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Rejoindre la famille universelle du Rotary International, c’est faire acte d’altruisme et de générosité envers celles et ceux qui en ont le plus besoin dans notre société. Le club service de Puisaye-Forterre ne déroge pas à la règle. Un credo inéluctable où se reconnaissent les vingt-et-un membres de la structure. Deux chèques, fruits de manifestations caritatives réalisées en cours de saison, récompensent ainsi ce soutien infaillible à la jeunesse, l’une des cibles choisie par le mouvement solidaire aux origines américaines. Qu’il s’agisse du Centre de loisirs local ou de la classe à horaires aménagés cinéma du collège, tous deux deviennent les heureux bénéficiaires de ce geste à valeur ajoutée…  

CHARNY OREE DE PUISAYE : L’altruisme demeure une vertu noble de l’humanité dont certaines personnes entretiennent vigoureusement la flamme. Les représentants du Rotary club de Puisaye-Forterre s’inscrivent dans cette pure logique où la bienséance s’invite toujours au premier plan. De manière quasi quotidienne, car un engagement au sein de ce club service international équivaut à ne jamais baisser la garde de la bienveillance et de la solidarité.

Récemment, le nouveau  président en exercice, Philippe GEORGES, maire du Val d’Ocre, a procédé à l’une des cérémonies protocolaires dont le mouvement rotarien use lors de ses instants solennels.

Celui-ci l’était par le poids de sa symbolique. La cible visée n’était autre que le monde de l’enfance. Cette jeunesse dont il est nécessaire d’encourager le civisme et l’acceptation de l’autre sans omettre l’accès à la culture. Une mission qui sied très bien au Rotary.

Un équipement très onéreux pour la mobilité du petit Antonin…

La cause du petit Antonin a dû inspirer les acteurs de la commission des œuvres sociales propre au club. Comment ne pas être sensibilisé par l’existence de ce jeune garçon, souffrant d’une maladie rare, la myopathie de Duchenne, qui ne peut se mouvoir à bicyclette que si l’engin est adapté à ses capacités motrices ?

Malheureusement, un tel équipement est onéreux. Il nécessite pour son acquisition la mobilisation de tous car le siège spécifique devant accueillir tout en confort Antonin coûte très cher. Soit une enveloppe globale de plus de neuf mille euros.

Le don de 1 500 euros émanant du club service mixte de Puisaye-Forterre à l’emblème caractéristique (la fameuse roue rotarienne) est en soi une bouffée d’oxygène pour le Centre de loisirs de Charny Orée de Puisaye, porteur de cette opération solidaire autour du bien-être du garçonnet.

Grâce à cette obole généreuse, le budget s’étoffe considérablement pour atteindre à ce jour plus de 6 500 euros. Il est fort à parier que le reliquat devrait être comblé assez rapidement.

Un bonheur ne venant jamais seul, les élèves fréquentant la CHAC, c’est-à-dire la Classe à horaires aménagés cinéma, sise au collège des « Cinq Rivières », pourront grâce au subside (800 euros) versé par le Rotary s’immerger dans l’univers culturel de la Cinémathèque française à Paris. Un futur déplacement organisé avec le concours des enseignants de l’Education nationale.


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Je parle au nom des « sans-dents » dont je fais partie. Ceux qui ne peuvent chaque jour, comme le préconise la publicité, «manger cinq fruits et cinq légumes»…Sauf au risque de remplir nos assiettes de saloperies qui ont traversé et pollué la planète… Et engraissé au passage des financiers confortablement installés devant leurs ordinateurs qui achètent à vil prix des denrées poussées ou élevées dans d’atroces conditions. Songez qu’un produit de tradition française comme la moutarde de Dijon, n’est d’ailleurs plus de Dijon !

TRIBUNE : Vous avez vu ce qu’on nous prépare avec les accords de libre-échange, le CETA et le MERCOSUR ? Nous ne pouvons pas empêcher l’existence de ces accords néfastes pour tous (sauf pour les nantis qui, eux, ont les moyens de se nourrir avec des produits de qualité et onéreux). Nous ne pouvons rien faire pour empêcher ces accords d’exister… mais nous devons entrer en résistance contre les produits eux-mêmes.

C’est possible en plusieurs étapes. Au préalable, posons-nous certaines questions et essayons d’y répondre avec justesse : pourquoi des produits alimentaires qui ont traversé la planète et subissent donc, en toute logique, des frais que ne connaissent pas les producteurs locaux sont-ils moins chers ?

Réponse (sauf erreur de ma part !) : parce que, au départ de leur lieu d’origine, déjà ils sont moins chers à la production car de médiocre qualité… Voire dangereux pour l’organisme, et récoltés par des travailleurs sous-payés. S’ils sont de médiocre qualité, alors cessons d’en acheter. Il suffit, en grande surface, de repérer l’origine du produit. Boycottons ceux qui polluent et ruinent nos producteurs.

Deuxième étape : faisons nos achats chez des petits détaillants. Le produit sera en apparence un peu plus cher… mais il suffit d’en acheter la quantité nécessaire pour rétablir la balance. Ce n’est guère difficile : sur un kilo de fruits ou légumes achetés en grande surface, il est bien rare qu’on n’en jette pas 20 % à la poubelle trois jours plus tard car entre-temps, que ce soit conservés au frigo ou à l’air libre, ils se sont flétris, ont moisi ou pourri.

Privilégier le marché de proximité

Troisième étape : allons au marché ! C’est là qu’une action citoyenne et de groupe s’impose, avec la bonne volonté des mairies.
Vous avez sans doute remarqué qu’au marché il y a un problème : les produits sont aussi chers qu’ailleurs… ce qui n’est pas logique puisque la location d’un petit étal est modique, et les coûts de déplacement infimes. Pourquoi, alors, les produits sur le marché municipal sont-ils aussi chers qu’ailleurs ?

Aujourd’hui, un marché est, hélas, devenu un lieu aussi mercantile que la grande distribution. On ne peut que le regretter… sinon le blâmer ! Le petit producteur local est logé à la même enseigne que celui qui fait venir ses produits de Rungis, d’Israël ou d’Amérique du Sud. On a même vu récemment des fraises soi-disant « de France » – c’est ce qui était indiqué – et qui en réalité étaient importées en douce d’Espagne. L’escroc s’est fait chopper, mais quand même !

Et reposons la même question : pourquoi les produits sur le marché municipal sont-ils aussi chers qu’ailleurs ? C’est l’ignoble loi du marché ! Si un petit producteur local vend ses produits moins chers que le voisin, il ne sera pas en odeur de sainteté. Pourtant, si concurrence, il y a, elle n’est pas déloyale. Et par ricochet – c’est consternant – les petites gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez (comme moi !) trouvent que ce n’est pas normal que nos « voisins » producteurs et éleveurs ne fassent pas un effort pour nos porte-monnaie. Du coup, on ne leur achète rien, à eux non plus, sur le marché !
Alors, pour leur défense et la nôtre, organisons-nous !

Un pacte d’honnêteté, de fidélité et d’entraide liant producteurs, consommateurs et élus locaux

Regroupés en association de consommateurs (et il en existe plus d’une), demandons à nos municipalités d’organiser un marché strictement local. Il faudra, évidemment, contrôler, que des aigrefins ne viennent pas tirer un profit honteux d’une action citoyenne organisée pour le bien de tous. Réclamons à nos municipalités d’offrir des stands à prix réduit pour nos producteurs locaux qui, en contrepartie, proposeront aux consommateurs des produits sains et à prix raisonnable (comme je l’écris depuis près de vingt ans, « un kilo de tomates à 3 euros ça semble donné… Un kilo de tomates à vingt francs, ça frise l’escroquerie ». Or, trois euros c’est vingt francs !).

Dernier point : certains d’entre nous possèdent un jardin potager, ou des poules… Il est bien rare qu’à un moment ou à un autre nous n’ayons pas trop de certains fruits, certains légumes ou d’œufs. Pensons à en parler à nos proches voisins et échangeons nos produits superflus. Même si nous n’avons pas le label AB – sur lequel il y aurait beaucoup à dire – les produits de nos jardins seront toujours meilleurs que ceux venus de Patagonie !

Daniel LESUEUR


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Le centre interprofessionnel de formations en alternance de l’Yonne a été auréolé d’un nouveau titre de gloire. Une distinction qui illustre son appétence en faveur de l’innovation sociale. C’est-à-dire une faculté de développer une pédagogie novatrice envers les jeunes générations leur permettant de mieux s’intégrer dans la vie active…

AUXERRE : Le CIFA collectionnerait-il les distinctions et autres actes de reconnaissance ? La structure pédagogique de l’Yonne, apparue en 1975, vient de remporter un sésame supplémentaire mettant en exergue son savoir-faire qualitatif et le sens du professionnalisme de ses personnels.

Celui-ci émane de Rally’Nov, un programme impulsé depuis 2012 par l’Etat et la Région Bourgogne Franche-Comté. Dans le cas présent, le capital humain est au centre des orientations. Objectif : valoriser et promouvoir les initiatives socialement innovantes des entreprises et des milieux associatifs.

Les copilotes de ce concept, l’Agence économique régionale (AER) de Bourgogne Franche-Comté, la CRESS (Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire) et l’ARACT (Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail), n’ont pas eu à tergiverser longtemps avant de désigner le lauréat du Prix 2018 : le CIFA de l’Yonne.

Le centre de formation icaunais a ainsi sensibilisé les membres du jury sur les conditions d’accompagnement de ses apprentis et leur facilité à entrer ensuite dans la vie professionnelle, une fois le diplôme obtenu.

Le jury a retenu parmi les critères positifs à l’attribution de ce trophée la modernité de l’offre pédagogique existante. Notamment les supports de cours dématérialisés, qui sont utilisés au quotidien avec les nouvelles technologies. Des moyens qui ont fait leurs preuves, puisque à la sortie de leur cursus, huit jeunes sur dix trouvent un emploi en contrat à durée indéterminée.

Quant à la valorisation de l’innovation sociale, même si elle n’est pas encore suffisamment mise en avant dans les entreprises, il n’en reste pas moins qu’elle représente toujours un axiome à prioriser pour la Région Bourgogne Franche-Comté et ses différents partenaires.

Ainsi, en créant le concept Rally’Nov, les institutionnels veulent réhabiliter à leurs justes valeurs les pratiques socialement innovantes qui ne s’étalent pas nécessairement à la une des médias. Une aubaine qui tombe à point nommé pour le CIFA de l’Yonne aujourd’hui plébiscité !


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Il est devenu un modèle d’abnégation, d’envie et de courage porté à son paroxysme. Passant du rire aux larmes sur n’importe quelle scène de France. Voire d’ailleurs, face à des centaines de spectateurs qui sont venus l’applaudir. Mais, qui est-il vraiment, ce personnage si atypique qui s’est élevé au rang de personnalité incontournable acquise à la cause et à la défense du handicap, bien malgré lui ? Disponible, affable et toujours souriant, Philippe CROIZON nous ouvre les portes d’un univers où le perfectionnisme et la farouche volonté de croire en l’optimisme sont une constante absolue…

VENOY : Ses yeux azuréens sondent l’entourage et se posent dans la salle. Combien sont-ils ce soir à venir l’écouter, lui orateur hors pair, et ses nombreux messages qu’il distillera à grand renfort d’humour et une bonne dose d’émotion tant ceux-ci expriment la force et la faiblesse de son âme éprouvée ?

Invité par la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME), le conférencier aguerri qu’est devenu aujourd’hui le sportif de l’extrême polyhandicapé, Philippe CROIZON, ne s’inquiète pas outre mesure quelques minutes avant son entrée en piste de la tournure des évènements. La salle est bien garnie de chefs d’entreprise et de décideurs économiques issus ou pas du syndicat patronal.

Le garçon maîtrise amplement la situation. Elle n’est pas nouvelle pour lui depuis ces cinq dernières années. L’agenda se couvre à rythme régulier de dates supplémentaires tel une rock star en tournée européenne. Plus d’une centaine de manifestations noircissent un emploi du temps annuel très serré qu’il partage avant tout aux côtés de son épouse, Suzanna. Il est vrai que cette dernière, à qui il doit tout, fait aussi la une de l’actualité…

« Suzanna vient de publier son livre « Ma vie pour deux, dans l’ombre du héros, une femme… ». Où à travers ces écrits, j’en prends plein la tête, confie-t-il amusé, je pense qu’elle a eu envie de transcrire sur le papier tout ce qu’elle a vécu depuis tant d’années à mes côtés. Lorsque je vivais ma phase de transformation personnelle pour devenir un sportif, je suis devenu totalement égocentrique. Mais, elle a fait tout le travail me permettant d’atteindre ma construction actuelle et le véritable héros, c’est elle ! Moi, je ne sais que nager… ».

Chef d’entreprise à part entière…

Consultant auprès des entreprises, conférencier qui parcourt les scènes des salles des fêtes aux quatre coins de l’Hexagone, mais aussi chroniqueur pour certains médias, Philippe CROIZON a acquis ses lettres de noblesse en sa qualité de sportif de l’extrême accompli. Traversée de la Manche, franchissement des isthmes qui séparent les cinq continents en tandem avec le nageur icaunais, Arnaud CHASSERY ou pilote automobile de rallye sur le Dakar, le quinquagénaire de Châtellerault s’est découvert une passion irréversible pour l’exploit depuis son accident.

« Certaines personnes me qualifient de distributeur d’énergie. Pour un mec qui a pris 20 000 volts dans le corps, cela me fait bien rire ! ».

Philippe est jovial et croit en l’existence. Même s’il ne se positionne pas en donneur de leçons.

« Mes interventions ne répondent qu’à un seul objectif : celui de délivrer un message d’espoir pour montrer que tout est possible dans l’existence. Que l’on soit un particulier ou un chef d’entreprise, il est nécessaire de relever la tête pour faire front à l’adversité ! ».

La France est belle et magnifique, les Français l’ont totalement oublié !

A la tête de deux sociétés, et employeur de deux salariés, Philippe CROIZON connaît les dures aspérités de la vie entrepreneuriale.  

« Je n’oublie pas qu’à la base, je n’étais qu’un ouvrier en métallurgie ! Jamais, je n’aurai imaginé connaître un tel destin un jour… ».

Réaliste, l’homme constate que le monde de l’entreprise traverse des moments pénibles.

« C’est vrai qu’au terme de ce premier semestre, on a pu observer en France qu’il y a des choses qui ne fonctionnent pas et qu’il y a aussi celles qui vont bien. Moi, je fais partie de la ligue des optimistes ! Je pense qu’on a de la chance de vivre dans un pays tel que la France même s’il faut l’améliorer. Mais, il y a un truc qui me rend vraiment dingue : c’est ce pessimiste ambiant ! Comment peut-on vivre dans le pays le plus pessimiste du monde alors que nous avons tout autour de nous ! D’autres peuples sont plus optimistes que les Français et eux ils n’ont rien si ce n’est l’espérance…».

Pas tendre avec les médias (les chaînes audiovisuelles qui ressassent en boucle leurs mauvaises nouvelles comme il le stipule), Philippe CROIZON trouve la France belle, magnifique et entreprenante pour celles et ceux qui possèdent des idées. Et l’envie.

« Beaucoup de gens pensent que la France est foutue ! C’est faux ! Depuis la nuit des temps et l’époque de Cro-Magnon, les peuples qui habitent notre terre sont dans cette crise existentielle qui les mène au pessimisme. Cela doit cesser ! ».

Préparant l’écriture d’un one-man-show avec la complicité bienveillante de l’humoriste Jérémy FERRARI, l’ancien sportif (il ne se livrera plus à de futurs exploits) devrait le présenter dès 2020. A Paris, avant une tournée en France.

« Cela fait des années que ce projet me trotte dans la tête, explique-t-il, un one-man-show, c’est une toute autre histoire avec le public et je commence à avoir la boule au ventre rien que d’y penser ! ».

Peut-on croire raisonnablement celui qui fit ses premiers pas de comédien dans une réalisation de Franck DUBOSC ? Ou dans la mini-série « Vestiaire », commandée par France Télévisions ?

« Tu sais, ajoute-t-il avec ce sourire qui ne se départit jamais de son visage, aujourd’hui, j’ai la chance de faire ce qui me plaît : je ne suis pas un homme de défi. Ceux que j’ai menés, je les ais vécus parce que j’en avais envie… ».

Une chose est sûre : Philippe CROIZON ne se lancera pas dans une carrière politique. Même si bon nombre de partis, toutes obédiences confondues, lui ont fait de juteuses propositions.

« Moi, ce côté, « je t’aime moi non plus », je ne le supporte pas ! Ce n’est pas mon état d’esprit. Je souffrirai trop si je devais m’investir dans ce milieu… ».

Prochaine échéance avec l’actualité : le Dakar 2020 où à la demande de ses deux fils, Philippe sera au départ. Mais pas en qualité de pilote ni de co-pilote. Juste en observateur attentif aux futurs exploits de ces garçons…


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Sera-ce une association plutôt bien structurée au niveau de son mode opératoire afin de lui conférer davantage de poids et de crédibilité auprès de partenaires issus du sérail local ? Ou sera-ce une simple amicale sans trop d’engagement devant porter les intérêts de ses membres mais de manière plus informelle ? Pour l’heure, la question n’est pas encore tranchée. Mais, une chose est sûre : l’idée de se constituer un outil identifiable aux yeux de tous fait son petit bonhomme de chemin dans les esprits créatifs des instigateurs de ce club d’investisseurs icaunais qui n’en est finalement pas encore un…de manière officielle !

AUXERRE : Ca ressemble à s’y méprendre à un organisme déjà bien huilé au niveau de sa mécanique interne. Mais, le bulletin de naissance n’a pas encore déposé de manière officielle dans le cadre de ses interventions.

Le « pseudo » club des investisseurs qui s’est réuni cette semaine à Auxerre dans les locaux de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire, n’a pourtant pas à rougir de son état faussement embryonnaire.

Primo, cela fait presque trois années déjà qu’une belle brochette représentative de décideurs économiques et chefs d’entreprise se réunit, à géométrie variable côté emploi du temps, pour définir les tenants et aboutissants de ce futur organe.

Un concept qui, certes, après chaque réunion s’esquisse de plus en plus avant sans doute d’être porté sur les fonts baptismaux de la création. Bref, ce passage à l’état adulte que souhaite initier son concepteur, Francis MOREAU qui en assure aujourd’hui pleinement le pilotage et le développement, se situe dans sa phase ultime, c’est-à-dire proche de l’aboutissement.

La demande des professionnels de l’entreprenariat est tangible. Le 03 juillet, la conférence déclinée autour d’une thématique chère à tout investisseur qui se respecte aura permis de démystifier l’entrée au capital d’une entreprise de tierce personne souhaitant y injecter des fonds. Avec, bien sûr, son incontournable corollaire : l’impact palpable sur la défiscalisation.

 

 

Des interventions pour comprendre les enjeux de l’entrée au capital…

Si la rayonnante Angélique FAVIER, déléguée départementale de l’Agence économique de la Région Bourgogne Franche-Comté (AER) dans l’Yonne, évoqua le rôle de celle-ci et des financements régionaux qu’elle consent aux développeurs de projets ; le compétent Emmanuel CORDELLE, de BPI (Banque publique d’investissement), rappela en substance les interventions de la structure en parallèle de l’apport de fonds propres.

Les propos de cette thématique, ô combien passionnante dans l’optique d’une redynamisation de l’économie territoriale, trouvèrent en Me Harold FORESTIER, avocat d’affaires au Cabinet FIDAL, ses aspects techniques importants en matière de fiscalité. Surtout dans le cas de la défiscalisation, par ailleurs !

Naturellement, on ne pouvait s’aventurer sur le chemin de l’investissement au capital sans aborder les principales clauses du Pacte d’associés. Et de points de vigilance dont il s’agira de respecter avec exactitude toute la latitude. Ce fut le temps de parole accordé à Me Solen REMY-GANDON, avocate du cabinet VIGNET Associés.

Enfin, le témoignage d’un entrepreneur, en l’occurrence celui de Joachim TAVARES, dirigeant de la start-up spécialisée dans l’aide aux logements des seniors (PAPY HAPPY) apporta son lot d’exemples concrets et pragmatiques à ce type de levées de fonds salvatrices pour l’essor des entreprises.

Prêter vie de manière officielle à cet organisme qui prend forme petit à petit faciliterait à coup sûr sa visibilité tout en élargissant les champs de sa communication.

Le futur club, une fois que les jalons de son existence seront définitivement actées, se positionnera lors de ses interventions à mi-chemin entre la contribution participative imaginée avec le crowndfunding et le rôle d’un business-angels.

 

  


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