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Le CIFA de l’Yonne a le vent en poupe avec cette rentrée où les possibilités d’apprentissage demeurent multiples dans de nombreux domaines professionnels. De quoi interpeller les jeunes pousses qui désireraient acquérir un vrai savoir-faire leur garantissant la maîtrise d’un métier…

AUXERRE : Le centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne redémarre ses activités sur les chapeaux de roue en ce mois de septembre. Une réjouissance qui fait plaisir à voir pour sa gouvernance après la longue période d’atermoiement imputable à la présence du coronavirus.

Les métiers de l’artisanat font toujours recette auprès des jeunes gens ; d’autant que les offres de formation sont pléthoriques dans de nombreuses filières. Plus de cinq cents postes sont à pourvoir comme l’a confié récemment la responsable en charge du développement et de la communication du site pédagogique, Delphine ENGELVIN.

 

 

L’établissement n’avait pas cessé ses activités durant la période de confinement en restant à l’écoute des entrepreneurs. Durant ces semaines de retrait physique, les cours ont été dispensés par le prisme du e-learning, une méthodologie technologique très appréciable et suivie par plus de 80 % des apprentis.

Toutefois, le e-learning n’a pas vocation à se substituer aux cours assurés en présentiel. L’outil offre l’opportunité à ses utilisateurs d’approfondir leurs connaissances. Il sera maintenu quoi qu’il advienne de la conjoncture sanitaire cette saison.

 


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C’est incontestablement l’évènement phare de la rentrée dans le domaine de l’économie, de la transition écologique et…de l’automobile. Très loin d’un simple salon où il serait de bon ton de signer un bon de commande à l’issu d’un essai de véhicule électrique, le concept porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO se veut novateur, didactique et informatif pour mieux appréhender les réels enjeux de la mobilité électrique. Telle qu’elle se présente devant nous…

INTERVIEW : Pourquoi un tel évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO ? On est loin des préoccupations purement industrielles de ces structures ?

Au contraire ! Nous sommes au cœur d’un sujet industriel qui trouve nécessairement des implications au niveau des entreprises du territoire icaunais. La question de la mobilité électrique et plus généralement de la mutation des usages du transport qui s’appuient aujourd’hui presqu’exclusivement sur les énergies « carbone », au profit de moyens décarbonés, notamment l’électrique, constitue aujourd’hui un sujet majeur pour l’industrie française. En ce sens d’ailleurs, les annonces du Premier Ministre Jean CASTEX relatives au plan de relance insistent largement sur la nécessité de décarboner l’industrie française et en font une condition quasi sine qua non pour l’attribution des aides aux entreprises.

 

Avez-vous rencontré des difficultés pour organiser ce premier rendez-vous consacré à ce sujet dans l’Yonne ?

 

Il faut se souvenir que cette manifestation était initialement programmée le 02 avril dernier en point d’orgue de la « Semaine de l’industrie ». Nous avons été contraints de la déprogrammer compte tenu de la situation sanitaire liée à la COVID-19 et nous nous sommes interrogés quant à la pertinence de sa reprogrammation le 10 septembre prochain. Très vite, s’est imposée à nous la nécessité de nous placer dans une dynamique positive et volontariste, en maintenant cette journée qui constituera sans aucun doute le point fondateur de notre positionnement sur ce sujet.

D’ailleurs et d’une manière unanime, l’ensemble des partenaires et parties prenantes réunis autour du projet ont souhaité le maintien de cette journée et n’ont à aucun moment émis la moindre réserve quant à sa pertinence. Nous oublierons donc bien vite les obstacles que nous aurons eu à franchir et nous ne retiendrons que cette volonté unanime d’action !

 

La mobilité électrique impacte réellement les stratégies managériales des entreprises ?

 

La mobilité, quels que soit ses modes, est une nécessité à la fois pour la population, dans des usages privés, comme pour l’entreprise pour des usages professionnels, lesquels d’ailleurs sont souvent de natures très diverses. La mobilité électrique doit donc être considérée avant tout comme un moyen et non comme une fin en soi. Elle ne doit pas modifier les usages mais intégrer l’exigence de décarbonation qui devra être associée aux déplacements. Ce qui compte avant tout pour l’entreprise, c’est donc bien de garantir que la mobilité de ses personnels s’effectuera dans les meilleures conditions. A ce titre, les employeurs se posent encore bien des questions quant aux solutions en général, et à l’électrique en particulier. C’est en ce sens que le sujet touche bien la dimension managériale.

 

Assiste-t-on à une réelle prise de conscience sur les évolutions de notre comportement ou est-ce encore un phénomène modal teinté d’utopie ?

 

C’est tout à fait l’objet de cette manifestation et nous attendons au cours de cette journée, un maximum d’éclairages de la part des experts qui participeront aux différentes tables rondes. La question leur est d’ores-et-déjà posée dans la base line de notre communication : « La mobilité électrique : du rêve à la réalité ? Tournant majeur ou effet de mode ? ».

 

 

Le plateau que vous réunissez est de premier choix en y mêlant les acteurs de l’automobile, l’Agence régionale économique, les spécialistes de l’énergie…L’objectif de ce rendez-vous était-il de posséder une vision la plus globale et transversale possible sur cet item ?

 

Nous tenons tout d’abord à saluer l’engagement de ces nombreuses personnalités et leur venue à Auxerre pour cette journée du 10 septembre. Cela montre à quel point le sujet est important et mobilisateur ! Il suscite l’intérêt d’un grand nombre d’acteurs qui gravitent à différents niveaux autour de ce sujet : les universitaires, les industriels, les pouvoirs publics au travers des différentes agences économiques…

Un tel plateau répondra forcément à notre souhait d’aller au fond du sujet grâce à l’éclairage que tous ces experts pourront nous apporter.

 

 

Michel FORISSIER sera le parrain, un peu fil Rouge, de cette manifestation. Un mot sur sa venue ?

 

C’est un grand honneur pour nous que d’accueillir Michel FORISSIER à Auxerre. Par ses fonctions d’envergure internationale, il est un acteur et un témoin majeur du développement de la filière électrique pour l’automobile. Sa compétence, cultivée tout au long d’une carrière entièrement dédiée à l’automobile ; sa connaissance très fine de la problématique de la transition énergétique associée aux mobilités, laquelle se nourrit d’ailleurs de la grande capacité de benchmark que lui offre sa position internationale, lui confèrent une légitimité indiscutable pour être le grand témoin de cette journée.

 

Le gouvernement accroît les initiatives en versant des primes pour inciter à la transition écologique dans nos moyens de locomotion. Pourtant, l’Etat ne sera pas représenté à votre animation. Serait-ce un paradoxe ?

 

Vous avez raison : l’Etat est un acteur majeur de la réussite de cette transition vers l’électrique. Il va sans dire que sans les aides qu’il verse pour l’achat d’un véhicule dit « propre », il serait extrêmement difficile, notamment aux Français les plus modestes, d’acquérir un tel véhicule. La question de l’achat d’un véhicule électrique se situe en toute fin de la chaîne de valeur et elle est bien évidemment très importante. Notre journée quant à elle, interroge plus, finalement, sur la philosophie générale de la mobilité. Bien entendu, il n’y a pas de notre part, la moindre volonté d’exclure l’Etat. D’ailleurs, le préfet de l’Yonne a été invité et j’espère qu’il lui sera possible de participer au moins à une partie de la journée, tout en étant bien conscient du nombre extraordinaire de sujets et problèmes qu’il doit traiter en ce moment. Et puis comme je le disais précédemment, les Agences de développement économique seront présentes.

Comment les organismes que vous représentez peuvent-ils inciter le tissu entrepreneurial de ce territoire à vivre mieux cette transition écologique ?

 

 

La transition écologique ne va assurément pas représenter, une option pour les entreprises. C’est une exigence qui va s’imposer à nous et l’entreprise doit constituer l’un des rouages essentiels de sa mise en œuvre. De par notre mission auprès des employeurs, nous sommes un acteur majeur de leur accompagnement, bien ancré au cœur de notre territoire. L’information, le conseil, l’incitation et l’accompagnement de nos adhérents, notamment sur un tel sujet qui se situe au carrefour des problématiques économiques, sociales et sociétales, va naturellement de soi. Tout au long de l’année, nous organisons, à l’instar de la journée du 10 septembre, des moments où les chefs d’entreprise sont en capacité de s’inscrire dans des actions conduisant leur entreprise vers ces domaines stratégiques. Et puis bien-sûr, notre souci permanent de nous inscrire dans une dynamique de marketing territorial trouve ici naturellement tout son sens.

 

En matière d’exemplarité, est-ce que les cadres de l’UIMM, MEDEF et GISAERO de l’Yonne roulent électrique ?

 

Si tant est qu’il échoit à la Maison de l’Entreprise une obligation d’exemplarité en la matière ! Pour autant et très sincèrement, ce n’est pas le cas aujourd’hui et notre flotte de véhicules de service reste aujourd’hui entièrement traditionnelle. La question, lors de son renouvellement, se posera, et à l’évidence, il nous faudra arbitrer, compte tenu à la fois de nos besoins, mais aussi et surtout des capacités offertes par les matériels, quelle sera la meilleure formule à mettre en œuvre pour répondre à nos usages de mobilité. Je compte d’ailleurs beaucoup sur tout ce qui se dira le 10 septembre pour éclairer ma prise de décision future en la matière.

 

Ce rendez-vous pourrait-il s’inscrire dans le marbre et devenir un incontournable annuellement ?

 

Notre volonté, par le maintien la semaine prochaine de cet événement dont l’audience est nationale, et ce malgré la situation sanitaire, est bien d’en faire l’événement économique de rentrée pour notre territoire.

Il s’inscrit dans notre volonté de déployer en permanence le marketing territorial au service de l’Yonne dont je parlais précédemment. C’est bien sûr l’occasion de mettre les entreprises icaunaises en avant, mais aussi le département. Le succès de l’édition 2020 conditionnera peu ou prou l’organisation d’une nouvelle manifestation à la rentrée 2021. Mais d’ores et déjà, de nombreux sujets sont susceptibles d’alimenter une prochaine édition. Et puis vous le savez, ce ne sont ni la volonté, ni l’imagination qui nous manquent !

 

 

 

Vous faites des émules, puisque le 16 septembre prochain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat organise sa propre vitrine sur une thématique similaire. Un groupe de presse régional envisage d’en faire autant au printemps…N’y a-t-il pas un risque d’en faire trop sur le sujet et de brouiller les messages en cas d’éclosion de ces évènementiels bien ciblés ?

 

La multiplication des initiatives autour du sujet de la mobilité électrique constitue assurément une preuve supplémentaire, si besoin est, de la pertinence de l’organisation de notre évènement. Il ne m’appartient pas de commenter le bien-fondé ou non, de ce qui est mis en œuvre par les uns et les autres. Mais encore une fois, la manifestation organisée à la Maison de l’Entreprise le 10 septembre prochain ne constitue pas une sorte de « salon de l’automobile électrique » au cours duquel il ne s’agirait que de remplir des bons de commande à l’issue des essais des véhicules des différentes marques. Notre volonté est d’aller au fond du sujet, pour que chacun au terme des débats ait enrichi sa capacité à juger si la mobilité électrique constitue bien le tournant majeur dont beaucoup se font les promoteurs, ou bien s’il ne s’agira finalement que d’un effet de mode qui retombera aussi vite qu’un soufflé sorti un peu trop tôt du four.

 

Enfin, en votre qualité de délégué général, quelles sont vos attentes en termes de bilan de ce rendez-vous ?

 

Au-delà de la qualité des débats et des échanges (dont je ne doute pas) qui auront lieu au cours de cette journée, je souhaite que chacune et chacun qui aura participé à l’événement se dise en repartant qu’il n’a vraiment pas perdu son temps et qu’il aura enrichi sa connaissance sur le sujet. Il me semble que c’est le bon moment pour trouver les réponses aux questions que toutes et tous nous nous posons.

Compte tenu du nombre important d’inscrits (exclusivement décideurs économiques et chefs d’entreprise) au moment où l’on se parle, nos objectifs quantitatifs sont d’ores et déjà atteints et je ne doute pas un seul instant que nos objectifs qualitatifs le seront eux aussi !

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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Une rareté, encore une décidément, évolue sur les routes du département septentrional de la Bourgogne. Mais, peut-on raisonnablement parler de véhicule ordinaire ? Ce n’est ni une automobile. Pas davantage une grosse cylindrée, bien campée sur ses deux roues !

BREVE : Ce moyen de locomotion très étrange muni de trois roues a pour nom de baptême le « Slingshot ». Littéralement, le « lance-pierre » dans la langue de Shakespeare !  

Son constructeur n’est autre que l’américain POLARIS. Une enseigne méconnue du grand public qui s’est pourtant spécialisée depuis des lustres dans la conception de véhicules de loisirs motorisés. La société a su aussi abattre la carte de la diversité en devenant propriétaire de marques de moto (Indian, Victory) et de voiturettes électriques. De celles qui fleurissent sur les nationales françaises lorsque le capital de points sur le permis de conduire a fondu comme neige au soleil ! A l’instar de la française AIXAM MEGA qui en est une de ses ramifications en Europe.

 

 

 

Fabricant de quads et de motoneiges pour le marché nord-américain, POLARIS possède toutefois 25 % des parts de la société KTM, entité autrichienne bien connue des motards.

Si ce joujou vous interpelle (on peut en voir un exemplaire stationné en permanence devant la devanture d’un restaurateur de Brienon-sur-Armançon), il vous en coûtera une enveloppe financière de près de 30 000 euros pour se faire plaisir. Histoire de se démarquer des autres, assurément !

 

 

 


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Envoûtante Anne-Charlotte LAUGIER ! Désopilante, même, avec son tout premier opus publié chez RAMSAY. L’ouvrage ne manque ni d’humour ni de situations cocasses. A mettre dans toutes les mains, il caracole depuis le milieu de l’été en pôle-position parmi les meilleures ventes de la maison d’édition parisienne. Cerise sur le gâteau : la romancière-journaliste, férue d’automobiles et de belles mécaniques, dédicacera ce premier succès à la galerie marchande d’Intermarché le samedi 05 septembre. Histoire de faire la nique à la morosité ambiante qui pointe déjà le bout de son nez !

JOIGNY : On ne parle que d’elle sur les réseaux sociaux. Surtout depuis qu’elle a publié son premier roman au titre si humoristique et un tantinet provocateur pour la gent féminine. Il est vrai que le contraste est saisissant avec ce qu’elle rédige d’ordinaire sur son blog professionnel consacré à l’univers automobile, « Charlotte au volant ».

Pas sérieuse s’abstenir ! En prenant la plume pour concocter ce « Journal d’une pétasse au volant », Anne-Charlotte LAUGIER a choisi de mettre le paquet. Côté dérision et surtout sens de l’ironie profonde.

Mais, attention, que l’on ne s’y méprenne pas. Rien d’insultant dans ce titre si paradoxal qui évoque la fameuse invective faite aux femmes au volant, précisément.

D’ailleurs, l’auteure nous explique sa définition de ce mot si singulier, « pétasse ». Se la péter avec classe ! Il fallait y penser, assurément !

 

Un concentré d'humour en cent trente pages...

 

Moyennant quoi, cette petite bombe de cent trente pages, un concentré de scénettes toutes aussi loufoques les unes que les autres, invite à l’amusement et aux rires. Son contenu s’avale avec avidité et réel plaisir. Celles et ceux de ses aficionados conquis par le style décalé de la Dame ne cessent d’en tresser des éloges sur la toile depuis plusieurs semaines. Et cela marche, on s’en doute…

La « Pétasse » à l’estampille d’Anne-Charlotte LAUGIER figure au sommet des meilleures ventes d’ouvrages publiés en cette période estivale par sa maison d’édition, RAMSAY. Qui n’est pas la première venue, convenez-en, dans le landerneau très hermétique de la filière scripturale.

Le livre rencontre le succès commercial et impose des séances de dédicaces à sa source créative, notamment dans l’Yonne puisqu’elle est originaire de l’Auxerrois. Ce personnage truculent et charmeur y parle de voitures (son pêché-mignon) mais également des problématiques quotidiennes rencontrées par la gent féminine dans ce monde de machistes !

Alors, si vous avez le bourdon ou un sérieux coup de blues avec la reprise de vos activités garnies de son lot d’incertitudes coutumières à se tirer une balle par jour de brouillard, un seul antidote est à recommander : lisez d’une traite ce bouquin. C’est une vraie bouffée d’air pur dans ce monde tant pollué par la « connerie » humaine !

 

En savoir plus :

Anne-Charlotte LAUGIER sera en séance de dédicace le 05 septembre 2020

A la Galerie de l’Intermarché de Joigny. De 09h00 à 13h30.

 

 


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Ultimes visions iconographiques de ce qui fut une manifestation rondement menée à l’aérodrome de Saint-Florentin-Chéu il y a quelques jours. L’édition 2020 des premiers championnats de France en vol relatif concoctés en Bourgogne du nord restera dans les annales de cette discipline de haute précision pour la qualité de ces épreuves selon les organisateurs…

SAINT-FLORENTIN : Rideau, ils sont bel et bien terminés les championnats nationaux de vol relatif à quatre et à huit ! Une compétition à laquelle prirent part plus de cent cinquante compétiteurs de haute volée, venus des quatre coins de l’Hexagone. Ils étaient venus en découdre dans les cieux de l’Yonne, au-dessus de Saint-Florentin et de Chéu, base arrière du club organisateur (Paris Jump) qui avait repris en main le dossier logistique après la défection de dernière minute de l’aérodrome de Vichy.

 

 

 

 

 

Et à ce petit jeu, ce sont les équipes de Mojo Pamiers, Aérodyne Cyprès Maubeuge et Monaco Aérokart Maubeuge qui ont su tirer les marrons du feu en s’octroyant les accessits suprêmes au terme des dix manches de figures imposées dans les airs.

Pour le superviseur de la manifestation, le vice-champion du monde Paul GRISONI, la manifestation a été très réussie ; les candidats au podium ne manquant pas de s’illustrer entre 3 et 4 400 mètres d’altitude en maîtrisant leur art. Il restera d’excellents souvenirs au terme de ce rendez-vous et l’espérance folle de revoir un jour en terre de l’Yonne une compétition mobilisatrice auprès de ses adeptes….

 

 

 


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