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La réalisation de soi : vivre sa vie en y incluant tous ses atouts personnels et professionnels…
décembre 16, 2019« Ce que l'on peut être, on doit l'être. Ce besoin s'appelle la réalisation de soi » MASLOW. Devant le labyrinthe de sa vie se profilent des étapes de tourments. Aller vers ces tournants décisifs est positif. A l'instinct de la direction à prendre, vient s'ajuster au fur et à mesure la bonne orientation à poursuivre pour mieux vivre la suite...
TRIBUNE : Une immersion en 1940 où cette philosophie à s’immerger dans l'édit « réalisation » connaît un essor. Le psychologue Abraham MASLOW a hiérarchisé les besoins dans une expression pyramidale, suite à des observations et constatations. Sa réflexion est mise en lumière dès 1943 par cette approche : « A theory of human motivation ».
Cette analyse aborde la place du plan personnel et professionnel dans la vie active. Il factorise cinq éléments communs sur ces deux sphères : les besoins psychologiques, de sécurité, d'appartenance, d'estime et d'accomplissement.
A cette période prioriser la survie matérielle était une nécessité. Elle déshumanisait le confort psychologique. Obsolète à notre époque...plus ou moins. Mais, de plus en plus d'entreprises ont cette compréhension que la valeur « humaine » se joue d'un jeu de gagnant/gagnant. Cet aller-retour est légitime d'un rapport 50/50 : « je donne et je reçois… ».
Présentement, la réalisation de soi s'accorde dans un sens à écouter d'abord ses propres besoins et attentes personnelles. Ponctuellement, fédérer et interagir à ces composantes suscitent à bien des égards une faveur à la confiance et à la prudence. La réalisation de soi n'a pas d'autres options.
Elle est plaisir et épanouissement. La primeur de se sentir à sa juste place, c'est être fier de revêtir et d'assumer dans son quotidien toutes ses tenues. C'est se faufiler à approcher des individus aux fréquences émotionnelles identiques, proches de ses attentes pour pérenniser la suite.
C'est être valorisé et épaulé pour se diriger vers d'autres pôles de réalisation. Ces états d'âmes cohabitent et s'épousent dans la sphère professionnelle ou privée. Côtoyer des incompris, c'est risquer un parasitage certains ou la déviation de notre destination et de notre vérité.
Une offrande à la justesse de ses actions…
Imre KERTESZ, prix Nobel de littérature en 2002, le souligne avec justesse dans ces quelques mots : « La grande désobéissance, c'est de vivre sa vie… ».
Justement, l'existence dans laquelle nous cheminons se plie à déplier de vieux schémas du passé bien dépassé.
« Faire comme... » : deux « maux » qui traduisent l'impact du poids transgénérationnel et sociétal à supporter. Se réaliser demande une sacrée pugnacité. Emettre la simple idée et l'évoquer, quels challenges ! Où se placer devant cet inventaire imposé ?
Des demi-tours et des faux pas entraveront une trajectoire quelquefois. De l'illusion car cheminer est une succession de différents paliers à traverser et à surmonter au travers de multiples nuances d'expériences et de sentiments...
L’œuvre de sa vie est un échiquier. Ce jeu se déliera à l'orée d'efforts, d'actions, de décisions assumées et non imposées par un carcan familial ou amical.
La réalisation de soi est, dans l'instant ou un futur proche, une offrande à des changements opportuns, à la justesse d'actions. Entreprendre pour s'accomplir en toute conscience et constance vers ses propres objectifs.
C'est une récréation imparable qui défit tous les stratagèmes qui « cahote » l'échec pour l’ascension de toutes nos réalisations. C'est une vision intérieure où la seule clarté est de s'écouter.
Faire-valoir de la prospérité et de l'épicurisme, se réaliser, c'est exporter toute sa force et ses possibilités sans limite. Le sillage de ses envies est le pas « sage » vers l’expansion de soi.
Paulo COELHO, auteur brésilien au succès planétaire (« L’Alchimiste »), l'exprime : « Devant moi, il y avait deux routes. J'ai choisi la route la moins fréquentée et cela a fait toute la différence… »
Lyvia ROBERT
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Dominique COJAN/Jean-Eric FRAY : après l’écriture, ils parlent !
décembre 15, 2019Un cycle d’échanges avec le public débute pour les auteurs de l’ouvrage, « Yvonne ne veut pas partir ». L’opus publié à la rentrée est devenu une référence en matière de relations intergénérationnelles. Dominique COJAN et son complice de l’expression scripturale, Jean-Eric FRAY, ont l’opportunité désormais de présenter le fruit de leur travail besogneux, la collecte de témoignages utiles et précieux recueillis auprès de personnes âgées prolixes dans leurs commentaires. Les clubs services et le monde associatif intègrent leurs priorités…
AUXERRE : Une heure durant, les deux compères à la plume mémorielle aiguisée parlent. Leur intervention est parfaitement rodée pour faire toute la lumière sur ce projet qui les a conduits à constituer une banque d’anecdotes joyeuses et euphorisantes pour que vivent à jamais les souvenirs de nos anciens.
Paru à la mi-septembre, l’ouvrage connaît depuis un succès retentissant dans le paysage régional. Soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne qui en a assuré la promotion lors du Salon annuel des seniors en octobre.
C’est cela qui a encouragé les deux auteurs à aller plus loin : en proposant un cycle de conférences débat auprès des acteurs associatifs et institutionnels impactés par le grand âge. Là-aussi, la démarche explicative fonctionne.
Preuve que le sujet n’est nullement rébarbatif à qui veut réellement l’entendre. D’autant que ce livre représente un vibrant plaidoyer à la joie de vivre et à l’optimisme même quand les cheveux blancs fleurissent sur le crâne. Idées noires s’abstenir !
L’un des clubs service de la place, le Rotary, accueillera les conférenciers le 14 janvier prochain à son siège social au détour de l’une de ses réunions hebdomadaires. Un plateau de premier choix pour Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY qui désirent privilégier, entre autres, les contacts avec les clubs services (Lions, Rotary, Kiwanis, Table Ronde, 41…).
Ceux-ci sont souvent positionnés dans le cadre de leurs actions solidaires et altruistes en faveur des personnes âgées.
Les écrivains poursuivent en parallèle le travail direct avec le public, décliné sous la forme d’ateliers. Avec toujours un trop-plein d’idées dans la tête !
2020 ne devrait pas leur laisser beaucoup de répit : n’était-ce pas là le but recherché pour que puisse vivre toujours la mémoire positive des seniors ?
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Soutien de Guy FEREZ, le Nouveau Centre réussit son mercato d’hiver avec l’adhésion de Virginie DELORME…
décembre 14, 2019Nouvelle surprise, et de taille, dans le microcosme politique de l’Auxerrois. On la doit à la formation de centre droit, incarnée par Jean-Philippe BAILLY, président départemental du mouvement inféodé à la cause d’Hervé MORIN. L’adjoint à la Ville en charge du développement numérique et du commerce vient de réaliser une très « belle prise » en ajoutant à son escarcelle, favorable à la liste d’ouverture prônée par l’édile d’Auxerre, la conseillère municipale d’opposition (ex-UMP), Virginie DELORME. Devenue entre-temps, Mme GARERES après avoir convolé en justes noces…Un nouveau coup de boutoir porté à la droite traditionnelle ?
AUXERRE : S’il avait voulu secouer le cocotier de la sphère politique auxerroise pour en faire tomber des fruits goûteux prêts à intégrer sa besace centriste, Jean-Philippe BAILLY ne s’y serait pas pris autrement !
En présentant lors d’une conférence de presse sa « prise de guerre » réalisée au nez et à la barbe de la droite républicaine, le leader politique issu du Nouveau Centre n’a pas dissimulé une extrême jubilation. Avant que ne démarre sa prise de parole officielle. Et pour cause !
Commerçante implantée depuis moult années dans le sérail (elle fut même la présidente des « Vitrines d’Auxerre » aux grandes heures de gloire d’une association qui est hélas aujourd’hui disparue), Virginie GARERES-DELORME jouit d’une solide notoriété dans l’espace professionnel et politique local.
Côté idéologie politique, la quadragénaire a toujours été estampillée à droite. Se portant même candidate au sein de listes clairement identifiées UMP (devenue depuis Les Républicains) aux dernières échéances municipales, face signe du sort à la liste conduite par le maire Guy FEREZ, et aux cantonales. Alors, par quel tour de passe-passe, voire de mystérieuse magie blanche, l’a retrouve-t-on désormais en accointance étroite avec un parti qui cautionne faits et causes le bilan de l’édile d’Auxerre ?
Le refus de la dérive droitière des Républicains…
Réponse de l’intéressée qui ne se dérobe nullement à la question : « Ma formation d’origine, Les Républicains, vire trop à droite et cela ne me convient absolument pas, concède-t-elle, certes, je n’ai pas encore arrêté ma décision mais je me sens plus proche des centristes de droite. Ceux représentés par le Nouveau Centre ».
Du petit lait à siroter avec une belle cuillérée de miel pour Jean-Philippe BAILLY qui n’en demandait pas tant ! Il est vrai que l’ex-secrétaire de l’UMP (c’est presque aujourd’hui de la Préhistoire !) en connaît aussi un rayon sur le besoin de changer d’aspirations pour s’aérer la tête et l’esprit.
Lui aussi s’était opposé en son temps à la dérive droitière qu’il reproche aujourd’hui sans états d’âme au parti de Christian JACOB.
Las de vivre cette situation, il avait alors quitté la droite républicaine originelle pour rallier ce centrisme qu’il affectionne tant aujourd’hui.
« Je me souviens, explique-t-il en faisant un sacré bond en arrière dans le fil de ses pensées, à l’époque, à l’UMP, j’avais enregistré parmi les nouvelles adhérentes la mille cinq centième personne à être encartée dans l’Yonne : elle se nommait Virginie DELORME… ».
Curieuse coïncidence de la vie, en effet, qui fait se retrouver autour de la même table, et rejoint par l’adjoint au maire en charge des ressources humaines, du dialogue social, des jumelages et des anciens combattants, Jean-Paul SOURY, les deux compagnons de route politiques de jadis.
Désormais, Virginie GARERES-DELORME se positionne en phase avec elle-même sur la liste d’ouverture voulue par le maire sans étiquette Guy FEREZ afin de mieux servir les intérêts des Auxerrois.
« J’ai toujours œuvré en dépassant les clivages politiques, précise celle qui a assisté à toutes les commissions où elle était inscrite, ce que j’apprécie dans cette composante qui part à l’assaut de ce nouveau mandat, c’est justement le rassemblement pluriel de ses membres. Je déteste tout ce qui s’apparente à de la politique politicienne et les « gué-guerres » de parti. Cette liste ne comporte pas d’étiquette, c’est tant mieux… ».
L’addition des différences sur une liste commune, c’est un atout…
Le projet élaboré par le président de la Communauté de l’Auxerrois (c’est aussi un enjeu important dans la balance électorale) fait figure de kaléidoscope politique avec des représentations issues de LREM, du MoDem, du Parti radical, d’AGIR La Droite constructive, du Parti socialiste. Voire de représentants de la société civile qui ne possèdent aucune appartenance politique tout court.
Même s’il n’intégrait pas les accords initiaux inspirés par le modèle de « Renaissance », déjà expérimenté lors des Européennes, le Nouveau Centre de l’Yonne souhaitait intégrer en toute logique le projet symbolisé par Guy FEREZ.
Toutefois, une autre solution aurait pu convenir à la commerçante auxerroise pour y exprimer ses idées. Rejoindre la liste « Auxerre au Cœur » dont Crescent MARAULT est aujourd’hui le porte-étendard. Une liste davantage marquée au centre droit et à la droite républicaine.
« Je n’ai pas trouvé sur ce projet les valeurs déontologiques qui me correspondaient, évacue-t-elle avec spontanéité, je préfère me projeter sur un projet novateur et constructif, où l’addition des différences devient un véritable atout… ».
Une arithmétique qui ne peut que trouver grâce aux oreilles de Jean-Philippe BAILLY et de Jean-Paul SOURY à l’issue de cette causerie intimiste. Les deux adjoints ont bel et bien confirmé, en guise de conclusion, leur présence sur la liste définitive que Guy FEREZ officialisera le 16 janvier prochain.
Le joker de charme Virginie GARERES-DELORME en sera également. Reste à savoir à quelle position ?
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Le volley-ball s’affiche désormais sur les routes : le Sens Olympique Club ajoute de l’itinérance à sa communication
décembre 09, 2019Principal club sportif de portée nationale de la ville la plus septentrionale de Bourgogne, le SOC met de la couleur et de l’image sur son mode de locomotion le plus usuel : le bus. Jusqu’au mois de septembre prochain, et dans le cadre de son partenariat avec TRANSDEV, le véhicule affiche les couleurs, voire ses prétentions grâce à des visuels dynamiques d’un groupe qui évolue en élite féminine nationale. L’équivalent de la seconde division…
SENS: Bien ancré dans la vie locale, le SOC (Sens Olympique Club) a su démocratiser l’art et la manière de pratiquer le volley-ball depuis son accession en 2013 en ligue élite. Un championnat qui rassemble des formations tutoyant les sommets.
Vendredi 06 décembre, il a vécu une nouvelle étape qui concerne sa stratégie de communication. Un petit évènement à l’importance peu anodine en termes de visibilité qui a réuni dirigeants et joueuses autour d’un bus estampillé aux couleurs du club.
Customisé par les soins de l’un de ses partenaires, la société de transport TRANSDEV, l’autocar circulera dans les rues de Sens et à sa périphérie afin d’assurer la promotion de club qui gagne à chaque saison en popularité.
Une tactique nécessaire pour assurer le maintien au niveau actuel, voire pour viser plus haut dans les ambitions sportives.
Les filles de l’équipe première n’avaient pas encore eu connaissance de l’information. Les choses avaient été tenues secrètes entre le président du SOC, Bernard PLISSET, et Pierre BALCON, directeur de TRANSDEV.
C’est à l’occasion d’une réception cocktail des plus sympathiques organisée au gymnase habituel (René Binet) que ce joli cadeau de Noël a été dévoilé en présence du groupe.
Précisions que la société de transport est partenaire de l’association sportive et la soutient financièrement depuis six ans.
Au plan sportif, et après huit journées de compétition, le SOC occupe une méritoire seconde place de sa poule (A) derrière Quimper mais devant Evreux…
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Mondial des Maîtres d’hôtel : le Bourguignon Valentin MEROT en lice pour décrocher la lune…
décembre 02, 2019Seul représentant de la Bourgogne Franche-Comté à s’être qualifié pour le difficile exercice qui pourrait le sacrer meilleur maître d’hôtel de la planète, le professionnel du Relais Bernard LOISEAU intègre le panel très hermétique des favoris. Il représente une sérieuse opportunité pour la délégation tricolore de remporter le titre suprême. Sachant que la France aura avec la présence d’Elsa JEANVOINE, une autre carte maîtresse à jouer…
AUXERRE : Opposé à une douzaine de candidats aux origines internationales diverses et cosmopolites au lycée des métiers Vauban, le talentueux premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu (Côte d’Or), « Le Côte d’Or », double étoilé Michelin, n’est pas venu au mondial de sa discipline professionnelle qu’il affectionne pour y faire de la simple figuration.
Lui qui avait déjà survolé avec brillance les sélections nationales, aux côtés de la seconde chance hexagonale qualifiée Elsa JEANVOINE, revient au même endroit qui l’avait consacré en mai dernier.
Est-ce à dire à la vue de ses circonstances géographiques particulières que les deux prétendants français à ce sacre universel de maître d’hôtel au sommet de son art bénéficieront de ce petit quelque chose supplémentaire pour prétendre glaner le titre ?
C’est possible. Non seulement, Elsa et Valentin avaient beaucoup apprécié l’accueil et les conditions de travail qui leur avaient permis au printemps de finir aux deux premières places qualificatives pour le challenge planétaire. Mais, en outre, ils profiteront des encouragements nourris du public de supporters qui, drapeaux en main et cocardes tricolores à la boutonnière, ne manquèrent pas d’encourager leurs poulains !
Un début de compétition sous le signe de la flamboyance…
Concentré, dirigeant à la perfection sa brigade de commis qui l’aidèrent à suivre ce parcours de titan lors de cette matinée faste articulée autour de quatre challenges, Valentin MEROT aura fait montre dès le premier passage d’une réelle dextérité face au jury franco-ukrainien de l’épreuve du flambage de dessert. Il travailla une recette de sa composition à base de figues.
A trente ans, le régional de l’étape était naturellement soutenu avec fierté par toute la maison Bernard LOISEAU qui a vu en cette sélection mondiale de son jeune prodige, « un témoignage du haut niveau de qualification, de passion et d’exigence de ses collaborateurs… ».
Ce n’était que le début matinal de ce chemin complexe et technique, qui le mènera peut-être à la consécration ?
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