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Eternel créatif – il peut faire valoir une expérience de trois décennies en qualité d’entrepreneur dans la filière des télécommunications -, ce visionnaire de  talent s’est installé dans l’Yonne il y a deux ans à peine. En provenance de la capitale, Laurent BOUQUET DES CHAUX est à 57 ans à la croisée des chemins. Passionné de voile et de bateaux, c’est précisément vers ce domaine qui était jusque-là son jardin secret qu’il dirige depuis peu ses réflexions professionnelles et articule son emploi du temps en conséquence. Avec un projet bien amarré dans sa tête…

AUXERRE : Fin observateur du microcosme économique local, Laurent BOUQUET DES CHAUX possède de la suite dans les idées. Et un dynamisme détonant à revendre !

Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice territorial en matière de progrès et de développement, ce personnage au sens oratoire maîtrisé souhaite capitaliser sur la présence du port de plaisance, remis au goût du jour grâce au réaménagement des quais du cœur de ville, et devenu une source inépuisable de valeurs ajoutées touristiques.

Le fluvial, à l’instar de bon nombre de villes de l’Hexagone qui disposent d’un fleuve ou d’une rivière, représente l’un des enjeux essentiels de l’activité économique de demain.

Concepteur d’embarcations, le garçon est parti d’un simple postulat. Si les services du port de plaisance bénéficiaient de davantage d’opportunités, les plaisanciers de passage dans notre ville resteraient plus longtemps sur site. Peut-être pourrait-on y développer aussi l’hivernage de leurs biens flottants.

Or, selon cet homme avisé, et rompu à l’exercice de l’entrepreneuriat, tous les voyants sont au vert.

Laurent BOUQUET DES CHAUX entend bien s’allier les services de toutes les composantes économiques et institutionnelles du landerneau pour arriver à son but ultime : assurer des prestations de maintenance fluviale à Auxerre.

 

 

Le choix de partenaires belges parce que les industriels français étaient trop frileux…

 

Actionnaire de la société belge TWINSAIL avec laquelle il réalise la conception d’un premier bateau de belle envergure, l’ex-Parisien considère que sa démarche est novatrice, voire unique en France.

Primo, il espère que le premier bateau dont il a dessiné les plans sera livré à Auxerre d’ici l’été 2020. Secundo, il envisage de modéliser la structure de maintenance au port de plaisance auxerrois peu de temps après.

Bref, des arguments tangibles pour changer les paradigmes économiques du cru car ce double projet est porteur de création d’emplois. Une dizaine de postes seraient déjà nécessaires pour couvrir les besoins du futur concept professionnel qui s’installerait d’ici quelques mois dans le paysage.

Présent au Salon du nautisme de Paris (la manifestation se déroulera du 07 au 15 décembre), Laurent BOUQUET DES CHAUX ne compte pas s’y rendre pour y faire de la figuration.

Lui qui a conçu les esquisses de cette embarcation initiale, anticipe désormais sur la commercialisation de ce produit destiné à assurer des prestations touristiques fluviales et maritimes.

 

 

Lors de cet évènementiel, l’entrepreneur tentera de convaincre des investisseurs et armateurs du bien-fondé de ce modèle original, à la faible consommation énergétique et bâti de plain-pied.

A contrario, il a choisi de construire ses produits en pays d’Outre-Quiévrain du fait de l’absence de contacts sérieux avec les industriels de la filière, trop hermétiques aux exigences requises de son cahier des charges. Voire un tantinet trop gourmands sur leurs prétentions financières pour concevoir ces moyens de locomotion.

En revanche, avec son partenaire du plat pays, Laurent BOUQUET DES CHAUX espère construire trois bateaux chaque année.

 

 

Des besoins à assouvir pour développer le projet…

 

Poussant les portes de futurs partenaires, s’armant de patience tout en prenant son bâton de pèlerin pour prêcher la bonne parole, celle de l’entrepreneuriat bienveillant, notre homme doit trouver des ressources foncières pour créer et développer sa future entité.

Ses besoins immédiats se résument ainsi : il lui faut disposer d’un bief et d’une partie terrestre appropriée, d’environ mille mètres carrés, afin de pouvoir faire transiter les bateaux à l’eau.

Dans l’absolu, et sachant qu’il souhaite aussi proposer l’activité maintenance à d’autres embarcations de passage à Auxerre, le premier bateau finalisé devrait être à quai d’ici le 01er juillet 2020. Selon les objectifs couchés dans son cahier des charges.

De belle taille, près de vingt mètres de long, ce bateau fera ensuite le bonheur d’acquéreurs privés ou collectifs au service du développement d’un tourisme fluvial en forte expansion sur notre territoire.

