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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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Poursuivre au mieux sa mission de service public auprès des assurés : c’est le choix volontariste applicable par la CPAM de l’Yonne en cette période de crise sanitaire si délicate à vivre. Un plan de continuité d’activité a été défini le 13 mars en concertation avec la CNAM. Si le télétravail est en cours de déploiement au domicile des salariés pour les activités prioritaires, certains des collaborateurs continuent encore de venir au siège pour des missions spécifiques. Propres au service public de santé.

AUXERRE : Dans l’absolu, tous les accueils de la Caisse primaire d’assurance maladie de notre département ne sont plus accessibles au public depuis le 17 mars. Mais, cela ne sous-entend pas l’arrêt systématique des activités au sein de la vénérable institution !

Bien au contraire, même si la majeure partie des collaborateurs reste confiné à leur domicile hormis les acteurs des activités prioritaires. En cette période de crise sanitaire aigüe, la CPAM de l’Yonne a décidé de demeurer aux côtés des assurés.

D’une part, la plateforme téléphonique qui répond aux appels du public de la Côte d’Or, de la Nièvre et de l’Yonne s’est transformé en centre de prise d’appels du 15. En appui du Centre 15. Les patients sont ainsi dirigés vers des médecins et infirmiers icaunais ayant accepté de prendre d’autres malades que ceux de leur patientèle.

Grâce aux outils numériques (AMELI, les newsletters…), le public garde un contact permanent avec l’organisme. Ainsi, l’information générale nationale et locale peut être consultée sans l’ombre d’un problème.

Toutefois, les agents ne rencontrent plus le public. Qu’il s’agisse des assurés mais aussi des employeurs et des professionnels de santé.

 

Même le Centre d’Examens de Santé a fermé ses portes…

 

Du côté du Centre d’Examens de Santé (CES), sa fermeture a été officialisée depuis peu. L’ordre est venu des instances nationales. Mais, le personnel médical et infirmier peut être sollicité à tout moment pour concourir à la réserve sanitaire sur simple réquisition préfectorale.

Le télétravail prend désormais toute sa dimension depuis le début de la semaine. Chez eux, les salariés de la CPAM continuent à faire vivre l’institution via les paiements ou l’attribution des droits (complémentaire santé solidaire, aide médical d’Etat ou AME).

Seuls les membres du comité de gestion de crise, l’unité des flux entrants (courrier et dématérialisation), les services comptabilité, paie, informatique et logistique fréquentent encore le siège auxerrois. Jusqu’à nouvel ordre.

Soucieux de contribuer à la solidarité nationale en ces instants difficiles, la Caisse primaire de l’assurance maladie respecte ainsi sa mission de service public en santé.

Le fondement même de l’entité sanitaire, comme l’a précisé le directeur adjoint de la structure, Thierry GALISOT.

 

 


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Dans une ambiance étrange et quasi surréaliste puisque seuls trois députés par groupe étaient autorisés à siéger physiquement au Palais Bourbon, les travaux de l’Assemblée nationale se sont déroulés en cette matinée du jeudi 18 mars. L’occasion nous a été donnée de faire le point sur les mesures économiques d’urgence adoptées par les parlementaires avec le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui a voté par procuration du fait de son absence de l’hémicycle…

 

PARIS: Comment s’est tenue cette séance de travail ?

 

Nous nous sommes organisés pour travailler en nous coordonnant, par téléphone, par courriel, de la manière la plus efficacement possible. Les votes peuvent aussi s’effectuer par procuration. Ce qui a été le cas aujourd'hui...

 

Allez-vous opter en faveur des mesures de soutien économique proposées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances rectificatives ?

 

Je ne peux que les approuver. Le choc sanitaire du coronavirus est aussi un choc économique qui implique des prévisions de croissance négative : avec une récession d’au moins – 1 % du Produit Intérieur Brut en 2020 contre une croissance de + 1,3 % prévue initialement.

Cela va entraîner de fait une augmentation du déficit public (- 3,9 % du PIB en 2020 contre – 2,2 %) et une perte de recettes fiscales d’au moins 10 milliards d’euros.

Tous les secteurs économiques, toutes les entreprises, toutes les activités sont touchées. Certains plus durement encore en raison de leur nature, à l’exemple du tourisme, de l’évènementiel. D’autres, du fait de la concentration de leur chiffre d’affaires sur la période correspondant au confinement (activité saisonnière, horticulture) vont perdre beaucoup.

 

Justement, ce contexte impose de créer de nouvelles aides en urgence pour éviter les faillites en cascade et des pertes de revenus extrêmement préjudiciables pour de nombreuses entreprises et de nombreux salariés. Quelles seront-elles ?

 

Le gouvernement a proposé un plan de 45 milliards d’euros pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie. 35 milliards d’euros correspondent à des mesures de soutien à la trésorerie des entreprises (report de 8,5 milliards d’euros de charges dues au 15 mars et de 13 milliards d’euros pour les charges dues au 05 avril).

Deux milliards d’euros seront consacrés à la prise en charge des arrêts maladie, à l’achat de masques et à la rémunération des personnels soignants. En outre, un fonds de solidarité d’un milliard d’euros sera dédié aux petites entreprises. Enfin, 5,5 milliards d’euros seront réservés à l’indemnisation du chômage partiel, dans la limite de 4,5 SMIC.

S’y ajoute la mise en place d’une garantie exceptionnelle et inédite de l’Etat, dans la limite de trois cents milliards d’euros pour tous les nouveaux prêts octroyés par des établissements de crédits entre le 01er mars et le 31 décembre 2020 à des entreprises immatriculées en France. Cette garantie des emprunts sera gérée par BPI France.

Ce dispositif doit nous permettre de maintenir ouvert le canal du crédit aux entreprises pour les accompagner dans la gestion du choc qu’elles subissent, et les maintenir dans des conditions suffisamment bonnes pour qu’elles puissent rebondir une fois le choc passé sans licencier ou réduire leurs activités.

 

Vous avez signé les amendements préparés par votre collègue, Eric WOERTH, président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale. A quoi se rapportent-ils ?

 

Ils concernent les points suivants : l’ouverture de ce nouveau Fonds de solidarité pour les entreprises à toutes celles qui ont perdu, en mars 2020, au moins 50 % de leur chiffre d’affaires ; à la mise en place d’un crédit d’impôt de type « PTZ coronavirus », en complément de la garantie bancaire pour alléger au maximum les charges d’intérêts qui pèsent sur les entreprises ; à créer un nouveau régime exceptionnel inspiré du régime des catastrophes naturelles mais pour les catastrophes sanitaires du type de celle que nous connaissons actuellement, ce qui entraînerait la création d’un fonds exceptionnel dédié, financé par une imposition et des dotations de l’Etat (ce fonds permettrait d’assurer une indemnisation en complément du jeu de la garantie assurantielle des pertes d’exploitation ; de créer un crédit d’impôt au profit des bailleurs de locaux professionnels, sur qui va peser la charge financière du report du paiement des loyers prévus dans le cadre de l’habilitation prévue par le projet de loi d’urgence pour faire face à l’épidémie de COVID 19 et en dernier lieu, envisager l’extension du dispositif d’activité partielle aux personnels contractuels de la fonction publique territoriale.

 

Par quels biais, les entreprises de l’Yonne peuvent-elles se faire connaître pour bénéficier de ces aides ?

Sachant que la mise en œuvre de ces mesures doit intervenir sur le terrain le plus rapidement possible, les entreprises de notre département qui désirent être accompagnées dans leurs démarches peuvent se rapprocher de la DIRECCTE, soit par courriel (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et par téléphone, au 03.86.76.29.38.

 

Existe-t-il d’autres mesures ?

Parallèlement, le Sénat examine aujourd’hui l’autre texte de loi d’urgence qui concerne notamment les questions d’organisation des collectivités territoriales. Il sera examiné vendredi à l’Assemblée…

 

 


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A l’instar de bon nombre d’organismes et de structures institutionnelles de notre département, l’entité a pris la sage décision de suspendre jusqu’à nouvel ordre l’envoi de sa newsletter régulière. L’ultime numéro adressé ce jeudi par voie numérique met en exergue les consignes sanitaires à connaître par les professionnels du tourisme qui exerceraient encore une activité…

SAINT-FARGEAU : Compte tenu des conséquences imputables à la propagation galopante du coronavirus dans notre département et à la suite de la prise de nouvelles mesures gouvernementales, les responsables de l’Office de tourisme de ce secteur géographique de l’Yonne ont validé la suspension temporaire de leur moyen de communication numérique, la lettre d’information hebdomadaire.

Le motif est, malheureusement, on ne peut plus simple et logique : les évènements programmés au fil des futures semaines à venir se sont annulés à une vitesse vertigineuse.

Présidente de l’institution, Nathalie BROCHUT et Christelle GAUTRON-BERROUET, directrice de la structure, ont pris la décision de rester attentive à la mise en œuvre immédiate des mesures locales de confinement.

Un choix qui s’est accompagné de l’ultime envoi de ce courrier numérique adressé au lectorat habituel.

Dans sa forme, ce numéro se revêt être très spécial puisque intégralement consacré à la crise sanitaire du moment et à son rappel de consignes à respecter coûte que coûte par les professionnels du tourisme sérieusement impactés par cette crise.

Seule note d’espoir : le retour de la lettre d’information hebdomadaire reprendra dès que les conditions sanitaires le permettront. D’ici quelques semaines, sans doute.

 


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FNTP, FFB, CAPEB…à l’unisson, les acteurs nationaux de la filière artisanale alertent le gouvernement après la déclaration de guerre du président Emmanuel MACRON à la propagation du COVID 19. Les organismes professionnels s’inquiètent de la tournure des évènements, notamment depuis la période de restriction appliquée en France. Ils demandent un arrêt temporaire de tous les chantiers pour s’organiser. En priorité, au niveau des protections et équipements…

AUXERRE : C’est un cri du cœur qui vient d’être lancé par trois grandes structures représentatives du secteur bâtiment et des travaux publics en France. Une alerte qui fait l’objet de plusieurs communiqués de presse, émanant de leurs instances régionales et départementales en Bourgogne Franche-Comté.

A l’unisson, la FNPT (Fédération nationale des travaux publics), la CAPEB (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et la FFB (Fédération française du bâtiment) se mobilisent en réaction des propos tenus par le chef de l’Etat, Emmanuel MACRON, dans sa déclaration de guerre. Un combat sans merci à livrer contre ce coronavirus si meurtrier et contagieux.

Oui, mais voilà, les professionnels du BTP demandent instamment au gouvernement de suspendre tout de go et de manière temporaire les chantiers, à l’exception des interventions urgentes, au moins pour une dizaine de jours. Le temps que la filière s’organise et s’équipe face à ce fléau.

 

 

La santé des personnes demeure une priorité absolue…

 

Pourquoi une telle sensibilisation de la part des professionnels ? Parce que la santé et la sécurité des personnes demeurent une priorité absolue pour les entreprises. En substance : le cruel manque de masques de protection et de mesures de protection qui ne sont pas toujours assurées pour les salariés, face à des donneurs d’ordre…

Bref, le secteur du BTP est confronté à une profonde désorganisation sur les chantiers (certains sont arrêtés, d’autres non) et à une profonde incompréhension mêlée d’une inquiétude légitime à la fois des chefs d’entreprise et de leurs collaborateurs.

Précisons, pour mémoire, que ce segment ô combien capital de l’économie emploie plus de deux millions de personnes en France. Les trois fédérations rappellent qu’il est de leur responsabilité collective de limiter au maximum les risques de propagation du coronavirus et de trouver des solutions avec le gouvernement pour protéger la santé de ses salariés et assurer la poursuite de l’activité dans des conditions optimales.

Ce qui est loin d’être le cas, manifestement, depuis plusieurs jours dans l’Hexagone…

 

 

 

 


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