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Connu et apprécié dans la région pour son golf et son hôtel 4 étoiles, le domaine du RONCEMAY a ouvert le 27 août dernier un spa rutilant de 850 mètres carrés. Un atout majeur supplémentaire, mettant en valeur le site de l’Aillantais, tout aussi appétissant que les plats gastronomiques qui sont servis à la table de son restaurant par son chef Pascal GUELLEC. Découverte plus que de courtoisie…

 

CHASSY: Envie d’un massage, d’un soin du visage ou d’un moment de détente à vivre en parfaite sérénité en suivant le parcours sensoriel dans l’eau ? Cathy CISSOKO, directrice de l’établissement aquatique, accueille sa clientèle avec son équipe au quotidien. 

Le Domaine de RONCEMAY dispose désormais d’un nouveau joker commercial : un spa ! Il a été inauguré le 21 octobre par les propriétaires des lieux, Jeanne FRANGIE et Thierry GARRET.

Une centaine d’invités parmi lesquels des partenaires, élus, représentants institutionnels, médias, entreprises ont pu admirer le complexe réalisé par des entrepreneurs du cru.

 

 

Des soins destinés aux grands comme aux plus petits…

 

Un mot sur ce parcours sensoriel flambant neuf. Il propose pendant deux heures des possibilités diverses de relaxation : hammam, brumisateur, sauna, bain bouillonnant, seau en cascade, douche quatre saisons, et un très beau bassin. Ce parcours est accessible en semaine pour 39 euros et les week-ends (du vendredi au dimanche) au tarif de 55 euros.

A l’étage, vous pouvez également profiter des massages classiques (amincissant, jambes et dos, pierre chaudes, énergisant,…) mais plus particulièrement : du massage signature du Roncemay.

Il s’agit d’un soin du corps comprenant des étirements, de l’effleurage, du pétrissage, des frictions mais aussi de la vigueur énergisante.

Crée par Cathy, ce massage de 90 minutes a la particularité d’être élaboré à partir d’huile de pins du domaine.

Autre spécificité à découvrir sans modération : le rituel de la signature du Roncemay by KOS (marque vendu). Il se compose d’un gommage aux sucres mauriciens ou sel marin, d’un massage et d’un soin du visage avec les produits de la marque KOS, notamment « l’élixir des légendes ».

 

 

Les plus petits ne sont pas oubliés : ils peuvent également profiter de leur massage d’une demi-heure.

Différents soins du visage sont également proposés, avec la possibilité d’avoir un diagnostic de peau personnalisé.

Quant aux coffrets cadeaux, ils sont proposés à la vente. Parmi les formules attrayantes, la possibilité de devenir membre du spa en bénéficiant d’avantages exclusifs avec un droit d’entrée de 295 euros par personne.

La première formule cadeau comprend un accès de deux heures au spa et un déjeuner au bistro du lundi au jeudi pour la somme de 59 euros. 

Enfin, signalons qu’une salle de fitness est disponible pour les clients de l’hôtel et aux membres du club.

 

Maryline GANDON

 


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Plus de 300 postes à pourvoir immédiatement dans les entreprises de Bourgogne Franche-Comté sont en quête de candidats sérieux et déclarés. Des fonctions qui correspondent à tous les niveaux de qualification. Néanmoins, la FRTP constate avec amertume que les postulants ne se bousculent pas au portillon pour relever le challenge. Serait-ce imputable aux « a priori » que véhicule la filière ? Ou à tout autre chose ?

 

BESANCON (Doubs) : Il bouillonne intérieurement le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Jamais, avec les conséquences de la reprise économique, les carnets de commande n’ont été aussi bien pourvus et cependant la filière peine à recruter de la main d’œuvre pour y répondre. Rageant, à plus d’un titre d’autant que le secteur offre de réelles opportunités de carrières à celles et à ceux qui souhaitent les saisir !

A ce jour, ce sont plus de trois cents offres d’emploi qui sont à pourvoir de manière instantanée dans les entreprises de la région. Des jobs de tout profil et pour toutes les appétences !

 

Des mots, toujours des mots mais tellement inappropriés…

 

Oui mais voilà, les freins persistent et les blocages perdurent ! Suffisant pour expliquer le manque d’attractivité de ces métiers auprès des plus jeunes ; et pas seulement.

Dans une nouvelle campagne de communication que l’organisme vient de lancer en faveur de ces emplois ces jours-ci, c’est l’attractivité de ces derniers qui est mis en exergue.

Halte aux idées reçues et aux sempiternels a priori qui ne font pas progresser la corporation. Une sorte de ras-le-bol généralisé que Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC, ne veut plus entendre résonner à ses oreilles !

« Trop souvent on qualifie avec des termes inappropriés les métiers des travaux publics, explique-t-il, avec ces mots que sont « pénibilité », « difficulté », « soumission aux conditions météorologiques » ou encore « faiblesse des rémunérations ». Ce n’est pas la réalité de ce que nous vivons dans nos entreprises et sur les chantiers… ».

 

Changer d’angle de vue lorsque l’on évoque les travaux publics…

 

Bien au contraire, le président du groupe Roger MARTIN insiste sur les valeurs fortes et profondes de cette filière, imprégnée de solidarité, de cohésion d’équipe, de possibilité d’évolution.

« Il nous faut changer radicalement d’angle de vue lorsque l’on évoque les travaux publics, ajoute le porte-voix de la filière dans notre région, il ne faut jamais oublier que ce pan de l’activité participe pleinement à la vie et à l’aménagement de nos territoires grâce à des femmes et à des hommes investis… ».

Le secteur qui s’est très nettement féminisé offre de vraies possibilités de progression de carrière. Grâce à des formations appropriées, par l’apport de matériels performants et à la pointe de la technologie.

« La formation, parlons-en !, renchérit Vincent MARTIN, l’école des travaux publics qui dispose de deux antennes l’une à Besançon l’autre à Dijon dispense des cycles pédagogiques en apprentissage sur l’ensemble du territoire régional. Depuis le CAP à la licence professionnelle… ».

 

Alors « ringards » les travaux publics ? Que nenni !

 

Voilà un argument de poids pour celles et ceux qui penseraient que les TP ne proposent que des jobs de seconde zone, sans diplômes.

Chaque année, le taux de réussite des nouvelles promotions qui fréquentent cet établissement sous la tutelle de la FRTP tutoie les sommets. Un modèle d’exemplarité qui se conjugue avec l’employabilité immédiate. Sans omettre la possibilité de suivre des formations en continu qui accroissent le développement des compétences tout au long de sa carrière.

Alors, après une telle démonstration, qui a dit que la filière des travaux publics était « ringarde », « sous-payée » et plus dans l’air du temps ?!

 

Thierry BRET

 


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C’est peu de dire que les liens sociaux et conviviaux ont été mis à mal depuis le début de la pandémie, faisant perdre à beaucoup l’idée même de fête et de partage. Le bonheur n’était pas que dans les verres ce dimanche à Chablis. Nombre de visiteurs qui sont venus participés à cette 73e fête des vins ne cachaient pas leur joie à pouvoir de nouveau communier autour des joyaux de l’appellation…

CHABLIS : Dame météo avait-elle quelques épisodes antérieurs à se faire pardonner auprès des professionnels de la vigne, pour se montrer si généreuse le temps d’une journée… ? Un dimanche d’été indien à faire pâlir d’envie tous les nostalgiques de Joe DASSIN, qui ne pouvait que contribuer au succès de la manifestation.

La journée aura débuté, comme le veut la tradition par un défilé dans les rues de Chablis, rythmé par les notes de l’harmonie municipale, avant la non moins traditionnelle cérémonie d’intronisation de nouveaux impétrants au sein de la Confrérie des Piliers Chablisiens. Avec cette année à l’honneur, le Colonel Jérôme COSTE, directeur départemental du SDIS de l’Yonne et François BOUCHER, vice-président du Conseil départemental et maire de Migennes.

 

 

 

André VILLIERS : une série de flèches décochée contre l’Etat...

 

Les élus départementaux étaient nombreux à être présents sur la tribune mais pour le plus grand bonheur des impatients avides d’entamer leur parcours initiatique au fil des stands de dégustation, seul le député André VILLIERS a pris la parole. Un spécialiste du « blanc » lui aussi, fut-il charolais !

L’occasion de décocher quelques flèches à l’encontre de l’exécutif, suite à la suppression de la réserve parlementaire qui, selon l’ancien président du Conseil départemental, priverait « l’Yonne d’une recette sur la durée d’un montant de l’ordre de 3 millions d’euros au nom de la transparence de la vie publique. On prend les parlementaires pour des malhonnêtes ! ».

 

 

L’instant protocolaire aura aussi été l’occasion pour la Confrérie des Piliers Chablisiens de mettre à l’honneur l’un des siens, Guy MOTHE, qui après 36 ans de bons et loyaux services, a décidé de poser son verre et remiser sa robe jaune d’or et vert bouteille. Se voyant remettre par le Grand Architrave, Yvon VOCORET, les armes de la Confrérie.
Lumineuse présidente deux jours durant de cette édition 2021, Sandrine BONNAIRE a ponctué la cérémonie, désormais investie d’une mission : « cela sera d’abord de boire toutes les bouteilles qui m’ont été offertes, un sacré boulot ! Et surtout, je serai votre messager pour continuer à mettre en lumière tous ces merveilleux vins de Chablis ». Ite missa est ! Que trinquent les verres et que la fête commence !

