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Ce n’était pas des mots de circonstance. Mais bel et bien des paroles fondatrices autour du partage des espaces publics que le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ a prononcé lors de son discours inaugural de la Maison des Mobilités. Lors de sa prise de parole, l’édile d’Auxerre a fait part de sa vision personnelle autour de la mobilité telle qu’il l’envisage à l’avenir dans la capitale de l’Yonne…  

AUXERRE : « Les villes doivent devenir des espaces de cohésion et de rencontres. Des lieux où la santé peut retrouver un élan vertueux qui avait disparu jusqu’alors, du fait de l’accroissement de la sédentarité... ».

En quelques minutes, le temps de son intervention à la tribune officielle de la phase inaugurale de la Maison des Mobilités de l’Auxerrois, Guy FEREZ a brossé les contours de la mobilité de demain.

Celle qui englobe diverses composantes que l’on se déplace en engin motorisé, mais aussi à bicyclette, en trottinette ou à pied, lui qui est un fervent adepte de la marche.

Ouvrir une autre voie, incarnée par la mobilité douce, cette alternative heureuse qui préfigure nos déplacements en ville et dans sa périphérie, s’inscrit dorénavant parmi les réflexions prioritaires de l’élu icaunais.

En cela, Guy FEREZ n’a pu que saluer avec satisfecit le travail effectué rue de l’Horloge, un labeur qui se concrétise sous la forme de cette vitrine flambant neuve à la gloire du réseau LEO et de ses multiples services.

Questionné par l’une des invitées de cette cérémonie protocolaire, le maire d’Auxerre a pu faire toute la lumière sur la signification de ce terme qui n’est pas un énième acronyme de plus.

« Ce réseau de transport aurait très bien pu se nommer OLA ou LULU, précisait-il avec un zeste d’humour, le plus important avec LEO, c’est que chacun de ses usagers doit s’approprier cette appellation qui reste facilement identifiable… ».

Un exercice de pur marketing inhabituel, nourri d’explications, dans lequel Guy FEREZ devait exceller !

Les alternatives ne se limitent pas aux seuls transports en commun…

Observant le comportement de ses concitoyens et l’évolution de leurs demandes en matière de mobilité, l’élu auxerrois a été amené à réfléchir et à travailler avec ses équipes sur la nécessaire complémentarité et le meilleur partage des espaces publics.

« Trop souvent, poursuivait-il, nous considérons au niveau des alternatives possibles que les seules offres à proposer se rapportent aux transports en commun. Mais, cela est très réducteur. Il faut désormais y ajouter obligatoirement la marche, la pratique du vélo, la trottinette, voire d’autres choses encore… ».

Fort de cette analyse, le président communautaire réfléchit aux conséquences inhérentes à cette addition de ces mobilités, devant conduire à l’aménagement des espaces publics. Tout en assurant la continuité au-delà de la zone urbaine.

« Ce n’est pas copier sur ce qui se passe ailleurs, affirma l’interlocuteur, mais il est clair que nous ne pouvons plus conserver des espaces qui soient isolés les uns des autres… ».

Faudra-t-il pour autant envisager de construire des espaces spécifiques, dédiés à tel ou tel type de mobilité ?

Réponse catégorique de l’élu : « je ne crois pas qu’il faille concevoir des choses particulières au cœur de la ville. Le partage des espaces publics est la manière de voir les choses. Si l’on se réfère à la littérature historique consacrée à la ville et au développement urbain, avant l’invasion de l’automobile, l’espace public se partageait. Il nous faut retrouver cette volonté de cohésion citoyenne et sociétale autour de ce partage… ».

Un dossier à suivre de près pour en découvrir les phases applicatives…

 


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Professeur de service et accueil à l’école hôtelière de Biarritz, Gil GALASSO possède deux titres distinctifs majeurs qui honorent sa déjà longue carrière. Le dénominateur commun de ces accessits est de les avoir obtenus la même année, en 2009. Meilleur ouvrier de France en qualité de maître d’hôtel, ce docteur en histoire contemporaine et auteur de la première thèse jamais consacrée à sa spécialité possède un titre de gloire universel : celui de champion du monde. Logique qu’il soit l’un des deux garants avec son ami, le MOF Serge GOULAIEFF, de la logistique organisationnelle de ces sélections nationales, proposées pour la première fois en France. Qualificatives pour les Mondiaux de novembre, elles ont été accueillies au lycée hôtelier Vauban…

AUXERRE : L’art et la manière de la découpe à table en France à travers les siècles n’est pas simplement une thèse que notre personnage a soutenu pour décrocher son doctorat à l’université de Bordeaux Montaigne. Cet imposant travail de chercheur, ayant nécessité moult déplacements à la Bibliothèque nationale de France à Paris, représente le chef d’œuvre abouti d’une carrière. De sa réelle passion pour ce noble métier des arts de la table, plutôt méconnu du grand public.

En bon pédagogue professionnel qu’il est (il dispense ses cours à l’école hôtelière de Biarritz), Gil GALASSO en a fait un opus de quatre copieux volumes dont les férus des arts de vivre et autres exégètes de la filière se doivent de posséder parmi leurs références livresques.

Gil GALASSO travaille de concert depuis plusieurs mois avec son camarade Serge GOULAIEFF aux préparatifs de cette pré-sélection nationale. L’idée de réunir le nec plus ultra du métier, soit un panel de huit « artistes » des arts de la table, et de leur faire disputer une série d’épreuves correspond à l’un des objectifs de la structure associative : promouvoir la filière.

Sortir de l’ombre pour entrer dans la lumière…

Composée essentiellement de meilleurs ouvriers de France, l’entité exerce son activité avec obstination et perfectionnisme au service des métiers de la salle.

« Le métier de maître d’hôtel est encore trop peu connu du public, concède-t-il, mais, cela n’a rien d’anormal car cette discrétion constitue l’un des éléments de notre ADN… ».

Il existe une étrange similitude avec ce que fut autrefois la notoriété des chefs dans les années 1970. Peu médiatisés, dans l’ombre discrète et rassurante derrière leur piano, ils ont su se faire violence pour devenir de vraies bêtes de scène de la communication aujourd’hui.

Un passage obligé indiscutable qui a servi à sensibiliser toute une génération de jeunes gens ayant capitalisé dans l’exercice de ce métier. 

« Etre maître d’hôtel permet de voyager très facilement aux quatre coins de la planète, poursuit Gil GALASSO, et de faire valoir sa dextérité en négociant un salaire correct. On débute en qualité de commis avant d’être propulsé vers d’autres strates plus rémunératrices : d’abord comme chef de rang, puis en devenant maître d’hôtel, avant de conclure, pourquoi pas, par le titre de directeur de salle. Et ceci entre 25 et 30 ans… ».

milieu articles

Les souvenirs de réunions familiales vécues à table…

Globe-trotter, Gil GALASSO bénéficiera de ce parcours évolutif dès la sortie de l’école hôtelière où il fut diplômé. Expatrié en Afrique, puis à Londres, avant de s’implanter aux Etats-Unis, il aura profité de ces séjours lointains pour s’ouvrir à d’autres cultures et philosophies.

Le retour en France se fera par le prisme de la formation et de l’enseignement. Pas étonnant que ce professionnel ait voulu transmettre les fibres de sa passion grâce à une thèse universitaire.

« L’art de la découpe à table comporte un aspect sociologique important pour beaucoup d’entre nous, argumente-t-il, même si l’approche du service est complexe et date de plusieurs millénaires. Nous gardons tous, parmi des souvenirs enfouis, le partage des aliments synonyme de réunion familiale le dimanche autour d’une volaille…C’est inscrit dans notre ADN ! ».

Il n’est pas étonnant que l’Elysée respecte ces codes de la bienséance séculaire qui forment notre patrimoine lorsque le président de la République reçoit ses hôtes de prestige dans l’un des salons feutrés afin de redorer le blason de l’Etat…


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Chaque année, la direction des Ressources humaines de l’un des premiers recruteurs privés des départements de l’Aube, de la Côte d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne puise parmi son vivier de candidats potentiels pour embaucher de nouveaux collaborateurs. Ce fut le cas en 2018 avec 122 recrutements. 2019 ne dérogera pas à la règle. Afin de renouveler, voire de compléter des postes stratégiques dans les agences de proximité et sur les sites administratifs…A vos lettres de candidature !

DIJON (Côte d’Or) : Ambitieuse de coutume, la politique consacrée à l’optimisation des ressources humaines le sera cette année encore au Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne. L’établissement régional se mobilise pour attirer de nouveaux talents dans son escarcelle.

Fort de ses 1 707 collaborateurs, le groupe procédera au cours de ces prochaines semaines à l’accroissement de ses effectifs. Une centaine de postes en CDI figurent, en effet, parmi les propositions d’emploi à occuper dès que possible.

Quant à la palette des métiers, elle est plutôt éclectique. En pleine mutation du fait de la présence maximalisée du digital, le secteur bancaire offre un choix conséquent de métiers. Et pas seulement des postes de conseillers commerciaux.

L’établissement désire étoffer ses fonctions supports, celles du back-office, en dynamisant ses différents services que sont l’audit, le juridique, le marketing, les ressources humaines.

« Travailler au Crédit Agricole, c’est être sûr d’avoir un métier qui évolue au rythme des besoins de la clientèle et d’être formé en conséquence, stipule Patrick SCRO, directeur des ressources humaines et de la communication ».

L’accès à ces diverses fonctions est également facilité par le biais de l’alternance. Elle représente 30 % des recrutements annuels.

« A l’issue de leur période de formation, précise le directeur de la DRH, plus de 60 % des alternants rejoignent nos services avec un contrat à durée indéterminée dans la poche… ».

Le profil des expériences et du comportemental plus que le CV…

Garantissant une évolution de carrière, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne applique une politique de rémunération attractive. A ce titre, et selon les sources fournies par le ministère du Travail, la banque occupe, juste après le secteur pharmaceutique, une position privilégiée en matière de salaire. Avec un référent mensuel net moyen de 3 669 euros.  Autant dire de précieux éléments à faire valoir pour accueillir les jeunes diplômés ou le bon profil dans ses rangs.

C’est d’ailleurs cet intérêt humain, fait d’expériences et d’analyse du comportement qui prime aujourd’hui dans la politique de recrutement de la Banque verte. Plutôt que le traditionnel CV.

D’ailleurs, la caisse régionale multiplie les initiatives originales, voire parfois décalées, pour trouver la perle rare, par le biais de job-dating, d’escape-game, d’after-school, mais aussi d’entretiens vidéo.

« Nos chargés de recrutement, ajoute Patrick SGRO, mettent tout en œuvre pour faire venir les meilleurs profils dans une véritable relation gagnant/gagnant… ».

Un processus méthodique, forcément profitable pour les deux parties en présence…

Pour en savoir plus sur la politique d’embauches du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, un référent multimédia : www.ca-cb.fr/recrutement


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Plusieurs mois de labeur auront été nécessaires à la conceptualisation de cet outil numérique au service de tous les acteurs de l’économie de notre territoire. Parce qu’il y a urgence à répondre aux difficultés de recrutement des entreprises du département, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne propose désormais de faciliter cette rencontre entre l’offre et la demande autour de l’emploi direct. Mais, sa volonté de renforcer l’attractivité du territoire englobe aussi des propositions concrètes liées à l’alternance et à la demande de stages…

SENS : Opérationnelle depuis quelques jours, la plateforme POSITIV’EMPLOI suscite déjà beaucoup d’intérêt dans le microcosme économique départemental. L’idée se veut très séduisante. Elle est surtout consensuelle auprès de l’ensemble des acteurs de l’emploi. Répondant ainsi à la volonté de son plus ardent défenseur, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie en personne, Alain PEREZ.

Lors du lancement inaugural du concept, ce dernier n’a d’ailleurs pas tari d’éloges sur ses services qui se sont mobilisées autour de cet instrument numérique à forte potentialité.

Il est aujourd’hui instruit par l’une des valeurs montantes de la chambre consulaire icaunaise, Cécile NOIROT, en charge de son développement applicatif. Il faut dire que cette dernière connaît le monde du recrutement comme le fond de sa poche. Elle a été longtemps l’une des pierres angulaires d’une structure positionnée sur le marché du travail temporaire.

En invitant partenaires et référents des ressources humaines à une présentation qui se voulait didactique et démonstrative, Alain PEREZ a voulu réaffirmer que l’institution dont il défend les valeurs gardait la main sur les orientations économiques de ce territoire. Et par effet gigogne, qu’il restait à l’écoute des entrepreneurs en quête de développement, celui-ci se déclinant de facto par l’embauche de nouvelles compétences.

Un outil complémentaire des supports de Pôle Emploi…

Ouverte à tous les organismes en prise directe avec l’emploi, la plateforme est d’un abord fonctionnel très accessible. En la parcourant, on y trouve des éléments d’information détaillés qui se rapportent aux candidats à l’emploi (CV, expériences, compétences, formations…) mais aussi à la fonction professionnelle précise en attente d’être pourvue.

Enrichis, précis, ces renseignements constituent une formidable base de données mise en musique par les services de  la CCI. Celle-ci s’appuie sur l’expertise technique et le savoir-faire de l’un de ses partenaires (ils sont nombreux à s’être engouffrés dans la brèche en faveur de la déclinaison de ce concept judicieux), la start-up METEO JOB.

Prestataire national, ce dernier avait déposé dès le lancement de l’outil consultatif par le multimédia un global de 584 offres d’emploi. Une manne informative importante qui donnait un aperçu tangible de l’ampleur de ce nouveau concept. Celui-ci devenant un corollaire naturel et harmonieux des outils qui sont déjà proposés par Pôle Emploi.

Institutionnels et entreprises, partenaires du concept…

Et avant même que ce nouveau référent ne soit officiellement en activité, plusieurs entreprises et collectivités de l’Yonne avaient déjà fourni près d’une trentaine de petites annonces dans la corbeille correspondante.

Soucieux de donner une impulsion à ce support numérique innovant, la CCI de l’Yonne avait convié l’une des actrices essentielles des ressources humaines de notre territoire, Aurélie VALLOT, de la société ARMATIS – un gros faiseur en termes de recrutement et de besoin de compétences -, à témoigner de la pertinence de cette initiative.

Cette dernière expliqua, exemples à l’appui, la façon de pouvoir naviguer avec aisance sur cette plateforme.

Quant à la présence à la tribune d’honneur de l’édile de Sens et présidente de la Communauté de communes du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT, elle n’était pas fortuite.

Bien au contraire, l’élue fit part de sa satisfaction d’avoir choisi de faire adhérer l’organisme institutionnel en qualité de soutien et partenaire de cet outil.

Lors de sa prise de parole, le président PEREZ précisa que plusieurs syndicats patronaux, à l’instar du MEDEF de l’Yonne ou de la Fédération départementale du Bâtiment, avaient déjà apporté leurs crédits à la mise en place et à la réussite de la plateforme.

« Nous progressons pas à pas, ajouta le responsable de l’exécutif consulaire, je souhaite sincèrement que tout le monde soit uni derrière cette initiative vertueuse afin de favoriser l’aide au recrutement de nos entreprises ».

Puis, énumérant quelques statistiques, Alain PEREZ rappela que 25 % des entreprises de l’Yonne envisageaient de recruter cette année. L’Yonne, à ce titre, figurait dans le haut du panier de la création d’entreprises depuis deux ans avec 1 875 nouvelles venues dans le paysage (la moyenne nationale se situant à 1 224).

Mais, argument plus funeste, que faute de main d’œuvre qualifiée, beaucoup étaient dans l’obligation de décliner des commandes car ne pouvant y répondre dans des conditions optimales. POSITIV’EMPLOI a pour vocation de contrecarrer cela et inverser la tendance.


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Accompagnée d’une délégation d’élus locaux et de parlementaires de la Franche-Comté septentrionale, la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY se rendra d'ici peu dans la capitale afin d’y rencontrer le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE. L’objectif de cet entretien, peut-être celui de la dernière chance, sera de faire pencher la balance en faveur du site de Belfort et d’y maintenir les compétences et les savoir-faire du groupe industriel, fabriquant de turbines à gaz.

BELFORT : Maintenir coûte que coûte la compétitivité et l’emploi dans le secteur de l’industrie. C’est l’un des credo essentiels qui motive l’action de la première Dame de la Région Bourgogne Franche-Comté.

Et au regard de l’actualité, propre à la société GENERAL ELECTRIC, implantée sur le Territoire de Belfort, l’élue régionale est plus que jamais déterminée à tirer toutes les ficelles possibles afin de sauvegarder l’activité économique et les emplois induits de cette entité.

Présent en France depuis un siècle, le groupe GENERAL ELECTRIC emploie près de 16 000 collaborateurs dans des secteurs d’activité liés à l’énergie. Son chiffre d’affaires s’élève à 7 milliards d’euros. Le site de Belfort accueille le centre technologique destiné à la conception de turbines à gaz 50hz ; il est aussi le siège de la joint-venture entre GE et Alstom Nucléaire.

Prenant le taureau par les cornes, Marie-Guite DUFAY a interpellé directement le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, sur ce délicat dossier.  

Car avec ses quatre mille quatre cents salariés, la première unité de production de GENERAL ELECTRIC, localisée à Belfort, doit survivre aux aléas complexes de la conjoncture.

Récompensée de ses efforts, la présidente de la Région a obtenu une audience auprès du ministre. Celle-ci interviendra à Paris, la date et l'horaire restant à déterminer. L’élue régionale ainsi qu’une délégation de parlementaires et élus franc-comtois auront alors tout le loisir de faire part de leurs craintes et de leurs espoirs face au représentant du gouvernement.

Interrogée à ce propos, Marie-Guite DUFAY est on ne peut plus claire dans ses intentions :  

« La sauvegarde de ces emplois passe par une diversification des activités du site, notamment dans le secteur de l’aéronautique, le nucléaire (dans sa composante démantèlement et grand carénage) et des filières d’avenir autour de l’hydrogène. L’Etat doit prendre la mesure de la situation et se positionner en stratège pour attirer des investisseurs. La Région Bourgogne-Franche-Comté, le territoire du Nord Franche-Comté, le département du Territoire de Belfort, sa communauté d’agglomération et ses parlementaires appellent aujourd’hui le gouvernement à actionner un véritable plan de bataille pour sauver le site de Belfort, son écosystème performant et ses emplois, c’est l’objet de cette rencontre… ».

Un plaidoyer juste pour une noble cause. Sera-t-il entendu par le pensionnaire de Bercy ?

 


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