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L’effort est de taille. Mais, existait-il pour autant d’autres alternatives pour ne pas voir sombrer des pans entiers de l’économie régionale d’un seul tenant ? A l’issue d’une consultation numérique des élus de Bourgogne Franche-Comté, qu’elle souhaitait démocratique et unanime, la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY, a présenté lors d’une conférence de presse ce vendredi en fin d’après-midi un premier train de mesures destinées à soutenir les milieux économiques fortement éprouvés. Avec à la clé une enveloppe de 68 millions d’euros…

DIJON : Dès le début de la crise sanitaire imputable à la propagation du coronavirus dans l’Hexagone, la Région Bourgogne Franche-Comté s’est engagée aux côtés de l’Etat pour préserver le tissu économique fortement impacté. Une série de mesures, prises en collaboration avec les partenaires nationaux et régionaux, a été décidée pour assurer la continuité des services régionaux, ceux de la formation, ainsi que le soutien indéfectible aux acteurs de la vie économique et associative qui sont perturbés par les effets néfastes de la pandémie. Evidemment, parmi cette série de dispositions, celles et ceux qui contribuent avec pugnacité et courage à lutter contre la pandémie ne furent pas oubliés.

Soucieuse de ne pas interrompre le champ démocratique propre à l’institution, la présidente de la Région, la socialiste Marie-Guite DUFAY, provoqua une consultation des élus régionaux par voie numérique ce vendredi afin d’informer, de concerter et de prendre les mesures d’urgence qui s’imposaient. Elle salua par ailleurs l’état d’esprit constructif qui régna durant cette assemblée un peu particulière tant au niveau de sa majorité que de son opposition. L’ensemble des élus lui donnant un quitus unanime pour que les mesures d’urgence proposées par la Région puissent rapidement se décliner sur le terrain.

 

Une commande de 4 millions de masques en deux temps…

 

Avant de détailler ce dispositif important qui constitue une véritable armada offensive pour répondre au plus pressé, Marie-Guite DUFAY évoqua la commande de quatre millions de masques protecteurs de type chirurgicaux et FFP2, en moindre quantité.

Une première livraison de deux millions d’unités sera livrée prioritairement aux EHPAD, aux personnels de soins à domicile et aux structures d’accueil de personnes handicapées. Et ce, dès lundi.

La seconde commande, effectuée de manière groupée avec les villes de Besançon et de Dijon, arrivera ultérieurement. Au total, ce sont trois millions d’euros de crédits régionaux qui ont été mobilisés pour ces achats.  

Vint le temps ensuite d’aborder le gros de la conférence de presse : les mesures économiques prioritaires.

Un Fonds de solidarité nationale a été mis en place au bénéfice des très petites entreprises (TPE), indépendants et micro entrepreneurs. Considérant que ces derniers sont moins bien lotis que les PME pour solliciter le chômage partiel, les reports et obtenir des prêts garantis, la présidente de la Région a décidé de s’associer au projet de l’Etat (il est doté d’un milliard d’euros au plan national) en apportant sa contribution à hauteur de 8,5 millions d’euros pour le mois de mars. Ce fonds apportera 1 500 euros à leurs bénéficiaires, c’est-à-dire celles et ceux des entrepreneurs qui ont perdu au moins 50 % de leur chiffre d’affaires et qui ne sont pas soutenus par leur banque.

En outre, un fonds de solidarité territoriale est également apparu pour soutenir les entrepreneurs et indépendants qui ne sont pas éligibles au fonds de solidarité nationale. Dans l’absolu, la Région propose aux intercommunalités d’y prendre part financièrement. Le dispositif apporterait là-aussi 1 500 euros à leurs bénéficiaires aux mêmes conditions que citées précédemment.

On le sait les secteurs du tourisme et de l’évènementiel sont les principaux perdants de cette crise majeure. Fragilisées, leurs entreprises sont aujourd’hui exsangues. La Région a décidé de se doter d’un fonds d’urgence permettant, en plus des aides allouées par l’Etat et BPI France, de pourvoir leurs bénéficiaires d’une aide complémentaire afin de subvenir à leurs besoins de trésorerie et participer à la sauvegarde de leurs entreprises.

Concrètement, 2,5 millions d’euros seront destinés aux entreprises qui évoluent dans le secteur de l’évènementiel. Il en sera de même pour les hébergements touristiques. Cette aide forfaitaire s’élèvera à 5 000 euros.

 

Un prêt « Rebond » destiné à la trésorerie des professionnels…

 

S’adressant aux TPE et PME qui ont plus d’un an d’activité, ce prêt possède la caractéristique de pouvoir soutenir la trésorerie des structures entrepreneuriales dont l’activité est affectée par la pandémie actuelle.

D’un montant de 10 000 à 200 000 euros (dans la limite des fonds propres de l’entreprise), ce prêt à taux zéro d’une durée de sept ans bénéficie d’un différé de remboursement de deux ans. Il est mis en place avec le concours de BPI France.

La dotation de la Région de 4,5 millions d’euros permettra d’injecter directement et durablement près de 24 millions d’euros dans la trésorerie des entreprises. Cette mesure pourrait être abondée avec des fonds FEDER à hauteur de dix millions d’euros. Ce dispositif est complémentaire aux prêts garantis par l’Etat, accordés par les banques.

Le monde agricole bénéficiera d’un diagnostic filière par filière réalisé conjointement avec la DRAAF et la Chambre régionale de l’agriculture. Quant aux associations, dont les activités ont été stoppées nettes du fait de l’expansion de la pandémie, elles profiteront de deux mesures de soutien pour une enveloppe de 5,6 millions d’euros. Nous y reviendrons dans un futur article explicatif.

La Région a par ailleurs acté qu’elle soutiendrait en leur apportant des aides financières les élèves infirmiers, les kinésithérapeutes, les aides-soignants et les ambulanciers en stage.

Soucieuse de revaloriser leurs indemnités de stage, l’entité régionale leur attribuera une aide exceptionnelle allant jusqu’à 1 200 euros par mois complet de stage et à 300 euros par semaine, soit 35 heures de travail, si la durée du stage est inférieur à un mois. Près de 3 580 étudiants et élèves pourraient potentiellement profiter de ces subsides exceptionnels.

Les actions en faveur des lycéens et de leur famille, ainsi que les mesures prises dans le cadre de la formation professionnelle, abordée ce vendredi, feront l’objet d’un article spécifique. Afin de détailler les aides existantes.

Première chose tangible toutefois : la dotation gracieuse de 650 ordinateurs et tablettes informatiques qui sont destinés à équiper les lycéens qui n’en possédaient pas encore.

Quant au dossier « transport », signalons parmi les gestes forts de la Région : la suspension du prélèvement des abonnés annuels opéré fin mars pour les usagers du TER, la gratuité pour les personnels soignants (TER, lignes routières, MOBIGO), l’organisation des transports pour les enfants des personnels soignants et ceux des forces de sécurité intérieure, l’adaptation, enfin, des plans de transport.

Reste l’Europe qui peut offrir des mannes financières si précieuses. Marie-Guite DUFAY a demandé, au titre d’une aide d’urgence, une enveloppe globale de 20 millions d’euros de fonds européen. Dix millions se destineraient aux infrastructures, équipements et investissements dans les systèmes de santé pour faire face à la crise. Le reliquat concernerait les PME et leurs besoins en fonds de roulement si durement impactés aujourd’hui.

 


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Le point complet de la situation sanitaire, voulu ce vendredi en fin d’après-midi par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avec la presse, permet d’y voir nettement plus clair, chiffres à l’appui, sur la progression du COVID 19 et son impact réel sur notre territoire. L’infection virale a tué à ce jour 29 personnes dont dix-neuf pensionnaires d’EHPAD. L’accélération virologique est observée depuis le milieu de la semaine dernière ce qui fait dire au représentant de l’Etat qu’il ne faut relâcher en aucune manière la pression. Notamment sur le sacro-saint respect des mesures de confinement…

AUXERRE : Faut-il prendre du recul en relativisant quelque peu sur la « faible » mortalité observée dans notre département malgré le degré dramatique de la situation ou faire profil bas en attendant le summum de l’infection qui pourrait survenir avec force d’ici quelques jours ?

Pour l’heure, le coronavirus a presque « épargné » la zone septentrionale de la Bourgogne. A l’instar de la Nièvre voisine, où seulement (et fort heureusement) quatre décès sont à déplorer.

Les données statistiques communiquées par la représentante départementale de l’Agence régionale de santé, Eve ROBERT, plongent les observateurs dans une certaine expectative.

C’est sûr : la situation de l’Yonne n’est pas comparable à celle vécue par d’autres secteurs géographiques de la Bourgogne Franche-Comté comme la Côte d’Or, la Saône-et-Loire, le Doubs ou le Jura.

Mais, attention : pas de réjouissances intempestives à avoir. L’heure est d’une gravité extrême, y compris sur les deux départements les moins impactés à l’heure actuelle par l’épidémie.

D’ailleurs, Henri PREVOST, comme le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD invité à cette conférence de presse participative, l’ont fermement rappelé : « il n’y aura aucune tolérance au relâchement des efforts en matière de protection… ».

 

Une vision chiffrée servie avec exactitude…

 

Où en sommes-nous exactement à ce jour ? Du côté des centres hospitaliers, Eve ROBERT précisa dans le détail que 42 personnes atteintes de la pathologie avaient été admises depuis le début de la crise sanitaire à Auxerre. Douze d’entre elles étaient soignées de manière intensive en service réanimation. Cinq décès ont été malheureusement constatés.

Dans le nord de l’Yonne, à Sens, ce sont 41 malades infectés par le coronavirus qui ont été traités au centre hospitalier. Huit patients se sont retrouvés en réanimation. Le nombre de décès est égal à celui enregistré à Auxerre (5). D’autres malades ont été placés dans les hôpitaux de Tonnerre (5), de Joigny (9) et d’Avallon (5).

Pour la première fois, la physionomie de la situation sanitaire en EHPAD a pu être abordée avec certitude. Sur les 69 établissements que compte le territoire de l’Yonne, quarante d’entre eux sont directement concernés par la propagation de la pandémie. Cent-quatre vingt cas suspects de coronavirus y ont été dénombrés aussi bien parmi les résidents que le personnel soignant.  L’infection a, quant à elle, condamné dix-neuf personnes.

Note positive, enfin : 211 volontaires sont venus renforcer les équipes sanitaires dans ce combat quotidien. La plupart sont des généralistes ayant déjà fait valoir leurs droits à la retraite.

Preuve que la mobilisation des compétences et des bonnes volontés se présente comme une alliée utile pour éradiquer la maladie.

D’autres thèmes ont été évoqués lors de cette conférence de presse virtuelle : nous y reviendrons dans un prochain article…

 


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Le chef de file régional du RN, Julien ODOUL, monte au créneau. Malgré le contexte trouble de la crise sanitaire qui frappe durement notre pays. Il veut des éclaircissements. Rappelant au passage que lors de l’examen du projet régional de santé (PRS) en avril 2018, les élus de sa formation s’étaient fermement opposés à une réorganisation sanitaire dictée par les seuls intérêts de la rentabilité et de la gestion comptable. Nouvelle polémique en vue à la Région ?

DIJON : Le président du groupe Rassemblement national à la Région Bourgogne Franche-Comté sort quelque peu de sa réserve. Il brise de facto l’Union nationale, exigée par le président de la République depuis le démarrage du confinement. Suivant ainsi la ligne de la responsable du parti, Marine LE PEN, qui depuis plusieurs jours, multiplie dans ses propos relayés par la voie médiatique les piques envers le gouvernement, qu’elle qualifie  « d’incompétent dans la manière de gérer la situation ».

Dans le cas de Julien ODOUL, ce n’est pas de cela précisément dont il s’agit. L’élu régional évoque plutôt « l’amateurisme » et la « désorganisation patente » de l’Agence régionale de Santé (ARS) qui « préfère transférer des malades atteints du coronavirus vers d’autres régions plutôt que de les envoyer vers les centres hospitaliers de la contrée... ». A l’instar de celui de Tonnerre. Un interstice étroit dans lequel s’engouffre volontiers Julien ODOUL.

« Cette crise sanitaire majeure confirme la dangerosité des feuilles de route des technocrates de l’ARS et du ministère de la Santé, indique-t-il, c’était à prévoir. La gestion de cette épidémie révèle l’échec de la politique de réorganisation des hôpitaux menée par l’agence sanitaire dans la région… ».

