Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Décliné à l’échelle nationale, le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé à l’été 2020 par le gouvernement, sous forme d’une enveloppe de plus de 9 milliards d’euros. L’objectif est d’accompagner et faciliter l’entrée dans la vie professionnelle de chaque jeune demandeur d’emploi. Lundi, le préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, s’est rendu dans les locaux auxerrois de Pôle Emploi pour échanger sur le dispositif aux côtés des équipes de l’agence, au premier rang desquels, Yves HUTIN, directeur territorial Yonne-Nièvre et Séverine DUTREIX, directrice de l’antenne auxerroise.

AUXERRE : L’on a coutume de dire que « l’avenir appartient à la jeunesse… ». Encore faut-il lui donner les clés pour en ouvrir les portes ! Les répercussions de la crise née de la COVID-19 sur le marché du travail sont nombreuses, fragilisant d’autant les moins de 25 ans en quête bien souvent, d’un premier emploi.

En 2020, l’on aura ainsi comptabilisé 1,6 million de « NEET » (les invisibles), triste acronyme pour désigner tous ces jeunes qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation. C’est à leur intention qu’a été initiée, dans le cadre du plan de relance national de 100 milliards d’euros, l’opération « 1 jeune 1 solution » ciblant les moins de 26 ans (ou moins de 31 ans si reconnus travailleur handicapés).

L’objectif gouvernemental de ne laisser personne sur le bord du chemin se veut ambitieux et mobilise pour cela tous les leviers disponibles. Développant notamment l’accès aux emplois aidés, tant pour le secteur marchand par le biais de dispositifs comme les « Emplois francs » ou les « Contrats Initiative Emploi » (CIE), que le secteur non-marchand avec les contrats « Parcours Emploi Compétences » (PEC).

 

 

Un plan pour accélérer et réaliser des projets de manière opportune…

 

Une association d’aide à la personne, un établissement bancaire, un EHPAD, un centre d’affaires, un restaurant… Plusieurs employeurs étaient présents ce 12 avril en réponse à l’invitation de Pôle Emploi pour participer à un job dating et recruter de futurs collaborateurs avec l’aide du dispositif national mis en place.

Ce dont s’est félicité le préfet de l’Yonne Henri PREVOST : « Ce label « 1 jeune 1 solution » a le mérite d’être très clair et très parlant. L’idée est vraiment à chaque fois, d’ajuster la proposition par rapport à chaque parcours, mais aussi à la réalité du terrain et des besoins de l’entreprise… Ce plan est évidemment une opportunité pour un territoire comme celui de l’Yonne, pour accélérer et réaliser des projets ou investissements qui sans lui, auraient peut-être mis des années pour pouvoir se faire. L’on sait bien que monde de l’économie et de l’entreprise est fait de coups du sort, d’évènements extérieurs pénalisants et qu’en fait tout l’art de l’entrepreneur est d’arriver à exploiter ces situations et en retourner les difficultés… ».

Le représentant de l’Etat est bien décidé à faire de cette mobilisation autour de l’emploi un axe de travail majeur pour les mois à venir.

 

En savoir plus :

Tout renseignement supplémentaire sur : www.1jeune1solution.gouv.fr

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Evasive sur sa propre candidature, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté estime que « si les conditions sanitaires ne s’améliorent pas au fil de ces prochaines semaines, il sera très difficile de faire campagne afin de présenter convenablement les programmes ». Quant à se retrancher derrière les canaux offerts par la digitalisation, ce n’est pas nécessairement compatible avec le principe qu’elle se fait de la vie démocratique…

 

DIJON (Côte d’Or) : Elle n’a toujours pas fait connaître sa décision ! Et si les journalistes qui prenaient part à la conférence de presse, concoctée à distance par les services de communication du vénérable organisme, ont bien essayé d’en savoir un peu plus sur les réelles intentions de la présidente, ils en ont eu pour leur frais !

Stoïque face à leurs demandes insistantes, Marie-Guite DUFAY n’a donc rien dévoilé de sa future ligne stratégique sur le sujet même s’il ne fait pas l’ombre d’un doute (cela bruisse de plus en plus dans le sérail) que son patronyme figurera bel et bien sur l’un des bulletins de vote le jour J pour choisir son candidat.

S’exprimant vingt-quatre heures avant la tenue de l’ultime séance de l’assemblée plénière du Conseil régional de la mandature actuelle, la cheffe de file du Parti socialiste régional a bien voulu dissocier dans ses commentaires les faits institutionnels des faits purement politiques. Renvoyant ces derniers aux calendes grecques !

 

 

Pas convaincu avec le seul prisme des réseaux sociaux…

 

La seule entorse qu’elle s’est accordée finalement dans ce choix tactique au plan de la communication concerna la tenue desdites élections aux dates du 13 et 20 juin. Des échéances maintenues par le Premier ministre qui la rendent quelque peu perplexe quant à leur bon déroulement.

« Si les conditions sanitaires ne sont pas levées rapidement, le débat ne pourra s’envisager comme à son habitude… ».

