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L’outil est mis à disposition des entreprises depuis le mois de novembre. Elaboré dans le cadre du Pôle Métropolitain Bourgogne Sud-Champagne Portes de Paris, il répond, sous le sceau d’une mutualisation opérationnelle efficiente, aux besoins des entrepreneurs de cette zone géographique. Celles et ceux qui sont en quête de ressource humaine nécessaire à leur développement. Dans le cas présent, des stagiaires et des alternants. Avec pourquoi pas l’opportunité de fixer plus longtemps sur ce territoire de jeunes diplômés de l’enseignement supérieur qui convertiraient ainsi leur présence par le biais d’un premier emploi…

TROYES (Aube) : Porté par le Pôle Métropolitain Bourgogne Sud-Champagne-Portes de Paris, le concept est original. Non seulement, il réunit les trois communautés d’agglomération qui se sont fédérées derrière cette appellation territoriale (Chaumont, Sens et Troyes) ; mais en outre, il voit la présence des trois chambres consulaires des secteurs concernés : la CCI Troyes et Aube, celle de la Haute-Marne et l’institution de l’Yonne.

D’un commun accord, ces partenaires ont statué positivement sur la création d’un opus qui fait aujourd’hui florès en se développant : le Guide du stage et de l’alternance.

Ses objectifs sont les suivants. Primo, promouvoir les formations supérieures et, de manière plus globale, les établissements d’enseignement supérieur auprès des entreprises et des structures locales. Mais, ce n’est pas tout. Comme le stipule l’adjoint à la direction générale de l’enseignement supérieur, recherche, vie étudiante et maison du patrimoine, Guillaume ALIZARD, interrogé à ce propos.

« Cet outil créé une relation privilégiée entre l’établissement formateur et le chef d’entreprise, constate-t-il, les premiers retours peuvent déjà être qualifiés d’excellents. Son élargissement concrétise la synergie mise en adéquation dans le cadre du Pôle Métropolitain. Il offre surtout aux étudiants l’opportunité de pouvoir effectuer un stage ou une alternance en entreprise par le recrutement. Selon la relation qu’entretient l’entreprise à l’égard de l’étudiant… ».

Une fréquentation en hausse depuis le lancement en novembre…

Depuis le lancement de ce dispositif, la fréquentation du guide mis en ligne ne cesse de croître. Sans que toutefois, ses instigateurs puissent analyser avec plus de précision le degré de perception des entreprises. Par faute de temps des principaux intéressés, les entrepreneurs eux-mêmes qui ne remontent de type de renseignements pourtant très utiles.

Quoi qu’il en soit, les étudiants se posent beaucoup de questions sur ce modèle de mise en relation et se montrent très intéressés par ce système qu’ils jugent performant.   

Or, ce guide pratico-pratique répond à point nommé aux exigences des entrepreneurs mais aussi à leur service de ressources humaines, voire à d’autres structures qui emploient des jeunes.

« Outil de recherche des formations du territoire, ce guide permet surtout de sélectionner un ou plusieurs critères pour trouver ladite formation. Ainsi, son utilisateur peut aisément contacter en direct le responsable de la formation pour accueillir un stagiaire ou un alternant dans sa structure, précise Guillaume ALIZARD. L’outil offre la faculté à ses utilisateurs de pouvoir se doter d’un véritable vivier, source de recrutement… ».

Au-delà de l’initiative, qui se veut judicieuse, le Guide du stage et de l’alternance a aussi pour vocation d’encourager les entreprises à accueillir des stagiaires et à les recruter auprès des agglomérations du Pôle métropolitain. Valorisant ainsi ce territoire Bourgogne Sud-Champagne-Portes de Paris, apparu depuis peu dans le paysage institutionnel et économique.

Un site sur le covoiturage étudiant avec Blablacar et EKODEV est également prévu pour étoffer ces offres. Encore en phase de finalisation, on en saura davantage dès les premiers jours de juillet…

Le site internet du Guide est consultable sur la référence : http://guide-stage-alternance.fr/

Un article réalisé en partenariat

avec la Ville de Sens et la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais.


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Plus de 6 400 personnes faisant face à une conjoncture économique et sociétale délicates ont bénéficié du remarquable travail d’accompagnement assuré par l’association depuis 2008. Près de 70 % d’entre elles se sont extraites de ce mauvais pas en retrouvant la stabilité dans leur quotidien. Elles le doivent à ce dispositif d’écoute et de soutien novateur, conçu avec la bénédiction financière du Crédit agricole Champagne Bourgogne. Lors de l’assemblée générale qui se déroulait dans l’Yonne, Marie-Laure LAZZARONI, responsable de l’outil, évoqua devant plusieurs partenaires les grandes lignes d’un procédé qui se veut humaniste et pertinent…

AUXERRE: Pas facile de se sortir de l’ornière lorsque l’on est rattrapé par un aléa de la vie. Surtout, si l’on est seul à l’appréhender. Il existe depuis une décade un dispositif qui requiert beaucoup d’attention : le Point Passerelle. Humaniste et altruiste, ce processus d’accompagnement efficace met en symbiose une quinzaine de partenaires inféodés à la ligne directrice de la structure associative qui en porte aujourd’hui la destinée.

Lycées agricoles, Maison Familiales Rurales (MFR), établissements conduisant à l’insertion, mais aussi écoles de la Seconde Chance ou Epiceries solidaires s’invitent parmi d’autres à travailler en étroite osmose avec l’équipe de sept salariés et d’une quarantaine de bénévoles (tous issus de près ou de loin avec le sérail de la Banque Verte) à la réussite de leur concept.

Le retour à la vie normale équivaut à 71 % de succès ! On croit rêver à la lecture de la statistique mais dans ce cadre-là, et à force d’abnégation et de volontarisme, le pourcentage n’est en rien galvaudé.

Il faut dire que conseillers et bénévoles n’épargnent pas ni leur précieux temps ni leurs efforts pour assurer un suivi efficient de leurs protégés si fragiles. L’accompagnement se décline en trois actes. Mais, cela n’a rien d’un vaudeville. Tout d’abord, un diagnostic précis de la situation est réalisé. Puis, viendra le temps de la mise en relation avec les différents partenaires que sont les banques, les organismes locaux et départementaux. Là, il s’agira de négocier au plus utile. Cela permettant ensuite de déboucher sur le troisième volet : le plan de rétablissement.

Un indispensable module qui se définit en collaboration avec le bénéficiaire et en accord avec l’ensemble des partenaires. S’il est respecté dans les règles de l’art,  in fine, ce sera le retour en grâce à la lumière, après la torpeur de la pénombre, pour l’accidenté de la vie…

Les profils disparates des bénéficiaires du retour à la réussite…

Les personnes en exclusion financière et/ou sociale constituent le socle unique de ce canevas réparateur qui remet du baume au cœur. Le panel analytique se veut limpide, plus de dix ans après l’apparition en 2008 à Dijon de cet outil : 21 % des bénéficiaires ont perdu leur emploi ; 20 % ont décroché de leur quotidien à la suite d’une pathologie lourde ; 18 % ont réellement eu des soucis d’ordre budgétaire et 16 % ont vécu les affres d’une séparation. Le reliquat intègre un mix de ces diverses composantes sociétales. Ce sont des particuliers, clients ou non, du Crédit agricole. Le généreux mécène endosse ainsi la vêture du chevalier blanc dans cette histoire, porteuse de ses valeurs intrinsèques.

La provenance de ces personnes apporte précisément un complément d’information sur le rôle joué par l’établissement bancaire. Sur les 732 individus ayant été aidés l’an passé, 64 % ont été orientées par les conseillers de la banque. Contre 31 % aux partenaires. Signalons, néanmoins, que 5 % se sont présentées de manière spontanée dans l’une des quatre vitrines départementales implantées à Auxerre, Chaumont, Dijon et Troyes.

