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Après cinq jours passés en résidence au théâtre d’Auxerre pour peaufiner la tournée prévue débuter le 26 octobre prochain à Manchester, Éric CANTONA a présenté dimanche soir en avant-première, à quelques privilégiés et en exclusivité, le fruit de son travail d’auteur compositeur interprète. Comme un retour aux sources pour celui qui fit dans les années 80 les belles heures de l’AJA, gardant au cœur le souvenir d’Auxerre…

 

AUXERRE : A l’heure de la première chanson, la scène du théâtre se fond dans une lumière rouge, symbole de puissance, de force, d’énergie et de passion. Couleur de révolte mais avant tout d’amour, symbolisant le parcours d’un homme qui a fait de sa vie un kaléidoscope de défis et d’aventures. Après le foot, le cinéma, le théâtre, la peinture ou la photographie, Éric CANTONA fait preuve une nouvelle fois de son talent caméléon, en entamant une carrière d’auteur compositeur interprète.

Après avoir passé cinq jours en résidence dans l’ancienne « Maison du peuple », rue Joubert, c’est dans l’intimité d’un concert privé réunissant 180 privilégiés, qu’il a présenté dimanche soir à Auxerre, le fruit de son travail. Au programme, pas moins de 19 chansons pour la plupart inédites, écrites par « the King Éric » himself. Des textes empreints à la fois de colère et de mélancolie, témoignant de l’hyper sensibilité d’un écorché vif au caractère de feu, dont le talent fut découvert ici même, il y a 42 ans, lorsque le minot marseillais entama à 15 ans, la carrière que l’on connaît, en intégrant le centre de formation de l’AJA.

 

 

Guy ROUX craignait de s’ennuyer, c’est raté !

 

Les chansons, pour la plupart en anglais, s’enchainent, portées par les notes du piano et les pleurs du violoncelle, magnifiées par une voix aux accents de rocaille qui n’est pas sans rappeler ARNO ou Paolo CONTE, voire le grand Léonard COHEN, lorsqu’elle se fait miel et se fond dans le souffle du micro. « I’ve been angelic, I’ve been infernal… ». Moitié ange, moitié démon, elles parlent tour à tour de colère, d’amitié, de liberté, de doutes aussi… « Je ne suis ni de votre avis, ni du mien, je m’interroge c’est tout… ».

L’ancien attaquant envoie la balle au fond des filets une fois encore et le public est sous le charme. Parmi les invités à cette avant-première, il en est un qui avait les « yeux pluie » à la fin du spectacle et ne cachait pas son émotion lorsque les lumières se rallumèrent : « il m’en faut beaucoup pourtant, je n’ai pas la larme facile, la dernière fois que j’ai pleuré pour un chanteur, c’était Léo FERRE… ».

Guy ROUX le confesse : « je me suis laissé bercer, même si je peine avec les chansons en anglais. Et dire que je craignais de m’ennuyer ! Je serai bien au final resté une heure de plus… ».

 

 

 

Une série de concerts à Manchester…

 

Bluffé une fois encore par son ancien protégé : « aussi imprévisible avec un ballon que dans la vie… ». L’ancien entraîneur mythique de l’AJA a depuis longtemps perçu que derrière la rugosité se cachait une hypersensibilité source de toutes les inspirations : « Une fois encore, il va réussir, il est tellement riche d’humanité, le miracle étant qu’il a fait tomber toutes les scories et ne reste aujourd’hui que sa générosité… ».

Avant ce dernier aveu, ponctué de rires : « le dernier spectacle auquel j’ai assisté avant celui-ci, c’est l’avant dernier d’AZNAVOUR à l’Olympia, vous voyez que je choisis mes poètes ! ».

Après cette avant-première auxerroise, direction Manchester pour Éric CANTONA et ses musiciens. Au programme, deux soirées au « Stoller Hall », avant Londres et Dublin, suivies d’un retour à Marseille, autre ville de cœur de l’artiste. Avec comme ultime défi, des enregistrements en « live » pour alimenter un CD prévu sortir au printemps prochain. Le « roi » Éric n’est pas mort, CANTONA chante encore !

 

Dominique BERNERD

 

 


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« On a du mal à graduer l’ignominie… ». Intervenant lors de l’inauguration du nouveau pôle esthétique du CIFA de l’Yonne, lundi matin, le conseiller régional socialiste Gilles DEMERSSEMAN n’a pu se soustraire à un rappel cruel mais ô combien nécessaire de la dure réalité d’être enseignant de nos jours face à l’obscurantisme et à l’adversité. Des mots forts en guise de préambule qui ont résonné longtemps dans les têtes des invités de cette cérémonie inaugurale…

 

AUXERRE: Il ne pouvait en être autrement. Surtout lorsque l’intéressé revendique publiquement et avec fierté ses origines familiales, en sa qualité de « fils d’enseignants ». Les mots sont graves. Dûment choisis afin de bien marquer les consciences. Graves, en rapport direct avec la tristesse récurrente de l’actualité qui ébranle une fois de plus le corps enseignant et les personnels administratifs qui travaillent à ses côtés.

« S’attaquer au savoir-faire, c’est tout simplement s’attaquer aux passeurs de savoir-faire… ». S’éloignant quelque peu de son discours officiel, devant évoquer le rôle prépondérant joué par la Région Bourgogne Franche-Comté dans le soutien et le financement de la rénovation de l’espace esthétique accueilli dans le centre de formation par apprentissage de l’Yonne, le conseiller régional Gilles DEMERSSEMAN se permet une digression. Logique, en somme ! Comment ne pas réagir après le drame horrible vécu, vendredi dernier, au lycée Gambetta d’Arras où un professeur de lettres devait trouver la mort à quelques mètres de la cour de récréation ? Un « passeur de savoir », assassiné sous les yeux de ses collègues et des élèves, au nom de l’obscurantisme…

Dans un esprit de citoyenneté, l’élu régional socialiste ne pouvait manquer à ses devoirs de ne point évoquer la situation. Et de délivrer ainsi son ressenti.

« Que ce soit une main qui réfléchisse, que ce soit une main qui est téléguidée, ce n’est pas une main de l’innocence, devait-il ajouter. Vous êtes des passeurs de savoir-faire, mesdames, messieurs les enseignants, nous sommes tous concernés par cette situation… ».

Un message parfaitement reçu par un auditoire de professionnels de l’enseignement, conscient de la gravité de la problématique…

 

Thierry BRET

 

 


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Notre société se cantonne le plus souvent à un raisonnement binaire. Les médias nous proposent des postures et des analyses qui se prolongent par une doxa. Celle-ci nous transforme peu à peu en mouton. Sortir du cadre établi par les journalistes et le pouvoir politique, c’est aussi pouvoir tenter de comprendre différemment une situation ou un problème. C’est aussi éveiller notre créativité sclérosée par les fourches caudines de l’habitude, de la paresse et du pouvoir !

 

TRIBUNE : Prenons l’exemple de l’Ukraine. Ce qui s’y joue n’est pas forcément un conflit géographique ! Si, épistémologiquement, Vladimir POUTINE semble plus proche du paradigme des « Pieds Nickelés » que de celui du balancier de SCHOPENHAUER, on peut trouver de nombreuses raisons à la guerre qu’il mène contre l’Ukraine. Une guerre meurtrière où les deux protagonistes tuent aussi des civils et s’accusent mutuellement de « crimes contre l’Humanité » !

Depuis le début de cette guerre, on s’est concentré sur la volonté de POUTINE de conquérir de nouveaux territoires pour une extension géographique. Très vite, on a prolongé le raisonnement par la volonté du chef du Kremlin de reconstituer l’ancien empire soviétique, une approche plus géopolitique. Ce n’est pas nécessairement faux, mais essayons de prendre le problème autrement.

 

 

Le conflit russo-ukrainien : une guerre civilisationnelle

 

 

Au prisme de faits établis, examinons ce conflit comme une guerre de civilisation. De quelles civilisations parlons-nous ? De la civilisation occidentale contre une civilisation orientale qui n’a pour d’autres caractéristiques associées, une politique basée sur le totalitarisme. Une histoire différenciée ancienne, une culture basée sur de nombreuses écritures, une division du travail et une urbanisation.

On note tout de suite qu’il n’est plus possible d’opposer l’Orient à l’Occident. Si l’Occident est aisément identifiable, le groupe en opposition n’est rassemblé que par un régime politique totalitaire. Nous l’appellerons la civilisation « totalitaire ».

 

 

 

Civilisation occidentale contre civilisation « totalitaire »

 

 

Dans le cadre de cette civilisation « totalitaire », quels sont les alliés réels de Vladimir POUTINE et quels sont les alliés potentiels de la civilisation « totalitaire » ?

Les alliés d’aujourd’hui se comptent avec la Chine, la Corée du Nord, la Syrie, l’Iran et la Biélorussie, pour ne citer que les plus importants. La première caractéristique de ces pays, c’est le totalitarisme.

Cette forme de gouvernement présente un risque systémique de propagation. Notons déjà la Turquie qui, agissant de manière manichéenne, affirme ou pas son soutien à Vladimir POUTINE mais est conforme à ce que nous appelons la civilisation « totalitaire ».

La tentation extrémiste et totalitaire gagne aussi l’Europe. En Europe, l’Italie, la Hongrie et la Pologne sont dirigées par des partis dits « d’extrême droite ». L’extrême droite peut être assimilée à un parti totalitaire, plus nuancé et plus démocratique, certes, mais sans concession avec l’ordre social, économique et financier.

En Finlande et en Lettonie, l’extrême droite fait partie du gouvernement et en Suède, elle soutient l’action gouvernementale. En France, le Rassemblement National (considéré comme un parti d’extrême droite), est le premier parti représenté à l’Assemblée nationale.

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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C’est un incontestable évènement culturel. Il aura lieu ce mardi 17 octobre à Auxerre, en l’église Sainte-Geneviève, à partir de vingt heures. En tournée pour la seconde année consécutive en régions Auvergne-Rhône-Alpes et Bourgogne Franche-Comté, le Chœur MORAVSKI, originaire de Kiev (Ukraine), composé d’une trentaine d’artistes, se posera le temps d’un récital caritatif dans la capitale de l’Yonne. Une tournée à la vocation généreuse afin de récolter des dons pour ne pas oublier qu’à deux mille kilomètres de l’Hexagone, on meurt aussi sous les bombes au nom de la démocratie et de la liberté…

 

AUXERRE: A l’automne 2022, la troupe avait déjà fait une étape remarquée à Tonnerre. Cette fois-ci, la formation ukrainienne revient en terre de l’Yonne mais dans sa capitale auxerroise. Le Chœur MORAVSKI de Kiev, ensemble mixte de chanteurs amateurs de très haut niveau, nous gratifie d’une nouvelle tournée régionale. Un moment de pur plaisir pour les mélomanes, avertis ou non !

Accueillis à leur arrivée par la municipalité d’Auxerre, les artistes de ce pays meurtri par bientôt deux années de guerre découvriront un petit paradis culturel, fleuron de la cité de Paul BERT : l’Abbaye Saint-Germain.

Avides de curiosité et d’une certaine religiosité – ils se produiront en l’église de Sainte-Geneviève le soir même à 20 heures -, ces femmes et ces hommes aux profils très disparates (dans le civil, ils exercent les métiers d’informaticiens, d’enseignants, d’écrivains, d’entrepreneurs, de traducteurs, d’acteurs, de marionnettiste…) se rendront du côté de Vézelay afin d’y découvrir le joyau de la « Colline Eternelle », sa basilique Marie-Madeleine. Notons que l’un des partenaires de cette opération à vocation culturo-solidaire, la société de  transports collectifs PROCARS dont le siège est à Provins en Seine-et-Marne mettra à disposition gracieusement un bus et un chauffeur via sa filiale auxerroise, les Cars MATHIEU, pour assurer le transport de la chorale lors de ce séjour de vingt-quatre heures dans l’Yonne. A Vézelay, la formation aura l’opportunité de rencontrer les responsables de la Cité de la Voix. Mais aussi, sur le chemin du retour, de s’immerger parmi le vignoble auxerrois !

 

Une expérience unique de solidarité et de fraternité

 

Côté musical, MORAVSKI devrait collaborer avec les membres de la chorale icaunaise, « Clé de Fa’mes », structure basée à Auxerre et dirigée par Sarah TETELBOM. L’hébergement des chanteurs de l’Est sera assuré sous le sceau du bénévolat et de l’altruisme par cette formation locale. Quant au répertoire, il s’articulera autour d’œuvres ukrainiennes et internationales, entre musique sacrée et traditionnelle, ancienne et moderne.

L’an dernier, le séjour en Bourgogne Franche-Comté s’était soldé par une expérience unique de solidarité concrète entre les choristes des deux pays ; des échanges où chacun avait reçu autant qu’il avait donné. Pour l’exercice 2023, MORAVSKI a coché plusieurs villes sur son itinéraire : Lyon, Mâcon, Auxerre, Gray et Dijon. A Auxerre, un échange tout particulier sera assuré avec les représentants de l’association Ukraine Solidarités 89, présidée par Denis HACQ.

 

En savoir plus :

Chorale MORAVSKI de Kiev en récital à Auxerre

Le mardi 17 octobre à 20 heures en l’église Sainte-Geneviève

Entrée libre. La collecte des dons sera reversée au chœur pour ses œuvres de bienfaisance en Ukraine.

 

Thierry BRET

 

 


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Des sacs poubelles qui jonchent le sol. Des odeurs pestilentielles qui s’en dégagent du fait des fortes chaleurs imputables à un été indien qui n’en finit pas de surchauffer les esprits et…les ordures ménagères qui trainent un peu partout à côté des bacs destinés à les recevoir : est-ce une vision futuriste ou vraiment très réaliste de ce que sera le paysage de l’Auxerrois après la mise en place des sept cents points d’apport volontaire validés il y a peu par l’Agglo ? Il y aura aussi besoin de pédagogie à distiller au niveau du civisme…   

 

Lundi  

Plus d’un siècle que l’Arménie et l’Azerbaïdjan s’en disputaient le territoire et il n’aura fallu que quelques jours pour que le pouvoir sécessionniste en place dans cette enclave du Haut-Karabakh annonce sa dissolution après l’offensive victorieuse de Bakou, entrainant le départ forcé vers la mère patrie de plus de 100 000 arméniens. Un exode forcé considéré par beaucoup comme un véritable « nettoyage ethnique ». Pour autant, quelle politique de sanctions peuvent mener les chancelleries occidentales à l’égard de l’autocrate Ilham ALIYEV, au regard des multiples accords de coopération et commerciaux contractés avec l’Azerbaïdjan au fil de ces dernières décennies ? Le président azéri a beau jeu d’évoquer une « atmosphère anti-azerbaidjanaise » au sein de l’UE, pour « sécher » le sommet européen de Grenade, consacré à la situation. S’il visait notamment dans son discours l’attitude de la France en la matière, il n’en fut pas toujours ainsi. L’Azerbaïdjan ayant su jouer d’une offensive de charme dans toutes les strates de la sphère politique et jusqu’au plus haut sommet de l’Etat français, pour se forger une image respectable. On se souvient notamment de l’édition « Fleurs de vigne » 2012 à Auxerre où le pays était l’invité d’honneur, après la réception de ses représentants en terre de Chablis…

 

Mardi

 

Figure légendaire des médias pour tous, humaniste attachant pour les uns, cireur de pompes des puissants et gens de pouvoir pour les autres, Jean-Pierre ELKABBACH aura marqué de son empreinte un demi-siècle d’audiovisuel et d’information. Nombre de ses interviews sont passés à la postérité, teintés à la fois de provocation, d’impertinence, mais aussi d’une certaine déférence. Un ton savamment travaillé, parfois avec les invités eux même ! Sa disparition sera peut-être l’occasion aussi de revenir sur ces années 90 où, PDG de France 2, il fut acculé à la démission après le scandale des centaines de millions de francs généreusement accordés aux animateurs vedette de la chaine. Pour le grand public, restera sans doute l’image de ce journaliste blême égrenant le décompte avant l’annonce de la victoire de François MITTERRAND le 10 mai 1981. Pressentant déjà qu’il serait évincé un peu plus tard, en raison de ses attaches giscardiennes. L’ironie de l’histoire étant qu’il fut déjà mis au placard de l’ORTF après mai 1968, pour avoir fustigé les « censeurs » de l’époque ! Ne lui reste plus désormais qu’à poursuivre là-haut le débat avec son compère Georges MARCHAIS, autre bête de scène s’il en est, entré dans la légende pour son célèbre « Taisez-vous, Elkabbach ! ». Des mots qui n’ont jamais existé, si ce n’est dans la bouche du troisième larron qu’était Thierry LE LURON ! Nul doute que les soirées risquent d’être animées chez Saint-Pierre !  

 

 

Mercredi   

 

Cet habitant de Cravant, ulcéré par les déjections canines retrouvées devant sa porte a trouvé la solution. Transformer le simple ramassage des « cadeaux » déposés par Médor, en un exercice salutaire pour la santé et l’esprit. L’histoire ne dit pas si la dixième leçon est offerte !

 

 

Jeudi   

 

Si le ministre de la Santé Aurélien ROUSSEAU se veut rassurant, affirmant qu’il n’y avait pas matière à une « panique générale », les punaises de lit sont rentrées dans le débat public, source de tous les phantasmes. A l’image du chroniqueur vedette de Cnews, Pascal PRAUD, s’interrogeant insidieusement à l’antenne, sur la possible relation de cause à effet pouvant exister entre immigration et recrudescence des fâcheuses « bébêtes » ! Le problème n’est pas nouveau, mais à moins d’un an de l’évènement, la panique grandit, à l’idée qu’une épidémie invasive vienne entacher les prochains Jeux Olympiques. La députée LFI Mathilde PANOT est montée au créneau sur le sujet depuis six ans déjà, mais en vain. Sans doute que ses alertes manquaient de « piquant »… Punaise !

 

Vendredi  

C’est un musée à l’écart du temps, ignoré bien souvent des touristes de passage. Situé rue de la Montagne Sainte-Géneviève, dans le Ve arrondissement parisien, le musée de la Préfecture de police retrace dans ses vitrines les grands évènements de l’histoire de France au travers de ses crimes et faits divers. Dans l’une d’elles, un pan d’histoire icaunaise, avec l’œilleton et le palan utilisés par le « bon » docteur PETIOT dans ses crimes, natif d’Auxerre et maire de Villeneuve-sur-Yonne. A quand un « Serial Killer tour » organisé sous les auspices de Yonne Tourisme ?  

 

   

Samedi 

Cette photo prise sur le parking de la Tournelle, au pied du pont du même nom augure-t-elle de ce que sera le paysage auxerrois après la mise en place des 700 points d’apport volontaire décidée par une majorité d’élus communautaires ? L’avenir le dira… Reste à s’interroger sur le fait que l’un des bacs de réception soit HS et recouvert d’une pudique bâche de plastique. Le dispositif souffrirait-il déjà de défaillances ? 

 

Dimanche

Les services de contre-espionnage israéliens n’ont encore une fois rien vu venir. Déjà mis à mal il y a tout juste 50 ans par une attaque sans précédent, menée conjointement par l’Egypte et la Syrie, le 6 octobre 1973, jour de Yom Kippour, fête ô combien symbolique du calendrier juif, le pays s’est vu hier matin attaqué par des terroristes palestiniens venus de la bande de Gaza voisine. Plusieurs centaines de morts déjà dénombrées, parmi lesquels de nombreuses femmes et enfants, sans que l’on sache où s’arrêtera le sinistre décompte. Les militants du Hamas ont rallumé à leur manière les bougies de ce cinquantième anniversaire, mettant le feu à toute une région, dans un contexte explosif. Quant au trentième anniversaire des accords d’Oslo, qui avait fait naître un instant l’espoir d’une paix durable entre les deux peuples, il y a longtemps que les bougies sont éteintes…

 

Dominique BERNERD

 


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