Et de rappeler que déjà, au printemps 2018, les élus de son groupe pointaient du doigt les incohérences et les failles du système sanitaire.

« A cette époque, ajoute-t-il, dans l’hémicycle, nous avions défendu une santé de qualité, de proximité, accessible à tous avec le maintien d’une offre de soins équilibrés au profit de l’ensemble des habitants… ».

 

« L’utopie des mutualisations se fracasse sur la réalité du quotidien… »

 

Le maintien des hôpitaux de proximité comprenant l’ensemble des services et des spécialités faisaient partie des prérogatives réclamées. Le leader du RN de Bourgogne Franche-Comté tacle à son tour Emmanuel MACRON.

« Le président de la République a annoncé ces jours-ci le développement d’un plan massif d’investissement et de revalorisation pour l’hôpital, souligne-t-il, alors que ce même chef de l’Etat a mis en œuvre un plan de démantèlement de notre système de santé dès le début de son quinquennat… ».

Reste la gestion de cette épidémie du COVID 19. Qu’en pense réellement le président du groupe RN régional ?

« L’utopie des mutualisations vertueuses se fracasse aujourd’hui sur la réalité d’hôpitaux sans moyens et sans effectifs suffisants. Les fermetures successives et aveugles des lits d’hospitalisation d’Auxerre à Tonnerre, des services comme à Chalon-sur-Saône ou Montceau-les-Mines fragilisent davantage la prise en charge des nombreux patients infectés. Et ce malgré l’engagement admirable des professionnels de santé sur le terrain. Face à l’afflux de malades, les hôpitaux déjà saturés font des efforts inouïs pour répondre à l’urgence et augmenter leur capacité en lits de réanimation… ».

Une fois, la sortie de crise c’est promis, Julien ODOUL brisera la loi du silence de manière publique en exigeant des comptes aux décideurs institutionnels de la santé régionale. « Les coupables » à ses yeux de ces incohérences…

 


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Dès le début de la pandémie de coronavirus, il avait exprimé le désir d’apporter son soutien à la France et à la capitale de l’Yonne, devenu son terrain de jeu footballistique. L’industriel chinois, actionnaire majoritaire de l’AJA, a tenu parole. Le propriétaire d’ORG Packaging a décidé de faire un don de cent mille masques de protection aux soignants de l’Auxerrois. Un geste altruiste qui s’accompagne de la remise de vingt mille tests de dépistage et de trois mille vêtements protecteurs…

AUXERRE : C’est un geste fort que vient d’accomplir l’industriel chinois au profit des services sanitaires d’Auxerre et de son bassin. Un don de cent mille masques qui transiteront par le centre hospitalier de la ville. Un acte généreux et coopératif qui traduit la lutte planétaire menée depuis plusieurs semaines contre le COVID 19.

A la tête de la plus puissante entreprise d’emballage métallique dans l’ex-Empire du Milieu, James ZHOU a tenu à faire bloc aux côtés de ses amis Français dans ce combat sans merci livré contre la pandémie.

Alors que le contexte sociétal s’améliore quelque peu en Chine, le patron des trente unités de fabrication dont trois sont basées dans la province du Hubei a remis progressivement ses quatre mille employés au travail.

Précisons que les collaborateurs d’ORG Packaging avaient bénéficié des mesures de protection au commencement de l’épidémie. De ce fait, il n’y a eu aucun cas positif ni de suspicion de COVID 19 à déplorer au sein du groupe.

 

Protéger les acteurs de l’AJA et les habitants d’Auxerre…

 

En contact régulier avec le président de l’AJ Auxerre Francis GRAILLE, l’entrepreneur chinois apporte ainsi sa pierre à l’édifice de l’entraide internationale, conscient des difficultés que rencontre l’Hexagone à l’heure actuelle pour se procurer des masques de protection.

Même si plusieurs milliers de ces articles protecteurs indispensables aux soignants avaient déjà été remis au centre hospitalier d’Auxerre par le personnel de l’AJA, James ZHOU voulait en faire davantage. En apportant directement la contribution de son groupe industriel dans la balance.

D’ici quelques jours, le temps d’assurer leur acheminement vers l’Yonne, ces masques, tests de dépistage et autres vêtements seront livrés à Auxerre.

James ZHOU a fait savoir par communiqué de presse que « son entreprise assumerait en permanence sa responsabilité en faisant les efforts nécessaires pour protéger tous les salariés de l’AJA et les habitants de la ville d’Auxerre, en respectant les consignes de l’Etat, afin de gagner la guerre contre le COVID 19 ».

Un mécène généreux, qui le confirme au-delà de la parole, par ses actes…

 

 


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Depuis le début de la période de confinement, la hausse de ces faits de société est un fait avéré dans l’Hexagone. Logique : les mesures exceptionnelles pour lutter efficacement contre la pandémie représentent un facteur de risque élevé pour le développement des conflits intrafamiliaux. Un nouveau dispositif vient d’être mis en place avec le concours des pharmaciens. Les services de l’Etat demeurent vigilants et pleinement mobilisés contre ce fléau…

AUXERRE : Christophe CASTANER en avait fait l’objet de l’une de ses interventions régulières avec la presse il y a peu. Le ministre de l’Intérieur tirait alors la sonnette d’alarme sur le risque de développement de conflits familiaux et de violences conjugales suite aux mesures de confinement prises pour enrayer la propagation du coronavirus en France.

Or, les premiers chiffrages connus sur ce sujet traduisent ses craintes. Le nombre de cas a explosé dans l’Hexagone (+ 38 %) en un laps de temps record. L’Yonne n’est pas épargnée par cette recrudescence de violence. Si les services de l’Etat restent très vigilants par rapport au développement de ces nouveaux délits, un nouveau dispositif, original, a été mis en place en partenariat avec les pharmaciens.

Dans l’absolu, les femmes victimes de violences peuvent se signaler avec grande discrétion dans les officines pharmaceutiques sur leur situation. Il leur suffit de prononcer le terme « Masque 19 » auprès du pharmacien pour que celui-ci prévienne les forces de l’ordre.

En parallèle, les services de l’Etat demeurent mobilisés dans le traitement de ces affaires assurés par les juridictions et les forces de l’ordre.

 

Une liste à connaître en cas de besoin…

 

Malgré le confinement, les moyens d’écoute et de recueil de signalements restent opérationnels. En voici le rappel :

- violence femmes info au  3919, numéro d’écoute national, ligne ouverte du lundi au samedi de 9h à 19h.

- la plate-forme de signalement des violences sexuelles et sexistes : http://www.signalement-violences-sexuelles-sexistes.gouv.fr/, disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. L'accès à ce service est gratuit et sans obligation de déclarer son identité pour garantir l'anonymat.

- Le « 114 » est un numéro qui sert à donner l'alerte par simple SMS pour que les forces de sécurité intérieure interviennent.

Dans l’Yonne, la mobilisation est également maintenue : les points de contacts et d’informations locaux restent joignables afin de protéger et soutenir au mieux les femmes sont victimes de ces actes odieux en cette période. Notons également les références utiles des structures suivantes :

- Hébergement d’urgence : appeler le 115 (continuité du service 7j/7, 24h/24).

- ADAVIRS : Association départementale d'aide aux victimes d'infractions et à la réinsertion sociale.

Permanence téléphonique au 07 49 13 47 11 ou par mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

- CIDFF : Centre d'information sur les Droits des Femmes et des Familles

07 86 18 76 62 - 06 77 96 51 82 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

- Accueil de jour pour les femmes victimes de violences de Sens. Une conseillère en économie sociale et familiale assure le suivi des femmes victimes de violences - CCAS de Sens du lundi au vendredi de 9h à 12h. 03 86 65 06 53 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

- Accueil de jour pour les femmes victimes de violences d’Auxerre.

Accueil téléphonique -  CCAS d’Auxerre. 03 86 51 88 00

- Les UTS - Unités Territoriales de Solidarités. Un accueil téléphonique renforcé est mis en place dans ces structures.

La liste des UTS ainsi que leurs coordonnées sont disponibles sur www.yonne.fr

L'hébergement d'urgence des femmes victimes de violences dans l’Yonne existe aussi : ces places d’hébergement sont dédiées aux femmes victimes de violences qui sont réparties dans différents lieux du département.

 


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