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Exercice de communication pertinent, les « Rencontres départementales » se sont rappelées au bon souvenir des sociétaires icaunais de l’assureur mutualiste il y a quelques jours à Auxerre. Comme chaque année, à l’amorce du printemps, ce rendez-vous, décliné sous la forme de table ronde et d’une conférence où la thématique repose sur une réflexion économico-politique, a proposé un état des lieux exhaustif des perspectives de l’entreprise.

AUXERRE : Leader hexagonal dans le domaine de l’assurance et de la prévoyance, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas occulté pour autant, et avec concision, le bilan précis de l’année écoulée. Une saison 2018 qui aura surtout démontré l’accroissement du chiffre d’affaires de l’entité. Cette dernière enregistre une hausse remarquable de 4 % de son chiffre d’affaires, avec une production nette positive évaluée à 15,7 millions d’euros.

Mais au-delà des chiffres et référentiels distillés au gré de ces échanges instructifs, l’essentiel du message se situait ailleurs pour les trois coreligionnaires devant prendre la parole lors de cet évènement. Il concernait le rôle implicatif du groupe mutualiste parmi son environnement territorial. Un ancrage qui prend ses racines autour de l’essor économique de toute une contrée : à savoir la partie septentrionale de la Bourgogne.

Qu’il s’agisse du président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne, Pascal MAUPOIS ou du directeur d’établissement Jacques BLANCHOT ; la ligne stratégique de leurs interventions successives convergeait vers cette même cible.

Etre au service de l’ensemble des acteurs du tissu socio-professionnel et des sociétaires représentant la territorialité. Le tandem de l’exécutif de l’Yonne trouva en la personne de Jean-Christophe REMAUD un appui de circonstance qui permit de mieux cerner les orientations positives de ce dispositif, résumé par le seul intitulé, « J’agis là où je vis ».

Un panorama exhaustif de ce qu’est un ancrage territorial…

Le directeur général adjoint de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, au nom de son responsable directionnel Eric GELPE, excusé, brossa un aperçu complet de l’actualité institutionnelle et économique du groupe. Poste par poste, dans un contexte marqué par une recrudescence ambiante de la sinistralité.

Il ne put toutefois manquer de faire allusion à la date du 07 juin 2018. Un point d’orgue capital dans la déjà longue histoire de la structure. Elle correspond à l’adoption du processus de « remutualisation » qui confère à l’enseigne sa pleine légitimité mutualiste et sa cohérence originelle. Celle-ci étant fondée au niveau de trois strates fondamentales mais complémentaires : l’axe local, le régional et le national.

Outre la présence de l’économiste et universitaire Christian SAINT-ETIENNE (il délivrera une brillante analyse et un décryptage affiné des principaux sujets politiques et économiques mondiaux), GROUPAMA Paris-Val-de-Loire se devait d’illustrer ce soutien à l’ancrage territorial en saluant la naissance d’une start-up locale.

« Do You No » est l’une d’entre elles qui œuvre depuis quelques mois dans le Jovinien. Au même titre que PAPY HAPPY, l’autre TPE soutenue par l’assureur mutualiste. Ce sont deux belles pépites issues de ce même écrin, fait de volontarisme et d’abnégation, qui forment ainsi des joyaux économiques nécessaires au rayonnement et à la dimension de notre territoire. Logique, que l’assureur mutualiste les place ainsi sur un vrai piédestal…


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Institution dont le capital appartient à l’Etat, la Banque de France ne cesse de se transformer à l’instar de son environnement. Dans le souci de réaffirmer son ancrage territorial qui demeure prégnant au cœur de chaque territoire. La structure entend à ce titre être plus accessible et gagner en visibilité. D’où un déménagement récent de son site patrimonial jusque-là implanté rue de la Banque à Auxerre. C’est aux abords de la place de l’Arquebuse, rue de la Laïcité, que siège dorénavant la nouvelle vitrine de la « banque de tous les Français ». Directeur général adjoint et directeur du réseau national de cette enseigne historique, Jean-Yves HAUSSAIRE nous dévoile les enjeux stratégiques de cette évolution…

AUXERRE : En préambule de cet entretien, comment se porte la Banque de France en ce premier semestre 2019 ?

Plutôt bien ! L’établissement vient de dégager des résultats financiers conséquents. Il a effectué au titre de ses bénéfices de 2018 la contribution à l’Etat la plus importante de son existence, soit 5,6 milliards d’euros.

Vous inaugurez ce jour (ndlr : mardi 28 mai) le nouveau cadre auxerrois qui accueille vos collaborateurs. Un site ergonomique, moderne, fonctionnel, bref, différent de ce que présente d’ordinaire une institution telle que la vôtre en matière d’accueil au public. Qu’est-ce qui expliquent ces changements surprenants ?

Nous souhaitons dorénavant être plus accessible et visible aux yeux d’un plus grand nombre. Le monde se transforme ; nous, aussi. Mais, cette transformation n’est là que pour mieux réaffirmer notre ancrage territorial. Bien sûr, au-delà de ces aspects immobiliers, il s’agit aussi d’optimiser notre performance et d’être davantage novateur dans nos initiatives et actions.

La présence de la Banque de France dans l’Yonne, c’est déjà une vieille histoire d’amour…

Oui ! Notre implantation initiale remonte à 1869 ! Soit cent cinquante années d’expériences vécues dans notre immeuble qui est situé dans la rue de la Banque à Auxerre. Ce bâtiment était chargé d’histoire. Nous devons sa création à Napoléon III après une visite faite à la capitale de l’Yonne en 1866. Il a dû être agrandi en 1922, pour devenir un édifice spacieux de 1 500 mètres carrés. Mais, son architecture quelque peu surannée ne correspondait plus vraiment à nos besoins. Nous ne pouvons pas être de grands donneurs de leçon autour de la rigueur de la gestion publique et ne pas nous l’appliquer à nous-mêmes !

Cette mue de la Banque de France répond à des enjeux fondamentaux. Quels sont-ils ?

Primo, il s’agit de réaffirmer la plénitude de nos missions. Voire d’en ajouter de nouvelles. L’ancrage territorial auquel nous prétendons nous offre la possibilité d’être un grand service public de confiance et d’excellence. Secundo, nous souhaitons accroître fortement notre efficacité. En révisant nos organisations, nos processus, nos systèmes d’information. Cela nous a conduits à réduire, sur la période 2015/2020, nos effectifs de 25 % et nos dépenses de fonctionnement de 10 %. Enfin, et pour être tout à fait complet sur la question, l’amélioration du cadre d’activité professionnelle de nos équipes est devenue une priorité. Grâce à une modernisation des outils et des environnements de travail. Ce que nous voyons aujourd’hui à Auxerre en est le reflet. Comme cela l’a été en 2018 à Nevers. Comme cela le sera d’ici quelques mois à Belfort, Vesoul ou Lons-le-Saunier…

Pouvez-vous nous rappeler quels sont les publics concernés par vos activités ?

A Auxerre comme ailleurs, notre action est orientée vers les particuliers, les entreprises et les collectivités. Dans le cadre des particuliers, notre mission est de nous intéresser aux plus fragiles d’entre eux. Pour ce faire, nous avons tissé un réseau de partenariats éclectiques : banques, juges, chambres consulaires, les services de l’Etat et du Conseil départemental, les opérateurs publics. Au titre de l’année dernière, ce sont 1 235 dossiers de surendettement qui ont été déposés dans le département de l’Yonne. Nos services ont accueilli plus de 2 500 personnes autour des droits d’accès aux fichiers, du droit au compte. Depuis peu, les équipes du directeur départemental Jean-Claude BOUEROUX proposent des séances d’éducation financière. Dans le cadre du plafonnement des frais bancaires, la Banque de France a joué un rôle déterminant pour que les établissements s’engagent dans ce processus…

Vis-à-vis des entreprises, la Banque de France intervient au niveau de la médiation du crédit…

C’est exact. Là aussi, toutes nos équipes sont mobilisées auprès du tissu économique départemental. En 2018, mille six cents entreprises ont été visitées par nos soins au niveau de la Bourgogne Franche-Comté dont deux cents pour le seul territoire de l’Yonne. Ces dirigeants de société ont été contactés, rencontrés, autour de l’attribution de leur cotation. Certains, une vingtaine de responsables, ont été accompagnés ou orientés au titre de notre fonction de correspondant TPE (Très Petite Entreprise)…

Reste votre relation constructive avec les collectivités…

Nous travaillons en étroite osmose avec les chambres consulaires, la direction départementale des finances publiques, le Conseil départemental…Le partage de l’information économique est devenu une nécessité. Ce que nous voulons est simple : c’est le financement le plus sain de l’économie et de toutes ses composantes…

 

 

 


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Nommée depuis deux semaines à la tête de la direction départementale des cabinets d’expertise comptable implantés dans l’Yonne, cette professionnelle a choisi de rejoindre le groupe de Côte d’Or en pleine expansion sur la partie septentrionale de la Bourgogne. La feuille de route est simple : accroître l’aura de LDS sur ce territoire bien identifié et renforcer ainsi les partenariats auprès des milieux institutionnels et entrepreneuriaux…

AUXERRE : Recrutée à la mi-mai, Sophie DESCHAMPS est depuis peu la nouvelle responsable des trois cabinets à l’estampille du groupe d’expertise comptable LDS dans l’Yonne. Elle n’a pas tardé à mettre sa stratégie relationnelle en application.

La jeune femme vient en effet de tisser de très sérieux liens avec l’un des syndicats de l’artisanat et du bâtiment, la CAPEB. Objectif de ce rapprochement : initier une convention de partenariat qui lui permettrait de prodiguer conseils et savoir-faire auprès des entrepreneurs de cette filière.

Ce n’est que le début de la vaste campagne de sensibilisation que la nouvelle directrice des trois entités de LDS sur notre territoire souhaite mettre en place.

Originaire de Reims, Sophie DESCHAMPS, ancienne directrice financière du groupe ELITE RESTAURATION, connaît très bien le périmètre sectoriel sur lequel elle intervient désormais sous les couleurs de son nouvel employeur.

Par le passé, elle a exercé durant plusieurs années auprès de deux autres cabinets connus et reconnus de l’Yonne : CAPEC et MORIZE où elle y fait ses débuts.

En rejoignant la structure LDS, fondée il y a tout juste quarante ans par Michel LEVY, et aujourd’hui dirigée par le trio d’experts-comptables, Franck SIDOINE, Thomas BLANC et Didier CUCHE, la nouvelle responsable s’est fixée comme ambition de faire croître la dynamique commerciale des antennes icaunaises. Celles-ci sont situées à Auxerre, Sens et Tonnerre.

LDS, dont le siège social est accueilli dans la capitale des Ducs de Bourgogne, possède deux autres structures dans son escarcelle : Mâcon, et plus curieusement Avignon, dans le Vaucluse.

A ce jour, une douzaine de personnes composent l’effectif du cabinet sur le sol icaunais. Mais, d’autres postes sont déjà à pourvoir ; notamment celui de collaborateur comptable expérimenté qui est proposé en contrat à durée indéterminée et accessible de suite.

LDS emploie aujourd’hui plus de 80 personnes et dispose d’un portefeuille de clients qui s’étoffe continuellement ; celui-ci ayant dépassé la barre symbolique des deux mille références.


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Résilience, esprit d’équipe, humanisme, combativité…le sportif de l’extrême et conférencier, amputé des deux bras et de deux jambes à la suite d’un arc électrique lors d’une intervention professionnelle, distillera des messages très forts lors de la « Nuit des Entreprises ». L’évènement, concocté par la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, se déroulera le jeudi 20 juin à la salle des fêtes de VENOY…

AUXERRE : Auteur de l’ouvrage, devenu depuis un best-seller, « J’ai décidé de vivre », l’aventurier, sportif de l’extrême et consultant en entreprises Philippe CROIZON devrait délivrer un témoignage très poignant, comme à son habitude, lors de la future intervention qui ne manquera pas d’interpeller les adhérents du syndicat patronal.

Les dirigeants d’entreprise, membres de la CPME 89, auront ainsi tout le loisir de pouvoir se ressourcer au contact de cet orateur hors pair qui depuis son terrible accident survenu sur une ligne à haute tension parcourt des milliers de kilomètres à la rencontre du public.

En 2015, Philippe CROIZON, associé à l’époque au régional de l’étape, Arnaud CHASSERY avec lequel il tenta l’incroyable aventure humaine de traverser plusieurs isthmes séparant les cinq continents, avait participé à la soirée commémorative du quarantième anniversaire du CIFA de l’Yonne.

Ce fut une soirée mémorable qui fit salle comble où le charismatique personnage expliqua non sans humour et avec un sens oratoire de belle facture son chemin de vie si atypique.

Il en sera sans doute de même ce jeudi 20 juin. Plusieurs partenaires (Chambre de Commerce et d’Industrie, Harmonie Mutuelle, Groupama Paris Val-de-Loire,…) soutiennent l’initiative, voulue par le président départemental du syndicat, Olivier TRICON.

C’est la secrétaire déléguée Emmanuelle MIREDIN et la commission ad hoc liée à la communication qui élaborent depuis plusieurs semaines le fil rouge de cette animation devant ponctuer une riche saison 2018/2019.


