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Guillaume LARRIVE invite la ministre de la Santé à expliquer sa vision d’avenir de l’hôpital à Auxerre…
janvier 11, 2020La situation délicate du centre hospitalier de la capitale de l’Yonne a été évoquée dans l’hémicycle du Palais Bourbon, lors de la séance de ce jeudi. Requérant la parole, le député Les Républicains de la première circonscription est monté au créneau pour évoquer les inquiétudes qu’il nourrissait à l’égard de cet établissement qui cumule aujourd’hui 26 millions d’euros de déficit. Au-delà de l’alerte adressée à la ministre de la Santé, Agnès BUZYN, Guillaume LARRIVE a lancé une invitation à cette dernière à se rendre à Auxerre dès ce printemps pour qu’elle y présente sa vision d’avenir de l’hôpital…
PARIS : La ministre de la Santé, Agnès BUZYN, se rendra-telle au printemps prochain à Auxerre pour y expliquer ses perspectives d’avenir garantissant la pérennité du centre hospitalier local ?
Sollicitée par le député de la première circonscription de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE, à effectuer ce déplacement en Bourgogne, la ministre n’a, pour l’heure, pas donné de suite favorable à l’invitation lancée sous les ors de l’hémicycle de l’Assemblée nationale par le parlementaire de l’opposition.
Pourtant, Agnès BUZYN connaît tout particulièrement bien ce dossier. En décembre dernier, les services du ministère avaient accordé une aide exceptionnelle de cinq millions d’euros à l’infrastructure sanitaire icaunaise. S’appuyant ainsi sur les préconisations initiales que le député de l’Yonne, mais aussi les élus du Département et de la Ville avaient formulées.
Malgré cette incontestable bouffée d’oxygène pour la trésorerie de l’hôpital, les défis structurels demeurent immenses. La physionomie n’est guère réjouissante en matière de santé : à l’instar d’autres territoires de l’Hexagone, l’Yonne se caractérise par une densité médicale très faible : soit 284 médecins pour 100 000 habitants. Une trentaine de postes restent toujours vacants au complexe sanitaire auxerrois.
« Celui-ci doit souvent recourir à l’intérim, devait préciser Guillaume LARRIVE, lors de sa prise de parole, nous avons également des indices de morbidité très préoccupants, dont un nombre de cancers, d’AVC, de diabètes et d’infarctus particulièrement inquiétant… ».
Un plan de restructuration interne dévoilé en septembre 2020…
Dès cet automne, devant le Comité interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins hospitaliers (COPERMO), le plan de restructuration de l’établissement icaunais devrait être présenté. Induisant de fait des conséquences plutôt strictes au niveau des mesures d’économies envisagées.
Des hypothèses plausibles que Guillaume LARRIVE a déjà commentées : « 10 % des lits ont déjà été fermés et l’on nous dit que, au total, 112 postes équivalent temps plein auront été supprimés entre 2017 et 2023. On constate bel et bien un effort de réduction de la voilure… ».
Nonobstant, le député LR de l’Yonne, même s’il admet comprendre que ces mesures de rationalisation financière soient appliquées, aimerait connaître la vision stratégique réelle de la ministre sur ce dossier. Un désir que l’homme politique lui a clairement signifié en la questionnant à la tribune :
« Quelle est, Madame la ministre, votre vision des coopérations que le centre hospitalier doit bâtir (ou pas) avec les autres acteurs de santé du département (acteurs libéraux, médico-sociaux, cliniques), mais aussi avec les acteurs de santé des zones voisines ? Je pense à Troyes, à Sens, à Paris, et bien évidemment à Dijon ? ».
Au moment de conclure, Guillaume LARRIVE a donc invité le représentant du gouvernement à se rendre dès le printemps dans l’Yonne pour y rencontrer les acteurs locaux et la communauté médicale afin de leur exposer, de manière à la fois simple et directe, sa vision personnelle de l’avenir de l’hôpital d’Auxerre. Une suggestion qui aura déclenché des applaudissements parmi les rangs du groupe Les Républicains, il va de soi !
