du numérique avec l’arrivée de la fibre. Nous devons être conquérants dans nos projets et réalisations, que nous ayons des rêves qui doivent aller au-delà de ce qui existe aujourd’hui. Pour que cela aboutisse, il faut qu’il y ait une volonté des élus. Mais pas dans la seule gestion du quotidien, où on sera au final très vite dépassé.

En ce sens, le poids des communautés de communes qui possèdent les compétences économiques est indéniable. Il en existe quatorze aujourd’hui sur le territoire. Un lien important doit se créer entre ces structures et le Département. Ça me semble quelque chose d'indispensable, je prône cela depuis des années.

L’Yonne n’évoluera pas et ne bougera pas sans la force et l'adhésion des communautés de communes. Vous avez ici tout le sens politique que je veux développer à l’avenir…

En 2022, les électeurs seront appelés aux urnes pour élire leurs députés. Ces législatives occupent-elles déjà une place prépondérante de vos pensées ?

Je n’ai pas encore de réponse à l’heure actuelle. Seulement des bribes qui commencent à s’esquisser. J’aurai toutes les réponses à cette interrogation d'ici 2022 ou pas...

Propos recueillis par Maryline GANDON

 


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