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Si un secteur professionnel n’est jamais en disette pour proposer des offres d’emploi aux jeunes pousses montantes, c’est bien de celui-ci dont on peut parler ! Le profil est simple. Etre détenteur d’un diplôme de niveau licence, posséder quelques appétences aux relations humaines et à l’écoute, le reste suivra après immersion dans cette sphère du marketing et de l’offre commerciale. A l’instar de la Caisse d’Epargne en quête de candidats !

 

AUXERRE : Mine de rien, c’est fou comme les établissements bancaires recrutent chaque année ! Ils ne sont jamais à court de bonnes idées, et surtout de postes pérennes, parfaitement identifiés, à disposer de suite pour subvenir aux besoins des plus jeunes d’entre nous : un métier !

La Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté ne déroge pas à cette règle. Elle qui a déjà ajouté une dizaine d’embauches supplémentaires à son escarcelle au cours de ce dernier semestre sur le seul territoire de l’Yonne !

Les profils sont à caractère commerciaux. Logique pour cette typologie d’établissement qui raisonne en parts de marché réalisées sur la vente de produits financiers et de crédits, voire sur le conseil en gestion patrimoniale. Le must des services préconisés par un acteur du monde bancaire, aujourd’hui.

 

Les titulaires de Bac + 3 dans le viseur de la Caisse d’Epargne…

 

Dans l’absolu, la directrice du groupe de l’Yonne, Florence FORZINETTI, recherche des postulants devant pourvoir à trois opportunités professionnelles de manière immédiate. Des postes qui bénéficient d’un contrat à durée indéterminée. Du conseiller généraliste au chargé d’affaires en gestion patrimoniale, sans oublier celui de conseiller en clientèle.

Présente à l’agence commerciale de Toucy ce jeudi en fin de matinée, l’encadrante bancaire a confirmé ce besoin.

« Généralement, précisa-t-elle, nous puisons nos nouvelles recrues parmi un vivier de diplômés de niveau baccalauréat, bac + 3 (licence) – le plus souvent force de vente – qui possèdent la fibre du conseil et de la relation à l’autre ».

L’alternance est également usitée à bon escient. L’année dernière, cinq apprenants issus de l’Ecole de Commerce et de Gestion, accueillie au sein du pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie à Sens, ont intégré les services de la Caisse d’Epargne, afin d’y poursuivre leur cursus. Preuve que les portes sont grandes ouvertes pour celles et ceux de ces jeunes gens qui désirent s’initier aux pratiques de la commercialisation bancaire.

 

Trois postes à pourvoir à l’instant « t » dans l’Yonne…

 

Toutefois, le parcours de progression en interne demeure favorisé par la direction des ressources humaines. Les notions de promotion ne sont donc pas galvaudées selon l’exemple de la directrice de la vitrine commerciale de Toucy, Kelly PAYET, qui officie en qualité de responsable d’un point d’ancrage ouvert au public depuis trois ans. Elle, qui a pu assez rapidement se hisser vers le haut de la pyramide en gravissant les échelons sur un rythme bien soutenu, se dit très satisfaite de son sort.

Prenez-en de la graine, mesdemoiselles et messieurs les postulants, avant d’adresser vos lettres de motivation et autres CV afin de décrocher la timbale de ces trois nouveaux postes qui vous tendent la main !

 

Thierry BRET

 

 


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C'était une de ces matinées, fleurant quelque peu la fin de ce drôle d'hiver. Dans cette petite rue proche du marché de Sens,  un panneau à l'impeccable calligraphie - digne des institutrices et instituteurs d'avant 68 - m'interpella. Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! Séquence souvenir, de feu l’ORTF, avec le commissaire BOURREL et ses « Cinq dernières minutes ! ». J'y reconnus alors la patte de Laëtitia, que l'on a découvert jadis au « Martin bel air », sis à Saint-Martin-du-Tertre. Une bonne petite table locale que l'on évoquera un de ces quatre dans cette chronique....

 

SENS : Appréciée de la clientèle, elle n'avait pas son pareil pour préparer un « Américano », avec LA recette de son père-grand ! Après un court passage dans une chaîne que je ne citerai pas, là-voilà, à sa place, chef de salle de  la toute nouvelle « Table du Boucher ».

Bienvenue à la maison TROTOUX ! Guillaume y prit la suite de son père Rémi, après avoir exercé dans de belles boutiques, tant à Lille, que chez « Pouy » à la capitale. Voici trois ans, par le biais d'importants travaux, il créa cette boucherie du XXIème siècle, avec son étal arrondi.

Ce n'est pas la première fois que se crée à Sens un restaurant à viandes. Le précédent, ce fut voici il y a quelques années « Le Cav's », comme comptoir à viandes. C'était bon, certes, mais cher et chichiteux. Je me souviens encore des salsifis au chocolat en dessert ! Cela ne dura point. Peut-être y manquait-il un brin de gourmandise tout simplement ? Si certains clients vont au restaurant, d'autres s’y rendent aussi pour manger. CQFD !

Mais revenons rue Etienne Mimard, et poussons la porte vitrée de ce petit antre. Notre calligraphe est là, sa craie est rangée : les clients peuvent arriver ! Le décor est chaleureux, et la juxtaposition de tables hautes et basses, y est plutôt heureuse. Quelques saucissons pendouillent, juste histoire de  nous narguer !

 

 

La possibilité de se sustenter dès potron-minet !


« La Table du Boucher » pour Guillaume, c'est le prolongement de sa boutique, avec la possibilité pour la clientèle, de choisir un morceau sur l'étal. Même de bon matin, pour un « p'tit mâchon », plus très diététiquement correct en 2022, mais ayant l'avantage de faire plaisir, c'est déjà ça !

On s'attable donc confortablement dans cette petite salle contiguë à la boucherie. La planche-apéritif,  composée  de saucisson de porc noir de Bigorre bien poivré et de chorizo est plaisante. Avec ce joli  vin de Fixin. Aujourd'hui, la maison propose une souris d'agneau ou une entrecôte blonde d'Aquitaine. Le tout est accompagné de gratins (chou-fleur ou courgettes). Ou bien votre autre choix se portera sur le bel étal que l'on zyeute depuis notre table !

Quelques crudités pour commencer : de la betterave, une bonne piémontaise et une salade grecque, sans sirtaki, dommage ! Une dame seule se régale à la table voisine. Derrière nous, des parents déjeunent avec leur fille restauratrice. Elle est établie avec son mari, en terre vendéenne, à Aizenay. L'établissement s'appelle « La Sitelle ». Le Michelin parle de recettes originales avec de nombreux accords terre-mer, ainsi que d'un accueil agréable et attentionné.

 

 

 

Les petites « blagounettes » entre deux assiettes !

 

Le pain, ça compte ! Il est bon et bien cuit. Il provient de la proche boulangerie- pâtisserie tenue par Eric GAUFILLIER. On en profite pour saluer ce sympathique artisan, présent dans la cité de Brennus depuis plus de trente ans. Son frère, pâtissier, officie à Provins.

L'entrecôte arrive impeccablement saignante. Elle fut cuite à la plancha. C'est la mode ! Personnellement, il me semble que pareil morceau poêlé et arrosé durant cuisson, ce serait bon aussi. Même si ce n'est pas très « comme j'aime », ainsi que  le serine la pub sur machin-tv ou autre ! Le gratin de chou-fleur est fort bon, bien assaisonné ; on y perçoit de fines effluves de l'indispensable muscade.

Laëtitia, quant à elle, passe de table en table, un mot gentil pour chacun, une « blagounette » entre deux assiettes !

Le dessert maison du jour est une tarte aux figues. D'autres sont préparés par la maison GAUFILLIER et proposés à la dégustation. Bonne pioche que cette tarte aux figues, ce fruit si finement granuleux. Puis, vient le moment du café servi avec un nougat local.

C'est chouette, cette « p'tite Table du Boucher ». Bravo au courageux Guillaume qui ignore les trente-cinq heures. Et bravo aussi à notre calligraphe préférée !  Nous reviendrons pour une viande poêlée cette fois-ci ! Tant pis pour « comme j'aime » !

 

 

En savoir plus :

 

Les + : cadre agréable, originalité du concept, service au top, prix des vins raisonnables avec notamment un Irancy de chez CANTIN servi à 25 euros la bouteille, c'est rare !

Les - : les tarifs sont raisonnables, mais au prix d'un bon restaurant cependant (soit environ celui d'un menu à 35 euros, référence du « Bib gourmand » dans le guide Michelin), l’établissement aura tout intérêt à prendre avec le temps - Paris ne s'étant pas fait en un jour - un virage, un peu plus cuisiné. On pense aux sauces et jus, notamment. Beurre d'herbes, sauce bordelaise et autres sauces Foyot s’accorderaient volontiers avec miss entrecôte (blonde d'Aquitaine ou brune des Alpes, c'est vous qui voyez !). Un noble support de choix...

 

 

La Table du Boucher Maison TROTOUX (sur Facebook)

09, rue Etienne Mimard

SENS

Tel  03. 86. 65. 18. 20.

Boucherie-charcuterie : du mercredi au lundi.

La salle est ouverte lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 09 à 19 heures.

Précisions : l’établissement n'étant pas un restaurant, au sens légal du terme, il n'y est pas servi d'alcools forts (apéritifs,  digestifs...).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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La douleur. Vive, insondable. Elle pique l’esprit avec fulgurance. Comme une aiguille interminable s’enfonçant vers le cœur. Coincé dans un inéluctable étau qui broie la moindre parcelle de bonheur de celles et de ceux qui restent. Un sentiment de légèreté, pourtant, revient aux doux souvenirs des jours heureux. De ceux partagés à ses côtés, au détour d’une existence associative très investie : l’Ordre de Malte ou le Kiwanis Club d’Auxerre. Entre autres…

 

APPOIGNY : « Quel prodige la Mort ! La Mort et son frère, le Sommeil ! L’une, pâle comme la Lune qui là-bas s’évanouit avec les lèvres d’un bleu livide ; l’autre, rosé comme le matin, quand trônant sur la vague de l’océan, il empourpre le monde… ».

Les mots du poète britannique, Percy SHELLEY, posés sur le vélin en 1813, réchauffent l’âme. Pathétiques moments de quête au réconfort où l’on souffre en silence en tentant de se raccrocher à la vie parce qu’il est de notre devoir de poursuivre le chemin entamé. Afin de perpétuer la mémoire du défunt. En pleurant celui ou celle, trop tôt disparu. Et en ravalant péniblement son chagrin parce qu’il faudra toujours soutenir, avec force et vigueur, celui qui survit à ce cap inextricable de la vie que l’on nomme la mort : le survivant. Qu’il soit époux, mari, compagnon…

Personnalité attachante, joyeuse, empathique, impliquée, communicante. Telle était Marie-Aimée SIOPATHIS, épouse du conseiller départemental de l’Yonne et maire d’Appoigny, Magloire. Une figure qui ne s’effacera jamais des mémoires collectives et disparue, trop tôt en ce lundi ensoleillé, en fin de matinée. Dans la clarté incandescente de l’astre diurne, après avoir lutté avec vaillance et courage contre une longue maladie.

 

 

Généreuse et altruiste : deux des caractéristiques d’une femme investie…

 

Quelle belle âme que cette Marie-Aimée (elle portait très bien ce prénom si caractéristique) ! Une fille à l’écoute, en soif de découvertes et de rencontres utiles à sa progression intellectuelle, à son épanouissement personnel au contact des autres. Un rayonnement qu’elle saura mettre en lumière au bénéfice de l’Ordre de Malte, avant d’irradier les actions sociales de l’un des clubs services de l’Auxerrois, qui la pleure, aujourd’hui, le Kiwanis d’Auxerre.

Toujours avec humilité et générosité. Un élan du cœur qui la portera à la présidence de cette structure associative, dont le credo n’est autre que le mot anglais : « we build ». Nous construisons. Au bénéfice de l’enfance. Au profit de l’Humanité.

Gageons qu’au fil de ces expériences, professionnelles, associatives et personnelles, aux côtés de son époux et de ses enfants, elle aura su en construire de belles choses lors de son cheminement sur Terre.

Des choses abouties et inachevées. Peut-être que de là-haut, elle poursuivra sa destinée de créatrices de projets au service d’autrui avec sa grandeur d’âme…

« Paix ! Paix ! Il n’est pas mort, il ne dort pas ! Il (elle en l’occurrence) s’est réveillé du songe de la vie ». Extrait de l’élégie « Adonaïs », de Percy SHELLEY, datant de 1821. Ce n’est qu’au au-revoir et non un adieu, Marie-Aimée…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Solennité de l’instant. Décontraction, aussi dans les propos liminaires prononcés par l’édile de Sens. Visiblement, satisfaite de se retrouver là, en pareilles circonstances, prête à se munir de son stylo où elle couchera d’ici peu sa signature au bas du document. Un véritable pavé de…350 pages ! Rien que cela, à l’heure de la dématérialisation ! Celui qui place en orbite le projet de réédification de la nouvelle poste des Champs-Plaisants, partie en fumée, en 2017…

 

SENS: C’est une manière efficace de tourner la page. Radicale, même d’envoyer aux oubliettes de la mémoire collective le sinistre incendie qui avait consumé l’ancien bureau de La Poste dans le quartier des Champs-Plaisants, en 2017. Cinq ans, plus tard, la tonalité n’est plus similaire. La physionomie des faits se veut nettement plus conviviale, voire tranquille, pour noircir un paraphe, déclencheur de nouveaux travaux. Ceux qui concernent la nouvelle agence postale, devant être livrée début juin.

Répondre à une attente. C’était là tout l’enjeu de cette signature conventionnelle entre deux partenaires : la collectivité territoriale de Sens et l’opérateur de services postaux, banque, assurance et autres prestations. Avant l’été, les habitants du quartier des Champs-Plaisants profiteront d’un point d’accueil flambant neuf, d’une surface de 107 mètres carrés. Un bureau recevant également les neuf structures qui opèrent sous le vocable habituel du programme France Services. Précisons, qu’un foyer socio-éducatif verra aussi le jour ainsi que le réaménagement de la place centrale. Histoire de conforter l’offre de prestations auprès des citoyens.

« Et de l’espoir aux gens, complète Marie-Louise FORT, parce qu’ils attendent nombreux le retour fonctionnel de ce bureau de poste ».

 

 

Un budget de 290 000 euros HT répartis entre la CDPPT et la Ville…

 

Financés en majeure partie par la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT), à hauteur de 150 000 euros, les travaux nécessiteront un budget de 290 000 euros in fine. La charge de la ville sera de 92 000 euros hors taxes.

Commentaires de l’ « asset manager immobilier » du groupe postal en Bourgogne, Sandrine GERLAUD, signataire du document, « nous sommes très contents de nous réinstaller aux Champs-Plaisants, et d’y apporter les services de La Poste. ».

Elle ne sera pas la seule : la fréquence ordinaire des files d’attente sur les autres bureaux postaux de la ville prouve que ce futur point représente une bénédiction pour tous les habitants de ce quartier. Encore un peu de patience, désormais, avant de pouvoir en profiter pleinement…

 

Thierry BRET

 

 


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A 87 ans, la toujours verte propriétaire du Donjon Colette BECHET souhaite passer la main et trouver un acquéreur à son historique demeure. Soucieuse que la transmission de cette forteresse datant du XIIIème siècle se fasse dans les conditions les plus optimales possibles, la « châtelaine » aimerait aussi que ce lieu atypique, site d’accueil de la vie artistique et culturelle de l’Yonne, se pérennise après elle. Une sorte de transmission testimoniale, en quelque sorte…

 

CRAVANT : C’est elle qui le dit, non sans un certain humour caustique, « pour ma fin de vie, je désire transmettre le Donjon de Cravant à des personnes passionnées de patrimoine et de vie culturelle ». Un clin d’œil que l’ancienne styliste fait à son grand âge, 87 ans, qu’on ne lui donne pas au vu de sa présence d’esprit et de son dynamisme !

Pourtant, ce n’est pas d’hier que Colette BECHET tente tant bien que mal de céder cette construction peu ordinaire qui s’érige vers le ciel dans le paysage de la localité située entre Vermenton et Auxerre.

Après moult tentatives de vente, dont la totalité se sont avérées jusqu’alors infructueuses, la propriétaire de la rustique bâtisse a vu avec grand intérêt la démarche entreprise par la collectivité locale et son représentant, le maire Alain LOURY, intéressé par le site.

 

 

« C’est une excellente nouvelle, se confie-t-elle entre deux allers retours entre Dole, où elle séjourne généralement l’hiver, et l’Yonne, le maire a porté grande attention à cet édifice chargé d’histoire, un écrin de belles pierres classé monument historique… ».

Un projet d’achat devant être présenté lors de la prochaine séance du conseil municipal le 03 mars.

Solennelle, Colette BECHET, en fervente supportrice des arts et de la culture, lance aujourd’hui un appel aux passionnés d’architecture d’art et d’histoire de la région. Les invitant à contacter le maire de la commune afin de le soutenir dans ce projet de future acquisition. Pour que cet endroit magique lui survive. Un Donjon édifié il y a neuf cents ans, digne d’être préservé et visité par une jeunesse avide de curiosité.

Thierry BRET

 


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