Aider l’hôpital d’Auxerre à retrouver son équilibre budgétaire…
En guise de réponse, Agnès BUZYN devait confirmer qu’elle connaissait bien les difficultés de l’hôpital d’Auxerre et, plus généralement, celles de notre région.
« Lors de mon exercice professionnel – il y a très longtemps – je recevais les malades d’Auxerre et de la région, car nous étions leur centre de référence parisien. Or nous notions déjà, dans les années 1990, un retard des diagnostics chez ces populations qui vont rarement chez le médecin, ou seulement quand elles sont déjà très malades. Il y a donc, au-delà de la désertification médicale, un enjeu d’éducation à la santé… ».
Précisant que le centre hospitalier d’Auxerre connaissait depuis plusieurs années une dégradation de son équilibre financier, avec un important déficit de 5,5 % de son budget, la ministre expliqua ensuite que « les dettes fiscales et sociales étaient réglées mais que cette situation ne pouvait pas durer…. ».
Comme d’autres établissements en France, l’hôpital d’Auxerre n’échappera donc pas à son plan de restructuration. Malheureusement, son attractivité médicale est insuffisante.
« Les partenariats sont, poursuivit la ministre, une bonne façon de la renforcer, notamment grâce à des postes partagés avec des centres hospitaliers universitaires de la région, par exemple. L’intérim médical auquel l’hôpital doit recourir entraîne en effet ce déficit budgétaire important. Quant à la reprise d’un tiers de la dette globale des hôpitaux, que nous avons annoncée, elle bénéficiera évidemment à l’hôpital d’Auxerre. Nous soutenons par ailleurs sa trésorerie, par le biais de l’ARS (Agence régionale de santé) pour 5 millions d’euros en 2019. Nous avons enfin prévu d’aider l’établissement à retrouver son équilibre budgétaire, notamment en réinvestissant dans de nouvelles technologies… ».
Agnès BUZYN termina ses propos en rappelant que « le centre hospitalier d’Auxerre était considéré comme un hôpital de recours dans l’Yonne ».
Une place stratégique que l’établissement sanitaire icaunais doit impérativement conserver afin de répondre aux besoins de la population d’une manière graduée avec les autres structures du département.
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Cécile RACKETTE organise sa 6ème soirée débat sur la sécurité routière : plus qu’une mission, un sacerdoce…
janvier 08, 2020Se remettre à la tâche avec pugnacité sans perdre un pouce de terrain. L’enjeu est bien trop important pour vouloir rétrograder. Ne serait-ce que d’un millimètre. Car, au vu de la situation, toujours très préoccupante après le terrible bilan 2019, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois demeure mobilisée pour prêcher la juste parole. Vers les élus de sa zone de prédilection. Mais, également leurs administrés qui n’en peuvent plus de vivre sur l’un des territoires où l’accidentalité ne cesse de caracoler en pôle-position de la statistique…
AVALLON: Informer, toujours et encore. Pratiquer l’art de la pédagogie et de la sensibilisation sans pour autant tomber dans le prisme du répressif à outrance. Cécile RACKETTE continue de sillonner avec autant d’abnégation et de volontarisme son secteur géographique dans le cade de soirées débat où la sécurité routière tient le haut du pavé de l’actualité.
La jeune femme poursuit sa mission de bons offices qu’elle a développée depuis plusieurs semaines à la rencontre de la population. Vendredi 10 janvier, c’est le foyer socio-éducatif de l’Isle-sur-Serein qui l’accueillera aux alentours de 18h30.
Un sixième rendez-vous qui en appellerait déjà d’autres tant l’incivilité et la malveillance règnent en quasi impunité sur les routes de ce département qui entre désormais de plain-pied dans le livre noir des catastrophes routières.
Un chiffre, un seul, est à retenir pour comprendre ce sinistre bilan : il existe deux fois plus de risque d’être tués sur les routes de l’Yonne qu’ailleurs en France. Dont acte !
Qu’à cela ne tienne, la représentante de l’Etat n’a cure des persifleurs et autres réfractaires de tout poil qui symbolisent le plus souvent la mentalité des Français. La jeune femme est toujours animée, de cette passion indélébile, pour sensibiliser l’ensemble des usagers de nos routes sur les comportements dangereux qui se propagent à la vitesse grand « V ».
Des rencontres thématiques extrêmement bien huilées…
Aux côtés des gendarmes et des sapeurs-pompiers, Cécile RACKETTE dispense ses rendez-vous en les articulant de la manière suivante : la diffusion du documentaire de Coline SERREAU (« Tout est permis »), d’une durée d’une heure et demie qui met en scène des conducteurs en quête de récupération de précieux points ; un débat qui se veut ouvert avec une assistante à chaque fois plus nombreuse et à l’écoute et la mise à disposition de documents pédagogiques, à destination de tous les publics, petits comme les plus grands.
Il est vrai que le passé et l’expérience plaident en faveur de cet ancien magistrat, au service désormais de la République.
Cécile RACKETTE a eu le temps de faire ses gammes professionnelles. Son brillant apprentissage sur la thématique qui la motive tant, elle le doit à sa qualité d’ex-conseillère justice du délégué interministériel à la Sécurité routière. Une structure où officiait précisément le nouveau préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, qu’elle connaît fort bien, manifestement…
Avec de telles cartes de visite, qui sait si la courbe exponentielle de l’accidentologie ne pourrait pas enfin s’inverser ?
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Sandrine MORIN : Et si l'équilibre familial était au cœur de la performance professionnelle ?
janvier 08, 2020Spécialiste du barreau en sa qualité d’avocate en charge de l’orientation des familles après un divorce, cette professionnelle dynamique entreprend en 2008 un changement de cap radical pour se former au coaching et en neurosciences. Une excellente opportunité d'approfondir ce qui relève alors d'une intuition, développée au fil de sa propre trajectoire. En terme clair que les rapports amoureux équilibrés et heureux sont l’une des clés de voûte de la réussite professionnelle. Pour en savoir davantage, notre contributeur Philippe CARPENTIER (www.deciderjuste.com) qui accompagne les entrepreneurs aux moments clés de leur existence, s’interroge…
TRIBUNE : Aujourd'hui épanouie à titre privé comme professionnel, cette experte en divorce positif et renouveau amoureux nous parle de sa conviction. On peut également la retrouver sur son site www.sandrinemorin.coach.
Sandrine, selon vous, quand le couple va, tout va. Pourquoi cette formule est-elle si pertinente ?
La « Harvard Business Review » a publié, il y a quelques années, un article mettant en avant que le couple était un vecteur important de réussite. L'explication est la suivante : c'est qu'un équilibre émotionnel solide favorise grandement la réussite. D'ailleurs, aujourd'hui, le quotient émotionnel (QE) est une donnée au moins aussi importante que le quotient intellectuel (QI). Le couple constitue souvent le socle sur lequel repose cet équilibre. Personnellement, j'ai traversé cette période durant laquelle j'étais tiraillée entre mon engagement professionnel et mes responsabilités de femme et de maman. Sacrifier l'un ou l'autre pan de sa vie n'est pas une bonne stratégie. C'est au contraire le signe que le couple n'est pas suffisamment intelligent.
Quels sont les critères qui forgent cette intelligence dans le couple ?
Il faut que le couple soit assez fort pour affronter les aléas personnels et professionnels, et permettre surtout à chacun de vivre pleinement, sans sacrifier ses besoins fondamentaux ou ses valeurs…Le couple doit notamment avoir une vision commune, une sorte de GPS. Comme dans un grand projet stratégique, il est bon de savoir où je me vois, où je nous vois, où nous nous voyons dans un, cinq et dix ans. Les neurosciences montrent que le cerveau ne fait pas ce qu'on lui demande. Il fait ce qu'on lui dit avec précision. Plus la représentation mentale d'une situation est claire, plus il est probable qu'elle se réalisera. Elle va peu à peu impacter le comportement. Lorsque ma vision est claire et congruente, elle me guide vers mon objectif. Je peux m'y projeter aisément, elle me sert de fil conducteur pour avancer efficacement. Je vous invite à établir une vision claire de vos intentions dans tous les domaines de vie : activité professionnelle, couple, famille, développement personnel (mes envies, ma santé), sphère sociale, etc. Peut-être avez-vous déjà des images inspirantes, qui vous aident à fixer ce que vous souhaitez atteindre. Si ce n'est pas le cas, cherchez des images (sur Google par exemple), et repérez celles qui vous interpellent. Pourquoi ne pas en faire un petit montage à conserver ? Vous serez étonné et surpris de l'efficacité de cette approche.
Comment expliquer la puissance de ces images ?
En enclenchant cette démarche, vous activez une partie du cerveau appelé le Système Réticulé Activateur (le SRA). Ce système est votre Google interne, en quelque sorte. Nous avons des millions d'informations à notre disposition, mais nous ne sommes pas en mesure de les traiter, car elles sont trop nombreuses. En vous fixant des objectifs clairs, votre cerveau saura vers quelle direction travailler. Il va traiter ces millions de données et capter les infos pertinentes. De la même manière, quand vous formulez vos objectifs par écrit, vous augmentez de 100 % leur chance de réalisation.
Comment font les couples qui conjuguent avec succès leurs vies personnelle et professionnelle ?
J'ai beaucoup travaillé sur ce sujet car, en tant qu'avocate, j'ai pu observer beaucoup de gens qui sacrifiaient l'une au profit de l'autre. Cela me rendait triste de voir cela. Bronnie WARE, une infirmière australienne en soins palliatifs a observé que le deuxième regret le plus souvent exprimé sur son lit de mort est le fait d'avoir travaillé trop dur au détriment de sa famille. Ce qui va faire la différence tient à trois facteurs :
1) L’engagement
S’engager pour son duo est une des priorités. Qu'est-ce que je mets en place pour que mon couple ne se ternisse pas ? Il faut une intention positive forte et des attentions constamment renouvelées.
2) Planification
Si on ne prend pas le temps d'anticiper le prochain moment ensemble, la sortie au théâtre, le prochain voyage... alors on laisse le hasard décider pour nous, c'est-à-dire souvent ne rien décider du tout ! Une heure par semaine pour organiser ces temps-là permettent de « réénergiser » son couple. En plus, vous serez stimulé à deux reprises : au moment de la préparation et au moment de la sortie. En effet, les neurosciences ont mis en évidence le fait que le cerveau ne fait pas la différence entre quelque chose d’imaginé et quelque chose de vécu. Et lorsque je planifie je me projette !
3) Communication
Clairement, les couples qui fonctionnent le mieux ne sont pas ceux qui s'aiment le plus, mais ceux qui communiquent le mieux. Dans le dialogue, éviter le TU qui « tue » et privilégier ce que JE ressens favorise la confiance et la fluidité dans la relation. Ce n’est pas l’amour qui fait durer la relation mais la qualité de celle-ci...
Prendre conscience de ces éléments simples et s’engager à les appliquer vraiment est la meilleure des préventions. Jacques PREVERT ne disait-il pas : « J'ai reconnu le bonheur au bruit qu’il a fait en partant » ?
L'Application
Définir avec précision la vision idéale de son couple et des autres sphères de sa vie. Les représenter matériellement, sous forme d'un tableau, d'un document, d'un collage d'images...
Évaluer à quel niveau son foyer est un lieu refuge pour soi, qui permet de supporter le monde extérieur. Si nécessaire se fixer un objectif d’amélioration.
Vérifier régulièrement que j'ai bien plaisir à rentrer chez moi pour m'y ressourcer.
Afficher en évidence les images inspirantes de chaque sphère de sa vie.
Philippe CARPENTIER
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2020 sera-t-elle l’année de la femme à la CPME ? Son club féminin dépasse désormais la trentaine de membres…
janvier 06, 2020Portée sur les fonts baptismaux depuis le mois d’octobre 2018, la cellule féminine de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) voit grossir de manière inéluctable ses effectifs d’une séance à l’autre. Désormais, les filles qui expriment leur désir d’entreprendre et de manager prennent plaisir à se retrouver de manière mensuelle autour d’agapes sympathiques et fructueuses…
AUXERRE : Alors que le syndicat patronal, défenseur des intérêts des responsables de TPE et PME dans l’Yonne, continue à gonfler ses rangs au terme de 2019 (la barre des 210 adhérents a été franchie en décembre), sa cellule 100 % féminine, un sérieux plus au niveau de la communication et de la représentativité, se porte également très bien au niveau du nombre de ses adhérents.
Le pôle qui accueille des femmes chefs d’entreprises ainsi que des managers fonctionne merveilleusement bien aux dires de la secrétaire générale de la structure, Emmanuelle MIREDIN, qui en suit les courbes évolutives avec délectation.
La Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne avait pris soin à l’automne 2018 d’initier ce nouveau point de rencontre entre dirigeants de sociétés. En l’occurrence des dirigeantes puisque le Pôle Femmes des chefs d’entreprises de la CPME se veut exclusivement féminin comme son appellation l’indique !
Une trentaine de membres constitue désormais ce réseau intégré au sein d’un réseau. Il a pour objectif de se réunir une fois par mois entre midi et quatorze heures dans l’un des espaces de restauration de la place.
Une formule très attrayante selon Emmanuelle MIREDIN pour qui ces rencontres entre dirigeantes de société à l’heure du déjeuner fonctionnent plutôt bien pour y adjoindre l’utile à l’agréable. Faire du business tout en se sustentant : c’est la recette subtile des femmes qui veulent aller de l’avant !
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CPI de Druyes : les sapeurs-pompiers volontaires plébiscités pour leur indéfectible engagement…
janvier 06, 2020L’hommage solennel s’est déroulé ce samedi 04 janvier dans la commune de Druyes-les-Belles-Fontaines où le maire, Jean-Michel RIGAULT, a profité de l’une des premières cérémonies de présentation des vœux pour saluer l’exceptionnel travail de ces personnes altruistes au service de la population…
DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : La bravoure et le courage se sont invités à la traditionnelle cérémonie des vœux concoctée dans la petite commune de Puisaye-Forterre.
Une manifestation qui aura eu le particularisme de se placer parmi les toutes premières dans le calendrier de ce long épisode de rendez-vous respectueux des us et coutumes.
C’est en clôture de celle-ci que l’édile Jean-Michel RIGAULT a tenu à rendre un hommage appuyé aux sept volontaires du Centre de première intervention (CPI) local, sous le commandement de Philippe SIGORINI.
En effet, trois d’entre eux devaient être distingués en présence du président de la Communauté de communes, le conseiller régional Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, et de l’ancien maire, Sylvain PINON, lui-même responsable dans une vie antérieure de ce centre de secours.
Des diplômes pour saluer l’abnégation des sapeurs-pompiers…
Une jeune femme, Estelle BONNEAU, sapeur-pompier de première classe, a obtenu la médaille d’honneur échelon bronze. Deux autres personnes, le caporal-chef Aurélien SIGORINI et le caporal-chef Jean-Philippe BIGE, ont été également distingués. Respectivement pour l’obtention de la médaille d’honneur échelon bronze pour le premier. La médaille d’honneur échelon or revenant au second.
« Une vraie reconnaissance qui fait honneur à la commune…précisa Jean-Michel RIGAULT, à l’issue de la remise des diplômes.
90 % des interventions concernent le secours à la personne. Du fait du désengagement du service public dans les campagnes. Le maire de la localité icaunaise ne put s’empêcher de faire allusion aux menaces de fermeture qui pèsent sur le service des urgences des hôpitaux de Clamecy et de Cosne-Cours-sur-Loire. D’où le rôle primordial que peuvent tenir désormais les centres de première intervention, sous la tutelle du SDIS, dans le secours à la personne…
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