 

 


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Les chiffres sont implacables. Ils font mal à leur lecture car ils traduisent avec froideur la cruauté et la bêtise inéluctables de l’homme envers leur alter ego féminin. Des êtres merveilleux si complémentaires à leur épanouissement. Depuis le début de l’année, 137 malheureuses ont perdu la vie dans l’Hexagone. Sous les coups nourris de leurs conjoints. Engendrant d’irréversibles séquelles pour leur cellule familiale. Ce sera la thématique d’une table ronde proposée en ce jour dominical à la veille de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Histoire de sensibiliser les consciences…

AUXERRE : La mondialisation de l’initiative, à savoir créer une journée spécifique de sensibilisation pour évoquer ce sujet de société, n’est pas fortuite. Une femme sur trois sur la planète a subi ou subit encore des violences physiques et/ou sexuelles à un moment donné de son existence. Les auteurs de ces gestes irrévérencieux et amoraux sont leurs partenaires intimes. Maris, compagnons ou conjoints.

Pire, l’analyse statistique de l’ONU qui publie régulièrement des études sur la question, atteste qu’une femme sur deux est assassinée dans le monde par son partenaire, voire sa famille.

Pour couronner le tout, leur émancipation sexuelle est loin d’être une évidence. Près de 750 millions de femmes et de filles étaient mariées avant leur dix-huitième anniversaire sans avoir vraiment données leur consentement. Seulement 52 % des femmes mariées ou en union prennent librement le choix de leurs propres orientations concernant les relations sexuelles.

Alors mettre un terme définitif à toutes ces dérives issues d’un autre âge devient une réelle nécessité. Cette violence faite aux femmes constitue l’une des violations élémentaires des droits humains les plus répandues.

Déjà en 1972, l’ex-BEATLES, John LENNON, accompagné de sa muse existentielle, Yoko ONO, s’était fait le chantre de cette cause primordiale à ses yeux à grand renfort de campagnes publicitaires dans la presse. L’une de ses chansons, parue à cette époque, « Woman is the nigger of the world » (littéralement « La femme est la négresse du monde ») avait provoqué un scandale dans le cercle de la bien-pensance de notre société, caracolant au sommet des hit-parades américains et britanniques.

Pour autant, le natif de Liverpool devait faire son mea culpa en 1980 sur son propre comportement eu égard à la gent féminine en optant pour la rédemption : « J’étais moi-aussi un cogneur… ».

 

Un lâcher de ballons aux allures de symbole…

 

Dans la capitale de l’Yonne, se mobiliser pour cette noble cause débutera dès la matinée de ce dimanche si particulier. Un lâcher de ballons rendra hommage aux femmes disparues, suite à des violences conjugales, depuis le début de l’année. C’est au pied de la passerelle des Quais de l’Yonne que sera honoré ce temps mémoriel. Et émotionnel. Un instant à vivre à 10h30.

L’après-midi, place aux échanges. Une table ronde concoctée par les acteurs de l’institution préfectorale et municipale locale permettra de s’interroger sur les conséquences familiales imputables à ces violences faites aux femmes.

Plusieurs personnalités seront réunies dans l’une des salles du cinéma CGR pour s’entretenir avec le public de ce sujet ô combien préoccupant de notre environnement sociétal.

Bien sûr, la sénatrice Dominique VERIEN, très impliquée dans différentes commissions parlementaires autour de ces graves faits de société, donnera sa vision des choses. Récemment, l’élue de l’Yonne est intervenue sur les violences sexuelles faites aux mineurs en institutions dans un établissement scolaire du Sénonais.

Bien sûr, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre, Guy FEREZ ne manquera pas de prendre la parole à propos de ce douloureux item.

Il en sera de même aussi pour la procureure de la République, Sophie MACQUART-MOULIN, la présidente du CIDFF, Simone PARIS, de Pierre MONNOIR, président de l’ADAVIRS et de Patrice DECORMEILLE, président du Cercle Condorcet auxerrois.

Evidemment, Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité, sera conviée à cette table ronde devant déboucher sur une réelle prise de conscience collective.

Il y a urgence aujourd’hui à faire connaître les tenants et aboutissants de ces affaires sordides afin d’endiguer la tendance haussière de ces méfaits horribles commis sur les femmes.

 

 

 


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C’est le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel BLANQUER, qui remettra en personne la médaille d’or du concours national du Meilleur apprenti de France au jeune Icaunais. Ce surdoué de mécanique est invité à se rendre à Paris le 12 février prochain. Dans l’antre du prestigieux symbole des savoirs et de la connaissance où il recevra un accessit de plus qui ne peut que ravir ses formateurs du CIFA de l’Yonne…

AUXERRE : Jusqu’où ira le potentiel explosif fait de maîtrise et de savoir-faire de ce brillant élève qui a choisi de se sublimer pour les bienfaits de la filière de la mécanique ?

Bénéficiant d’un contrat professionnel aux établissements NOMBLOT à Auxerre où le responsable de la concession Peugeot, Patrick BAUGE ne cesse de tarir d’éloges sur les aptitudes du garçon, Emilien COUDRAY s’est une nouvelle fois distingué en ce mois de novembre.

En première année de CQP (Contrat de qualification professionnelle), option technicien expert de l’après-vente automobile, le jeune homme, bien dans sa tête et féru de mécanique depuis sa prime enfance, a su se rappeler au bon souvenir de ses formateurs en glanant ce précieux sésame supplémentaire.

Un accessit recouvert du plus noble des métaux, l’or, qui a été obtenu dans la catégorie Maintenance des véhicules, option automobiles particuliers.

Ayant choisi l’alternance au centre de formation de l’Yonne, Emilien COUDRAY est passé par différentes phases qualificatives, soit les phases départementales et régionales, avant d’arriver aux finales nationales du MAF. Parallèlement, il s’est offert une escapade préparatoire au concours général des métiers qu’il a su brillamment remporter à Rennes.

L’avenir professionnel de ce féru de mécanique ne fait aucun doute : Emilien COUDRAY espère obtenir une fois le diplôme dans sa poche une place de technicien en concession pour pratiquer du diagnostic.

Nul n’est devin en la matière mais à la lecture de son palmarès, les concessionnaires de l’Yonne, de Bourgogne et de France sont déjà nombreux sur les rangs pour s’accommoder des brillants services du jeune homme. Il ne devrait avoir à l’issue de son cursus que l’embarras du choix !

 


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Créer un point de rencontre privilégié autour de l’immobilier et de ses différents corollaires constitue l’ADN de la structure qui rayonne dans l’Auxerrois. Pourvue de nouveaux locaux depuis septembre, l’entité familiale possède une approche transverse et novatrice qui permet aux investisseurs, acquéreurs et vendeurs de converger vers un socle commun d’intérêts. Une vision originale sur un marché plutôt en voie de saturation…

AUXERRE : Deux ans à peine pour occuper déjà une place prépondérante dans le sérail de la transaction et de la négociation immobilière locale : c’est le pari réussi de Julie GENEST, jeune responsable de la société, et de son paternel, Gilles, un exégète aguerri dans ce domaine d’activité.

Incontestablement, l’ATELIER de l’Immobilier s’est fait un nom dans le microcosme auxerrois. Il entend bien le faire savoir en le faisant perdurer sciemment. La structure qui emploie un pôle de six compétences professionnelles a le vent en poupe depuis septembre.

D’une part, sa nouvelle devanture, sise sur l’un des axes névralgiques du cœur de ville, rappelle à bon escient l’image de l’enseigne, présente en ces lieux depuis le 20 septembre.

D’autre part, l’organisation d’un évènementiel en octobre dans l’une des salles du cinéma CGR sous la forme d’un plateau conférence où se pressaient une douzaine de spécialistes de la pratique foncière en France aura tôt fait d’imposer la marque par le prisme d’une communication finement ciselée.

On l’a compris : la structure aime se différencier. Y compris dans son approche pluridisciplinaire de compétences : investissements, défiscalisation, contrats d’assurance, gestions de biens principaux et de résidences secondaires, crédits immobiliers, assurance de prêts…

Le panel représentatif de ces professionnels multi cartes est loin d’être exhaustif. Les idées fusent sans cesse : la dernière en date s’oriente autour de services de conciergerie qui vont être déployés. En outre, la gestion locative de meublés de tourisme de courte durée progresse dans le panel d’interventions. Concept Idéal pour assurer l’hébergement de cadres devant résider dans la capitale de l’Yonne sur de brèves périodes transitoires.

 

 

Des programmes fonciers prêts à être lancés pour 2020…

 

Au plan opérationnel, chacun des six acteurs de l’ATELIER joue sa partition professionnelle en parfaite osmose avec les autres collègues. Seule du haut de son piédestal, Julie s’accorde le droit à la transversalité des fonctions. Normal : son statut de chef d’entreprise devant faire montre d’exemplarité lui somme d’agir en fonction de ce modèle opératoire…

Il est vrai que la jeune femme à la tête bien remplie a pu abondamment profiter des judicieuses recettes que son père, Gilles, lui a transmises au fil d’un temps d’apprentissage s’avérant depuis judicieux.

Capitaliser les vingt-cinq années d’expériences d’un féru en gestion de patrimoine ne peut jamais faire de mal pour construire sa feuille de route entrepreneuriale.

Bénéficiant aujourd’hui des conseils salvateurs d’une agence de communication dijonnaise, « L’AGENCE MOUTARDE » (cela ne s’invente pas !), la société dispose d’une présence forte sur divers outils digitaux. Indispensable pour créer ce flux informatif nécessaire et développer des liens ténus avec les porteurs de contacts précieux se muant en contrats avantageux.

Avant d’entamer 2020 où le recours à un plateau conférence didactique pourrait être réitérer sous une formule donnant accès à des ateliers pragmatiques, L’ATELIER de l’Immobilier est dans les starting-blocks.

Il lance plusieurs programmes de commercialisation destinés aux investisseurs. Notamment à Dijon d’ici le terme de 2019, où aux abords du canal de Bourgogne, les investisseurs pourraient trouver chaussures à leurs pieds dans le cadre d’un programme foncier déclinable autour du neuf.

C’est d’ailleurs dans la capitale des Ducs de Bourgogne que Julie et Gilles GENEST devraient s’exprimer prochainement lors d’un évènementiel concocté avec le concours de l’ordre régional des experts-comptables. Il sera consacré à la gestion de patrimoine. Le thème de prédilection au concepteur d’un atelier bien différent des autres…

 

 


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Ce qui n’était qu’une simple passion originelle s’est mué très vite en une activité mûrement aboutie pour ce quadragénaire à la tête bien pleine. Double détenteur d’un diplôme BTS productique en mécanique et BTS CPI (conception de produits industriels), Julien RICHARD croit au potentiel infini de l’impression 3D. Grand bien lui en a pris : le natif de Pont-sur-Yonne est porteur d’un concept entrepreneurial qui pourrait lui permettre de décrocher la lune in fine…Lui, qui au cours des deux précédentes décades, dessinait des pièces industrielles en rêvant de la troisième dimension.

PARON: Ce n’est pas un poisson de mauvais goût. L’EIRL, localisée dans la commune du Sénonais, est bel et bien apparue un…premier avril ! Elle est le fruit d’une cogitation aboutie de son auteur, un chef d’entreprise âgé de 42 ans qui s’était vu offrir, au seuil fatidique de la quarantaine, une imprimante 3D par sa tendre et chère ! Un cadeau original pour qu’il puisse assouvir une vibrante passion.

Aujourd’hui, Julien RICHARD possède trois de ces appareils dans l’une des pièces du sous-sol de son pavillon qui lui fait office de lieu de travail. C’est dans cet antre, un peu fourre-tout mais quoi de plus naturel lorsque l’on possède de bonne idées que ce garçon épris de technologie créé les pièces imputables à ses premières commandes.

 

 

Depuis les premiers jours d’avril, Julien a quitté le salariat sans l’once d’un regret pour vivre la noble aventure de l’entrepreneur en herbe. Oui mais voilà, il possède déjà une double carte de visite qui mérite le respect en matière de visibilité : une participation à la foire expo de Sens, sur le stand des créateurs et artisans d’art initié par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, et plus récemment, une immersion appréciée des observateurs aux RIDY, les fameuses Rencontres régionales de l’industrie portées par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Là, le néophyte reçoit le précieux soutien du Grand-Sénonais, l’une des communautés de communes très orientées vers le développement de l’économie.

 

 

Déjà les premières commandes tombent dans son escarcelle…

 

Assailli de questions, Julien qui propose in situ des démonstrations de ce qu’est réellement l’impression 3D distribue les cartes de visite autour de lui comme des petits pains. Visiblement, ils sont garnis de chocolat puisque les contacts induits ne cessent depuis de faire florès…

Concepteur de jetons de caddy ou de marque-page sur le stand qui lui aura permis de créer de l’attractivité autour de ses appareils, le natif de Pont-sur-Yonne convertit ses contacts en autant de rendez-vous.

Aujourd’hui, le patron de KOMAN DESIGNZ (une appellation curieuse pour dénommer une société !) croule sous le travail en fabriquant des prototypes de produits destinés aux besoins d’industriels mais aussi aux spécialistes de la communication.

Adhérent du réseau CAPI, initié par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Julien RICHARD mise sur 2020 pour prendre son réel envol. L’objectif étant très vite d’optimiser le modèle économique de cette entité qui bénéficie également du soutien du réseau La Fabrique Entreprendre.

Depuis trois semaines, l’un de ses chantiers concerne précisément cette structure. L’entrepreneur technicien est en train de concevoir des boîtiers lumineux faisant office d’enseigne de communication.  

Mais, déjà les milieux de la muséographie l’ont sollicité. A l’instar de professionnels du secteur automobile dans le but de lui passer commande de pièces uniques à construire.

Chantre de l’impression 3D et de ses innombrables bienfaits pratico-pratiques, Julien RICHARD s’est aussi rapproché de différents réseaux (ceux portés par les chambres consulaires du département) pour nouer de précieux contacts. Qui, une fois transformés en rendez-vous, devraient lui faciliter la tâche pour accroître son chiffre d’affaires…

 

Un article réalisé avec le concours de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 

 


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