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Dernière journée de travail avant le départ en vacances bien mérité. Enfin, je le pense ! Avant cela, il faut que je puisse terminer mes derniers dossiers. Appel de Mme C : « j’ai besoin d’une situation en urgence pour mon banquier pour qu’il puisse me faire un financement sinon je ferme ma boîte… ». Nous échangeons au téléphone pendant une trentaine de minutes pour comprendre l’urgence, la rassurer et lui apporter une réponse par rapport à son véritable besoin.

TRIBUNE: Je raccroche. Une collaboratrice vient me voir. Il faut rappeler M. F car il a besoin d’un rendez-vous en urgence. Il a un potentiel acquéreur pour sa société et vu la conjoncture, il ne souhaite pas rater le coche…Je trouve un créneau pour le recevoir dans l’après-midi.

Puis, le facteur m’apporte un recommandé. Quelle bonne nouvelle, cela peut être ?

Super, une convocation à un Conseil d’administration au mois d’août, car n’ayant pas pu se tenir avant, à cause de la COVID-19 et le report des élections municipales, les administrateurs ont changé. Il faut que je sois présent ! Il faut que je décale mes congés…

Je téléphone à mon épouse pour qu’elle fasse le nécessaire afin de raccourcir notre séjour. Elle était ravie de cet échange téléphonique. Quelle dernière journée !

Arrive la pause déjeuner, enfin une coupure. Je vais en ville me faire un petit restaurant pour fêter la der. Première adresse : c’était complet. Je vais un peu plus loin, un écriteau sur la vitrine : « fermé pour cause de liquidation suite au coronavirus ». N’ayant plus beaucoup de temps, je décide l’âme en peine de prendre un sandwich…

 

Le calme avant la tempête ?

 

Pendant que je me délecte avec ce repas gargantuesque, mon portable vibre. Je viens de recevoir un SMS d’une employée : « Désolée de vous déranger. Est-ce que je peux faire du télétravail la semaine prochaine car mon fils est malade et je n’ai personne pour le garder. Cordialement… ».  

Difficile de répondre non, après avoir testé le télétravail pendant plus de deux mois. Je retourne au bureau en espérant que ce soit la dernière ligne droite avant le départ.

Curieusement, cela fait une heure que je suis au bureau et c’est calme, voire trop calme. 

Mon rendez-vous pris ce matin arrive. Il a besoin tout de suite d’une liste de documents longue comme le bras pour fournir à son potentiel acquéreur qui doit les remettre à son banquier qui revient de vacances demain.

 

Adieu les vacances, place au confinement !

 

J’essaye de lui faire comprendre le travail à fournir pour répondre à sa demande et il comprend qu’un délai semble nécessaire.

Je reçois un nouveau SMS. C’est un flash info : l’Yonne est de nouveau confinée dès demain 6 heures…le départ en vacances est annulé.

Quelle galère ! Je tombe et me réveille. Ouf, c’était un cauchemar. Ma femme se réveille, je lui raconte ce rêve et me dit : « ne t’inquiètes pas, on a réservé au camping de Sens ! ».

 

Richard DELATTRE

 

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre professionnelle des experts comptable de l’Yonne…

 


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Recueillant quarante-quatre voix sur la jauge initiale des 46 votants, l’actuel responsable du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a renouvelé son bail présidentiel sans l’ombre d’une incertitude lors des élections de l’organisme. Réuni le 29 juillet, le comité syndical a livré son verdict sans surprise à l’issue des votes. Une manière de préparer les échéances automnales dans de très bonnes conditions…

AUXERRE : Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a procédé aux élections de ses instances décisionnelles au beau milieu de la période estivale. Précisément, le mercredi 29 juillet ! Une date quasi improbable à respecter sur les agendas alors que beaucoup avaient déjà bouclé leurs valises synonymes de départ en vacances !

Ce n’était donc ni l’heure au farniente ni au repos salvateur pour les quarante-sept nouveaux membres de la structure, réunis dans les conditions de distanciation physique pour entériner le choix du futur scrutin.

Il est vrai que l’enjeu était de taille sur le papier avec l’élection du nouveau président de l’organisme. Un scrutin complété par celui des neuf vice-présidents et des cinq membres qui composent le bureau exécutif de cet outil propriétaire des réseaux basse et moyenne tension, pour le compte des communes, des réseaux électriques et de gaz.

 

 

Candidat à sa propre succession à la fonction présidentielle, Jean-Noël LOURY pouvait-il échouer dans cet exercice toujours aussi délicat d’un vote ? C’était peu probable, en vérité. Le résultat, presque unanime (44 voix favorables obtenues sur 46 votants), ne tarda pas à tomber en levant la moindre ambiguïté sur la cote de confiance accordée au détenteur de la fonction.

Le charismatique personnage qui insuffle la ligne directrice du syndicat depuis qu’il en a pris les commandes conforte ainsi ses prérogatives en entamant une nouvelle mandature, longue de six ans.

Fort de son succès, Jean-Noël LOURY pourra comme l’année dernière ouvrir de façon officielle les Assises de l’Energie et le Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation le 01er octobre à l’occasion du septième rendez-vous de cette manifestation. Un évènement « deux en un » organisé à l’espace culturel de MONETEAU.

 

 

Les résultats des votes :

Composition du bureau 2020 :

Grégory DORTE, premier vice-président en charge du développement des infrastructures et grands projets,

Jacques BALOUP, second vice-président en charge des travaux sur les réseaux,

Philippe MAILLET, troisième vice-président en charge du personnel,

Guillaume DUMAY, quatrième vice-président en charge des finances, relations avec les concessionnaires,

Rémy CLERIN, cinquième vice-président en charge des mobilités électriques,

Richard ZIEGER, sixième vice-président en charge de la transition énergétique et maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables,

Claude DEPUYDT, septième vice-président en charge de l’éclairage public,

Patrick BUTTNER, huitième vice-président en charge des informations graphiques, cartographie, SIG, et PCRS,

Claude MAULOISE, neuvième vice-président en charge du développement du gaz et achat d’énergie,

Michel PANNETIER,

Jean-Luc GIVORD,

Chantal ROYER,

Didier IDES,

Gilles SACKEPEY.

Les présidents des huit commissions locales d’énergies (CLE) sont les suivants :

CLE de l’Armançon Forêt d’Othe : Rémy CLERIN,

CLE de l’Auxerrois Serein : Jean-Noël LOURY,

CLE de l’Avallonnais : Guillaume DUMAY,

CLE du Gâtinais : Claude MAULOISE,

CLE du Tonnerrois : Claude DEPUYDT,

CLE de Puisaye Forterre Vallée de l’Yonne : Jacques BALOUP,

CLE de Puisaye Nord : Patrick BUTTNER,

CLE du Sénonais : Grégory DORTE.

 


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Le premier adjoint de la Ville de Sens en charge de l’urbanisme, des grands projets structurants et de la gestion patrimoniale soutient activement le concours « GPS Drawing ». Il se déroule jusqu’au 07 septembre 2020 (cf : voir article publié dans nos colonnes). Il précise que Carine DEMOGET, responsable du SIG (Système d'information géographique) de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais  et son équipe sont à l’origine de cette initiative très en vogue par-delà les frontières icaunaises.

INTERVIEW : Quel est votre rôle au sein de ce projet ?

Nous, en tant qu’élus, on promeut l’initiative. Mais après, ce sont les services de la ville qui vont regarder, analyser. Il y a aura un petit jury qui décidera qui a gagné.

 

Est-ce que ce concours est né en raison du contexte sanitaire ou bien était-il prévu avant l’épidémie ?

 

Il était prévu avant. Mais avec la crise sanitaire, on a perdu un peu de temps. L’avantage c’est que, comme c’est un jeu qui se pratique plutôt en été, la période est propice.

 

Quel est l’objectif de cette manifestation, hormis créer une animation ?

 

Le premier des objectifs, c’est de faire découvrir cet outil qu’est le SIG (Système d’information géographique) car il est en ligne maintenant. L’idée est que tout le monde puisse s’en saisir.

Le deuxième des objectifs, c’est d’encourager la pratique de la randonnée, pour l’agglomération. On ne peut pas juste raisonner à l’échelle de la commune. On demande aux gens de s’amuser avec l’outil à l’échelle de tout le territoire. Comme ça, ils pourront probablement découvrir des choses qu’ils ne connaissent pas, des communes, des sentiers et voir le territoire un peu différemment. Et pas l’habituelle contrée, quand on va faire un tour le long de l’Yonne...

Est-ce que cela signifie que le SIG et l’outil Géo-Sénonais sont peu connus des habitants ?

 

Oui exactement, voire pas du tout. Je pense que les notaires doivent l’utiliser, les agents immobiliers, les gens qui font un peu d’urbanisme, etc. Les particuliers, pas spécialement. Pourtant, c’est à leur disposition justement. Toutes les personnes qui ont un projet immobilier, par exemple, ont besoin de savoir quelle zone est constructible, celles qui ne le sont pas. Ils peuvent aussi avoir envie de savoir quels sont les projets immobiliers à proximité.

 

En quoi est-ce important que les particuliers connaissent ce service ?

 

Pendant très longtemps, quand les habitants avaient une question relative à la géographie du territoire, ils passaient par les services. En fait, il y a une autre logique. Aujourd’hui, au sein de l’agglomération, mais aussi au sein d’autres communes, qui consiste à faire ce qu’on appelle de l’open data.

On va mettre à disposition du citoyen le plus de données possibles et transparentes, non pas pour le rendre indépendant et ne plus s’occuper de lui, mais pour qu’il ait le droit d’avoir un maximum d’informations sur le territoire.

On peut aller encore plus loin. Par exemple, tous ces outils, comme INFOGREFFE aussi, permettent aux Sénonais de savoir qui entreprend, quelles sont les entreprises légales, etc.

Ça contribue à amener de la transparence sur l’état d’urbanisation de la ville. Je vais peut-être un peu loin mais c’est pratiquement un outil de démocratie locale.

 

Pensez-vous participer vous-même à ce défi ?

 

Alors, je peux participer, mais je ne peux pas gagner. Peut-être... Je ne suis pas un grand randonneur... je vais y réfléchir. Mais comme c’est une jolie initiative, je vais peut-être faire une forme simple...

 

Propos recueillis par Floriane BOIVIN

 

 

 


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Ils ont bravé les craintes actuelles sur l’hypothétique résurgence de l’épidémie de COVID-19. Munis de leurs masques protecteurs et très respectueux des gestes barrières, les investisseurs potentiels interpellés par l’ambitieux concept de la SARL MUGI sont venus nombreux à l’Hôtel Le Normandie à Auxerre pour assister à une conférence vulgarisatrice sur les subtilités pratico-pratiques de la blockchain et des crypto-monnaies. Un rendez-vous qui en appelle forcément d’autres dès la rentrée…

AUXERRE : La date de cette explication de texte grandeur nature était pour le moins insolite. Voire très risquée, puisqu’elle était proposée au cœur de l’été, période peu propice à l’organisation d’une telle conférence à vocation purement économique. Mais, il est dit que cet été 2020 n’est pas conforme aux prévisions habituelles observées lors des autres époques estivales !

C’est finalement une salle comble, soit une jauge de plus de cinquante personnes (principalement des acteurs du sérail entrepreneurial) qui s’asseyaient aux alentours de vingt heures dans les confortables fauteuils de l’Hôtel Normandie pour y suivre une intervention des plus surprenantes.

Cette séance initiatique à la vulgarisation de l’écosystème des monnaies numériques aura eu le mérite, d’une part, de lever le voile avec un sens pédagogique sur les us et coutumes de ces procédés numériques parfois complexes à la compréhension des simples quidams ; et d’autre part de dévoiler davantage l’univers professionnel de la jeune start-up à l’origine de ce rendez-vous, la SARL MUGI.

Portée sur les fonts baptismaux de la création en juin 2019, MUGI, même si elle était restée jusque-là plutôt très discrète sur ses intentions, n’en est pas demeurée inactive pour autant.

L’entité auxerroise, composée d’une quintette de décideurs économiques aux expériences bien trempées, s’est bonifiée en un laps de temps record sous la houlette de personnalités aussi complémentaires que disparates que sont Fanny VIAUT, Maxime CHERY, Alexandre TEINTURIER et les frères CHAPOTIN, Mickaël et Raphaël.

 

 

 

Une levée de fonds de 250 000 euros qui crédibilise les projets de la start-up…

 

Bref, en regardant à deux fois le cursus de cette addition de compétences (tous des exégètes de l’outil numérique et de ses multiples facettes), qu’on se le dise, les présents à cette séance éducative ne pouvaient être qu’en de très bonnes mains !

D’ailleurs, encouragée par la Région, BPI France et le label French Tech BFC, la jeune start-up a déjà eu les faveurs d’une quinzaine d’investisseurs qui croient mordicus à la finalité du projet : la création d’un DATA Center dans l’Yonne, précisément à Toucy en octobre, et l’exploitation de celui-ci à des fins de profitabilité et de rendements autour des crypto-actifs depuis le siège administratif localisé à Auxerre.

Et même si l’épisode du coronavirus a quelque peu freiné les ardeurs des « Cinq Compagnons » de l’entreprise, MUGI a déjà obtenu une méritoire et précieuse levée de fonds équivalente à 250 000 euros (KUB pour Kick Up Business aura joué un rôle prépondérant pour y parvenir) attestant de la qualité incontestable de ce dossier.

Les prochaines étapes déclinables dès la rentrée prendront la forme de concepts novateurs pour se réunir (les apéro-crypto !) où de manière régulière les échanges didactiques se poursuivront entre les porteurs de ce concept révolutionnaire et leurs suiveurs.

C’est-à-dire celles et ceux qui posséderaient des profils de réels investisseurs qui se verraient alors intégrer le cercle vertueux de la formation et de l’expertise en compagnie des cinq spécialistes.

Une initiative à suivre de très près car au-delà des explications liminaires un peu théoriques sur le sujet, il est évident que les amateurs de boursicotage et de placements à risques auront peut-être tout intérêt à s’intéresser de près au marché des crypto-monnaies (il en existe plus de 5 000 reconnues dont la plus célèbre est le Bitcoin) s’ils désirent miser gros sur un ticket d’entrée qui leur permettrait de gagner beaucoup plus…

 

 

 

 


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Juillet est la période propice pour évoquer les péripéties sportives du Tour de France. A défaut de la traditionnelle épreuve cycliste, remisée aux calendes grecques à la fin de l’été pour cause de coronavirus, les observateurs attentifs de la presse se seront rabattus sur un tout autre marathon, entamé depuis peu par la ministre déléguée en charge de la Ville, Nadia HAI. La nouvelle venue au sein du gouvernement CASTEX s’est offert une visite immersive des plus enrichissantes au Centre équestre FORMANOIR dans le cadre de l’opération « Quartiers d’été 2020 ». Histoire de recueillir les impressions d’enfants qui y vivent les vertus des colos apprenantes…

ARMEAU : L’action estivale prioritaire du gouvernement envers les jeunes « têtes blondes » se nomme cette année « Quartiers d’été ». C’est un copieux programme qui se décline en six volets spécifiques autour de l’éducatif, la culture, le sport, l’associatif, l’emploi et la formation, et le renforcement des services publics. Un concept qui fédère, autour de sa déclinaison pragmatique, les collectivités et les associations sur l’ensemble des territoires.

Destiné aux habitants des 1 514 quartiers prioritaires de l’Hexagone, et en particulier vers les plus jeunes, il représente une heureuse alternative à l’oisiveté et à l’ennui après la trop longue période de confinement imputable à la présence de la COVID-19 sur notre sol.

Effectuant l’une de ses toutes premières sorties en province après sa récente nomination dans l’équipe gouvernementale, l’ancienne députée des Yvelines, promue au rang de ministre déléguée en charge de la Ville Nadia HAI, a constaté de visu le bien-fondé de ce plan applicable à grande échelle. Un plan qui aura nécessité une enveloppe budgétaire de 110 millions alloués par l’Etat.

La collaboratrice de Jacqueline GOURAULT avait biffé dans son agenda deux rendez-vous en cette journée du 23 juillet vécue dans l’Yonne pour prendre le pouls des différents acteurs impliqués dans ce dossier.

 

 

C’est à ARMEAU, de prime abord, que la représentante de l’exécutif étatique débuta sa visite dès l’entame de l’après-midi en s’immergeant dans le cadre bucolique du centre équestre FORMANOIR, l’un des cinq complexes dirigés par une figure emblématique de la sphère équine de l’Yonne, Olivier BERTHON.

Là, en compagnie du préfet Henri PREVOST et de son directeur de cabinet Tristan RIQUELME mais aussi d’élus territoriaux et de représentants des forces de l’ordre, la ministre déléguée en charge de la Ville eut tout le loisir de contempler et d’apprécier un endroit au calme si suave, bordé de marronniers plusieurs fois centenaires.

Ces mêmes végétaux qui auraient été témoins selon les anecdotes historiques distillées avec moult précisions par Olivier BERTHON de la venue du mystérieux « masque de fer », le supposé demi-frère du Roi-Soleil (?), accueilli lors de son exil en ces murs ?

 

 

 

Les premières vacances pour 80 % des enfants inscrits dans le programme…  

 

Puis, Nadia HAI s’entretint de longues minutes avec les représentantes de la Fédération générale des PEP (Pupilles de l’Enseignement Public) et sa directrice générale Agnès BATHIANY sur le sujet du jour, motif de la visite ministérielle : les « colos apprenantes ».

Depuis le lancement de l’animation, le centre FORMANOIR assure ce judicieux mix à l’estampille de la cohésion sociale qui favorise le brassage de ces enfants, âgés de 6 à 15 ans, issus de quartiers prioritaires et des milieux ruraux. Des secteurs géographiques qui ont été parfois durement impactés par les effets néfastes du confinement.

Outre leurs aspects pédagogiques, ces « colos apprenantes » devant concerner près de 250 000 gamins de l’Hexagone offrent la possibilité à de nombreuses familles privées de vacances d’envoyer leur progéniture prendre un bon bol d’air pur relaxant à la campagne.

Une aubaine de premier choix pour 80 % de ces enfants dont c’était les premières vacances loin de chez eux. Certains n’ayant encore jamais vu une demeure historique de près, voire un centre équestre avec ses nombreux animaux.

Toutefois, la ministre releva qu’il était parfois très complexe de faire profiter ces enfants des opportunités existantes. Le plus souvent par simple méconnaissance des dispositifs mis en œuvre.

 

L’assurance du succès : le décloisonnement interministériel…

Fruit d’une combinaison regroupant sept ministères dont ceux de l’Education nationale et de la Jeunesse, de d’Emploi, de l’intérieur ou encore de la Ville, l’opération « Quartiers d’été » n’aura pu se construire dans ses aspects tangibles que sous l’égide de cette volonté de décloisonnement interministériel. Le gage du succès, visiblement.

Nadia HAI évoqua  ensuite le rôle primordial des élus territoriaux qui était prépondérant au succès de ce dispositif. Celui-ci aura cours jusqu’au 21 août. Elle n’en omit pas pour autant de rappeler le poids essentiel du tissu associatif à l’instar de celui tenu par les PEP.

 

 

Avant de poursuivre son périple devant la conduire au Centre de loisirs Bois au Cœur de Joigny, la nouvelle ministre, elle-même maman d’un jeune garçon de 12 ans, discuta avec plusieurs de ces jeunes gens sur leurs ressentis au contact de la nature et des animaux.

Au vu de son large sourire qu’elle devait arborer sous son masque de protection qui le dissimulait, Nadia HAI est repartie ravie et satisfaite de ce qu’elle a pu apercevoir lors de ce déplacement conçu dans ce havre de paix et de quiétude absolu…

 

 


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