Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Malmenées depuis plusieurs mois par les conséquences néfastes de la crise sanitaire, les très petites entreprises (TPE), chantres de l’économie de proximité, souffrent en silence, observant une diminution très nette de leurs activités. Leur chiffre d’affaires est au plus bas. Le Pacte paraphé par la Région et la CC du JOVINIEN offre une alternative. Sous la forme d’un double dispositif de soutien…

JOIGNY: Sur ce volet de l’actualité, elles sont au diapason, la Région Bourgogne Franche-Comté et la Communauté de communes du JOVINIEN ! Normal, puisque toutes deux disposent de la compétence économique.

En décidant d’intervenir conjointement pour aider les entreprises en proie à de profondes difficultés financières, ces deux organismes mettent en application la résultante de leurs paraphes du pacte régional : favoriser la relance économique au plus près du territoire.

Cet appui se présente sous la forme de deux mesures : le Fonds régional des Territoires (FRT) et le Fonds d’avances remboursables consolidation de la trésorerie (FARCT).

La Région lui ayant délégué la faculté de pouvoir instruire les dossiers, la Communauté du JOVINIEN peut donc agir en ciblant les entrepreneurs des TPE, particulièrement touchés par les effets pernicieux de la crise.

 

 

 

Le principe d’attribution du Fonds régional des Territoires (FRT) est simple. Ces subsides peuvent être accordés après examen des dossiers de candidature analysés par la commission du développement économique de l’organe communautaire. Les critères d’éligibilité abordent les aspects suivants : l’effectif maximal de l’entreprise (dix salariés), le secteur d’activité, les projets en perspective, etc.

En amont, les chefs d’entreprise doivent constituer un dossier avant de l’adresser par lettre recommandée avec accusé de réception au président de la CC du JOVINIEN, Nicolas SORET.

Quant à la seconde possibilité, le Fonds d’avances remboursables consolidation de la trésorerie (FARCT), elle offre aux TPE de solliciter une avance à rembourser à taux zéro pouvant s’élever au maximum à 15 000 euros.

 

En savoir plus :

Pour le FRT :

Adresser son dossier à la présidence de la CC du JOVINIEN

Service économique

11 Quai du Premier Dragons

89300 JOIGNY

Ou par mail auprès de Clément BENOIT (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Pour le FARCT :

Pour remplir le dossier, consulter le site suivant :

http://www.initiative-bourgognefranchecomte.fr/farct.html

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Si l’humain pouvait trouver toute sa place dans la société. Si le savoir-faire plus que l’outil pouvait se positionner à sa juste valeur au sein de l’entreprise. Si la banque qui possède des contraintes de gestion pouvait considérer ce « capital immatériel » comme une richesse à part entière. Alors sans sombrer dans des sphères trop idylliques, l’approche du monde professionnel en serait définitivement transformée. L’humain et son savoir-faire auraient leur place à la fois sur les lignes comptables d’un bilan de société mais également au sein de l’entreprise.

 

TRIBUNE : Le personnage est captivant. Il a publié une thèse en 2019 sur l’avenir de l’économie participative, ce fameux crowndfunding dont tout le monde fait étalage dorénavant pour financer le moindre projet !

Après un parcours professionnel riche, Pascal de CLARENS est retourné à l’IAE, université de Nantes en 2014 pour y suivre un master de recherche. Il l’a complété par une thèse de doctorat soutenue en 2019.

En avril 2020, il a participé à la reprise de l’entreprise « Value&Co » à l’époque un cabinet conseil classique, spécialisé dans la valorisation du capital immatériel. Un de ses sujets de prédilection !

Il assume depuis le rôle de responsable scientifique avec comme objectif une meilleure connaissance de cette thématique, de sa valorisation et de la création d’outils ad hoc. Ils permettent un meilleur suivi des indicateurs de la gestion stratégique en entreprise. Si en parallèle, il poursuit ses recherches théoriques au sein du LEMNA, laboratoire de gestion de l’IAE de Nantes, cet homme pressé nous a accordé du temps pour répondre à nos interrogations.

