Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Qualifiée de très importante, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture (APCA) effectuera ce mercredi 26 août après-midi une visite dans le département de l’Yonne. Il se rendra dans une exploitation spécialisée en grandes cultures à Noyers-sur-Serein. Un déplacement majeur alors que l’agriculture icaunaise enregistre une cinquième mauvaise année consécutive depuis 2016…

AUXERRE : Le scénario catastrophe semble se renforcer de jour en jour pour les milieux agricoles de l’Yonne. Outre la terrible sécheresse qui sévit depuis plusieurs semaines sur le territoire, jamais les rendements issus des moissons 2020 n’ont été aussi faibles.

Certes, les responsables de la corporation s’y attendaient de manière très fataliste mais pas avec une telle ampleur.

Conséquence : ils ont tiré la sonnette d’alarme auprès de leurs instances représentatives nationales. Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA (Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) et son homologue à la tête de la Chambre d’Agriculture, Arnaud DELESTRE, se sont fendus d’un long courrier explicatif fin juillet afin d’y exposer avec moult détails la situation très préoccupante de la filière pour le département.

Côté finances, le seuil critique est atteint dans certaines exploitations et il y a urgence à réagir pour ne pas voir sombrer des professionnels au summum de l’inquiétude.

 

Un long courrier explicatif en amont…

 

Faisant écho à cette missive qui était également adressée à la présidente de la FNSEA, Christiane LAMBERT, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture Sébastien WINDSOR a confirmé sa venue dans l’Yonne ce mercredi tantôt. Il profitera de son déplacement en province pour découvrir l’exploitation de Franck MENARD, à Noyers-sur-Serein.

Spécialiste des grandes cultures, ce dernier a décidé de jouer la carte de la diversification en optant pour une production avicole et un investissement en panneaux photovoltaïques sur les toitures de ses bâtiments.

Indépendamment de cette immersion dans l’entreprise, Sébastien WINDSOR s’entretiendra lors d’un débat initié sur place avec les représentants des pouvoirs publics, des élus et le grand public sur la gravité de la situation économique observée par une majorité d’exploitations agricoles de l’Yonne.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dévolu aux cursus proposés par la filière hôtellerie/restauration, l’espace gastronomie du centre de formation auxerrois a nécessité une enveloppe budgétaire conséquente pour ses travaux de restructuration. Ceux-ci s’élèvent in fine à 3,5 millions d’euros. Une coquette somme qui englobe les frais d’études, le chantier qui aura couru sur près de quatorze mois et l’achat de nouveaux équipements.   

AUXERRE : Ils ne sont au final que deux financeurs à avoir mis la main au gousset pour supporter le coût important des travaux de modernisation du principal centre de formation par l’apprentissage de l’Yonne.

Le CIFA a pu en effet bénéficier de l’indéfectible soutien du Conseil régional Bourgogne Franche-Comté qui n’a pas hésité à injecter 1,7 million d’euros dans le projet ; les demandes de subventions ayant été effectuées avant la mise en œuvre de la réforme de l’apprentissage.

Quant au reliquat, il incombait à l’établissement pédagogique lui-même de l’autofinancer à hauteur des 50 % restants avec le concours de la Banque Populaire régionale. Une formalité ou presque, selon les dires de la responsable Développement en charge des relations avec la presse, Delphine ENGELVIN, qui se réjouissait de la bonne situation financière de la structure icaunaise.

Expliquant ce contexte de refonte, la jeune femme insista sur ce besoin constant de modernisation et d’évolution en phase avec la filière.

« Les référentiels de formation ne cessent de se modifier au fil des ans pour les métiers de l’hôtellerie/restauration. Ainsi le CAP Commercialisation et Service en salle est devenu le CAP Commercialisation et service en CHR (Café/Hôtel/Restaurant).

 

 

Suivre les nécessaires évolutions de la filière…

 

Aussi, le CIFA de l’Yonne se devait de transformer son outil pédagogique pour qu’il puisse coller à la fois aux exigences du secteur et à celles requises par ces nouveaux diplômes… ».

Le projet consistait à bouleverser l’intégralité du pôle gastronomie avec la refonte totale du restaurant d’application à vocation gastronomique, le « Com’ des Chefs », et la création d’une brasserie à l’appellation éponyme (voir article déjà paru sur le sujet).

Cet outil flambant neuf sera opérationnel à compter du 31 août. Il favorisera le savoir-faire des 250 apprentis qui rejoignent chaque année ce pôle dédié aux métiers de la filière. Ainsi qu’une trentaine de stagiaires de la formation professionnelle qui suivent des cursus allant du CAP au BTS.

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Instituée en fin d’année 2018, la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat est reconduite en 2020. Elle offre la possibilité aux employeurs de verser à leurs salariés une prime exonérée de toutes cotisations et contributions sociales, de CSG, CRDS et d’impôt sur le revenu dans la limite de mille euros sous certaines conditions…

TRIBUNE : Quelles sont les conditions à respecter ? Les bénéficiaires doivent être des salariés ayant une rémunération inférieure à trois fois le montant du  SMIC au cours des douze mois précédant son versement. Il faut qu’il y ait une obligation de mettre en œuvre un accord d’intéressement au moment du versement de la prime qui devait intervenir avant le 30 juin 2020.

Toutefois, l’ordonnance du 01er avril 2020 a simplifié ces conditions initialement prévues afin de tenir compte de la situation spécifique liée à l’épidémie de Covid-19 et ainsi permettre de récompenser les salariés particulièrement mobilisés pendant l’état d’urgence sanitaire.

 

L’existence de modifications dans les conditions de versement…

 

 Ainsi, il est possible de supprimer la condition de mise en œuvre d’un accord d’intéressement à la date de versement de la prime exceptionnelle. Cela n’est plus nécessaire lorsque le montant de la prime exceptionnelle n’excède pas mille euros. Celle-ci peut être octroyée aux salariés, dans cette limite, sans qu’un accord d’intéressement n’existe dans l’entreprise.

Cependant, son versement et ses conditions d’attributions doivent être prévus, au choix de l’employeur, par un accord collectif (d’entreprise ou de groupe) ou par décision unilatérale de l’employeur (DUE).

D’autre part, l’ajout d’un nouveau critère de modulation de la prime s’est fait jour. Dans l’accord ou la DUE, l’employeur peut moduler le montant de la prime en fonction de certains critères (rémunération des salariés, niveau de classification, durée de présence effective ou celle prévue au contrat de travail).

Pour récompenser plus spécifiquement les salariés employés pendant l’épidémie de Covid-19, un nouveau critère de modulation du montant de la prime peut être retenu par l’accord collectif ou la décision unilatérale. Il est désormais possible de tenir compte des conditions de travail liées à la crise sanitaire.

Ainsi, l’employeur a la possibilité de majorer la prime pour les salariés ayant continué leur activité au sein de l’entreprise pendant la période d’urgence sanitaire et/ou ceux ayant été au contact du public.

En outre, il peut également exclure des salariés qui n’étaient pas présents durant la période d’urgence sanitaire, tels que les salariés en télétravail.

 

Report de la date de versement…

 

La date limite de versement, prévue initialement le 30 juin 2020 et reportée au 31 août, est à nouveau repoussée au 31 décembre 2020 afin de laisser aux entreprises plus de temps pour octroyer cette prime, après consolidation de leur reprise d’activité.

La limite d’exonération fixée initialement à 1 000 euros est relevée à 2 000 euros sous réserve que l’employeur mette en œuvre un accord d’intéressement.

Cette limite de deux mille euros s’applique aux entreprises qui disposent déjà d’un accord d’intéressement ou qui en concluront un d’ici le 31 août 2020. L’accord d’intéressement doit produire ses effets à la date de versement de la prime, donc avoir été conclu.

Le dépôt peut, quant à lui, être réalisé postérieurement au versement de la prime, dans le respect des délais légaux, à savoir quinze jours suivant sa conclusion. La date limite de conclusion de l’accord d’intéressement est fixée au 31 août 2020.

A titre dérogatoire, les accords conclus entre le 01er janvier 2020 et le 31 août 2020 peuvent l’être pour une durée minimale d’un an (au lieu de trois). Les associations et fondations reconnues d’utilité publique ou d’intérêt général sont dispensées de l’exigence d’avoir un accord d’intéressement.

 

Christelle CARRE

 

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La quête du Graal, vouée à la perfection et à l’excellence pédagogique, se poursuit avec bonheur et réalisme au centre de formation de l’Yonne. En restructurant la quasi-intégralité de son pôle hôtellerie/restauration, l’établissement réalise un tour de force architectural et ergonomique lui permettant de répondre à la fois aux exigences du secteur corporatiste, à celles inhérentes aux diplômes et à ses propres ambitions…

AUXERRE : Ce sera désormais le principe appréciable du « deux en un » lorsque les amateurs de bonne chère choisiront de se rendre au pôle restauration du CIFA de l’Yonne à partir du 31 août afin de s’y sustenter.    