Quant à ne véhiculer les informations inhérentes au programme de campagne que par le seul prisme de l’outil numérique, cela n’a pas l’air de convaincre la présidente en exercice.

« J’aurai du mal à ce que cela se passe uniquement par les réseaux sociaux, convient-elle.    

Reste alors le report de ce scrutin, doublé des départementales, à une date encore à définir à l’automne. Une hypothèse peu probable pour Marie-Guite DUFAY qui ne voit pas comment ces élections pourraient se tenir à quelques encablures seulement de la présidentielle.

Les différer d’ici deux ans (2023) n’est également pas audible pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Un SOS vient d’être lancé par le CNPA pour préserver la pérennité des stations-service en France ! Onze mille de ces structures répertoriées dans l’Hexagone doivent très rapidement répondre au contexte du moment : celui de l’essor des véhicules électriques et du déclin des ventes de carburants. En ajustant leur stratégie !

 

PARIS : Elles n’ont pas d’autres alternatives que de s’adapter à la réalité des enjeux environnementaux, les stations-service de France et de Navarre. Sous peine de mettre la clé sous le paillasson et de déposer le bilan pour celles et ceux de leurs gérants qui en assument la gestion.

Les onze mille stations-service françaises doivent faire face très rapidement à la constante progression des ventes des véhicules électriques qui induit la diminution radicale des ventes de carburants.

D’ici une quinzaine d’années, peut-être moins selon les spécialistes, la moitié de ces points vitaux de toute une économie (on pense volontiers aux zones rurales) auront disparu du paysage si elles ne s’acclimatent pas aux nouveaux enjeux de la société.

Dans le domaine de l’implantation de bornes de recharge électrique, la grande distribution et les réseaux d’autoroute semblent être prêts à relever le défi. En installant ces points d’alimentation nécessaires au développement des véhicules électriques.

 

 

Or, beaucoup de petites stations-service indépendantes ne se positionnent pas sur ce même créneau. Conséquence à cette configuration funeste : vingt mille emplois sont désormais dans la balance et pourraient être remis en question dans un avenir proche.

Au niveau syndical, le CNPA (Conseil national des professions de l’automobile) plaide en faveur d’un fonds de modernisation permettant d’accompagner les structures dans leur transition énergétique. Un fonds de solidarité sera également accessible à un grand nombre de ces structures, sous certaines conditions définies par l’Etat. Il faut agir très vite car il y a réellement péril en la demeure sur ce secteur d’activité qui ne fait pas les manchettes des médias...

 

Thierry BRET et Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est un scénario catastrophe tel que l’on ne l’avait pas vu depuis plus de deux décennies en Bourgogne Franche-Comté. Les efforts des professionnels de la filière, viticulteurs et arboriculteurs mobilisés sur le terrain pour tenter de juguler les effets nocifs des fortes gelées de ces dernières nuits, auront été vains. Les premiers constats laissent craindre le pire. Des pertes très lourdes, pouvant atteindre de 80 à 100 % de certaines récoltes…

 

AUXERRE : Les espoirs de récoltes fructueuses auront donc été anéantis en l’espace de quelques nuits blanches dans tous les sens du terme lors de cette maudite semaine d’après Pâques.

Il aura suffi de plusieurs épisodes de gelées successives en l’espace de 48 heures pour détruire le fruit du travail de toute une année. Victimes principales de ce fléau naturel dont ils se seraient passés volontiers : les viticulteurs et les producteurs de fruits. Celles et ceux qui cultivent des cerises en particulier.

Les braseros et tous les moyens du bord utilisés pour réchauffer l’atmosphère près des plantations n’auront donc pas inversé les nuisances de ce sursaut hivernal.

Les observations liminaires ne laissent planer aucun doute quant au résultat. Les pertes sont très lourdes. Autour de 80 à 100 % selon les parcelles. Un coup de massue venu du ciel, tombé sur la tête des agriculteurs comme au temps de nos ancêtres gaulois. Mais, là s’arrête la plaisanterie.

 

 

Le préfet sur place pour constater les dégâts…

 

Peu de fruits auront pu résister à ce froid glacial à vous ronger les os. Le Chablisien n’a pas été épargné dans les vignobles. Il en est de même dans le Coulangeois où les fruits à savourer se compteront sur les doigts d’une main cette année. Un luxe, c’est sûr, tant la rareté des produits est déjà évidente.

Pas la peine d’ergoter quant aux conséquences économiques : elles sont catastrophiques pour les acteurs de la filière.

Vendredi après-midi, à l’invitation de la FDSEA (Fédération départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) de l’Yonne, le préfet Henri PREVOST et plusieurs élus du territoire ont constaté à leur guise l’étendue des dégâts lors de la visite de deux exploitations fortement impactées par ces sinistres.

Le domaine BARAT sera le premier de ces points de rencontre à Milly. Avant que le cortège préfectoral ne découvre les aspects du désastre dans l’exploitation d’arboriculture de l’EARL ALBENA à Jussy.