A suivre sur le référent suivant :

https://youtu.be/4sBkWSCAJ6g

 

Hadrien ACELA

Interview réalisée par Daniel BOUKEZ

 

En savoir plus :

 

https://www.linkedin.com/company/40890844

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ca y est : cela bouge enfin du côté d’Aux R Parc !  Les premiers coups de pelle mécanique modifient depuis quelques semaines la physionomie de cet immense espace paysager d’environ cinquante hectares devant accueillir les futurs emplois de l’agglomération auxerroise. On connaît déjà le nom de deux entreprises qui érigent leurs infrastructures sur le site. Le dossier sera suivi désormais par Félix BEPPO, nouveau développeur de l’attractivité économique au sein de l’Agglo.

APPOIGNY : C’était le 12 juin 2019 dans le cadre d’une cérémonie protocolaire suivie par la fine fleur de la sphère institutionnelle et économique départementale.

Deux entreprises apposaient ce jour-là sous un énorme chapiteau par l’intermédiaire de leurs dirigeants leurs signatures sur un document officiel les liant au projet Aux R Parc, la nouvelle zone d’activité du nord de l’Auxerrois. Quinze ans après les tractations originelles de ce dossier et une multitude de fouilles archéologiques qui seront rondement menées, Aux R Parc prend enfin corps et âme.

Sous la forme de différents chantiers de terrassement et de montage des futurs bâtiments qui accueilleront d’ici quelques semaines ses deux premiers occupants : la PME YCARE, spécialiste de l’exploitation de carrières, de mines et de travaux publics, et le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité, ENEDIS.

Disposant de trente-trois lots, Aux R Parc est un concept d’attractivité territoriale porté par la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, en étroit partenariat avec l’agence Yonne Développement.

Initiés en juin 2018, les importants travaux d’aménagement de ce site auront nécessité un investissement de près de vingt millions d’euros au total. L’Etat, la Région et le Département y apportèrent leurs contributions à l’aide d’une enveloppe de deux millions d’euros correspondant à des subventions.

 

 

Rappelons que ce projet doit accueillir des entreprises de différentes tailles et à forte valeur ajoutée. Si possible, en les délocalisant de l’Ile-de-France.

Si l’on connaît désormais l’identité des deux premières structures professionnelles qui s’y implanteront cette année, plusieurs contacts ont d’ores et déjà initiés par les services de l’Agglo et de l’agence Yonne Développement, dont la mission première est le développement économique de notre territoire.  

Un laboratoire de produits cosmétiques a été approché par les services ad hoc qui travaillent à l’essor du site.

En poste depuis le 01er février, Félix BEPPO, directeur du développement de l’économie, l’attractivité et la transition écologique de l’Agglo de l’Auxerrois, intègrera parmi ses missions principales le suivi très attentif de ce dossier porteur de dynamisme et d’emplois.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le chiffre vingt accapare tous les esprits des professionnels du bâtiment. C’est la référence qui correspond en pourcentage à la baisse des permis de construire observée sur notre territoire depuis le début de la crise sanitaire. Une source d’inquiétude pour les artisans de la filière. Une autre tendance ne prête pas au sourire : l’envolée des prix des matériaux qui avoisine 30 % dans le même laps de temps. Trop excessif ?

DIJON (Côte d’Or) : « Si cela continue ainsi, on va tout droit vers la rupture des approvisionnements en matériaux et fournitures sur les chantiers d’ici l’été, constate un brin laconique Bernard LABOREY, le président de la Fédération régionale du Bâtiment en Bourgogne Franche-Comté.

Faisant un bref aparté lors de la conférence de presse des organisations professionnelles de la filière BTP tenue ce vendredi 26 février dans la capitale des ducs de Bourgogne, le porte-étendard du puissant organisme institutionnel ne s’est pas fait prier pour faire part de ses interrogations à propos de la poussée inflationniste des prix. Ceux qui s’appliquent aux matériaux de chantier. Avec en filigrane, la problématique récurrente des délais de livraison de plus en plus extensibles.

Aux côtés de son vice-président Pierre GENZI, l’homme fort de la FFB BFC ne comprend pas les origines de cette hausse exponentielle des prix sur ces matériaux depuis plusieurs mois.

Ces équipements sont nécessaires au bon avancement des chantiers qui enregistrent des attentes considérables de plus en plus longues en termes d’approvisionnement des marchandises.

« Les prix des marchés sont bas. Mais, a contrario, les fournitures et le matériel connaissent des poussées de fièvre depuis trois mois se plaint ce dernier

Souhaitant une révision de la politique tarifaire qui est appliquée à l’heure actuelle, voire une meilleure maîtrise de celle-ci de la part des distributeurs et des grossistes, Bernard LABOREY craint que les chantiers ne soient bloqués de manière brutale et inéluctable en juin si les matériaux ne sont pas acheminés dans les temps.

« Si la situation ne s’améliore pas, je ne sais pas ce que l’on pourra faire pour y remédier prévient-il fataliste.

 

 

16 000 demandeurs d’emploi répertoriés dans le bâtiment et peu de candidats lors des recrutements…

 

Quant aux permis de construire, enregistrés sur notre zone géographique territoriale, ils ne cessent de chuter depuis des semaines. Moins 20 % au plan quantitatif avec des délais de près de huit mois d’attente pour obtenir le précieux sésame !

Dubitatif quant aux effets réels du plan de relance, Bernard LABOREY conserve néanmoins espoir sur le second semestre qui devrait être plus favorable à l’activité. Toutefois, le sempiternel problème de main d’œuvre semble l’affecté.

« Lorsque vous sollicitez les services de Pôle Emploi avec lesquels nous avons contractualisé une convention de partenariat plutôt fonctionnelle, on vous annonce que 16 000 personnes sont répertoriées dans les registres en quête d’un retour à la vie active dans la filière que nous représentons.

Mais, lorsque les entreprises du bâtiment sont en mesure de recruter et font appel à ces mêmes personnes, il n’y a pas moyen d’accueillir dix demandeurs d’emploi pour un entretien d’embauche ! ».

Optimiste malgré tout, le président de la fédération régionale du bâtiment ne baisse pas les bras sur le sujet et déclare en substance qu’il essaiera avec le partenaire légitime de l’emploi en France de trouver d’autres astuces afin de sensibiliser les inactifs à choisir les métiers du bâtiment pour relancer leur carrière.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le débat est lancé. Avec ses partisans et ses détracteurs. Dans la langue de GOETHE, le mot dette se traduit par la locution : « die schuld ». Cela signifie aussi la faute ! Alors faute ou pas faute de s’être endetté à un tel niveau pour résoudre cette crise sanitaire ? Faute ou pas faute de rembourser nos dettes dans un avenir aussi lointain ? Au-delà de l’avis des experts en économie, la décision finale ne peut être que purement politique…

TRIBUNE : Le débat, souvent musclé, enflamme la toile. Mais aussi, les médias, avec des discours très techniques du côté des économistes. Les spécialistes, plutôt de gauche, proposent l’annulation pure et simple de la dette. Citons Gaël GIRAUD, Jézabel COUPPEY-SOUBEYRAN et le fameux Thomas PIKETTY, pour les plus connus.  

En face de ces fervents adeptes de l’annulation, on trouve des « conservateurs » respectueux des règles européennes en matière de crédits accordés aux états.

Leurs partisans sont Olivier BLANCHARD (ex-économiste du FMI) et surtout Eric BERR, chantre des « économistes atterrés ». Ils s’opposent à l’idéologie néolibérale.

Partisans et détracteurs sont pourtant d’accord sur un point : si les taux augmentent, la charge des emprunts deviendra insupportable pour les états. Donc, nous ne pourrons que recourir à l’annulation.

Pour les autres, annuler c’est aussi prendre le risque d’une création monétaire de contrepartie. Soit un risque inflationniste avec une augmentation des taux ! La quadrature du cercle, voire même une solution digne du « mouton à cinq pattes » !

 

Des chiffres astronomiques et de sacrés enjeux…

 

 

A date, notre dette nationale représente plus de 120 % du PIB avec 2 700 milliards d’euros. Important, certes, mais pas incongru. Ne mélangeons pas le stock de la dette avec le flux des ressources de l’Etat (PIB). Aucun banquier ne sera choqué par notre prêt immobilier de 300 000 euros si nous avons un revenu annuel de 30 000 euros.

Les actifs de l’Etat sont peau de chagrin. On préfère vendre que réduire les dépenses ! Ces actifs représentent 1 400 milliards d’actifs financiers (actions) et 700 milliards d’actifs non financiers.

Précisons que le volume des dettes est multiplié par deux quand on intègre les dépenses futures de l’exercice en cours et les engagements pris sur les retraites dues (les fameux engagements « hors bilan »).

Il faut aussi ajouter les cautions données comme les récents « Prêts garantis par l’Etat ». Les chiffres donnent tout de même le vertige : en 2020, on emprunte un milliard d’euros par jour, soit 700 000 euros chaque minute !

En 2021, nous sommes au moins sur le même rythme. Disons tout de suite que l’Etat rembourse ses emprunts chaque jour. De quelle manière : on fait « rouler » nos dettes en se faisant refinancer le capital sur les marchés financiers.

Donc, plus j’ai de crédits et plus je m’endette… Ce qui fait dire que dans ce cas, on ne rembourse pas. C’est aussi la solution technique des partisans du remboursement de nos dettes : « le fameux roulement ». L’exposition à une possible augmentation des taux constitue une véritable épée de Damoclès pour les états européens et particulièrement pour la France. La dette représente le pilier du fonctionnement de l’Etat et non l’investissement. Hélas !

 

Rembourser, c’est aussi faire des économies…

 

 

Pour la dette imputable à la COVID, c’est la BCE qui a ouvert tout grand les robinets. Les juristes affirment que la BCE n’a pas le droit d’effacer la dette des états. Pour les autres emprunts, la moitié est détenue par des investisseurs étrangers. De facto, ils doivent être prioritaires pour un remboursement. Ne pas honorer cet engagement, c’est se couper de dettes futures.

Parmi les solutions de remboursement les moins toniques mais déjà engagées, on trouve la vente des actifs. Si pour l’heure, on s’interdit de vendre la Joconde (deux milliards) le château de Versailles (au moins 4 milliards), la tour Eiffel (3 milliards), le musée du Louvre hors ce qu’il contient (8 milliards), on brade des sociétés comme la Française des Jeux.

Sans doute la vieille mentalité des traditionnalistes de la terre et de l’immobilier et des réfractaires de la bourse. En attendant, on s’appauvrit au détriment de l’emploi au lieu de s’enrichir efficacement afin de réinvestir dans l’économie.

Rembourser, c’est aussi faire des économies. Car il ne faut pas confondre les charges conjoncturelles et les charges structurelles.

Diminuer les charges conjoncturelles, en fait diminue le budget de l’Etat à travers les dépenses annuelles et récurrentes. Cela ne sert à rien. A défaut, on contraint des fournisseurs à licencier du personnel. Parmi les coupes sombres à envisager, aussi stupides qu’inutiles : pourquoi ne pas supprimer les petits fours servis en abondance le 14 juillet à l’Elysée, la vente d’une partie de la cave du palais présidentiel, diminuer les frais du parc automobile des ministères, limiter les charges de téléphone et du numérique des élus, etc.

Pour les charges structurelles, qui ont un caractère quasi permanent, on pointe surtout les charges de personnel. Des suppressions de postes sont-elles possibles et où en l’état ? La santé, la police, la justice, les prisons, l’armée, l’éducation ?

Bien sûr que non ! Nous parlons ici de secteurs qui doivent au contraire recruter. Si nous évoquons l’Education nationale : il faut une meilleure répartition des postes. Mais, on n’économisera pas grand-chose. Si, en fait, on y gagnera à coup sûr une belle grève pérenne…

Les charges de personnel, depuis quelques années ont explosé dans les municipalités et autres collectivités publiques. Il existe un véritable malaise dans les embauches de ce secteur. Toutefois, elles ont eu aussi le mérite de limiter la casse locale dans les emplois du secteur privé.

Parmi la diminution des charges structurelles qu’il faudra bien aborder un jour : c’est celle relative à la fraude sociale qui devra faire surface !

 

 

Tout le monde connaît depuis des lustres la gabegie des escroqueries en matière de fraude aux Caisses de retraite et à la Sécurité Sociale.

Dans son rapport officiel, le magistrat Charles PRATS estime à près de 50 milliards la fraude sociale !

Pour des raisons certainement démagogiques, aucun gouvernement n’a encore souhaité s’attaquer de front à ce serpent de mer ! Pourquoi ?

Nous touchons là un point très sensible de notre société, impliquant notamment des ressortissants étrangers où certaines aides qui sont attribuées concernent des personnes âgés de plus de 130 ou 140 ans afin de permettre aux familles de toucher la retraite !

Pire encore : on manipule les chiffres. Le sénateur Jean-Marie VANLERENBERGHE (LRM), rapporteur de la commission des Affaires sociales du Sénat, estime à « au moins » 100 millions d’euros la fraude sociale en France.

Le « au moins » n’est en fait qu’un doux euphémisme !

Quand à augmenter les impôts, mieux vaut ne pas y penser. Au contraire, l’urgence est de diminuer l’impôt sur les sociétés afin d’attirer les capitaux étrangers et surtout, à l’instar de l’Italie, de réduire voir de supprimer l’impôt sur les successions d’entreprises, les TPE, les commerces, l’artisanat,…

Trop souvent, pour ces activités professionnelles, la succession des entreprises débouche sine die à leur fermeture et à des licenciements. 

 

 

Des pistes de réflexion vertueuses pour sortir de ce cercle infernal…

 

 

Ne pas rembourser la dette nous expose à la fermeture du robinet des crédits. C’est la perte de la crédibilité de la signature de l’Etat français. La fin de la restructuration progressive de nos emprunts vers un allongement de leur maturité. Cette solution semble avoir le vent en poupe.

Nous nous endettons sur des durées de cinquante ans et nous envisageons des remboursements étalés sur un siècle ! Qui peut bien être intéressé ?

Les fonds de pensions de retraites américains. Cette ouverture permet à ces fonds nationaux de se développer en investissant dans la dette. En matière de dettes, il ne faut surtout pas se préoccuper de la position allemande. Angela MERKEL est trop soumise à l’Euro. Un retour au Mark ruinerait l’Allemagne à cause d’une monnaie trop forte pour pouvoir vendre d’une manière concurrentielle ! 

Alors, rêvons un peu ! Trouvons une solution pertinente pour sortir de ce cercle infernal. Trouver un cercle vertueux : c’est-à-dire investir dans l’appareil productif industriel. Cela augmentera notre indépendance industrielle en créant des emplois et en améliorant notre niveau de vie. Donc, la richesse nationale, le PIB et la capacité de pouvoir rembourser aisément les dettes…

Nous l’avons vu pour la découverte de l’hypothétique vaccin français. Un échec synonyme de carence pour l’Etat en ce qui concerne les fonds injectés vers la recherche.

Au final, rembourser ou ne pas apurer nos dettes ne peut être qu’une décision politique. C’est une armoire à tiroirs multiples mais surtout cela traduit la volonté affirmée de l’Etat d’être sans complaisance et sans démagogie.

N’oublions pas ce vieil adage, ode à la prudence (un dicton issu de la culture populaire de l’Ancien régime) : « Qui paye ses dettes s’enrichit ». A méditer plus que tout en cette période si délicate pour nos finances !

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil