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Quand deux ferventes dames de la chanson française traditionnelle se croisent, de quoi voulez-vous qu’elles parlent ? De ce patrimoine si riche à la propagation de notre langue à travers le monde et de l’impact que certains interprètes ont eu sur la découverte culturelle de notre pays à l’international ! C’est le cas de la Russie qui, lors d’un récital du Chœur de l’Armée Russe à Paris, a favorisé cet échange inattendu entre deux étoiles de la ritournelle hexagonale : l’indémodable Mireille MATHIEU et notre ambassadrice de l’Yonne, Christelle LOURY…

 

PARIS : L’échange a eu lieu dans un cadre insolite et d’exception. Dans les travées, puis sous les ors du salon d’honneur du théâtre de l’ambassade de Russie, boulevard Lannes à Paris.

Ayant noué des liens d’amitié avec ce pays-continent qui s’étale entre l’Asie et l’Europe, l’artiste icaunaise voue une admiration sans borne pour cette contrée qui le lui rend si bien !

Plusieurs tournées ont déjà eu lieu dans l’ex-Union Soviétique qui a fait aujourd’hui de la « Marianne » de l’Yonne l’une de ses vedettes françaises préférées. La jeune femme jouit d’une véritable notoriété auprès des instances suprêmes de la nation. Y compris en haut-lieu à Moscou !

Mais, c’est bel et bien dans le cadre d’un concert donné par le Chœurs de l’Armée Russe récemment, auquel la chanteuse était invitée par Son Excellence l’ambassadeur Alexeï MECHKOV, en compagnie de son producteur et manager Pierre (son époux dans le civil) que Christelle LOURY a eu la surprise de pouvoir disserter longuement avec une autre grande dame de la chanson française, Mireille MATHIEU.

Une star éternelle qui brille toujours sous la voûte céleste de la culture francophone aux quatre coins de la planète.

 

 

Un théâtre de l’ambassade porte-bonheur pour la vedette de l’Yonne…

 

Cet échange intergénérationnel aura permis de discuter des valeurs de la chanson française, de l’un de ses pygmalion en la personne de l’inoubliable Edith PIAF, et de cette Russie, si admiratrice de ces talents venus de l’Hexagone.

Ce n’est pas la première fois que Christelle LOURY discute avec des célébrités au détour de ses pérégrinations artistiques. Récemment, la native de l’Yonne s’était entretenue de manière inopinée avec Gérard DEPARDIEU ou le fils de Marcel CERDAN.

La jeune femme a par ailleurs interprété l’un des titres de Mireille MATHIEU, « Paris en colère », par le passé dans l’un de ses spectacles, « Paris Broadway ».

Pour l’anecdote, c’est dans cette même salle, un complexe théâtral accueilli dans l’enceinte de l’ambassade à Paris, que devant cinq cents spectateurs enthousiastes la chanteuse au répertoire composé de standards immortels de la chanson française avait effectué ses grands débuts nationaux. C’était en 2015.

On ne sait en revanche si Christelle LOURY profitera de cette opportunité avec Mireille MATHIEU pour espérer travailler avec elle…

 

 


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Alors que débute le 05 février le Salon des Entrepreneurs au Palais des Congrès à Paris, le réseau Entreprendre Bourgogne affiche un bilan de santé très positif à l’entame de la nouvelle année. Dans l’Yonne, le nombre de ses adhérents progresse. Tutoyant ainsi la cinquantaine de membres. A l’échelle régionale, la Nièvre dispose désormais de méthodes de développement similaires à celles de ses voisins bourguignons. Prometteur…

DIJON : Voilà un réseau d’entrepreneurs qui se porte à merveille. Où convivialité rime toujours avec efficacité. Celle des comités d’engagement, par exemple, qui étudient de manière minutieuse les dossiers de candidature de futurs lauréats. Soutenus par la suite grâce à des avances financières sous la forme de prêts qui émanent d’établissements prêteurs. C’est-à-dire des banques !

Celles qui ont décidé d’interférer en faveur de porteurs de projets ambitieux n’hésitant pas à dynamiser l’attractivité territoriale de leurs nouvelles trouvailles.

Rien qu’en 2019, le réseau bourguignon a organisé 27 de ces indispensables comités. La résultante en fut simple : cela aura permis de désigner vingt-cinq lauréats dont quatre implantés dans le seul département de l’Yonne.

Toutefois, derrière ces chiffres qui sembleraient presque anecdotiques en les lisant, il faut relever le nombre d’emplois créés à l’issue de ces coups de pouce salutaires : cent-cinquante !

Une manne quasi providentielle dont ne peut se départir ce territoire de Bourgogne qui ne caracole pas dans le peloton de tête de la création de postes. Alors, oui, les bienfaits de ce réseau sont vertueux !

 

Etendre la confiance à l'ensemble des partenaires...

 

La confiance règne entre la structure et les opérateurs bancaires. Jugez plutôt : pour un euro avancé par le réseau sur un projet dédié, ce sont quinze euros de mieux qui proviennent des subsides débloqués par les établissements financiers. Bref, un effet de levier supérieur de quinze points ! Très stimulant pour les acteurs de l’entrepreneuriat !

Il existe naturellement une explication à cela. Le taux de pérennité de ces entreprises ayant reçu l’onction du réseau Entreprendre Bourgogne (REB) est de 90 % à cinq ans ! Autant dire que la marge de manœuvre se veut satisfaisante pour le milieu bancaire parfois un peu frileux à ouvrir son bas de laine.

D’ailleurs, le réseau sait qu’il peut compter sur l’appui indéfectible d’autres partenaires du même acabit. Ceux qui aident et accompagnent au quotidien les chefs d’entreprises à amorcer la pompe financière, à l’instar de la structure INITIACTIVE 89. Le travail avec cette dernière se déroule en étroite accointance dans l’Yonne.

Pour Arnaud GRAVEL, à la tête de la direction du réseau régional comme pour sa collègue, Sophie BERNARD, opérationnelle en terre icaunaise, le réseau devrait encore faire entendre sa voix cette année.

Et ce, dès le 18 juin, avec la tenue de l’incontournable Soirée des Lauréats, évènement concocté dans l’un des espaces d’accueil de Dijon. Mais aussi, lors du traditionnel Dîner des Réseaux qui sera proposé à l’automne à l’ensemble des acteurs institutionnels et économiques de la place.

Et pour celles et ceux qui en voudraient davantage, il leur restera toujours l’opportunité de prolonger les échanges lors du congrès national prévu en Alsace du 02 au 04 octobre. Le rendez-vous est biennal : donc, pas d’hésitation pour s’y retrouver !

 

 

 


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Sujet brûlant que celui-ci ! Les retraites constituent le nœud gordien des politiques de tout poil ! Le principe même de notre système de retraite par répartition repose sur les actifs : ils payent les pensions des retraités. Soit aujourd’hui, 26,9 millions d’actifs et 2,8 millions de chômeurs. Largement insuffisant pour financer les 14 millions de retraités. En 2018, le déficit des retraites était de 2,9 milliards. Une somme plutôt faible au regard des 325 milliards versés. C’est l’avenir qui fait peur : de moins en moins de recettes, de plus en plus de retraités...

 

TRIBUNE : Paradoxalement, certaines mesures comme les réductions ou les exonérations de cotisations sociales, voire les coupes drastiques dans le nombre de fonctionnaires, vont contribuer à la diminution des recettes. Alors, souhaitez-vous des compléments de revenus ? Souscrivez à la retraite par la capitalisation nous affirment nos banquiers préférés !

Le principe est simple : le montant reçu n’est que la redistribution du capital placé. L’argent placé à long terme galope sur les marchés financiers (Bourse, autres produits dérivés…), ce qui est donc très risqué.

La rentabilité d’un placement est inversement proportionnelle au risque : un invariant depuis des siècles ! La retraite par capitalisation se définit ainsi dans la pratique : je touche ce que j’épargne (éventuellement).

Ce type de retraite repose sur deux critères importants : le montant épargné et le taux de rendement dudit placement. La rentabilité devant assurer le maintien du pouvoir d’achat des sommes versées.

Aujourd’hui avec des rendements à taux zéro, plus de revalorisation du capital épargné ! Avec la baisse historique des taux, le système explose.

Certains dépôts de particuliers sont taxés par les banques : la Banque Centrale Européenne (BCE) offre des taux négatifs. Quand on épargne, on paye des intérêts…

 

La retraite par capitalisation : un risque individuel absolu. 

 

La retraite par répartition repose sur une solidarité intergénérationnelle. L’autre paradoxe de la capitalisation est de ressembler à la répartition sur le plan de la disponibilité. Lorsque nous demandons à toucher la rente du placement, il faut que l’organisme de placement détienne les liquidités pour débloquer les fonds demandés.

Si ce n’est pas le cas, la disponibilité sera assurée par les nouveaux souscripteurs ! Comme « Canada Dry », ça ressemble à la répartition mais ce n’est  pas de la répartition !

L’illusion de la capitalisation, c’est de croire que notre épargne aujourd’hui, sera capable d’ici quinze ou vingt ans, de garantir les règlements réclamés et capables de maintenir le pouvoir d’achat, compte tenu de l’inflation !

Du même niveau de croyance que la petite souris, le Père Noël et les œufs de Pâques !

Je préfère encore le « Pari de Pascal » ! Mieux encore : le livret A et les autres livrets d’épargne (comme le LEP à 1 %) : ils sont sûrs et disponibles.

Aujourd’hui, pour les plus jeunes, préparer sa retraite, c’est d’abord faire un prêt pour être propriétaire de sa résidence principale. Economiquement, faire du crédit ou épargner, c’est la même chose.

N’oublier pas la maxime suivante : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre ! ». VOLTAIRE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’exercice d’une prise de parole de cette nature est taillé sur mesure. Pour délivrer des messages forts et percutants qui doivent marquer les esprits d’une assistance à l’écoute du moindre indicateur potentiel. Une sorte de traceur indélébile de ce que pourrait être la conjoncture liée à la nouvelle année débutante et ses perspectives. Et à ce jeu-là, celui qui fut le plus prolixe pour venir s’exprimer à la tribune de la Maison de l’Entreprise lors de la traditionnelle cérémonie des vœux du monde de l’industrie n’était autre que Jean-Dominique DAGREGORIO. Le nouvel homme-lige, patron de la société NOGUES, à la cause indéfectible de l’UIMM et à la défense de ses valeurs. Compte rendu… 

AUXERRE : Bien sûr, il y avait en vedette américaine de ce premier rendez-vous annuel propre à la sphère patronale et économique le philosophe, politologue et essayiste Luc FERRY, ex-ministre de l’Education nationale. Promis à un grand succès d’audience (ce qui se confirmera par la suite) tant le personnage décline son propos avec le verbe facile, une aisance naturelle dès qu’il se place devant un micro et une méthode analytique passionnante et étayée, ponctuée d’un sens de l’humour à tenir en éveil le spectateur même le plus assoupi !

Bien sûr, il y eut l’intervention protocolaire du nouveau préfet de l’Yonne, fraîchement émoulu sur notre territoire, Henri PREVOST, qui petit à petit et à force de contacts officiels répétitifs grâce aux cérémonies de vœux commence à se constituer le réseau idoine et nécessaire dans l’optique de pouvoir gérer de manière optimale ses futurs dossiers.

Il y eut même une courte mais dynamique intervention d’un Guillaume LARRIVE au meilleur de sa forme dans l’entre-deux de la soirée. Le député de la circonscription ne pouvait manquer une telle opportunité de prendre la parole devant un parterre, aussi dense et représentatif de l’entrepreneuriat local, histoire là-aussi de marquer les esprits.

 

 

 

Avec en prime, un petit tacle adressé à la municipalité auxerroise qui selon ses dires n’a toujours pas su prendre la réelle mesure de l’électrification de la ligne ferroviaire reliant la capitale de l’Yonne à la halte obligée de Laroche-Migennes !

Bien sûr, il y aura nécessairement la prise en main de cette soirée concoctée devant un amphithéâtre plein comme un œuf (Luc FERRY n’était pas revenu en de telles circonstances dans l’Yonne depuis 2011) par Claude VAUCOULOUX. On l’a déjà dit et écrit mais le délégué général de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM, possède une faconde particulière dans sa manière à animer ce type d’évènementiel. Toujours avec élégance, minutie et tact, mettant à l’aise ses interlocuteurs en sachant maîtriser le temps.

Bref, si un jour, il doit se reconvertir, Claude VAUCOULOUX n’aurait aucun mal à faire carrière dans cette approche physique et visuelle de la communication orale, un exercice qui lui sied à ravir !

 

 

 

 

Le recrutement : le mouton noir de l’actualité économique icaunaise…

 

Si Etienne CANO, président du MEDEF départemental, écourta son intervention, préférant laisser aux branches professionnelles le soin de pouvoir s’exprimer, Xavier PAPIN et Jean-Dominique DAGREGORIO usèrent davantage d’arguments oratoires pour présenter le bilan de la saison écoulée et les perspectives de leurs secteurs respectifs d’activité.

L’un, le premier, en sa qualité de président de la puissante Fédération départementale du Bâtiment. Le second, et c’était sa grande première en qualité d’orateur officiel – il a succédé à André BEX à ce poste en juin dernier – réalisa un baptême du feu de belle facture dans cette salle à la contenance de près de 300 places.

Pour Xavier PAPIN, l’exercice lui aura servi de répétition. Quelques jours avant l’organisation d’une cérémonie similaire qui sera donnée dans les locaux de la fédération rue de l’Ocrerie.

 

 

Mettant l’accent sur la fragilité des entreprises et la faiblesse de leurs marges avec de surcroît des trésoreries difficiles, le président de la FFB ne put cacher son désarroi face à la situation symptomatique de l’Yonne où un tiers des logements n’a pas été mis en chantier par rapport à l’exercice antérieur.

« Il serait grand temps, lâcha-t-il, péremptoire, que les donneurs d’ordre prennent enfin conscience qu’il est nécessaire de faire travailler les locaux s’ils veulent soutenir le développement de l’économie dans l’Yonne… ».

Un pavé dans la mare qui espérons-le fera quelque peu bouger les lignes dans un avenir proche.

 

 

A quand l’entente parfaite autour du programme « Territoire d’Industrie » ?

 

Quant à Jean-Dominique DAGREGORIO, il déplora tout de go le manque de solutions à court terme à apporter sur l’un des sujets les plus récurrents et alarmistes qui préoccupent les chefs d’entreprise aujourd’hui : celui du recrutement. Nous y reviendrons dans le détail par ailleurs en développant son intervention.

Il salua également le concept « GISAéro », rassemblant des entreprises de la région ayant comme dénominateur commun la filière aéronautique. Une vraie réussite, à ses yeux, à poursuivre sans renâcler.

Le dirigeant de NOGUES eut un mot de conclusion dur mais tellement réaliste sur la convention « Territoire d’industrie », programme de développement initié l’année dernière sous la tutelle de l’Etat et de la Région qui n’a pas encore reçu d’écho favorable dans l’Yonne.

 

 

Ce texte indispensable pour être éligible aux financements facilitant le développement économique territorial n’a toujours pas reçu l’onction nécessaire des forces vives de notre territoire !

Rageur dans ses arguments, le président de l’UIMM a invité les élus du département à oublier « leurs notes discordantes à deux sous » afin de s’entendre et rendre désormais plus attractive une zone géographique en déshérence qui en a grand besoin. L’année 2020 peut désormais débuter avec cet espoir…

 

 


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Idéalement, le concept devrait être opérationnel dès les premiers jours de septembre. Logique, car il faudra alors répondre avec célérité aux attentes et besoins de celles et ceux qui travaillent au quotidien dans la zone artisanale et industrielle la plus développée du Sénonais. Eriger une crèche au beau milieu d’une zone d’activité économique ne semble donc pas utopique en soi. Le projet, encouragé par l’Agglomération et les acteurs institutionnels qui agissent dans le secteur de la petite enfance, nécessitera un investissement d’un million d’euros. Et, il va sans dire, il sera créateur d’emplois…

SENS : Son sourire illumine son visage. Il traduit un optimisme rayonnant qui fait plaisir à voir. Celui d’une jeune femme de 36 ans, farouchement déterminée à atteindre ses objectifs professionnels.

Heureuse d’apporter un service concret qui résout l’épineuse problématique de la garde d’enfants lorsque les parents actifs travaillent, Christina NGOUMBI ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

A peine la crèche « COPAINS CABANA », sortie de terre il y a peu à Paron, que déjà elle se projette sur la seconde phase évolutive de sa société, une SAS, qu’elle pilote à la perfection.

La Sénonaise sait parfaitement ce qu’elle veut. Et aujourd’hui, son regard et ses choix stratégiques se tournent vers la zone industrielle sise en bordure est de Sens : celle des VAUGUILLETTES.   

Si tout se passe pour le mieux, septembre coïncidera avec l’ouverture du deuxième établissement qui accueillera les bambins des actifs s’affairant chaque jour dans les entreprises de ce secteur géographique.

Une opportunité que ne pouvait qu’encourager les stratèges du développement économique locaux. Demain, la zone se muera en zone d’activités d’intérêt régional (ZAIR) dans le cadre du programme « Territoire d’Industrie », auquel le Grand-Sénonais a décidé d’adhérer.

 

Le plébiscite des acteurs économiques et institutionnels…

 

Et pour faciliter l’accueil de nouvelles entreprises et forces vives sur la zone septentrionale de notre département, nul n’est besoin d’être un prophète en son pays pour considérer que l’apport de services spécifiques supplémentaires sera du pain béni pour accroître l’attractivité d’un secteur et faire la différence vis-à-vis d’autres contrées de l’Hexagone.

Or, parmi les projets d’extension de qualité auxquels les décideurs politiques, institutionnels et économiques croient dur comme fer, la prolifération de services communs intègre ces priorités. Dont la présence de crèches à proximité des structures entrepreneuriales !

Or, c’est peu dire que le concept déjà fonctionnel de Christina NGOUMBI (entrepreneuse soutenue par le réseau Entreprendre Bourgogne-elle en a été lauréate officielle- et l’accompagnateur INITIACTIVE 89 qui lui a consenti un prêt d’honneur) sur la localité voisine de Paron, interpelle en haut lieu.

Validé par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens, le dossier est désormais en bonne voie de concrétisation.

D’autant que le Conseil départemental et la Caisse d’allocations familiales (CAF) pourvoiront à son développement. Même si la société porteuse est sous statut privé.

 

Les entretiens d’embauche débuteront en mars…

 

Dans l’absolu, le second élément à ajouter au futur triptyque de ce programme ambitieux (on sait déjà qu’un troisième établissement verra le jour au nord de Sens un peu plus tard) créera de nouvelles embauches.

Des salariés au profil professionnel, certes classique pour exercer dans cette filière mais ô combien nécessaire à l’essor de l’entreprise : auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, titulaires de CAP petite enfance…

Déjà, les candidatures affluent sur le bureau de Christina. Les premiers entretiens s’effectueront courant mars.

Avant que n’ouvre la nouvelle structure, la jeune dirigeante aura pris soin de multiplier les contacts avec les services DRH des entreprises de cette zone, bien pourvue, mais aussi ceux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Rappelons que l’institution occupe une position éminemment stratégique avec son Village d’entreprises.

Une vingtaine de berceaux devraient être mis ainsi à la disposition des parents d’une soixantaine de familles dès cet automne. Un plus indéniable pour optimiser la gestion du quotidien et le rendre plus facile pour les parents…   

 

Un article réalisé en partenariat avec l’Agglomération du Grand-Sénonais, la Ville de Sens et INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


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