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Face à l’inflation galopante des remboursements liés à la récurrence des transports médicaux sur notre territoire, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie tire la sonnette d’alarme. Ce poste représente aujourd’hui près de 31 millions d’euros et ne cesse de progresser depuis plusieurs années. Soucieuse de préserver les équilibres budgétaires, la CPAM s’est fendue d’une nouvelle communication sur ce sujet d’actualité qui concerne l’ensemble des assurés…

AUXERRE : Vigilance et préconisation. La Caisse primaire d’assurance maladie veille au grain dans cet épineux casse-tête que représentent chaque année la gestion des transports médicaux et leurs onéreux remboursements.

Depuis plusieurs années, au plan comptable, le coût des remboursements s’envole, suivant une courbe ascendante progressive. A l’échelle de la région Bourgogne-Franche-Comté, la somme équivaut à 145 millions d’euros. Pour le seul territoire de l’Yonne, le montant de ces dépenses supplémentaires s’établit à 31 millions d’euros à la charge de la structure de santé départementale.

Dans les deux cas, les responsables de la CPAM souhaitent mettre le holà sur cette dérive inflationniste qui perdure dans le temps.

Une récente communication à destination des assurés est venue rappeler les bonnes pratiques à respecter à ce propos. Et de repositionner le rôle déterminant du praticien comme un élément essentiel à la prise de décision de préconiser un mode de transport approprié selon l’état de santé du patient.

Le médecin est le seul à prescrire le transport médical…

Si le transport médical peut générer un remboursement à partir d’un acheminement du malade vers un centre hospitalier ou de soins via son véhicule personnel ou les transports en commun, en revanche, il n’est pas prescrit de façon systématique lors des déplacements d’un patient. La décision relève uniquement du professionnel de la médecine.

C’est une question de pure logique puisque son remboursement obéit à des conditions très strictes. En ce sens, la direction de la Caisse primaire d’assurance maladie se veut insistante sur ce point : « la prescription médicale de transport relève d’une décision médicale pure et ne s’apparente nullement à une quelconque facilité sociale… ».

Dans l’absolu, elle doit être réalisée avant le déplacement et transmise pour l’obtention d’un accord de principe dans un délai de quinze jours précédant l’acte auprès du service médical de l’assurance maladie.

Un message clair et précis qui a été relayé, sans l’once d’une ambiguïté de la part du service Communication de la CPAM, vers les assurés de l’Yonne qui sont invités à le connaître et surtout à l’appliquer.

 

 


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A l’occasion du traditionnel exercice de prise de parole face à la presse en cette période de rentrée scolaire, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, avait choisi le collège de Saint-Valérien dans le Gâtinais pour convier les journalistes. Une rencontre prolixe en termes de chiffres et de perspectives où le patron de l’exécutif icaunais devait expliquer point par point à ses interlocuteurs l’ensemble des compétences de l’organe institutionnel en matière de gestion des collèges et leurs concrétisations réelles avant d’aborder une nouvelle saison 2018/2019, synonyme de travaux et d’aménagement.

SAINT-VALERIEN : « Nous possédons de très beaux collèges dans le département de l’Yonne, qui reste un territoire plutôt bien loti. En fonction de nos moyens, nous assumons pleinement notre rôle pour leur consentir les dotations nécessaires destinées soit à leur mode de fonctionnement, soit à l’amélioration de leurs équipements… ».

Aux côtés de l’inspectrice d’Académie Annie PARTOUCHE, le président du Département Patrick GENDRAUD s’est livré ce mardi 04 septembre à une analyse approfondie de la situation scolaire vécue dans les collèges quelques heures après la rentrée. Avant d’énoncer les chiffres essentiels qu’il avait à commenter aux élus qui l’accompagnaient sur le terrain (l’ancien secrétaire d’Etat à la Coopération internationale Henri de RAINCOURT, la députée de la circonscription Michèle CROUZET, les représentants du Conseil départemental Christophe BONNEFOND, Jean MARCHAND, Delphine GREMY ou encore Grégory DORTE), le premier élu de notre territoire félicita le principal du collège de Saint-Valérien de l’avoir accueilli en si bon endroit. Dans ce site pédagogique où l’ambiance et l’état d’esprit lui ont paru très positifs.

Un léger tassement des effectifs par rapport à l’année dernière…

Observant une sensible baisse de 140 élèves par rapport à la rentrée précédente, et ce répartie sur les 23 des 31 collèges existant, Patrick GENDRAUD rappela que l’effectif total des collégiens dans le public s’élevait à 14 370 individus. La lente diminution de la démographie constatée depuis plusieurs années sur le département en serait la cause.

« Nous n’avons pas encore suffisamment d’éléments informatifs pour anticiper cette observation, ajouta le président, une chose est sûre : le nord de l’Yonne connaît une démographie haussière ; ce qui n’est pas le cas du centre et du sud du département. Néanmoins, j’attends une lecture plus fine de ces statistiques pour me forger une opinion… ».

Nonobstant, la question turlupine les élus. Pragmatiques, et soucieux de maîtriser les paramètres relatifs à ce constat, un séminaire sera organisé à huis clos le 11 septembre en présence des 42 élus du Département à Auxerre. Sa thématique concernera la politique éducative des collèges où chacun des représentants de l’institution aura son mot à dire.

Insistant sur l’importance de ce rendez-vous, Patrick GENDRAUD souhaite associer l’Education nationale à cette réflexion : « Vous savez, précise-t-il, on ne décide pas d’un seul claquement de doigts la fermeture ou l’ouverture d’un collège comme cela ! ». Quand on sait que le coût de sa construction équivaut à une enveloppe budgétaire comprise entre 15 à 20 millions d’euros. La perte des effectifs accumulée au cours de ces cinq dernières années oscille entre 350 et 500 éléments dans l’Yonne. Le président de l’exécutif départemental entend mener cette grande réflexion avec tous les élus responsables qu’ils soient maires ou présidents des EPCI.

S’attardant sur les résultats obtenus au brevet des collèges, Patrick GENDRAUD observa que la cuvée 2018 restait inférieure de trois points à ceux de la moyenne académique : 86,8 % dans l’Yonne versus 89,9 % sur l’ensemble de la Bourgogne Franche-Comté.

Des dotations maintenues au même niveau qu’en 2017…

Depuis 2001, le Département a consenti plus de 170 millions d’euros d’investissement aux établissements du secondaire. L’enveloppe accordée aux collèges cette année représente 6,2 millions d’euros, sur les 34 millions d’euros que constitue le bas de laine total de l’organisme. 4,8 millions d’euros sont ainsi revenus aux collèges publics ; 1,4 millions d’euros ont été affectés aux établissements privés.

Les différents équipements en matériel ont nécessité une enveloppe de 883 500 euros dont le poste informatique (210 500 euros), la restauration (281 000 euros), le renouvellement de matériel et de mobilier (180 000 euros) et le plan numérique (212 000 euros).

Le facteur humain n’aura pas été oublié par le Conseil départemental. Comme le souligna le président, il n’y a aucun gel de poste cette saison.

« 314 agents techniques exercent leur activité professionnelle en équivalent temps plein dans l’Yonne. Nous veillons à un juste équilibre en matière de répartition de ces postes d’un établissement à l’autre (sachant qu’il existe d’importantes disparités entre collèges), et nous sommes très vigilants sur le vecteur de la santé de ces personnes. C’est un travail que nous menons avec la direction des ressources humaines de ces établissements. D’ailleurs, depuis 2011, un chargé de prévention contribue à améliorer les conditions de travail des agents… ».

360 000 euros destinées aux actions éducatives

La sensibilisation au patrimoine naturel représente une grande nouveauté cette année. Un budget de 50 000 euros favorisera la découverte des richesses infinies du patrimoine naturel peu connu. Des naturalistes construiront des projets pédagogiques en accointance avec le corps enseignant.

Quant aux projets culturels, ils seront soutenus à hauteur de 15 000 euros. Un parcours d’éducation artistique et culturelle sera proposé. A l’instar de l’acquisition d’une base cinématographique via la découverte d’œuvres lors de projections dans le cadre de l’opération collège au cinéma (25 000 euros). Enfin, « Angle de Vue », concept né du partenariat entre l’Education nationale, le Département et la société GUIDIGO, permettra aux collégiens de découvrir les subtilités patrimoniales de l’Yonne grâce à l’outil numérique. Versées en phase directe auprès des établissements depuis 2012, les aides aux familles soutiennent près de 700 collégiens dans leur scolarité. Leur montant équivaut à 320 000 euros et bénéficie à 2 311 jeunes. La répartition en est la suivante : 1 998 bourses d’enseignement secondaire (225 666 euros) et 313 bourse apprentissage et mobilité, soit 93 515 euros.

Depuis l’adoption de la loi NOTRe, la compétence transport scolaire a été transférée à la région Bourgogne Franche-Comté. Exception faite du transport scolaire spécial de personnes en situation de handicap (cela se rapporte à 300 jeunes élèves dans l’Yonne). Aujourd’hui, le budget alloué à cette typologie de transport s’élève à 1,4 million d’euros pour la mise en place de 80 circuits. Précisons, enfin, que le plan numérique fera l’objet d’une autre conférence de presse ; quant aux travaux, ils seront abordés dans un autre article.


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On est loin, très loin du compte à l’heure du bilan quantitatif de feu la première édition de cette épreuve ludique et sportive qui devait accueillir selon les prévisions les plus optimistes de son organisateur, près de 4 000 participants sur l’Auxerrois. Porté par la société « RUN IN THE WORLD », aujourd’hui dissoute depuis le 24 août, l’évènement n’a en fait que très peu motivé de futurs candidats à cette expérience pourtant unique dans l’Yonne : environ 500 personnes ayant déboursé des tickets d’entrée compris entre 25 et 50 euros selon le package initial choisi. Après avoir justifié ces chiffres face à ses partenaires économiques lors d’une explication de texte douloureuse, le jeune dirigeant de la société organisatrice a rencontré la presse, afin de faire toute la lumière sur une affaire qui trouvera son épilogue auprès de la justice…

AUXERRE : Triste, le regard perdu dans le vide, le jeune responsable de l’ex-entreprise « RUN IN THE WORLD » se retrouve face aux journalistes chez l’un de ses partenaires pour que ces derniers tentent de comprendre les raisons de cet échec pathétique. A quelques jours de la célébration de cet évènement qui aurait dû se transformer en plénitude pour son concepteur (du 07 au 09 septembre), l’annonce, soudaine d’une annulation abrupte, sonnera le glas de celles et ceux qui croyaient dur comme fer en la crédibilité de ce projet.

Mais, cette prise de parole avec les médias ne devait être point comparable avec les échanges tenus en présence des soutiens financiers quelques minutes plus tôt. Rien ou presque ne filtrera de ce premier contact officiel entre les représentants des six sociétés, courroucées par l’absence d’information durant plusieurs jours, et le jeune homme de 21 ans en mal de participants.

Un département de l’Yonne à faible pouvoir d’achat…

S’étant accordé quelques jours salutaires de réflexion et une prise de recul pour le moins curieuse avant de revenir sur le devant de la scène pour s’expliquer et affronter les critiques acerbes, le responsable du CRAZY Race Festival insista sur sa mobilisation acharnée dans le montage de ce projet.

« J’y ai mis tout mon cœur, plaide-t-il, malheureusement, le résultat n’est pas à la hauteur de mes espérances… ».

S’insurgeant envers celles et ceux qui parlent ouvertement d’escroquerie et d’arnaque, voire le traine dans la boue, le garçon réfute tout de go ces accusations. « J’assume l’entière responsabilité de cet échec et les conséquences de la prise de décision ayant abouti à la suppression du CRAZY Race. Ce projet était trop ambitieux pour un territoire tel que celui de l’Auxerrois qui souffre au plan économique. Sans doute, les tickets d’entrée selon les différentes formes de package étaient-ils trop élevés… Car,  au niveau de la communication, tout a été fait dans le bon sens ».

Pour étayer ses dires, le jeune homme ajoutera qu’une étude, commandée par ses soins auprès d’un consultant, étayait cette thèse de la faiblesse du pouvoir d’achat dans l’Yonne. Mais, est-ce vraiment la cause de cet échec ?

Reconnaissant son erreur de ne pas avoir tenu à jour les statistiques (trompeuses) parsemant les réseaux sociaux (il y était mentionné un nombre d’inscrits tutoyant les sommets avec plus de 3 200 concurrents), l’ex-dirigeant de la société, en revanche, ne déroge pas d’un iota à la règle déclinée à travers les lignes de son règlement : aucun remboursement n’est envisageable.

« La société RUN IN THE WORLD ne le peut pas, explique-t-il, elle n’en a pas les moyens ; d’ailleurs, elle n’existe plus… ». Dont acte.

Budget : une enveloppe globale de 130 000 euros…

Poursuivant son discours explicatif, l’organisateur aborda la structure de son budget prévisionnel, in fine déficitaire d’environ 100 000 euros pour être orienté vers le positif.

« Concrètement, les recettes engendrées par le soutien des partenaires et les inscriptions ont financé la campagne de communication (4x3, flyers, dépliants, spots radio…). Ce budget dévolu à la communication s’élève à 30 000 euros. Il nous manquait entre 70 000 et 100 000 euros pour les quatre mille participants… Notre seuil critique avait été fixé à 2 000 participants minimum pour maintenir la manifestation ».

Soucieux de rétablir des vérités, de chercher à découvrir les véritables raisons de ce chaos, le jeune homme assure péremptoire qu’il y aura des dédommagements avec les entreprises.

« Une clause engage la société à rembourser et une seconde clause stipule qu’en cas de force majeure (absence des autorisations préfectorales, nombre d’inscrits insuffisant…), une procédure de négociation pourrait s’enclencher. Mais, ce sont à elles seules de décider de poursuivre ou non leurs plaintes… ».

En revanche, les participants ne peuvent espérer un quelconque revirement de situation dans le cas des remboursements financiers.

« C’est à la justice d’intervenir. J’ai reçu des menaces. Et je condamne cet élan de haine. Tout cela est inadmissible. La justice confirmera que cette affaire n’était pas une escroquerie montée de toute pièce… ».

Souhaitant se faire entourer au plan juridique, le promoteur du CRAZY Race Festival tire sa révérence quant à son avenir professionnel dans ce type d’évènement. « C’est fini : il n’y aura jamais plus de projet de ce type : je ne désire qu’une seule chose. Que tout cela s’apaise ! Je m’excuse auprès de toutes les personnes qui ont cru en ce projet que l’on voulait réaliser au mieux… ».

Clap de fin pour l’interview. Au terme de cet entretien, il devait se rendre volontairement au commissariat de police dans le cadre d’une audition. L’affaire du CRAZY Race Festival n’en est qu’à ses débuts…


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Face à la recrudescence des demandes de renseignement, le Guide des producteurs locaux de PUISAYE-FORTERRE, édité à l’origine à 500 exemplaires début juin, a nécessité une réédition rapide durant la période estivale. Mieux, l’opus initial s’est même enrichi de nouvelles références de contacts professionnels : 55 structures identifiées au lieu des 45 indications qui composaient le précédent document.

TOUCY : La première version de ce fascicule réalisé par la Communauté de communes en partenariat avec la Chambre d’agriculture de l’Yonne et le Groupement des agrobiologistes du département, n’aura donc pas suffi pour étancher la soif de savoir des touristes et des consommateurs du cru.

Rapidement épuisée, l’édition originelle, parue à la fin du printemps, a nécessité une refonte quasi complète du support afin de satisfaire les innombrables demandes d’un public avide de découverte et de connaissance des producteurs locaux qui vantent les bienfaits gustatifs et nutritionnels de leurs produits.

Cette fois-ci, il devrait y en avoir pour tout le monde ! Le guide a été tiré à 5 000 exemplaires. Sa version papier orne les rayonnages de différents lieux d’accueil de l’Office du tourisme de PUISAYE-FORTERRE où il est distribué gratuitement.

Mais, on peut également se le procurer par le biais du téléchargement sur la page Facebook de la Communauté de communes, facebook.com/ccpuisayeforterre et en cliquant sur le lien suivant : https://www.fichier-pdf.fr/2018/08/30/guide-des-producteurs-de-puisaye-forterre-version-septembre-2018/.

 


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Après douze années de professionnalisme vécues au sein du service Communication de la préfecture de l’Yonne, Céline BENOIST met un terme définitif à cette aventure relationnelle intense qui lui aura permis de côtoyer les sphères de la presse régionale. Pour autant, la jeune femme poursuit sa carrière à la préfecture de l’Yonne, prenant au passage une promotion sur un tout autre registre…

AUXERRE : « Ce furent douze saisons magnifiques que je n’oublierai jamais… ». C’est avec beaucoup d’émotion que Céline BENOIST, la responsable de la cellule Communication de la préfecture de l’Yonne, a annoncé par un message numérisé la fin de ses activités de spécialiste des relations publiques au 31 août 2018.

« Toutes ces années passées au service de la communication de l’Etat auront été l’occasion de rencontres professionnelles riches et toujours passionnantes, explique Céline BENOIST, sur le mail qu’elle a largement diffusé en fin de semaine dernière à l’ensemble des correspondants de presse qui composent son fichier.

« Je reste en préfecture de l’Yonne où je vais rejoindre le bureau des règlementations et des élections en qualité d’adjointe… ».

Désormais, éloignée du milieu médiatique, Céline travaillera à la préparation des échéances électorales et se consacrera aux filières professionnelles requérant des règlementations particulières (taxi, buraliste…).

L’année 2019 ne manque pas de rendez-vous dans les urnes pour les concitoyens. Qu’il s’agisse des élections parmi les chambres consulaires qui se dérouleront cet hiver ou du futur scrutin pour les Européennes dont on connaît l’importance de l’enjeu politique au printemps.

Quant à sa remplaçante, Lola GAUDEFROY, elle est déjà en poste depuis le 01er septembre. Cette jeune fille dépendra hiérarchiquement de la nouvelle adjointe à la cheffe de cabinet du Service de la Communication et des Sécurités Publiques, Adeline MIROL, nommée il y a peu.


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