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Battre le pavé. Toujours et encore. Dans le froid, si agressif, d’un après-midi blême hivernal où le ciel se mêle lui aussi à la tristesse des regards. Ils ont beau se héler, se saluer joyeusement comme s’ils se rendaient à une kermesse bon enfant, se redresser fièrement en arborant les couleurs de leurs syndicats : ils savent ce qu’est la dure réalité de la vie. Celle de la paupérisation et de la pénibilité au travail. Celle de la faiblesse des revenus (et encore pour celles et ceux qui en ont) et la crainte du chômage. Ce couperet impitoyable au-dessus de leur tête, prêt à tomber…

 

AUXERRE : Jusqu’à quand devront-ils défiler dans la rue pour se faire entendre ? Jusqu’où devront-ils aller pour montrer qu’ils existent ? Ces femmes et ces hommes dépités parce qu’ils endurent au quotidien, ces citoyens qui se serrent continuellement la ceinture et qui ne savent plus à quels saints se vouer (et encore si Dieu existait dans tout ça, daignerait-il enfin leur accorder une faveur ?!).

Le nez rougi, les yeux larmoyants, les doigts gourds, tétanisés par des températures à ne pas mettre un quidam dehors, elles et ils se rassemblent pourtant, sur la place de l’Arquebuse, prêts à crier leur colère. Une poignée, à peine aux alentours de 14 heures. De quatre à cinq cents, trois quarts d’heure plus tard. Tous ont cette volonté farouche, chevillée au corps, de conspuer ce gouvernement qui ne les écoute pas. Qui ne les voit plus.

 

 

L’emploi et la revalorisation des salaires : la priorité…

 

Priorité à l’emploi, tel est le premier des slogans revendicatifs. Mais, aussi à la hausse des salaires alors que l’inflation n’est même plus galopante dans ce pays qui croule sous les impôts et les taxes. Elle fait exploser les bas de laine déjà percés de bon nombre de Français. Elle réduit à néant les espoirs les plus fous de s’accorder quelques vacances salvatrices en famille à l’été. Elle assassine les automobilistes qui n’en peuvent plus de supporter la valse des étiquettes, changeantes comme la météo.

Le reste n’a guère d’importance à leurs yeux. Qu’importe que la froidure de l’instant les paralyse avant que le cortège ne s’ébranle enfin. Qu’importe qu’ils soient obligés de débrayer et perdre une journée de salaire. La cause est trop importante. Le mot d’ordre n’est-il pas la mobilisation générale ?

 

 

Le pari de la mobilisation, une fois de plus réussi…

 

Enseignants, cheminots, fonctionnaires : ils ont répondu présents. Y compris les retraités qui ne manquent pas de faire parler d’eux. Ils ne se contentent pas de suivre le cortège dans la queue du peloton. Le misérabilisme dont ils souffrent qui équivaut aux pensions et aux retraites ridicules que certaines personnes touchent chaque mois les a fait lever de leur fauteuil. Certains déambulent à l’aide d’une canne, péniblement mais l’œil malin. Ils voulaient être là.

Les syndicats ont donc réussi leur pari. Réunir une fois de plus, sous l’égide de la CGT, de FO, de la FSU, de Solidaires, mais aussi du Parti Communiste, la foule compacte de ces mécontents, de ces aigris du système, de ces laissés pour compte, de ces bannis de la profitabilité : bref, une frange nombreuse de ce peuple de France à la veille de l’échéance présidentielle. Celle qui fera l'élection.

 

 

Ne plus être les laissés pour compte de la société…

 

Et ce ne sont pas le chèque énergie de cent euros et le relèvement de la grille des indemnités kilométriques qui devraient y changer quelque chose.

Les plus modestes ne veulent plus être les oubliés continuels de la société. Les profits capitalistiques obtenus par quelques-uns sont dénoncés haut et fort par un cortège qui scande des mots durs et acerbes contre le système, à l’angle de la poste au sortir de la rue du Temple. Les manifestants longent la place des Cordeliers, leurs voix portent loin et s’envolent vers les flèches de la cathédrale, toute proche. Tout un symbole et quel contraste !

Et si Dieu, à défaut de la gouvernance, apportait enfin les bonnes réponses en éradiquant enfin la misère de ce monde…On appellerait cela un miracle. En vain ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Tournée dans le pays de la Salers, au cœur du Cantal, cette comédie de Christopher THOMPSON s’affiche sur les écrans des cinémas de l’Yonne depuis plusieurs jours. Un hommage à un corporatisme qui pratique l’élevage de qualité dans le respect des paysages et des saisons…

 

BILLET : Fort bien interprété, ce long-métrage aurait pu être tourné dans nos campagnes. Actuellement à l’affiche, « Tendre et Saignant » est une comédie de fort bon goût, une belle ode bouchère ainsi qu’un hommage qualitatif pour toute la filière artisanale.

Cette charmante comédie, mettant en scène Géraldine PAILHAS et Arnaud DUCRUET, narre les aventures d’un commis-boucher qui décide de se battre pour sauver une boucherie de proximité. Alors que l’héritière de ce commerce, une rédactrice en chef d’un magazine de mode n’en a cure. S’en suit une cohabitation presque impossible entre la néo-propriétaire et le commis non sans humour !

Ces deux dernières années, cinq boucheries artisanales furent reprises dans l’Yonne et l’on ne peut que s’en réjouir. Situées à Gron, Cravant, Tonnerre ou encore à Ouanne, ces bouchères et bouchers vous attendent le sourire aux lèvres, légitimement fiers de leur bel étal.

Quant à celle de Saint-Bris-le-Vineux, elle vient juste de rouvrir ! Bon film, comme dirait l’autre, et longue vie à l’entrecôte !

 

Thierry BRET et Gauthier PAJONA

 


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Bien sûr, il y aura sur scène ce piano, probablement un Steinway de couleur noire tamisé par la lumière des projecteurs. Naturellement, le public vibrera en son for intérieur à l’idée de « la » voir enfin se produire à Auxerre. Même si elle fait abstraction des grands succès résumant quarante années de carrière avec les RITA MITSOUKO. Pour autant, la prestation de son égérie, la troublante et sensuelle Catherine RINGER, n’en sera que plus émouvante. Et épurée. Au service de la seule poésie et des textes oniriques, écrits par Alice MENDELSON.

 

AUXERRE : C’est sans doute l’évènement culturel de l’année. Même si le programme du théâtre d’Auxerre foisonne de rendez-vous riches et éclectiques jusqu’au terme de cette saison, tronquée par les soubresauts imprévisibles de la crise sanitaire. Plantons le décor ! Déjà, il y a ces textes et leur flamboyance. Ils ont été rédigés avec l’émerveillement de son autrice, à l’aube de sa vie puisque âgée de 95 ans, la surprenante Alice MENDELSON.

Une révélation littéraire sur le tard ? Sans doute ! Une personnalité unique, avec laquelle on aimerait discuter à bâton rompu des heures durant au côté de l’âtre de la cheminée. Elle jette sur le papier toutes ses impressions. Celles qui lui taraudent l’esprit, comme autant de témoignages sur tout ce qu’elle a vécu et traversé avant de quitter ce monde pour d’autres cieux.

 

Une histoire d’amitié et rien d’autre à la genèse du projet…

 

Pourtant, c’est son premier recueil de poèmes. De belles strophes écrites à fleur de peau, vivifiantes, toniques, osées qui narrent les sentiments et les passions d’une femme amoureuse de l’existence depuis les années 1950 jusqu’à aujourd’hui. Alice MENDELSON possède cet indéniable don de narratrice, de conteuse, de poétesse. Le talent scriptural s’en trouve magnifié. Des textes à forte musicalité qui pourraient même être interprétés sur scène…

Secundo, puisqu’ils seront lus face au public, celui d’Auxerre dont ce sera une première inédite dans cette configuration, il fallait des valeurs sûres dans l’expression orale et vocale pour assurer cet exercice sans filet. En transmettant la moindre parcelle d’émotion au public. En titillant les consciences de la plus infime des réflexions sur l’état de notre monde qui part à vau l’eau.

Le dénominateur commun de ces personnes qui se chargeront de faire vivre ces textes au grand jour ne sont autres que des amis de l’écrivaine. La poétesse Violaine BONEU que les amoureux de la programmation du théâtre auxerrois connaissent bien. Le conteur Pascal QUERE, qui même s’il a apporté sa complicité à l’accomplissement de ce travail, ne sera pas physiquement présent aux côtés du duo. Et…cerise juteuse sur le gâteau, Catherine RINGER ! La moitié des RITA MITSOUKO que l’on ne présente plus. Une star de ce rock tricolore décalé qui fit le beau jour des eighties.

Cette fois-ci, ce n’est pas en qualité de chanteuse de ce groupe mythique qui a éclairé plusieurs décennies de mélomanes qu’elle se présentera à nous mais bel et bien en récitante de poésies et de lectures.

 

 

Retrouver le public sur un registre inhabituel : la poésie…

 

Mais, pour celles et ceux qui seraient néophytes sur le sujet, qu’on se le dise : l’artiste possède différentes cordes à son arc et s’est déjà exercée par le passé à jouer la comédie.  

A son répertoire, il y a des films. Même pornographiques qui ont été tournés bien avant ses débuts de chanteuse en 1985. Le théâtre tient aussi une place prépondérante non excusable. Dont « Concha Bonita » où entre 2002 et 2005, Catherine RINGER occupera le devant de la scène dans une comédie musicale originaire d’Afrique du Sud, pétillante. Mais, de représentations scéniques uniquement articulées autour de la poésie, jamais.    

« J’aborde ce travail de manière très différente, confie l’artiste, jointe par téléphone, c’est une opportunité de retrouver le public sous un tout autre registre que celui de la chanson… ».

S’imprégner de textes qui célèbrent l’érotisme au féminin sous la plume d’Alice MENDELSON est une vraie partie de plaisir pour l’interprète du tube « Andy ». Des écrits pleins de générosité et de puissance qui ont été testés au Théâtre de la Huchette à Paris, antre des pièces du dramaturge Eugène IONESCO, au mois de décembre. Un avant-goût de ce qui attend les spectateurs icaunais. L’instant sera rare. Voire peut-être unique.

« On ne sait pas encore ce que l’on va faire de ce spectacle, précise Catherine RINGER, est-ce qu’il provoquera de l’enthousiasme parmi les spectateurs ? Rencontrera-t-il le succès ? ».

 

 

« Une belle parenthèse avant de me mettre en jachère… »...

 

Cette vision explicite de l’autre facette de la chanteuse, ce côté immergé et entouré d’un halo de mystère de l’iceberg, sera-t-elle suivie d’une suite, à l’aide d’une tournée en 2022 ? Pas si sûr ! L’artiste désire souffler un peu après une harassante série de récitals, consacrés au répertoire des RITA MITSOUKO durant plus de deux années et demie à travers l’Hexagone.

« Ce spectacle de poésie représente une belle parenthèse dans ma carrière alors que je souhaite me mettre en jachère pendant quelques temps. J’ai la chance de pouvoir décider et de le faire sans contrainte. C’est l’incertitude de l’aventure… ».

Disponible, agréable, accessible, la musicienne prend le temps de répondre aux interrogations. Et d’évoquer en quelques mots le lien d’amitié indéfectible qui l’unit à la plus emblématique nonagénaire de ce début d’année, Alice MENDELSON. Une amie de son père.

« C’est une grande dame, elle est formidable. Un personnage unique. Ses poèmes sont d’une rare beauté. Ils sont profonds, tendres et sensuels à la fois. Leur donner vie sur une scène est le plus des cadeaux que nous pouvons lui faire… ».

Le « nous » englobe d’autres amis. Connu pour ses travaux réalisés pour le cinéma, Grégoire HETZEL est aussi de l’aventure. Les œuvres d’Arnaud DESPLECHIN, Julie BERTUCELLI ou Mathieu AMALRIC ont bénéficié de ces lumineuses compositions. Quant à Mauro GIOLA, il assure la mise en scène d’une représentation qui ne devrait laisser personne indifférent.

 

 

En savoir plus :

L’érotisme de vivre

Samedi 05 février à 20h30.

Performance poétique avec Catherine RINGER et Violaine BONEU.

Théâtre d’Auxerre

 

Thierry BRET

 

 


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Dans son for intérieur, il le savait très bien. La ligne se traçait petit à petit comme une simple évidence, jalonnée d’expériences réussies, conjuguées aux rencontres judicieuses faites avec les bonnes personnes. Le tout servi par les diplômes adéquats. Tôt ou tard, sa destinée le placerait dans des conditions optimales pour endosser le rôle de dirigeant d’entreprise. C’est fait : Remzi KURBAN, pur produit de l’IFAG Auxerre, préside désormais à 37 ans la SAS BELLIER, spécialiste de l’escalier sur mesure.

 

FAY-AUX-LOGES : Il possède un look de « winner » l’ancien diplômé de l’IFAG Auxerre. Déjà lorsqu’il s’adonnait à ses chères études, le garçon s’était manifesté à tous ses suiveurs, y compris celles et ceux du monde de l’entreprise, comme une pépite prometteuse dont il fallait observer le moindre soubresaut dans le temps. Un look de « vainqueur », certes, assorti d’un sens inné de la prise de responsabilités teintées d’humanisme. Logique, quand on est pourvu d’une tête bien pleine. Bref : le gendre idéal à faire épouser à sa fille si cette dernière avait quelque peu de l’ambition !

A 37 ans, ce père de famille aimant (les photographies de ses enfants ornementent le vaste bureau accueilli dans le siège social de cette PME en devenir), l’ancien Auxerrois change de statut en relevant un nouveau défi. Celui de dirigeant de l’entreprise BELLIER, un faiseur de qualité dans l’art et la manière de concevoir des lignes d’escaliers de bois, en acier ou de verre.      

 

 

Six ans à peine après avoir intégré la SAS du Loiret, l’Icaunais s’installe au poste de commandement pour y jouer désormais les premiers rôles. Mais, attention, pas en capitaine d’industrie qui déciderait de tout, isolé dans sa tour d’ivoire. Non, comme un entrepreneur à l’écoute de ses salariés, dans un mode de pensée participative où l’écoute et le dialogue sont autorisés.

Avant de prendre les rênes de la structure, Remzi KURBAN s’est fait les dents en découvrant tous les rouages d’une PME qui est opérationnelle depuis bientôt cinq décennies. Directeur commercial et du marketing entre 2014 et 2018, avant d’occuper la fonction stratégique de directeur général par la suite, le jeune homme se forge un parcours accompli dans cet univers si riche de l’entreprenariat.

En rachetant la majorité des parts à l’ancien dirigeant, Samuel POISSON, l’Auxerrois assure à l’instant « t » la double casquette de président et de directeur général, avant de restructurer l’organigramme, sans doute dès 2023. Une transition qui s’est faite en douceur. Dans la continuité éthique, parfaitement maîtrisée…

Thierry BRET

 


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Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.

 

AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.

« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».

Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.

Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.

 

 

Une aide qui intègre le programme France 2030…

 

A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.

Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !

Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.

Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.

 

 

Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…

 

Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».

Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !

Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !

Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.

« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».

 

 

Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…

 

Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.

« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».

Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.

Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.

Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.

 

Thierry BRET

 

 


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