Il y a toujours une solution à tout problème posé…

Reconnue d’intérêt public, l’association Point Passerelle s’exprime par le biais d’ateliers budgétaires et de points conseillers animés par ses collaborateurs ou les bénévoles. « Nous espérons à horizon 2020 la mise en route de 450 points conseil, précise Marie-Laure LAZZARONI. Un total de 270 ateliers a déjà permis d’obtenir des résultats conséquents. Nous enregistrons un taux d’abandon de 18 %, ce qui est peu en définitive… ».

Dès 2015, débuta une vaste campagne de prévention, sous la forme de ces fameux ateliers budgétaires à destination des jeunes. C’est l’une des cibles prioritaires qui est travaillée par les équipes de la structure. 2 100 représentants de cette nouvelle génération ont été formés à la maîtrise d’un budget financier. Grâce notamment à un support ludique : un jeu, baptisé avec le clin d’œil d’usage, le « Dilemme » et qui a été conçu par l’association Crésus !

Des réfugiés, avec le réseau COALIA, ont profité également de ces séances instructives, à la frontière du ludique et de la pédagogie. Avec un résultat plutôt probant.

Quant à l’avenir, il englobe désormais les problématiques liées à l’inclusion numérique. Treize millions de personnes ne possèdent aucune connaissance sur ce sujet. 6,7 millions n’utilisent jamais Internet. Vu de l’Hexagone, 28 % de nos compatriotes éprouvent un besoin pressant d’être accompagnés. Ce sera l’un des grands objectifs du Point Passerelle à horizon 2022…

 

 


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La précédente convention de sécurité établie avec les forces de l’ordre et le bailleur social datait de 2012. Un delta temporel qui était devenu trop important pour qu’il soit encore applicable aujourd’hui. Obsolète, le document supposait un réel dépoussiérage de la part de ses instigateurs. D’autant que bien des aspects, tant réglementaires qu’opérationnels sur l’organisation des échanges entre les différents partenaires, ont subi de profondes modifications depuis la mouture originelle de ce traité visant à rassurer les locataires…

AUXERRE : La signature de cette convention de partenariat entre les services de la préfecture, les forces de l’ordre et le bailleur social n’avait pas en apparence le goût de la nouveauté. Une impression qui fut très vite corroborée par le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, lui-même. Il devait le préciser dès les premiers mots de sa prise de parole.

« C’est plutôt un renouvellement de convention que nous entérinons aujourd’hui avec le préfet de l’Yonne et les représentants des forces de l’ordre… ».

L’acte 1 avait eu lieu, il est vrai, en 2012. Depuis, le texte initial n’était plus au goût du jour. Logique, bien des aspects réglementaires et fonctionnels sur les échanges entre les différents partenaires se sont modifiés au fil du temps. D’où l’indispensable nécessité de procéder à cet acte 2.

Qu’importe la forme, cependant, puisque le fonds (la raison d’être de ce nouveau paraphe) demeurait le même. C’est-à-dire l’amélioration de la qualité de vie des locataires du bailleur social parmi les habitations et immeubles gérés par ses soins.

Optimiser les coopérations entre tous les signataires…

Siégeant aux côtés du représentant de l’exécutif de l’Yonne à la tribune, le préfet Patrice LATRON évoqua les principes essentiels de cette convention.

« Nous considérons que les bailleurs sociaux agissent au quotidien en qualité d’acteur majeur de la sécurité. Leur présence dans les quartiers est tangible. Leur rôle est primordial pour préserver la cohésion sociale… ».

Alors que l’Etat injecte aujourd’hui des milliards d’euros pour assurer la déconstruction des vieux ensembles immobiliers érigés dans les années 70, la préfecture, elle, veille au grain. Pour garantir et optimiser les notions sécuritaires au plus près des logements sociaux, parfois sources de problématiques.