La refonte totale du restaurant d’application du « Com’ des Chefs » aura donné naissance à une seconde structure, légitime, qui en possèdera la même appellation. A ceci près qu’il faudra y ajouter un autre mot caractérisant son offre de services : le terme « brasserie » !

Débutés en juin 2019, les travaux sont presque achevés. Certes, lors de la visite de chantier organisée à la presse le vendredi 21 août, force est de constater que quelques finitions complémentaires devaient encore mobilisées les équipes artisanales investies sur le concept. Mais, promis juré, tout sera opérationnel pour la réouverture du site le 31 août !

 

 

Un espace de dégustation œnologique pour les amateurs…

 

Attenant aux salles de cours, le pôle restauration/hôtellerie offre dorénavant une nouvelle physionomie dès la vue initiale de ses extérieurs. Exit l’aspect austère, voire vétuste, de ces fameux bardages en bac acier industriels qui ornementaient le bâtiment jusque-là !

Place à une façade à l’agréable esthétique agrémentée d’un habillage insolite qui ressemblerait presque à de la dentelle métallique. Ce parement n’est pas sans rappeler par ailleurs les motifs des portails et autres accès qui ouvrent l’établissement vers la rue. D’ici peu, la pose des enseignes identifiant les deux lieux de restauration sera effective. Histoire de nous familiariser un peu plus avec cet endroit.

Dès que l’on pénètre dans le bâtiment, une banquette d’accueil fait face à l’accès principal. C’est une tour de contrôle stratégique qui permettra d’aiguiller la clientèle selon ses appétences consuméristes. Soit vers la gauche pour y rejoindre l’une des tables de l’univers gastronomique ; soit vers la droite pour s’installer dans la brasserie, dans une configuration plus restreinte en volume.

Mais, avant de se rendre dans l’une ou l’autre des deux salles, il faut encore profiter de sa présence dans le hall d’entrée pour admirer le judicieux espace œnologique qui vous attend. Un cadre discret, limite intimiste, où les aficionados d’excellents nectars peuvent venir y déguster un grand cru. On connaît l’appétence des formateurs et de la direction à vouloir travailler avec de bons produits !

 

 

La brasserie du Com’ des Chefs à découvrir à tout petit prix…

 

L’ancienne salle faisant office de lieu d’attente avant d’être conduit au restaurant gastronomique s’est donc reconvertie en un espace brasserie très attrayant. Un meuble continu intègre un bar. Des chaises hautes y sont installées.

On s’imagine aisément en train de déguster une bière entre amis avant de passer à table pour y manger l’une des spécialités élaborées en cuisine.

Par un jeu de transparence facilité grâce à une baie vitrée, le consommateur possède également une vision imprenable sur le paradis des maîtres-queues qui concocteront les mets sur le piano flambant neuf élaboré chez ENODIS.

La société auxerroise fournit aujourd’hui les plus grandes références de la gastronomie nationale et certains des palaces de la capitale.

Composée d’une entrée et d’un plat de résistance, voire d’une seconde option articulée pour les plus gourmets d’entre nous sur la présence de recettes salées/sucrées (plat et dessert), la carte de la brasserie du Com’ des Chefs sera tarifée à prix doux pour une modeste somme de dix euros !

 

 

Le Com’ des Chefs : l’art culinaire et ses jeux de lumière…

 

En face, se situe l’antre des gourmands. Le « Com’ des Chefs » qui n’a eu de cesse de gagner ses galons référentiels de pôle incontournable de la découverte culinaire locale depuis ses débuts.

L’obtention d’un « bib » gourmand ne serait pas une galéjade en soi tant le travail créatif qui y est proposé flirte avec la perfection.

Le restaurant d’application à vocation gastronomique a conservé son emplacement usuel. Mais, le complexe a connu un léger agrandissement lié à la modification du cloisonnement en lien avec l’office.

La décoration vaut le coup d’œil. Avec ce travail de plafonds conçus en strates superposées et alvéolées qui confèrent à la salle une atmosphère géométrique novatrice.

Côté ambiance : le tout est délicatement illuminé par un jeu d’éclairages artificiels colorés et variables, de jour comme de nuit, suivant les saisons, les cartes ou les thématiques !

On doit l’ensemble de ces réalisations architecturales épurées aux cabinets Hannah Elizabeth Interior Design et à UBIK Architectures.