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Encouragée par la sénatrice de l’Yonne Dominique VERIEN, la conseillère départementale de Brienon-sur-Armançon Catherine MAUDET-DUBOIS s’est engagée dans la bataille des européennes. Pour y conserver une France forte. « Nous sommes nés de Valéry Giscard d’Estaing et de Simone VEIL, et nous avons fait le pari de faire une campagne qui ne parle que d’Europe et pas d’un débat pour ou contre Macron... ». Dont acte. L’UDI souhaite sortir la tête haute de cette campagne. En réalisant son pari. Celui d’atteindre son objectif de 5% de suffrage en sa faveur. Un seuil suffisant pour élire cinq députés, prêts à travailler à la construction d’une Europe ambitieuse…

TRIBUNE : Déjà bien occupée par les fonctions qui sont les miennes au département, avec un canton de 34 communes, la vice-présidence de la MDPH et la présidence de l’ASEAMAS (formation et aide juridique aux secrétaires de mairie et élus du Sénonais), je ne m'étais pas du tout projetée dans une candidature aux élections européennes. Sollicitée par Dominique VERIEN, sénatrice de l’Yonne, très active sur le territoire, avec laquelle je collabore depuis des années, j'ai accepté d'être sur la liste conduite par Jean-Christophe LAGARDE, « Les Européens » (l'UDI centre droit).Cette décision fut impulsée par les réponses de mes concitoyens qui me disaient, soit ne pas vouloir aller voter pour les élections européennes, soit bien déterminés à aller voter pour sortir de l'Europe. Pour l'européenne convaincue que je suis, et connaissant les incidences catastrophiques que cela entraînerait, j'ai accepté cette proposition, sur une place non éligible, pour me permettre de tenir mes engagements au niveau du département, mais me donner l'opportunité de défendre des arguments pro-européens.

Rendre l’argent aux contribuables français…

Même si l'Europe ne fonctionne pas aussi bien qu'on le souhaiterait, c'est quand même à elle que l'on doit nos soixante-dix ans de paix, et en sortir serait contre productif à tout point de vue. La France a besoin d'une puissance continentale, qui nous permette de faire bien ensemble ce que l'on ne peut pas faire tout seul.

Ce qui m'a conquis dans le programme des « Européens », est l'idée de financer l'Europe sans faire payer les contribuables européens, tel que l'avait prévu Jean Monnet au départ. Il serait plus judicieux, qu'au lieu que la France verse 91 milliards d'euros sur sept ans que cette contribution soit remplacée par une taxe sur l'importation des produits carbonés, une taxe sur les transactions financières et une taxe sur les demandes de visa (comme cela existe déjà au Canada). De ce fait, rien ne serait payé par le contribuable européen et ces 91 milliards d'euros seraient ainsi rendus aux français sur sept ans.

C'est aussi, l'idée proposée, pour les agriculteurs que je côtoie chaque jour sur le territoire, de récupérer les six milliards d'euros par an, que l'on donnait  aux Britanniques pour remettre trois milliards d'euros sur la PAC pour permettre une agriculture plus verte. C'est d'ailleurs pour répondre à leurs questionnements qu'Olivier MEVEL, maître de conférences et expert des problématiques économiques liées à l'agriculture, engagé depuis des années en faveur de rapports plus équilibrés entre les agriculteurs et les distributeurs, soutient notre démarche.

Concernant la sécurité, un projet de gardes-côtes et d'une police des frontières européennes seraient instaurés pour en finir avec impuissance et inefficacité. Actuellement, comment voulez-vous que 600 agents de FRONTEX puissent protéger nos 13 000 kilomètres de frontières?

Tout ceci accompagné d'une politique de migration économique s'inspirant du modèle canadien où chaque État décide du nombre de migrants qu'il peut et veut accueillir.

Un FREXIT serait synonyme de suicide pour la France…

La mise en place d'un ministère européen des migrations centralisé à la gestion des flux migratoires est aussi prévu avec l'instruction des demandes d'asile en dehors de l'Union européenne, sur le continent d'origine des demandeurs. Ceci pour éviter à ces migrants de se mettre en danger et d'arriver sur notre territoire avec les conséquences économiques que cela représente.

Nous pensons que l'échelle européenne est la plus pertinente pour régir de façon unifiée et cohérente la politique d'asile. La mise en place d'un FBI et d'un parquet européen pour partager les données, m'a aussi convaincu. Nos frontières nationales arrêtent nos policiers et nos magistrats,  mais pas les terroristes. Nous en avons l'exemple de Salah ABDESLAM. On ne peut pas continuer ainsi.

Certes, l’Europe n’est pas parfaite. L'exemple du BREXIT en cours, qui divise les Britanniques, montre qu'un FREXIT serait synonyme de suicide pour la France. Si l'on aime notre pays, il faut donc transformer l'Union européenne pour qu'elle protège nos citoyens, nos entreprises et nos emplois sur une planète où notre souveraineté est sans cesse menacée par des géants mondiaux qui, eux, aspirent à note faiblesse. Ne tombons pas dans leur piège, construisons ensemble une force collective, une nouvelle Europe…

Catherine MAUDET-DUBOIS


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