 

Dominique BERNERD

 

 


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L’ouvrage, une fois sortie de terre fin 2022, accueillera plusieurs praticiens dans la commune. Des généralistes (il en manque à foison dans le département) ainsi que deux dentistes disposant de quatre pièces distinctes afin de pouvoir exercer. D’un coût estimatif d’un million d’euros TTC, la future maison de santé ne devrait pas manquer de patientèle…

 

CHEVANNES : Ils attendaient cela depuis si longtemps les habitants de la localité périphérique d’Auxerre ! Enfin, leurs vœux ne seront plus pieux et vont se muer en réalité palpable et opérationnelle d’ici quelques mois. Encore un peu de patience, certes, avant le jour « J », celui de l’inauguration de cet édifice érigé selon les codes de l’éco conception, synonyme de soins prodigués quasiment à domicile : à deux encablures de chez eux !

La maison de santé dont la genèse matricielle fut évoquée lors de la précédente mandature municipale, va donc enfin voir le jour. La preuve tangible est d’ailleurs très courtisée sur le futur théâtre des opérations, non loin du parking latéral de la salle des fêtes. Un simple panneau qui signale l’attribution du permis de construire !

N’a-t-on pas vu récemment sur les réseaux sociaux le député de la circonscription Guillaume LARRIVE poser pour l’éternité à côté de ce support annonciateur du futur chantier ?

 

 

390 mètres carrés de bâti divisé en deux modules opérationnels…

 

Déjà présent avec le parlementaire sur ce document iconographique, le maire de la commune, Dominique CHAMBENOIT, a réitéré ce geste, ce mercredi après-midi. En compagnie de la première adjointe, Anna CONTANT et de deux autres élus, Fabrice BOURGEOIS, adjoint en charge des finances et Thierry LEDROIT, adjoint qui s’occupe des dossiers relatifs aux travaux et à l’aménagement.

C’est là, à cet endroit précis, où pousse l’herbe verte d’une pelouse bien entretenue que s’élèvera dans quelques mois le complexe sanitaire devant accueillir médecins généralistes et dentistes. Juste à côté d’un parking d’une capacité de quarante places s’avérant très fonctionnelles.

Le premier coup de pioche est attendu avant le terme de l’année. Si tout se passe bien ! Au plus tard, ce sera courant janvier. La livraison de ce bâtiment construit en option BBC serait quant à elle envisagée à la fin de 2022. Cette construction de près de 390 mètres carrés sera composée de deux modules importants : l’un permettant de recevoir les cabinets de soins dentaires, l’autre destiné à la patientèle des généralistes.

 

 

Un projet d’un million d’euros avec l’aide des partenaires institutionnels…

 

A la baguette de chef d’orchestre pour assurer la maîtrise d’ouvrage : Benoît BAZEROLLES. Le digne successeur du regretté Jean-Pierre BOSQUET, fondateur du cabinet d’architectes ATRIA.

Le coût du projet ne devrait pas excéder le million d’euros TTC. Des aides de l’Etat, de la Région et du Département permettront de supporter financièrement le budget.

« On a repris ce qui avait été proposé par l’équipe précédente, précise Dominique CHAMBENOIT en toute transparence, sans que rien de bien concret n’ait été véritablement acté à l’époque… ».

Pourtant, il existe un point d’achoppement fondamental malgré la continuité de ce concept : son emplacement. La maison de santé sera située presqu’au cœur du bourg, juste à côté de la salle des fêtes et non loin de l’univers commercial où trône une officine pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas avant.  

 

Thierry BRET

 

 

 


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Forcément, leur réinsertion sociale, ils y pensent. Tous les jours ou presque lorsqu’ils se retrouvent face à eux-mêmes durant leur détention. Avec sans doute une question cruciale qui leur taraude l’esprit : quel job sera-t-il possible d’exercer à la sortie de prison ? Toujours précurseur dans ses démarches sociétales, le MEDEF se positionne comme le partenaire idoine du SPIP, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation. Il œuvre à remettre les prévenus sur le droit chemin. Celui du travail et de la réussite sociale…

 

AUXERRE : Méthodiquement, le jeune garçon s’applique à exécuter les gestes que lui a inculqués sa formatrice. Une jeune femme dynamique, patiente, prenant le temps de parler et d’expliquer les principes élémentaires de la soudure.

Certes, l’exercice réalisé devant une petite unité de détenus attentifs ne reproduit que partiellement ce qu’est dans la réalité un poste de soudure.

Pourtant, on sent que quelque chose anime intérieurement le jeune homme, satisfait de se retrouver là, en pareilles circonstances. L’initiation du jour, une découverte aux métiers de l’industrie qui éclosent en très grande quantité derrière les murs de la maison d’arrêt auxerroise, semble le passionné. Un Graal initiatique pour mieux se réinsérer dans la vie active une fois la peine effectuée ?

 

 

Un partenariat constructif qui ne pouvait que matcher…

 

C’est tout l’objectif de ce partenariat insolite mais nécessaire fruit d’une rencontre surprenante née d’une simple discussion occasionnée lors des RIDY 2019 ! Ces fameuses rencontres régionales de l’industrie, porteuses de tant d’espérance et d’échanges prolifiques !

A l’occasion de cet évènementiel, Florence POULAIN, l’un des piliers opérationnels de la Maison de l’Entreprise et spécialiste de la communication eut le bonheur de croiser sur sa route (rien n’est dû au hasard !) Julien LUQUIN. Le référent du travail et de la réinsertion par l’emploi dans le milieu pénitentiaire régional, le SPIP.

Un « coup de foudre » professionnel qui engendrera nettement plus qu’un anodin échange de carte de visite à balancer dans la corbeille une fois revenu au bureau, comme il est souvent d’usage !

Dans le cas présent, rien de tout cela à observer ! De fil en aiguille, les deux interlocuteurs vont prendre le temps de construire une feuille de route cohérente et réciproque, devant les amener à collaborer en parfaite osmose sur un projet commun.

Certes, l’administration pénitentiaire (un milieu très hermétique aux yeux de l’univers entrepreneurial à de rares exceptions) garde les détenus durant leur peine. Mais, autre facette à mettre en lumière, elle prépare aussi à leur réinsertion sociale avec si possible une formation professionnelle en substance.

Alors, vu sous cet angle, entre le MEDEF/UIMM de l’Yonne et l’univers carcéral, cela ne pouvait que matcher !

 

 

Une initiative qui tombe à pic autour de la soudure…

 

Comment dans l’absolu ? Rien de très compliqué dans les faits ni inadaptable à la réalité du contexte : en favorisant tout bonnement la promotion des métiers de l’industrie où les besoins en matière de recrutement sont incommensurables aujourd’hui ! Cibles à privilégier : la maison d’arrêt d’Auxerre et le centre pénitentiaire de Joux-la-Ville.

Invité récemment par le MEDEF lors d’un colloque sur la RSE où il a pu s’exprimer devant un parterre de chefs d’entreprise et de décideurs économiques, Julien LUQUIN a pu expliciter dans le moindre détail les actions existantes aujourd’hui en France et dans notre contrée afin de faciliter ces réinsertions de détenus. Un témoignage qui avait passionné les participants.

A la maison d’arrêt d’Auxerre, où 156 personnes sont à l’heure actuelle en détention, 30 % d’entre elles ont exprimé leur réel désir de découvrir les ateliers initiés par la Maison de l’Entreprise. Vingt-quatre exercent déjà un travail en interne, affectés aux tâches quotidiennes du service général de l’établissement, aux cuisines, au service d’entretien.

 

 

Or, l’objectif affiché aujourd’hui par la direction de la maison pénitentiaire est de mobiliser davantage ces détenus vers l’emploi pour atteindre un quota de 50 %.

L’initiative du MEDEF tombe donc à pic ! Muni d’un simulateur électronique, les formateurs de la Maison de l’Entreprise décortiquent ainsi les rudiments de ce métier en totale tension que représente la soudure.

En amont, une cinquantaine de candidats détenus se sont portés volontaires pour suivre l’exercice. Seules les vingt personnes les plus motivées y ont eu accès en suivant en petit comité les échanges pédagogiques. Selon aussi leurs appétences et leur profil.

Frédéric DA ROCHA et Léa LEGRAND se sont donc prêtés au jeu sans l’once d’une difficulté en leur qualité de formateurs inventifs. Avec des « élèves » très dociles et in fine intéressés !

Pilote, l’initiative portée par le MEDEF de l’Yonne interpelle déjà en haut lieu auprès de la sphère nationale du puissant syndicat patronal. Cette action devrait trouver de la redondance dès 2022, soit à Joux-la-Ville ou de nouveau à la maison d’arrêt d’Auxerre avec sans doute d’autres programmes liés à des métiers en quête de compétences.

 

Thierry BRET

 


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