 

 

D’autres gelées en perspective dès la semaine prochaine…

 

En fleurs, après un sérieux coup de chaleur il y a quelques jours, les cerisiers ont été très touchés par le gel.

« C’est une véritable catastrophe économique pour notre profession… devait commenter sur la toile Alain DURUZ, arboriculteur à Jussy ». Il en publié plusieurs clichés qui témoignent de cette dure réalité.

Toutefois, il est encore prématuré pour estimer l’ampleur des dégâts sur les autres productions fruitières. La présidence de la FDSEA, incarnée par Damien BRAYOTEL, ne se fait guère d’illusion en livrant ses premiers commentaires : « Elles devraient être très basses, également… ».

Mais, le pire se positionne devant nous. A en croire les météorologues, leurs prévisions ne prêtent pas à l’enthousiasme pour la semaine prochaine. Les gelées annoncées pourraient être encore plus importantes que celles vécues au lendemain de la période pascale.

 

 

Le nord de l’Yonne a souffert, lui aussi. En priorité, les betteraves où plusieurs parcelles ont été entièrement détruites. Engendrant de légitimes interrogations sur les nouveaux semis et le manque de graines disponibles.

Quant aux autres productions céréalières, elles requièrent une extrême vigilance de la part des agriculteurs qui ne sont pas à l’abri d’une mauvaise surprise.

Les effets du gel sur les colzas, les prairies temporaires, les pois ou l’orge brassicole ne se constatent pas de manière immédiate. Il leur faut croiser les doigts et prier pour que le ciel les épargne de ses caprices…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est fait ! L’industriel ALSTOM a bel et bien reçu le bordereau de ladite commande émanant de SNCF Voyageurs ce mercredi 07 avril. Une transaction qui a été réalisée pour le compte des quatre grandes régions concernées par ce projet dont la Bourgogne Franche-Comté. Soit un total de douze machines bi-mode électrique et hydrogène. Trois d’entre elles seront affectées à notre territoire. Leurs coûts ? 52 millions d’euros…

 

DIJON (Côte d’Or) : Les douze premiers trains alimentés en énergie électrique et à hydrogène, auxquels il faut ajouter deux rames optionnelles, ont été achetés pour la coquette somme de 190 millions d’euros à ALSTOM ce mercredi 07 avril par SNCF Voyageurs.

Ils l’ont été pour le compte de quatre régions de l’Hexagone. Elles seront les premières à expérimenter ce mode de locomotion novateur sur leur territoire.

Il s’agit de l’Auvergne-Rhône-Alpes, du Grand-Est et de l’Occitanie sans omettre évidement la Bourgogne Franche-Comté.

Cette dernière contrée déploiera trois de ces trains, issus de la gamme Coradia Polyvalent H2, sur ses lignes. Ils circuleront en effet entre Auxerre et Laroche-Migennes. Ils intègreront le premier écosystème régional en France à inclure le train. Un site qui sera basé à Auxerre.

Pour mémoire, la Région Bourgogne Franche-Comté via sa présidente Marie-Guite DUFAY a soutenu l’initiative dès le début. Ce qui correspond à une nouvelle étape dans le déploiement de l’hydrogène en faveur de solutions de mobilité bas carbone.

 

La mutation vers la mobilité hydrogène a commencé dans la région…

 

« Source d'énergie et solution de stockage, l'hydrogène, et notamment l'hydrogène vert, est un moyen non seulement de lutter contre les effets du réchauffement climatique, mais aussi de dynamiser l'emploi, l'attractivité et la croissance de notre région, devait-elle déclarer à l’annonce de cet achat. Pionnière dans cette technologie stratégique, la région a su fédérer les talents et les compétences de la Bourgogne et de la Franche-Comté dans sa mutation vers l'hydrogène… ».

Composé de quatre voitures, ce train newlook, long de 72 mètres, peut accueillir 218 places assises. Il offre des performances et un confort similaires à la plus classique version bi-mode électrique et diesel.  

 

 

Cette commande de trains à hydrogène est la résultante de deux années d'efforts conjoints des différents acteurs du projet. Le train Coradia Polyvalent répond aux exigences de la diversité du réseau ferroviaire français.

Il dispose d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 600 kilomètres sur des tronçons de voies non électrifiées.

 

Les bogies sont réalisés au Creusot, les moteurs dans le Doubs…

 

Près de 400 trains Coradia Polyvalent bi-mode électrique-thermique et tout électrique ont été commandés par les régions françaises depuis 2011.

Leur développement assure plus de 2 000 emplois en France pour ALSTOM et ses fournisseurs.

Six des quinze sites industriels implantés en France sont impliqués dans le projet : Reichshoffen (Bas-Rhin) pour la conception et l'assemblage, Ornans (Doubs) pour les moteurs, Le Creusot (Saône-et-Loire) pour les bogies, Tarbes (Hautes-Pyrénées) pour les chaînes de traction et le développement de la propulsion à hydrogène, Villeurbanne (Rhône) pour l'électronique embarquée et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour la conception.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil