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La Nièvre et le Jura ont rejoint le projet il y a peu. Conçu en Saône-et-Loire, le concept a eu tôt fait de gagner en les convaincants l’ensemble des acteurs de la filière agricole de Bourgogne Franche-Comté. D’où le soutien de la Région. « J’veux du local » s’inscrit parmi les belles réussites de ces instruments numériques qui relient les producteurs du terroir à leurs consommateurs directs.

AUXERRE : Avec deux cent douze producteurs répertoriés dans la base de référence de l’outil pour sa seule partie icaunaise, on peut se satisfaire de la pertinence et de la fonctionnalité de la plateforme digitale, « J’veux du local ». Depuis son lancement survenu sur notre territoire au plus fort de la crise sanitaire au printemps dernier, le nombre d’inscriptions a fait florès dans le landerneau.

Des émules de toutes les filières qui croient mordicus à ce besoin constant de renforcer les liens entre les consommateurs et ceux qui produisent, la plupart du temps en circuit court, dans un périmètre très proche.

Les objectifs quantitatifs tels qu’ils avaient été définis à l’origine ne cessent de progresser. Dans l’Yonne mais aussi sur l’ensemble de notre contrée.

Toute la Bourgogne Franche-Comté décline désormais cette ambitieuse vitrine commerciale et représentative d’un savoir-faire à faire connaître et à partager autour de soi.

Par ailleurs, la jauge de ces professionnels à découvrir via le site est loin d’être limitative pour optimiser durablement cet outil. Rien que pour l’Yonne, selon les informations fournies récemment par le président de la Chambre départementale d’Agriculture Arnaud DELESTRE, un potentiel de quatre-vingt intervenants supplémentaires est encore envisageable pour accroître le nombre de références à visiter.

Sans compter que les viticulteurs sont encore peu présents sur ce registre numérique consultable gratuitement par nos concitoyens.

Le service communication de la chambre consulaire devrait dans les jours qui viennent augmenter les appels du pied auprès de cette filière, incitant ses représentants à se faire répertorier sur ce catalogue réactif.

Précisons, pour être tout à fait complet, que deux artisans de bouche, des éleveurs bouchers et traiteurs de l’Yonne, figurent également en bonne place sur cette plateforme.

 

En savoir plus :

 

La plateforme de l’alimentation de proximité « J’veux du local-Nos Terroirs de l’Yonne » favorise les circuits courts en Bourgogne Franche-Comté.

https://www.jveuxdulocal89.fr

 

Thierry BRET

 

 


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De la motivation, il en faut une bonne dose dans le contexte professionnel actuel pour prétendre se lancer de manière honorable dans une nouvelle carrière à l’âge de 23 ans. Titularisée à son nouveau poste au premier octobre, le chômage partiel l’a rattrape très vite en guise d’expérience curieuse et insolite à vivre ! Quinze jours de confinement plus tard, revoilà la jeune Auxerroise prête à s’impliquer à fond dans sa fonction de juriste opérationnelle au sein du syndicat patronal du bâtiment…

AUXERRE : Pas si simple de faire ses premières armes dans la sphère de l’emploi avec cette conjoncture sanitaire désarmante. Entre chômage partiel, télétravail et exercice de la fonction en présentiel, il est indispensable de faire montre d’inventivité permanente pour trouver ses marques.

Surtout si l’on débute une première expérience dans la vie active ! Celle d’une jeune fille diplômée en droit, issue du CNAM (Conservatoire national des Arts et Métiers) qui accède au Graal initial à la découverte de son futur cursus : le domaine juridique.

A 23 ans, Noémie TARDIVON endosse la vêture de juriste ayant le savoir-faire nécessaire pour dénouer le fil des embrouillaminis administratifs qui pèsent lourdement sur les épaules des chefs d’entreprise. Dans le domaine du bâtiment, ils sont légion !

 

 

Volontariste dans sa démarche, la jeune fille succède au sein de l’organigramme de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) de l’Yonne à Martine THERY. Celle-ci ayant fait valoir ses droits à une retraite amplement méritée au 31 décembre.

Aux côtés du directeur de l’organisme icaunais, Christophe BERTEAU, la jeune Noémie aura pour tâches prioritaires de gérer le service juridique et recouvrement des créances.

Tout en s’adossant à d’autres missions complémentaires en phase directe avec le nouvel environnement corporatiste dont elle prend connaissance : l’appellation HANDIBAT, la gestion de la Prime RENOV ou encore le CEE, le Crédit économie énergétique.

 

Thierry BRET

 


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A l’instar de l’Hexagone, l’urgence vaccinale représente une nécessité absolue dans le Sénonais. Les pouvoirs publics l’ont parfaitement assimilée. Aussi dans un souci de concrétisation rapide, l’initiative prise par l’agglomération a pour objectif de répondre à ce caractère impératif. Celui d’apporter une solution immédiate à celles et à ceux des personnes prioritaires qui doivent bénéficier des premières doses du précieux antidote…

SENS: Il n’y aura pas eu de longues tergiversations futiles dans les esprits des instigateurs de cette opération. Celle de se munir d’une antenne physique et fonctionnelle pour réaliser dès que possible cette campagne de vaccination salvatrice et rassurante à bien  des égards.

En accointance avec le directeur général de l’hôpital de Sens et du Groupement hospitalier, Jean-Dominique MARQUIER, les démarches volontaristes de l’édile locale et présidente de l’Agglo Marie-Louise FORT ont abouti.

Dans un laps de temps record et de surcroît avec la bénédiction du représentant de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST. Le passage obligé pour mettre en place toute la cavalerie.

Car, il y a urgence à vacciner à tour de bras les personnes les plus vulnérables face à ce coronavirus qui ne cesse de muter depuis plusieurs semaines en autant de variantes des plus étranges et inquiétantes avec des relents d’exotisme.

Pour l’heure, et avant que les personnes âgées de plus de 75 ans ne deviennent elles aussi des cibles principales à soigner, seuls les personnels hospitaliers et libéraux, les sapeurs-pompiers, les auxiliaires de vie de plus de cinquante ans sont les premiers bénéficiaires de ce sérum si convoité. Une fourchette de plus de mille cent personnes qui vivent sur la partie nord de notre territoire.

 

 

Une parfaite coordination entre tous les acteurs…

 

Ces dernières sont invitées à fréquenter le temps du processus thérapeutique la salle des fêtes René Binet, transformée en véritable PC de guerre afin de lutter efficacement contre le fléau sanitaire du moment. A armes égales, pourrait-on dire. Car qui dit vaccination, dit espoir de juguler de manière définitive ce virus des temps nouveaux qui aura chamboulé profondément l’existence humaine.

Autre particularisme de cette opération menée tambour battant par l’élue Les Républicains de Sens : la complémentarité d’intérêts entre la sphère publique et le milieu hospitalier. Une réussite déjà observable au vue des premiers résultats : eu égard à a la mise en place de ce dispositif sanitaire exceptionnel mobilisé selon les dires pour plusieurs semaines.

Orchestrer ce centre de vaccination (le second de l’Yonne après celui qui est déjà fonctionnel à Auxerre, d’autres suivront ces prochains jours) suppose un maillage parfait et une véritable coordination entre les différentes parties prenantes à ce plan stratégique novateur. 

 

 

Un super congélateur bien à propos à la réussite du projet…

 

Outre les quelques appels téléphoniques d’usage afin de poser rapidement les jalons de ce concept, Marie-Louise FORT a ensuite remué ciel et terre pour en proposer l’idée auprès des services préfectoraux, espérant le consentement urbi et orbi de l’Agence Régionale de Santé, seul organisme officiel à pouvoir valider le projet.

Très vite, elle obtiendra gain de cause. Il ne restait plus qu’à affiner les aspects logistiques de ce plan.

Précieux joker dans ce jeu qui n’est pas de dupe, la présence d’un super congélateur qui est déjà installé au centre hospitalier de Sens. C’est la clé de voûte sur laquelle repose toute l’opération.

Non seulement, l’utile appareillage est habilité par l’ARS à recevoir des doses de vaccins tout en respectant les contraintes de conservation ultime (soit un froid plus que polaire en milieu ambiant pour stocker le médicament créé par le laboratoire d’Outre-Rhin BioNTech et commercialisé sous la licence américaine PFIZER). Mais en outre, il n’y a plus besoin de recourir à d’autres sites géographiques tels qu’Auxerre pour acheminer lesdites doses à injecter à raison de deux piqûres vers Sens : l’ancienne capitale des Sénons y gagne ainsi sa véritable indépendance sanitaire. Ce qui est bien la moindre des choses au vu du contexte où il est impérieux de réagir vite.

Quant à la mobilisation des forces vives de l’hôpital (médecins, infirmiers, soignants…), elle est totale pour contribuer à la totale réussite de ce plan de sauvetage grandeur nature.

Sachant que les professionnels de santé soignants libéraux viennent également étoffer au fil des semaines les équipes de choc placées sur la ligne de front de cette lutte implacable contre ce coronavirus.

La bataille de Sens semble bien engagée sur le front de la vaccination : pourvu que cela dure !

 

Thierry BRET

 


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Satisfécit pour les responsables de l’association créée à l’initiative de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et de la FDSEA 89. Lors de son immersion instructive programmée durant son déplacement dans le Sénonais, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Insertion et de l’Emploi Brigitte KLINKERT a pu s’entretenir avec des salariés qui luttent contre la précarité alimentaire…

SENS : Le contact a été qualifié de très positif par la ministre déléguée du travail et de l’emploi en visite de découverte sur le Sénonais où elle a pu discuter avec plusieurs salariés de l’association d’insertion solidaire locale.

Ces échanges ont permis à Brigitte KLINKERT de bien assimiler le mode de fonctionnement de cette structure associative, portée sur les fonts baptismaux de la création en 1995 par la Chambre départementale d’Agriculture et la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA 89). Une structure présidée par Michel JOUAN.

Opérationnels sous le statut d’atelier Chantier d’insertion, les « Jardins de la Croisière » peuvent accueillir une quarantaine de personnes qui éprouvent des difficultés socio-professionnelles. Toutes sont issues de la partie septentrionale de notre département.

D’autres, une bonne trentaine, interviennent sur le site dans le cadre d’un travail d’intérêt général. In fine, ce sont entre soixante et quatre-vingt personnes qui exercent leur savoir-faire dans les équipes de production de légumes bio, de vente ou sur les chantiers verts.

La visite a pu se dérouler en présence du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais et de la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET.

Brigitte KLINKERT s’est fendue après son départ de Sens d’un message sympathique sur son compte Twitter où elle rappelle que l’Etat, dans le cadre du plan de relance « France Relance » soutient financièrement les structures associatives promouvant l’insertion solidaire en France.

 

Thierry BRET

 


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Importante cérémonie protocolaire ce mercredi 13 janvier où industriels et pouvoirs publics, partenaires du dispositif « Territoires d’Industrie - Yonne Industrielle », ont signé un protocole d’accord couvrant la période 2019-2022 dans les locaux de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais (CAGS). Le signe du renouveau pour l’employabilité dans ce secteur économique ?

SENS : Territoire regroupant cinq EPCI (Grand-Sénonais, Serein Armance, Jovinien, Migennois et Auxerrois), cent douze communes et plus de mille établissements manufacturiers, « Yonne Industrielle » est né le 22 novembre 2018 dans le cadre du programme « Territoires d’Industrie » parmi 148 territoires bénéficiaires du dispositif dont dix en Bourgogne Franche-Comté.

