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Elle représente un axe fort de la stratégie évolutive des pratiques hospitalières préconisées par l’Etat depuis 2012. Pourtant, quatre opérations chirurgicales sur dix se réalisent aujourd’hui par l’usage de cette méthodologie dans l’Hexagone. Trop faible par comparaison avec les Etats-Unis où huit interventions sur dix font appel à la chirurgie ambulatoire. Soucieux de communiquer davantage autour de cette alternative, l’URAF BFC et l’UDAF de l’Yonne proposent un forum citoyen pour faire toute la lumière…

 

AUXERRE : Il serait grand temps que la France se mette à une pratique plus intensive de la chirurgie ambulatoire dans ses centres hospitaliers ! Les études de la Haute Autorité de Santé (HAS) sur le sujet sont formelles : le taux de chirurgie ambulatoire est de loin l’un des plus bas constaté dans l’Hexagone par rapport à celui observé dans de nombreux pays européens. Encore une disparité statistique de plus qui nous place du mauvais côté de la lorgnette, comme dans bon nombre de domaines, en vérité !

Un particularisme qui ne s’explique pas, à brûle-pourpoint. Le développement de cette méthode chirurgicale où les délais de prise en charge de la patientèle sont raccourcis représente pourtant l’un des axes majeurs de la stratégie nationale de santé et s’inscrit parmi les textes de la loi de modernisation de notre système sanitaire défendue par l’Etat.

Si l’on s’en réfère aux pays nordiques et anglo-saxons, la France figure très loin du podium de tête de cette pratique vertueuse qui permet aux patients de sortir le jour même de leur intervention, sans risque majoré. Conséquence, la durée du séjour à l’hôpital se limite à quelques heures de présence, ne devant pas excéder un maximum de douze heures.

Face à ce curieux dilemme, les Unions régionales et départementales – dont celle de l’Yonne – des associations familiales de Bourgogne Franche-Comté organisent précisément un rendez-vous cette semaine dans la capitale de l’Yonne.

Un forum citoyen qui se destine aux familles (mais pas seulement !) autour de cette thématique de société.

En cela, les deux organismes, URAF BFC et UDAF 89, ont reçu l’aval et le soutien de l’Agence Régionale de Santé (ARS) dans la construction de leur projet. L’idée de ce colloque est simple : faire témoigner les usagers afin qu’ils puissent formuler leurs craintes et leurs attentes face à ce mode de prise en charge. Les éléments informatifs collectés par les organisateurs serviraient ainsi à l’amélioration des pratiques autour de ce mode opératoire, que ce soit pour les patients ou les personnes qui les accompagnent au retour à domicile.

 

 

Une priorité nationale qui peine à décoller malgré ses avantages…

 

Convaincre encore et encore les Français de la nécessité de cette pratique ? C’est en toile de fond le but avoué de ce forum. De nombreuses études démontrent toutes les subtilités de la chirurgie ambulatoire. Pour les patients, il y a optimisation du confort et de la sécurité. En effet, l’ambulatoire réduit les risques d’infections associées aux soins en milieux hospitaliers, voire les pertes de repères chez les plus anciens. Du côté des praticiens, la méthode dégage du temps dans l’utilisation des infrastructures et des blocs hospitaliers. Améliorant de facto certaines prises en charge réservées aux traitements des pathologies lourdes. Enfin, l’Etat y est gagnant aussi avec la réduction des coûts puisque la discipline thérapeutique ambulatoire nécessite moins de ressources…

Jeudi 09 juin, ce forum citoyen à l’estampille de l’URAF de Bourgogne Franche-Comté et de l’UDAF de l’Yonne, ouvert au grand public, tentera donc d’apporter toutes les réponses nécessaires pour que le développement de la chirurgie ambulatoire devienne enfin la priorité sanitaire de tous, sans tabou et avec moult précisions informatives visant à estomper les craintes des plus réfractaires.

Sachant que son taux d’application diverge de 37,8 % à 45,7 % selon les régions. Utile, donc, que ce type d’initiative judicieuse existe…

 

 

En savoir plus :

 

Forum Citoyen autour de la chirurgie ambulatoire

Intervenants

Docteur Florian FANGET, chirurgien viscérale, digestive et endocrinienne à l’hôpital d’Auxerre,

Carine CHEESEMAN, directrice des soins à la Polyclinique Sainte-Marguerite à Auxerre,

Catherine JOCHMANS, infirmière libérale,

Clément RIBEAUCOURT, directeur de la fédération départementale des ADMR,

Catherine VERNE, représentant des usagers de la santé.

Yann LE CHAUFF DE KERGUENEC, délégué départemental de l’Agence Régionale de Santé,

Hubert GREMAUD, Président de l’Union régionale des Associations Familiales BFC,

Benoît VECTEN, Président de l’Union départementale des Associations Familiales de l’Yonne,

Jean-Pierre MASCLET, directeur de l’UDAF de l’Yonne.

Salle du 89 au 1 Boulevard de la Marne à Auxerre à partir de 14 heures.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Lundi 30 mai, au matin, « the place to be » : c’était Auxerre ! Même « Miss Grenouille », au comptoir, s’est régalée en lisant la « une » de la presse régionale, relatant les exploits des footballeurs de l’AJA ! Bravo aux jeunes sportifs pour cette  réussite, qui dépasse largement  le cadre footballistique, et fait du bien à l'Yonne, tout simplement.

 

AUXERRE : On peut penser que désormais, il faut arrêter de regarder dans le rétroviseur de la Peugeot 505 ou celui de la  Renault 30 GTL, en ressassant les gloires passées (Cantona, Blanc, Boli, Roux et les autres…) et se concentrer plutôt sur le pare-brise de cette future saison à venir avec Furlan, Léon le formidable, Touré, Hein et les autres. Car l'avenir de l'AJA, c'est à eux seuls qu'il appartient désormais !

Quittons  le banc de touche, pour ce comptoir plus familier, car, ce matin-là, on ne parle que de ça, et c'est tant mieux finalement. Tels des verres auxerrois,  le bleu et le blanc s'entrechoquent de la plus belle des manières.

 

 

Une belle enseigne à découvrir, tenue par Nadia et Gaëtan…


Il faut un certain courage pour quitter la tenue d'une pizzeria à succès, aux marges financières confortables, et retrouver l'essence même de son noble métier de cuisinier. C'est cela qui a conduit Gaëtan et Nadia, son épouse, dans ce bel angle de rue, non loin d'une école maternelle d'antan. « A la Maison », comme l'indique la belle enseigne, c'est un restaurant. Mais aussi leur lieu de vie tout simplement. Sitôt la grille franchie, un sentiment d'élégance certaine nous envahit, dont on ne se départira qu'en quittant les lieux : le jardin, la salle, son confort et sa discrète isolation phonique au plafond.

Tout y est à l'unisson. De nos jours, pour pareille réalisation, il faut passer sous les arcanes de normes ubuesques de plus en plus contraignantes. Beaucoup d'énergie - trop peut-être - est dispensée pour ce faire.

Mais, reconnaissons-le : le résultat est à la hauteur des espoirs engagés. Quel joli endroit. La clientèle ne s'y trompe  pas, et ce jour-là, des restaurateurs locaux, ainsi que d’anciens édiles cohabitent paisiblement par fourchette interposée.

 

 

Des toasts au lieu de gougères, cela change !

 

A l'apéritif, des toasts qui changent avec la sempiternelle gougère, bonne pioche ! En entrée, l'œuf est impeccablement poché, velouté d'asperges vertes et de noisettes torréfiées : cela fait un fort bon plat. Le jaune pimpant se mêle à la verdeur prononcée de l'asperge. C'est frais et de saison. Le jambon ibérique  - c'est la mode, mais je le clame d’autant qu’en France, aussi, nous avons d'excellents jambons (le porc noir de Bigorre, l’Ibaïama....) - est ici découpé finement par la « Rolls » des trancheuses : une « Wismer », la préférée de sieur Philippe BULANT, patron de l'entrepôt « Métro », sis à Monéteau ! Un jeune serveur, affable et souriant, s'affaire alors à nous débarrasser.

 

 

Des plats équilibrés et structurés, à la saveur certaine…

 

Les plats arrivent alors. Pour votre serviteur, un suprême de poulet jaune fermier, sauce à l'orange. Une belle assiette, avec là aussi quelques fleurs, heureusement comestibles !  La sauce est bonne, bien équilibrée, même si dans sa globalité, l'assiette paraît manquer, d'un je ne sais trop quoi...Et en dessert, la tarte au citron déstructurée est intéressante, goûteuse et point trop sucrée. 
Avec le café,  une gouttelette de rhum dominicain, je crois, s'interpose avec élégance !  Le rhum, c'est vraiment l'alcool du moment, songeais-je alors, tandis que lorsque j'étais gosse, cet alcool semblait n'être dévolu qu'à la pâtisserie et autres pâtes à crêpes !

 

 

Quiétude et cuisine se donnent rendez-vous…



En traversant le joli jardin où les enfants peuvent jouer tranquillement, pendant que leurs parents prennent l'apéro, chut !..., on se dit en repartant, que voilà une bien jolie table où quiétude et cuisine se donnent rendez-vous. Comme à la maison  en somme ! Mais en ce lundi si particulier, j'allais oublier, encore bravo à l'AJA !


 

En savoir plus :

 

Les - : j'admets volontiers un côté un brin pinailleur, mais je suis certain qu'un plat comme ce suprême de volaille mériterait d'être plus abouti : avec assaisonnement de la viande, que sais-je ? Pas grand-chose, en fait, juste le temps d'y réfléchir, peut-être ?

Les + : la quiétude d'un joli cadre, des chaises confortables, et un agréable moment à table.

 

 

 

Contact

 

Restaurant A la Maison

20, rue Marcellin Berthelot

89000 Auxerre

Téléphone : 03 86 51 00 30

Du jeudi au lundi inclus.

Fermé mardi et mercredi.

Parking facile à proximité. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Raisonnable ce nouveau projet qui s’apparente à un véritable défi malgré la conjoncture ? Assurément, il est ambitieux. Surtout, au vu de l’importance des sommes qui seraient injectées ces deux prochaines années pour financer le développement économique de la région Bourgogne Franche-Comté. Par le prisme de la clientèle de particuliers, de prime abord. Mais, aussi, en corollaire logique, en soutenant les initiatives des collectivités et entreprises. Réalisable, donc…

 

DIJON (Côte d’Or) : Jamais le credo de la Caisse d’Epargne (« L’Ami Financier ») n’aura autant été en phase directe avec son actualité ! Surtout avec les nouveaux objectifs que l’établissement bancaire s’est fixé comme challenge prioritaire à horizon 2024. C’est simple, parmi ses grandes résolutions de l’exercice en cours – on peut communément appeler cela son plan stratégique de développement – la banque qui veut « vous être utile » au quotidien s’engage à introduire dans les rouages financiers de notre territoire régional la coquette somme de dix milliards d’euros d’ici 2024. Rien que cela, excusez du peu !

Une manne qui n’a rien de providentielle, c’est une évidence, puisque la solidité financière de la maison « Ecureuil (pour tous les nostalgiques du Livret A !), n’est plus à démontrer. Or, partant de ce postulat basique, la direction bicéphale de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté entend bien alimenter les circuits de l’économie avec cet argent qui ne peut être qu’utile au développement du territoire. En filigrane, le nôtre !

 

3 milliards d’euros de crédits octroyés sur la seule année 2021…

 

Se voulant pédagogue, lors de sa prise de parole explicative en conférence de presse, le président du directoire Jérôme BALLET a rappelé à quoi servaient exactement les fonds propres de son établissement.

« Si nous sommes solides financièrement, cela nous permet ensuite de proposer des crédits à la consommation, des crédits immobiliers, mais aussi des prêts aux collectivités et aux professionnels… ».

Simple comme bonjour dans le lexique financier et cela pourrait se résumer ainsi pour les néophytes des sabirs parfois complexes de l’univers bancaire : « pas de fonds propres, pas de crédits ! ».

Conséquence, prenons l’exemple de 2021. Ce sont ainsi trois milliards d’euros de crédits qui ont été octroyés en Bourgogne Franche-Comté, sur tous les segments du spectre clientèle de la banque. Une très belle performance à mettre à l’actif des collaborateurs du groupe malgré une période en demi-teinte, en proie à la crise sanitaire la plus grave depuis des lustres.

 

 

Un « défi 2024 » majeur pour la direction de l’établissement…

 

L’avenir, quant à lui, ne repose  que sur un seul et unique chiffre. Traduisant les réelles ambitions de ce poids lourd de l’investissement régional. Dix milliards d’euros. Une enveloppe mirifique au vu de son montant, qui sera distribuée entre 2022 et 2024, sous la forme de crédits aux multiples orientations. Cibles privilégiées : les familles, les associations, les collectivités, les entreprises. Bref, vous et moi, Mesdames, Messieurs, citoyens de la Bourgogne Franche-Comté !

Autre cœur de cible, visé par ce défi qualifié de « responsable » par ses instigateurs : les jeunes. Sans doute dans la logique des choses, leur employabilité n’est pas très loin des préoccupations premières des deux dirigeants que sont Jérôme BALLET et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS), Eric FOUGERE.

Somme toute, afin de pouvoir bénéficier de cette manne royale qui va optimiser le développement commercial de la Caisse d’Epargne BFC ainsi que ses recrutements dans les huit départements où elle est influente, particuliers et professionnels vont affûter leurs projets en se rapprochant de leurs conseillers commerciaux en espérant décrocher la timbale « magique », celle de l’obtention des crédits, chose qui n’est pas toujours aussi évidente qu’il n’y paraît malgré les bonnes intentions des prêteurs.

Mais que les prétendants à ces crédits se rassurent en lisant ces quelques chiffres positifs ponctuant l’exercice 2021 : la Caisse d’Epargne BFC a atteint 8 milliards d’euros en encours de crédit l’an passé ; accordant aussi 550 millions d’euros aux entreprises et clients professionnels.  

Donc, tout est possible : à vos dossiers de demande de prêts !

 

Thierry BRET

 


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Etre fan de tracteurs, quelle drôle d’idée ?! Serait-ce à l’apanage d’anciens professionnels de la vie aux champs en manque de travaux agricoles ? Ou des nostalgiques de nos vertes campagnes qui n’avaient pas encore subi jadis les affres du remembrement, ayant détruit le biotope ? Que nenni ! Les membres de ce vénérable club hexagonal sont avant tout des passionnés de belles mécaniques qui fonctionnent à la perfection. Cent cinquante d’entre eux ont tenu leur assemblée générale il y a peu sur notre territoire…

 

FESTIGNY : Il y a incontestablement « tracteur » et « tracteur » dans la grande famille de la machine agricole. Confondre les genres serait d’ailleurs très mal approprié pour les béotiens que nous sommes. Tiens, prenons pour référence le saint des saints de l’outil agricole qui émerveille toujours les gosses dès leur plus jeune âge lorsqu’ils découvrent la campagne. Le fameux modèle américain FERGUSON. D’ailleurs, on appelle le plus souvent la marque du fabricant de l'état de Géorgie, associée à MASSEY, par son logo caractéristique, les trois triangles rouges, quasi superposés qui recréent ensemble une autre de ces figures géométriques.

Dans notre beau pays, les « adorateurs » de ces modèles hors pair – la conception des premiers tracteurs remonte à…1847 – vivent pleinement leur plaisir de collectionneur invétéré au sein d’une association officielle, le Club FERGUSON France.

 

 

Des modèles anciens et une pièce rare à admirer sans modération…

 

Comme toute bonne structure associative, digne de ce nom qui se respecte, elle organise annuellement un rendez-vous se déclinant sous la forme d’une assemblée générale. Itinérante, celle-ci peut être accueillie d’une année à l’autre dans l’un des nombreux départements qui composent l’Hexagone. Cocorico : 2022 aura été synonyme de réception de cette belle assistance – plus de 150 représentants – dans l’Yonne. Précisément au gîte de la « Ferme du Bois la Dame » au nom fleurant bon l’époque médiévale, sur la commune de FESTIGNY.

A la manœuvre, quatre adhérents de l’Yonne dont Jean-Baptiste TREHOREL ont pris soin de peaufiner avec minutie ce rendez-vous. D’ailleurs, en guise de cadeau de bienvenue, les congressistes ont eu l’immense bonheur de pouvoir se délecter de cinq belles pièces anciennes, des tracteurs toujours vaillants, qui étaient exposés dans le jardin du gîte.

Des modèles historiques dont le très rare FERGUSON-BROWN qui a été produit initialement en 1936 ! Un spécimen qui fut à l’époque le premier tracteur au monde à être proposé sur le marché avec un attelage trois points et un procédé de relevage hydraulique. L’ancêtre, en quelque sorte, de tous les tracteurs agricoles actuels…

Entre découvertes touristiques – la reconstitution d’un ouvrage d’art moyenâgeux à la renommée intercontinentale à GUEDELON – et vinicoles, les Caves de BAILLY-LAPIERRE avec de quoi titiller agréablement l’odorat et les papilles dans les verres, les participants à ce rassemblement ludique prirent le temps aussi de réfléchir au devenir de leur entité.

 

 

Des temps forts durant la séance plénière de trois heures…

 

Trois heures durant, en séance plénière, ce furent annonces et discussions intenses consacrées à l’orientation stratégique du club. Il y eu aussi son lot de temps forts. Par exemple, lors de la remise d’un cadeau au président-fondateur de l’association, Jean SOULIER, par l’actuel responsable, Jean-Louis MACHET.

Vint ensuite le don effectué par la société BASSET, installée dans l’Aube limitrophe. Un chèque qui a été offert par le concessionnaire de MASSEY-FERGUSON. Enfin, le député de l’Yonne, André VILLIERS, agriculteur de profession, intervint avec sa verve coutumière pour évoquer ses souvenirs personnels autour de ces engins qui le faisaient rêver enfant.

En mars dernier, les représentants icaunais du Club FERGUSON France avaient eu l’immense joie de s’entretenir quelques instants avant son récital à AUXERREXPO avec le chanteur Hugues AUFRAY, lui-même amoureux et collectionneur de tracteurs, et parrain emblématique de la fameuse association.

De bons souvenirs qu’espèrent revivre un jour les membres de cette structure associative sympathique.

 

 

En savoir plus :

Le Club FERGUSON France compte quatre représentants dans l’Yonne :

Jean-Baptiste TREHOREL, d’Épineau-les-Voves, Patrice MERCIER, d’Asquins, Jacques MONTENOT, de Grimault, Jany GANNEAU, de Theil-sur-Vanne.

Parmi les modèles historiques à admirer sur place, on aura remarqué le Ferguson-Brown, sorti en 1936 (17 chevaux), le Ford-Ferguson, fabriqué en 1942 (18 chevaux) et le Ferguson TEA-20, commercialisé dès 1948 (24 chevaux).

Le secrétaire du club Jean-Paul ESTIVIE aura été l’une des chevilles ouvrières de ce rendez-vous, nécessitant collecte d’informations et de renseignements précieux.

 

Thierry BRET

 


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Avec ses 500 MG/W de projets installés dans l’Hexagone et ses 135 collaborateurs qui travaillent au quotidien à l’essor de l’entreprise, cet énergéticien européen – le groupe est né à Brême (Allemagne) en 1996 – occupe une position stratégique sur le développement des énergies renouvelables dans notre région. La preuve ? L’implantation du futur site éolien, accueilli sur les Hauts de l’Armançon, qui a été expliqué en long, en large et en travers à la communauté des « Positives Entreprises » de la CCI de l’Yonne…

 

AUXERRE: Si l’acronyme allemand dont nous vous ferons grâce de la traduction littérale (!) vous est encore méconnu, gageons qu’il n’en sera plus de même dans les semaines et mois à venir sur notre territoire de l’Yonne. WPD : cela ressemblerait presque à l’appellation d’une chaîne de télévision d’Outre-Rhin, et pourtant, il n’en est rien !

Fi de ses considérations cathodiques, née au beau milieu des années 90 chez nos voisins allemands, cette entité est aujourd’hui un acteur clé de voûte de tout l’édifice qui se construit façon puzzle autour de l’énergie renouvelable. Des énergies, devrait-on dire, puisque WPD ne se borne pas à développer l’éolien terrestre – l’un des procédés plus usités à l’heure actuelle – pour répondre aux enjeux de demain. Ce groupe aux deux mille collaborateurs s’est également spécialisé dans l’éolien maritime et le solaire. Une vingtaine de pays constituent désormais sa zone sectorielle de prédilection, dont la France où le groupe possède une assise régionale, implantée à Dijon.

Comptant la Caisse des Dépôts parmi ses associés sur certains projets en cours de réalisation, WPD a su répondre présente pour répondre aux initiatives pertinentes de trois élus de l’Yonne, soucieux de porter un projet éolien. Le fameux projet des Hauts de l’Armançon qu’ont pu découvrir il y a peu en toute transparence les membres de la communauté des « Positives Entreprises », une structure d’informations et de relations publiques, à l’estampille de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

 

 

Les entreprises du BTP sont déjà dans les starting-blocks !

 

Attentifs aux explications fournies avec moult détails et des slides très documentés par les responsables de WPD, les entrepreneurs de l’Yonne invités par la chambre consulaire n’ont pas perdu une miette de ce gâteau entrepreneurial qu’ils ont eu à déguster à satiété durant une bonne heure d’intervention. Certains étaient issus de la branche du bâtiment et des travaux publics, segment de l’activité économique prioritairement concerné par l’implantation de tels projets, synonymes d’emplois mais surtout de chiffre d’affaires à générer. Bref, du pain béni pour leur business, en somme !

 

 

Présente sur la totalité de la chaîne de valeurs, c’est-à-dire de la prospection jusqu’à l’exploitation du parc éolien, WPD se définit comme l’interlocutrice idoine. Sur une durée de vie du projet pouvant excéder les deux décennies selon les configurations. Une entité nouvelle, certes, pour beaucoup dans le département le plus septentrional de la Bourgogne mais qui a pour vocation de se pérenniser puisque WPD ne se cantonne pas à la construction et à l’exploitation des champs éoliens, la société en assure aussi le démontage une fois la limite d’exploitation atteinte par ces machines. Sachant que 95 % des matières utilisées à leur construction peuvent être recyclées.

 

 

Une filière économique, source d’emplois à la clé…

 

A date, plus de mille emplois ont déjà été créés par cette filière de l’énergie renouvelable depuis une vingtaine d’années en Bourgogne Franche-Comté. Cela ne semble pas se tarir, bien au contraire au vu du contexte environnemental qui pousse les gouvernances européennes à optimiser davantage ses nouvelles ressources, plus propres pour le milieu naturel.

En outre, comme il devait être mentionné lors de cette séance de travail, l’éolien demeure l’une des sources énergétiques les plus économiques du moment sur le marché. Une incontestable plus-value alors que les prix des énergies fossiles s’envolent de manière exponentielle et que la dépendance à la Russie oblige à accélérer tous les processus privilégiant d’autres alternatives.

Mercredi, la vice-présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, l’écologiste Stéphanie MODDE, en charge de la Transition énergétique, se rendra sur les lieux de la future installation de ce parc éolien icaunais, fort à terme de dix-huit appareils. Elle y évoquera les enjeux de la biodiversité en se faisant remémorer la genèse de ce projet, initialement porté par les trois élus des localités de Nuits, d’Aisy-sur-Armançon et de Cry. Un concept qui est le fruit d’une concertation auprès de plus de quatre cents personnes et habitants de ce secteur oriental du département.

L’occasion, aussi, pour WPD de rappeler que la Bourgogne Franche-Comté est l’un de ses terrains de jeux prioritaires afin d’optimiser son plan de développement avec six autres dossiers déjà à l’étude…On n’arrête pas le progrès !

 

Thierry BRET

 

 


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