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Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


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Plus jeune, il aurait souhaité consacrer du temps à cette activité citoyenne. Comme le font aujourd’hui beaucoup de filles ou de fils qui emboîtent leurs pas dans les traces de leur père. Oui mais voilà : le destin en a voulu autrement. Même s’il a côtoyé de fort près le milieu militaire avant de s’engager dans la préfectorale, le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, n’aura jamais été un sapeur-pompier volontaire !

AUXERRE : Un voile de nostalgie, teinté d’un zeste humoristique, s’est manifesté lors de la signature de la convention-cadre entre le Département de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) vendredi 21 février. Et c’est au directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, qu’on le doit !   

Le fonctionnaire d’Etat s’est quelque peu épanché lors de sa prise de parole en avouant que « devenir sapeur-pompier volontaire (SPV) aurait été un moment fort de son existence ».

Si et seulement si, il avait pu bénéficier d’un entourage familial déjà immergé au préalable dans cette sphère corporatiste. Ce qui n’était pas le cas.

Tristan RIQUELME n’a donc pu accomplir ce désir de jeunesse. Ce qui ne l’a empêché d’en évoquer ce souvenir avec franchise face à une assistance fortement représentative du noble corps de secouristes. Incitant ses enfants à le faire si l’occasion s’en présentait.

« Si j’avais été fils de sapeur-pompier, souligna le proche collaborateur du préfet Henri PREVOST, il aurait sans doute plus facile de suivre cette voie qui mène au SPV… ».

 

Promouvoir les SPV dans le cadre du Plan d’action 2020…

 

Le recrutement de la filière par le biais de la filiation n’est plus à démontrer, il est vrai. Puis, poursuivant sa digression orale, Tristan RIQUELME, féru d’histoire, rappela les origines des services de secours se référant au seul volontariat. Un principe hérité de la Garde nationale sous la Révolution.

Avant d’évoquer le rôle des employeurs, fondamental à ses yeux, et garant du succès d’un Plan d’action mis en œuvre depuis deux ans sur le territoire qui court jusqu’en 2021.

Jugeant efficace et performant les tâches quotidiennes des SPV dans leurs interventions, l’ancien sous-préfet d’Issoire encouragea pour conclure les acteurs institutionnels et le SDIS 89 à promouvoir ce mode de secours vers le plus grand nombre. Se remémorant l’une des célèbres citations de l’écrivain Albert CAMUS, forte de symboles : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent… ».

 

 

 

 


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Le renouvellement de la convention-cadre établie entre le Conseil départemental de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) ne fut que pure formalité entre ses signataires, ce vendredi 20 février à Auxerre. Tant l’évidence primait sur l’acceptation d’un accord déjà bien ancré dans la pratique de ce partenariat depuis 2008. Vingt-cinq agents de la collectivité territoriale en sont les bénéficiaires. Avantage suprême : leur employeur institutionnel leur autorise du temps pour qu’ils puissent se former et agir lors de missions dévolues à leurs tâches…

 

AUXERRE : 80 % des actions enclenchées dans le cadre de la sécurité civique reposent sur le principe éthique du volontariat. Autant dire que pour le corps des sapeurs-pompiers, il est inconcevable de négliger une telle matière première dont il est bon, avec la constance régulière d’un métronome, de raviver la mémoire et raffiner la quintessence altruiste de ces bonnes âmes lors de manifestations spécifiques.

Pensé en 2017, le Plan d’action visant à recruter des sapeurs-pompiers volontaires, voulu par Gérard COLLOMB, ministre de l’Intérieur de l’époque, n’est pas passé inaperçu dans le sérail local. Présentant un intérêt inéluctable pour les soldats du feu et les structures institutionnelles qui sont inféodées à leur mode de fonctionnement. A l’instar du Conseil départemental de l’Yonne.

Il est donc logique, voire légitime, que l’organe représentant le pouvoir politique exécutif de notre territoire fasse usage d’exemplarité dans la promotion de ce dossier vertueux.

Depuis 2008, et bien avant les opérations nationales menées à grand renfort de communication, un certain nombre de collaborateurs de la structure avait fait connaître leur intention de s’engager en faveur de cette noble et valeureuse cause. Au service de leurs concitoyens.

 

 

Elles et ils sont désormais vingt-cinq de cette vénérable maison à offrir de leur précieux temps pour renforcer les équipes de professionnels déjà en place au sein des différents centres d’intervention de l’Yonne.

Devant cet engouement volontariste à la déontologie dénuée de toute ambiguïté, le Département ne pouvait rester insensible à ces engagements salvateurs pour les services de secours de notre territoire.

D’où l’idée que l’on puisse accorder du temps supplémentaire à prendre sur sa présence au travail afin d’accroître ses connaissances techniques à la suite de formations ou pour épauler les équipes en intervention.

 

 

Un principe gagnant/gagnant pour les secours et les employeurs…

 

Très tôt, les résultats se sont avérés positifs. Si en 2017, trente-neuf sapeurs-pompiers volontaires exerçant leur activité professionnelle dans une vingtaine de sociétés publiques et privées avaient paraphé ce document (l’accord tripartite entre l’employeur, le SDIS et le Département), leur nombre devait dépasser toutes les espérances en ce début d’année.

Cent-quarante personnes, salariées dans soixante-quinze entreprises, ont rejoint les effectifs des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) de notre territoire.

A la grande satisfaction du président du SDIS, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département, et du directeur de l’instance sécuritaire, le colonel Jérôme COSTE. Ce dernier était accompagné pour la circonstance lors de cette cérémonie officielle par le colonel Pierre BEPOIX et le commandant Gilles ROGUIER.

 

 

 

Grossir les rangs des sapeurs-pompiers volontaires demeure la priorité du Département et de son président, Patrick GENDRAUD, y compris auprès de ses propres collaborateurs. A ce jour, l’Yonne en dénombre plus de mille trois cents cinquante. L’objectif est de gagner encore de la visibilité auprès des employeurs et de leurs salariés.

La mise à disposition par l’entreprise de cinq jours consacrés aux aspects pédagogiques et théoriques peut inciter les personnes intéressées à franchir le cap. Celui de l’engagement en faveur d’un acte citoyen qui peut vite devenir profitable pour l’entrepreneur lui-même si un sinistre ou un incident de travail venait à se déclarer dans ses locaux.

A bon entendeur, pour les chefs d’entreprises ou directeurs de service, qui auraient encore des doutes sur la pertinence déontologique d’une telle initiative…

 

 


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La traditionnelle soirée « Carte de visite », un ersatz de « job dating » décliné par l’AJ Auxerre à l’intention de ses partenaires des milieux économiques et institutionnels, a fait un heureux à son terme, mercredi soir. C’est en effet l’artisan Rodolphe BROSSIER (Société B.R.I.) qui a reçu des mains du président Francis GRAILLE le lot mis en jeu lors d’une tombola, le maillot de l’un des professionnels du club…

AUXERRE : Il ne s’y attendait pas ! Quelques minutes furent nécessaires avant qu’il ne comprenne vraiment que c’était bien lui qui repartirait du club Europe avec la précieuse vêture dans sa besace !

L’entrepreneur de CHENY, Rodolphe BROSSIER, s’est donc vu gratifier d’un joli présent au terme de la traditionnelle animation « Carte de visite », concoctée chaque saison par le staff logistique de l’AJA. Une manifestation très suivie par les partenaires de la sphère économique et institutionnelle soutenant le club.

Au terme de cette soirée placée sous le sceau de la convivialité et de l’échange (surtout de la précieuse carte de visite, sésame d’entre les sésames de cette manifestation), un tirage au sort fut organisé pour offrir à l’une des personnes présentes le maillot de l’un des joueurs évoluant au sein de l’équipe première.

Cette année, c’est le milieu de terrain franco-marocain Hamza SAKHI qui s’était prêté à ce petit jeu en déposant à côté de l’urne l’une de ses parures.

La main « innocente » requise pour procéder à l’identification du vainqueur par le fruit du hasard fut celle du…président Francis GRAILLE en personne !

Appelé à la tribune afin de récupérer son cadeau, le dirigeant de la SASU B.R.I. remercia ses hôtes avant de présenter de manière liminaire son activité professionnelle : la décoration, peinture et rénovation d’intérieur.

Un chef d’entreprise satisfait de cette soirée, riche et utile en contacts…

 


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Confortable en optimisant la qualité de vision des habitants mais surtout très économique pour les communes qui en règlent les factures, l’éclairage public 100 % LED progresse sur notre territoire. Ce sera encore le cas ce 26 février au nord de Sens, à CHAMPIGNY. L’agglomération vient de se doter d’un parc de 380 luminaires pour un coût de travaux de 280 000 euros TTC dont 145 000 euros TTC à sa charge. Le reliquat émane des aides proposées par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne…

CHAMPIGNY : Vétuste, le parc d’éclairage public de cette grosse bourgade de plus de deux mille habitants de l’Yonne septentrionale devait procéder à de sérieux aménagements. Afin d’en améliorer la qualité de lumière diffusée.

Mercredi prochain, aux alentours de 18 heures, les 380 luminaires LED connectés seront officiellement inaugurés.

En présence de l’équipe municipale, certes, mais aussi des représentants du SDEY, le Syndicat départemental d’énergies qui a contribué au succès de cette opération.

Le SDEY aide, en effet, les localités qui le désirent à rénover leur parc d’éclairage public en le modernisant avec l’emploi de cette technologie déjà éprouvée.

 

 

L’organisme, présidé par Jean-Noël LOURY, propose des aides allant jusqu’à 70 % du coût des travaux. Sachant qu’une fois le réseau d’éclairage opérationnel, la maintenance du parc est gratuite pendant cinq ans.

Grâce à cet éclairage qui gagne en performance et surtout en qualité de lumière, la commune peut ainsi réduire jusqu’à 50 % d’économies sur ses factures d’électricité.

Alors, à qui le tour, pour la prochaine installation ?

 

 


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