Ce label avait pour vocation de regrouper les pouvoirs publics et les industriels autour de projets collaboratifs. La priorité était de répondre à des enjeux majeurs territoriaux tels que la structuration des filières industrielles comme l’hydrogène, le développement durable ou encore la promotion de l’attractivité afin d’en favoriser l’emploi, « problématique principale des entreprises du territoire Yonne Industrielle » comme indiqué dans le protocole.

 

Une industrie française en friche depuis quarante ans…

 

Dès les années 70, on entrevoit les prémices d’une forte désindustrialisation de la France. Un phénomène qui touche tous les pays développés mais particulièrement accéléré dans l’Hexagone à partir des années 80. Notamment en raison d’un important déficit extérieur, soit un nombre d’importations bien supérieur à celui des exportations selon les économistes Thomas GRJEBINE et François GEEROLF.

Cette crise de l’industrie se traduit par une perte d’emplois salariés conséquente. Entre 1989 et 2017, le secteur a essuyé une baisse de 30 % du nombre de travailleurs. Alors qu’à la fin des années 70, le nombre de salariés dans l’industrie représentait plus d’un quart de la population active avec 5,5 millions d’individus. En 1989, la part de ces emplois n’était plus que de 23 %, de 12 % en 2007 et de 10,3 % en 2020 (dans les 3,12 millions d’emplois salariés dont 165 000 en Bourgogne Franche-Comté).

La désindustrialisation de la France s’explique aussi par le transfert des emplois de l’industrie vers le secteur des services (entre 1/5 et 1/4), la délocalisation des unités de production à l’étranger, l’un des aspects de la désindustrialisation du pays le plus controversé, l’automatisation et la robotique mais également par le désengagement flagrant de l’Etat français longtemps tourné vers le passé contrairement à d’autres pays comme le Japon.

 

 

Un accord dans la lignée d’une longue évolution des politiques industrielles successives…

 

Le début des années 2000 marque une prise de conscience du gouvernement du rôle essentiel de l’industrie dans le développement économique. En 2004, Jacques CHIRAC demanda à Jean-Louis BEFFA, alors PDG de la compagnie de Saint-Gobain, « d’examiner dans quels secteurs et selon quelle méthode pourrait être engagée une relance ambitieuse des grands programmes scientifiques et technologiques » dans le cadre d’un renouveau de la politique industrielle.

L’homme d’affaires a rendu un rapport intitulé « Pour une nouvelle politique industrielle » dans lequel il met en exergue le net décrochage de la France en matière de recherche et d’innovation.

Ainsi, il recommande la création de programmes de financement de certains secteurs prioritaires : l'énergie, le transport, l'environnement, la santé, la sécurité et la communication.

Néanmoins, les stratégies adoptées orientées vers le progrès technique ont eu pour effet d’importants gains de productivité donc la poursuite de la chute de l’emploi industriel. Dans l’Yonne, en 1990, on comptait 27 920 emplois salariés dans le secteur de l’industrie, soit 20 % de la population active. En 2019, ils n’étaient plus que 17 000 environ, soit 12 % du total d’emplois salariés.

 

 

La promesse de « Yonne Industrielle » en termes d’emploi…

 

« Trouver de la main d’œuvre qualifiée, former les salariés à occuper les postes vacants ou encore fidéliser les employés pour limiter le renouvellement des équipes » sont autant d’objectifs à atteindre d’ici 2022.

Le défi consiste à favoriser l’emploi en misant sur diverses solutions comme la promotion de l’attractivité du territoire et la mise en place d’une GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) afin d’optimiser les actions des ressources humaines.

Les acteurs de « Yonne Industrielle » prennent en compte les difficultés de recrutement des entreprises, en partie responsables de cette chute des effectifs.

A noter que l’Yonne fait déjà partie des territoires les plus industrialisés de France, au même titre que d’autres départements limitrophes d’Ile-de-France. De plus, selon l’INSEE, « le Sénonais reste attractif » et la zone emploi de Sens « est la seule du département dont la population croît sous le double effet d’un solde naturel et migratoire positif… ».

 

Floriane BOIVIN

 


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