« C’est pourquoi, renchérit Patrice LATRON, je suis heureux de signer cette convention de sécurité qui prévoit aussi en parallèle une concertation en termes de construction et d’amélioration de ces logements avec les acteurs dédiés. Car, pour ma part, il n’y a aucun doute : la sécurité conditionne le bien-être des habitants… ».

Au-delà de ces considérations, les objectifs poursuivis par cette coopération permettront de faciliter l’accès au patrimoine immobilier du bailleur aux forces de l’ordre. Dans le cadre de la police du quotidien, qui a pris forme depuis plusieurs mois avec le développement de la participation citoyenne. Et Patrice LATRON de rappeler, à propos de ce sujet, que le département de l’Yonne se classait le premier de l’Hexagone pour sa densité.

Avant qu’il n’en appelle à l’ensemble des bailleurs sociaux de souscrire cette convention, gratuite, pouvant améliorer la sécurité des locataires.

Ce plan d’actions qui contient ce volet spécifique des partenariats s’est aussi converti en 2016 par la désignation d’un chef de projet, devenu un référent dans le domaine de la sûreté, Christian CHALONS, responsable de territoires.  

Les autres signataires de cette convention ont pu également s’exprimer lors de cette cérémonie protocolaire.

Directrice générale de DOMANYS, Karine LASCOLS a précisé se sentir plus forte grâce à ce type de partenariat. Tandis que le directeur départemental de sécurité publique, Thomas BOUDAULT, se montra satisfait de cette opportunité.

« Avec ce dispositif, nous instaurons un climat de sécurité où les zones de non-droit ne sont pas autorisées… ».

Le dernier commentaire émana du colonel Rénald BOISMOREAU, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale. Ce dernier constata que l’incivilité connaissait une nette régression depuis que les échanges se formalisaient sur le terrain avec le référent de sûreté.

 


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Dans l’absolu, l’enjeu se veut très simple. Mais, il s’avère très ambitieux au demeurant. La Ville de Sens et la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais travaillent de concert pour accroître les capacités et compétences en numérique des usagers sur son territoire. Afin de rendre celui-ci plus performant et qu’il puisse gagner en force représentative…

SENS : Mobiliser l’ensemble des acteurs du Sénonais autour d’un défi innovant et fédérateur : voilà ce que peaufinent depuis quelques temps les services dédiés de la Ville et de l’Agglomération. Nom de baptême de cette nouvelle campagne de sensibilisation : « e-défix » !

L’objectif de ce concept novateur pourrait se résumer ainsi : il s’agit de mettre en place des actions qui visent à améliorer les compétences numériques du territoire. Cela concerne de prime abord les entreprises mais aussi les milieux associatifs.

Toutefois, l’initiative ne se cantonne nullement à ces deux catégories. Sont invitées à s’y adjoindre également les structures de réinsertion professionnelles, les centres sociaux et le Point Informations Jeunesse. Bref, toutes les forces vives de l’existence sociétale et économique du territoire septentrional de l’Yonne.

Concrètement, l’élaboration de ce projet grandeur nature posera ses premiers jalons ce vendredi 28 juin en journée. Les instigateurs du projet proposent une prise de contact concrète qui se manifestera sous la forme d’une journée d’action intitulée, « HACKATHON ». Le point de chute en sera l’Hôtel de ville, du côté de ses grands salons.

Les participants à ce premier rendez-vous sont invités à réfléchir en laissant libre cours à leur créativité aux actions à mettre en exergue pour faciliter la montée en puissance des compétences numériques sur le territoire. Parallèlement, une plateforme collaborative sera également opérationnelle afin de fédérer l’ensemble des futures actions retenues.

L’idée est séduisante et surtout collaborative. Parce que le numérique se situe partout dans notre environnement.

28 % des Français ne sont pas encore connectés !

Selon une étude concoctée par l’institution France Stratégie, remise en 2018, si chaque usager utilise l’auxiliaire numérique pour des raisons personnelles, professionnelles, dans sa vie courante, pour la santé ou pour un aspect ludique et pédagogique avec les enfants, quatorze millions de Français sont encore éloignés de celui-ci. Soit 28 % de la population âgée de plus de 18 ans !

Parmi ces 28 %, 16 % sont des non-internautes. C’est-à-dire qu’ils ne se connectent jamais à Internet. 12 % de ces personnes analysées constituent le groupe des « internautes distants ». Ils ne disposent que de compétences numériques très faibles.

L’étude sociologique a également démontré que les personnes dotées de compétences en numérique possédaient un meilleur accès à la santé. Naturellement, elles avaient moins de mal à trouver du travail lorsqu’elles étaient en recherche d’emploi, contribuant ainsi à réduire le chômage.

On aura compris la pertinence de cette nouvelle action visant à modifier la donne sur le Sénonais. Et le rôle que peut y jouer la collectivité.

« Elle a un rôle essentiel à jouer dans ce projet »indique Clarisse QUENTIN, adjoint au maire en charge de l’emploi. Les agents peuvent eux aussi accompagner les usagers dans l’acquisition de compétences, tel que dans le cadre de notre future modernisation de l’accueil. Mais aussi grâce à tous les lieux existants et méconnus où l’on peut accéder au numérique. Et bénéficier d’un soutien de la part de la collectivité, comme par exemple au Point Information Jeunesse ou à la médiathèque... ».

L’opération déclinée ce vendredi 28 juin est loin d’être anodine comme on peut le voir. Elle requiert la mobilisation de tous. Surtout de la part des entreprises et des acteurs de l’économie. Ils ont un rôle prégnant à apporter à cette partition qui ne peut qu’apporter que la félicité au terme de cet évènement...

HACKATHON épisode 1 :

Vendredi 28 juin 2019 de 09 h à 18 h

Grands salons de l’Hôtel de Ville de Sens.

Renseignements : contact auprès de Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Plus d’informations sur le site : www.grand-senonais.fr

Un article réalisé en partenariat

avec la Ville de Sens et la Communauté d’agglomération du Sénonais.

 


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Soucieux d’optimiser la qualité et l’efficience d’un double recrutement pour le compte de la société qu’il dirige, Eric VRAIN, directeur de BRIE FGI s’est appuyé sur la nouvelle plateforme d’aide à l’emploi, POSITIV’EMPLOI pour atteindre son objectif. Opérationnel depuis quelques semaines, l’outil numérique piloté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et soutenu, entre autres, par la Communauté du Grand Sénonais, a su séduire l’entrepreneur qui en a apprécié l’aisance d’accès. La pertinence de sa CVthèque représente un précieux auxiliaire pour ce dirigeant qui se plie depuis longtemps aux exigences du savoir-être plutôt que du savoir-faire. Explications…

SENS : Le recrutement est devenu une source récurrente de cauchemar pour tout entrepreneur qui se respecte en France ! Il n’y a pas le potentiel escompté parmi les nombreuses candidatures reçues en matière de qualification professionnelle. Qui n’a jamais entendu autour de lui cette rhétorique incessante qui revient constamment en boucle parmi le cercle de ses connaissances professionnelles !

Pourtant, depuis peu, un rayon de soleil darde, en y diffusant une petite lueur d’espoir, les bureaux embarrassés de lettres de candidature des spécialistes de la R.H. et des chefs d’entreprises, eux-mêmes.

Le nom de ce sésame tient en deux mots : POSITIV’EMPLOI ! La plateforme numérique a été conçue par CLEVERCONNECT (le groupe exégète dans la discipline qui est connu pour sa filiale Météo Job). Elle est pilotée dans le département de l’Yonne par le service emploi de la Chambre de Commerce et d’Industrie, via l’une de ses composantes, Cécile NOIROT.

Or, l’une des figures prégnantes de l’économie territoriale apporte aujourd’hui son témoignage sur la bonne fonctionnalité de ce site bien différent des autres. Pas étonnant que depuis son lancement, survenu en avril, POSITIV’EMPLOI ait reçu l’adoubement de plusieurs partenaires institutionnels, dont la Communauté du Florentinois, et surtout celle du Grand Sénonais, partenaire historique du concept.

Directeur des agences auxerroise et sénonaise de la société BRIE FGI, filiale du puissant groupe DESCOURS & CABAUD (13 500 collaborateurs répartis sur plus de six cents points de vente pour 3,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires), Eric VRAIN est l’un des utilisateurs de ce nouvel outil. Il y a peu, il a eu recours à ce service optimal pour embaucher deux technico-commerciaux. Un exercice qui lui a procuré une vraie satisfaction.

« J’ai apprécié le nettoyage régulier des offres d’emploi… »

« Toute initiative nouvelle en matière de recrutement me parle, explique-t-il, car je le confirme : rechercher un nouveau collaborateur représente un vrai casse-tête chinois dans l’univers de l’industrie. Début mai, j’ai eu vent de la création de ce nouveau site numérique. Le contact avec la personne chargée de ce dossier, Cécile NOIROT, de la CCI, s’est avéré très positif. La plateforme est facile d’accès, d’une grande qualité ergonomique au niveau de sa configuration. J’ai surtout apprécié le nettoyage récent effectué autour des offres d’emploi dans la CVthèque. Offres qui ont une pérennité de trente jours. Avec la présence de candidats sérieux, ayant une réelle appétence à pratiquer une veille active de leurs recherches. Bref, j’ai observé qu’un candidat sur trois recherchait vraiment une autre voie professionnelle dans leur carrière. Pour la plupart, elles sont âgées de 30 à 40 ans. Cela aussi confère un sérieux crédit à la notoriété de ce site… ».

Convaincu par la simplicité tangible du concept, Eric VRAIN procède à deux embauches à l’issue d’entretiens qui se sont révélés très enrichissants.

« Je les attends encore car elles sont toutes les deux en préavis ! Mais, je sais m’armer de patience… ».

L’un de ses deux postes est spécialisé dans la maintenance de la chaîne de fabrication. L’autre se positionne sur la protection individuelle. Mais dans les deux cas, le directeur de BRIE FGI se fie à ses impressions. Bonnes en l’occurrence car il y a belle lurette (une quinzaine d’années désormais) que l’entrepreneur n’embauche plus que des futurs salariés en fonction de leur savoir être plutôt qu’un savoir-faire.

« Ce précepte me paraît légitime. On s’intéresse à la personne et non pas à sa formation. Dès la poignée de main, je ressens si le néophyte possède les capacités nécessaires pour tenir le job… ».

L’apport du CV parlant sera un grand plus…

Humaniste dans l’âme, le patron de BRIE FGI sait d’ores et déjà qu’il utilisera de nouveau la plateforme en vue de futurs départs en retraite qui se profilent à cinq ans dans son entreprise.

« Deux nouveaux postes se dessinent à horizon 2020, confie-t-il, et puis à terme, il devrait y avoir une dizaine d’embauches supplémentaires à gérer sur les sites d’Auxerre et de Sens. Forcément, j’emploierais la même méthode de recrutement… ».

L’apport de l’image, à l’aide d’une vidéo présentant les potentialités du candidat, le séduise. CLEVERCONNECT pense ajouter cet additif dès 2020, rendant son concept technologique évolutif.

Quant au soutien apporté sur le projet par l’agglomération du Grand Sénonais, Eric VRAIN juge cette intervention institutionnelle très positive.

« L’industrie locale représente un pôle d’intérêt pour la Ville de Sens tout comme les partenaires institutionnels qui se déploient sur ce secteur. Je suis par ailleurs un fervent adepte des petits déjeuners de l’économie, instaurés par la ville. A l’instar des brunchs organisés par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Vous savez, on ne retrouve nulle part ailleurs en Bourgogne ce type d’initiative pro-entreprenariat. C’est important pour nous autres, acteurs de l’économie, de s’y retrouver… ».

Un article réalisé en partenariat

avec la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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