Mais, qu’importe le flacon, il restera toujours l’ivresse. Celle de la succulence à l’état pur au fond de l’assiette avec un menu englobant une mise en bouche, une entrée, un plat principal, les fromages et le dessert. Le tout décliné pour une addition toute en douceur pour le fidèle payable à 17 euros !

Reste l’immense cuisine, composée de cet îlot central de douze postes de travail. Là-aussi, le CIFA s’est enjoint les services d’ENODIS, la PME de Philippe  GALOO.

Les apprentis et leurs enseignants devraient s’accorder du plaisir, c’est sûr, avec une telle logistique structurée autour de plaques à induction qui privilégie différentes variantes de cuisson !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La société centenaire de Côte d’Or, actrice incontournable évoluant dans le milieu des travaux publics, poursuit sa quête du Graal, synonyme d’acquisitions supplémentaires. Après s’être positionnée sur le marché des nouvelles infrastructures ferroviaires en 2017 (rachat de SMC en Ile-de-France), l’entité dirigée par le représentant de la quatrième génération familiale, Vincent, étend désormais son domaine d’activité à l’énergie…

DIJON (Côte d’Or): Faisant fi des soubresauts de l’interminable crise sanitaire et du contexte économique particulièrement délétère que subissent de plein fouet les entreprises hexagonales, le groupe ROGER MARTIN a décidé d’aller de l’avant en cette période de rentrée.

Ses acquisitions estivales, celles de l’entreprise MOULIN, additionnée à sa filiale APS Energie, démontrent cette volonté à entreprendre avec audace alors que d’autres préfèrent adopter une stratégie nettement plus attentiste en fonction de la conjoncture.

L’infrastructure familiale de Bourgogne Franche-Comté, spécialisée dans les travaux publics et le bâtiment, a donc jeté son dévolu sur une enseigne indépendante de Haute-Loire, implantée non loin d’Yssingeaux. Une entreprise aux origines familiales qui a été portée sur les fonts baptismaux en 1967.

Outre la branche des TP, MOULIN possède également plusieurs cordes à son arc, notamment dans le domaine énergétique et environnemental.

 

 

 

En 2018, la PME employait une centaine de collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel d’une quinzaine de millions d’euros. Son activité s’articule autour de trois grands pôles d’intervention : les travaux publics, l’énergie et l’environnement avec sa filiale ad hoc APS Energie ainsi qu’une activité exercée dans les carrières et les postes d’enrobage.

C’est précisément le volet de l’énergie qui a séduit l’entrepreneur Vincent MARTIN, figure emblématique du syndicalisme patronal puisqu’il a pris les rênes de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté il y a déjà plusieurs années.

Le P.D.G du groupe éponyme s’assure avec ce choix ô combien stratégique le renforcement présentiel de sa structure sur la région Auvergne-Rhône-Alpes. Une pièce complémentaire à ce puzzle intéressant qui consiste à accroître sa conquête de parts de marché à l’échelle de l’Hexagone après s’être positionné via le rachat de la société SMC en Ile-de-France il y a trois ans.

 

 

De l’énergie à revendre pour le groupe !

 

Le développement du pôle énergétique permettra au groupe ROGER MARTIN, outre de jouer astucieusement la carte de la diversification, d’afficher ses prétentions sur un domaine sectoriel qui ne lui était pas familier jusque-là. Une activité en corrélation directe avec les travaux publics, évidemment !

Spécialisée dans trois domaines, la filiale APS Energie conçoit depuis son unité de production la fabrication de plaquettes de bois issues de grumes travaillées en scierie. Ces plaquettes étant destinées ensuite à des chaufferies industrielles ou urbaines qui alimentent les réseaux de chaleur. L’entité assure aussi la collecte, l’enfouissement et la méthanisation de déchets en provenance de chantiers mais également de déchetteries.

Transformée en électricité grâce à de puissants co-générateurs, cette énergie naturelle est revendue à EDF et à ses filiales.

Enfin, juteuse cerise sur ce gâteau si appétissant, APS Energie produit même la précieuse électricité en s’appuyant sur une centrale photovoltaïque de deux mille mètres carrés capable d’alimenter plusieurs centaines de foyers.

Pas de doute, cette nouvelle croissance externe représente du pain béni pour la pérennité du groupe de Côte d’Or aux 1 600 collaborateurs et aux 300 millions d’euros de chiffre d’affaires !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil