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L’accidentologie progresse dans l’Yonne : enrayer la spirale infernale demeure la priorité de la préfecture…
janvier 05, 20202019 restera une année noire sur les routes de l’Yonne. La barre fatidique des quarante morts a été dépassée en décembre. Alors que la préfecture multiplie les messages incitant à la prudence. Le nouveau préfet, Henri PREVOST, hérite de ce délicat dossier dès sa prise de fonction le 06 janvier. Prendra-t-il des mesures radicales pour changer les comportements ?
AUXERRE : Triste cadeau de Noël pour le territoire de l’Yonne. Jamais, le bilan de l’accidentologie observée sur les routes de notre département n’aura atteint un tel degré funeste de catastrophisme.
Le nombre de décès survenus sur l’une des voies d’accès qui traverse de part en part notre contrée n’aura été aussi important. Provoquant la disparition brutale de 41 personnes. Des chiffres arrêtés au 25 décembre qui sont très lourds de conséquence au niveau comptable. Trop lourds.
Le futur résident de l’hôtel de la préfecture, Henri PREVOST, sait déjà à quoi s’en tenir sur la gestion de cet épineux dossier dont il va hériter avant même sa prise de fonction le 06 janvier.
Le haut fonctionnaire de l’Etat connaît le fond de la problématique. Du fait de son expérience. Quoi qu’il en soit, il devra agir vite et avec fermeté s’il veut endiguer la terrible spirale qui s’est installée en Bourgogne du Nord.
A maintes reprises, la préfecture a néanmoins multiplié les actes de prévention. Enchaînant les messages pédagogiques au cours de ces derniers mois. Déposant, même, à la vue de tous sur certains de ronds-points des axes prioritaires, des carcasses endommagées de véhicules, parfois calcinés, qui symbolisent la résultante de ces tragiques accidents ayant endeuillé tant de familles.
41 conducteurs, victimes d’accidents de la route : c’est désormais le sinistre record, peu glorieux, qui entache le territoire icaunais. Plaçant l’Yonne bien au-delà de la moyenne nationale, parmi les départements où le taux d’accidentologie caracole dans un morbide peloton de tête, traduisant cette course effrénée à la vitesse, à l’incivilité au volant, au non-respect des règles liminaires. Celles édictées tout bonnement par le Code de la Route.
Malheureusement, on pensait qu’une fois dépassée la barre déjà très élevée de ces trente décès à l’année, cette tendance haussière allait se figer. Il n’en est rien.
Rendre les routes de l’Yonne plus sûres…
Les deux nouvelles personnes, de jeunes adultes, qui ont perdu la vie lors du terrible carambolage de Brienon-sur-Armançon dans la nuit de Noël ont fait exploser les statistiques ce que l’on croyait encore impossible, il y a peu.
Lors de sa première conférence de presse, celle donnée le 06 janvier après-midi, Henri PREVOST ne manquera pas d’apporter ses analyses pertinentes face à une situation qui semble pourtant être irréversible sur le papier.
Pourrait-il profiter de de ce temps de parole accordé aux médias pour édicter de nouvelles mesures qui soient bénéfiques au renforcement de la sécurité sur nos routes ? Peut-être.
L’homme qui fut directeur-adjoint de la Sécurité routière nationale ne devrait rester trop longtemps sans agir sur ce dossier chaud brûlant qui l’attend sur un coin de son bureau. L’ancien préfet Patrice LATRON lui aura laissé aussi des consignes.
La sécurité sur les routes de l’Yonne sera son cheval de bataille. Celle-ci ne fait que commencer pour rendre responsable celles et ceux de ces automobilistes qui considèrent la route comme un exutoire à toutes leurs envies, excès et défouloirs.
Il en va du retour tant attendu au civisme sur nos axes de communication. Qui ne doivent plus laisser l’apanage à de dangereux chauffards irrespectueux d’eux-mêmes et surtout d’autrui…Ou à la malchance imputable au hasard selon la formulation usuelle, cela n’arrive pas qu’aux autres.
Il est donc grand temps de changer de comportement dans les habitacles des automobiles qui sillonnent nos routes.
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Le Moulin à Tan commercialise sa production de miels : un filon qui ne devrait pas se tarir…
janvier 05, 2020Troisième site touristique de l’Yonne en termes de fréquentation après ceux de Vézelay et le château de GUEDELON, l’espace horticole et végétal de Sens innove en commercialisant sa production de miels. Le partenariat avec le Syndicat d’apiculture du département officialisé en 2011 se concrétise dorénavant par la vente de produits issus de plusieurs ruches implantées sur le site, devenu le véritable poumon vert de la capitale du nord de l’Yonne…
SENS : Désormais, il est possible de consommer le miel produit par les colonies d’abeilles qui se sont installées dans les quatre ruches que possèdent le Moulin à Tan.
Chantre de la préservation de la biodiversité au cœur de l’agglomération sénonaise, le site s’est rapproché du Syndicat départemental apicole de l’Yonne pour tenter une expérience novatrice qui devient donc payante aujourd’hui. Même si l’objectif initial n’était pas de vendre le nectar qui émane des abeilles.
Un apiculteur de Rosoy, M. SUEZ, prend soin des ruches, disposant ainsi des produits, du matériel et de l’alimentation fournis par le parc pour traiter et élever les insectes.
Si l’objet primordial de cette démarche se justifie à des fins pédagogiques, à destination des plus jeunes et de leurs parents notamment, la direction des espaces verts Ville et Agglomération, incarnée par Aurélien LOIZEAU, a décidé de proposer à la vente les miels issus de ces colonies. Partant du postulat de pouvoir le faire si la récolte le permettait, évidemment.
Ce qui semblerait être le cas depuis 2019. Quarante kilos de miel ont ainsi été récoltés dans les ruches locales cette saison. Suffisant pour se lancer dans cette aventure de la vente, forte en symbole.
L’année précédente, la récolte de ce miel toutes fleurs, à base d’acacia, de colza, de châtaignier, avait permis de récolter une centaine de kilos. Mais, la production d’alors n’était pas destinée à la vente directe.
Le besoin de communiquer autour de la préservation des abeilles…
Conditionné dans des pots de formats différents (125 gr et 250 gr), le miel du Moulin à Tan a été vendu cet été auprès des services de l’Office du tourisme et au musée de Sens.
Les amateurs de ce produit naturel y ont trouvé leur compte. Grâce à des articles à la qualité gustative exceptionnelle qui se négocient à plus de deux euros pour les petits pots de 125 grammes et à 4 euros le contenant de 250 grammes.
Ici, naturellement, il n’est pas question de se faire de l’argent. La vente de ces miels sert uniquement à payer l’entretien, les soins et l’alimentation des abeilles présentes dans le périmètre.
On estime à 60 000 individus le nombre d’abeilles vivant dans une colonie qui est établie par ruche. Or, nous l’avons dit, le Moulin à Tan en possède quatre à l’heure actuelle dans l’un des endroits préservés du parc.
Depuis deux ans, cinq autres ruches ont également été implantées sur un autre site faisant office de conservatoire de pommes de Bourgogne à Saint-Savinien. Le filon offert par ce miel onctueux et aux saveurs délicates ne devrait donc pas se tarir de sitôt…Le Moulin à Tan veille aussi à la prolifération des frelons asiatiques qui s'attaquent aux colonies...
Un article réalisé avec le partenariat de la Communauté d’agglomération du Sénonais et de la Ville de Sens.
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Château de MAULNES : une souscription pour réhabiliter un joyau de la Renaissance unique en France
janvier 05, 2020En partenariat avec la Fondation du Patrimoine, le Département de l’Yonne a lancé il y a quelques semaines une souscription en faveur de l’une des édifications patrimoniales les plus énigmatiques de notre territoire : le château de MAULNES. Chaque donateur (particulier, collectivité, entreprise) contribuera ainsi à l’effort commun nécessaire aux travaux de réhabilitation de ce haut lieu du tourisme nord-bourguignon.
AUXERRE : Faire appel à la générosité des acteurs de la société qu’il s’agisse de particuliers, d’associations, de structures professionnelles ou institutionnelles. C’est le nouveau défi lancé par le Conseil départemental de l’Yonne qui lance avec cette souscription publique une grande campagne de sensibilisation à la sauvegarde de notre patrimoine.
Le projet de restauration de l’édifice, symbole de la richesse patrimoniale du Tonnerrois, doit se poursuivre en effet après d’importants travaux réalisés entre 2011 et 2016. Trois façades du bâtiment ont déjà été traitées grâce à la dextérité des artisans du cru qui ont l’habitude de rénover les monuments historiques. Il reste encore deux façades de la construction en forme de pentagone à réaliser ainsi les toitures ; soit un budget global de plus d’1, 6 million d’euros.
Continuer une aventure humaine d’exception…
Lors de la signature de la convention unissant la Fondation du Patrimoine et le Département de l’Yonne, le président Patrick GENDRAUD se réjouissait de ce lancement officiel, synonyme d’œuvre collective au service de l’attractivité touristique et économique du territoire.
Pour le patron de l’exécutif icaunais, valoriser le Tonnerrois figure parmi ses priorités de mandat. D’autant que le secteur oriental de notre territoire possède de nombreuses richesses patrimoniales et culturelles.
Si la nouvelle tranche de travaux doit débuter dès les premiers mois de 2020, Patrick GENDRAUD espère une mobilisation générale autour de cette souscription ; et pas seulement de la part d’amateurs d’art et de culture. Un chiffre a été évoqué en matière d’objectif potentiellement à atteindre : 70 000 euros.
Chaque don fera l’objet d’une déduction fiscale. La Fondation du Patrimoine comme devait le confirmer son responsable régional, Guy BEDEL, pourra apporter un financement complémentaire.
L’information se propage depuis la signature de la convention le mois dernier par de multiples canaux. Tous les réseaux prônant les valeurs de la culture et du tourisme sont concernés à l’instar de sites Internet ad hoc.
Pour participer à la souscription :
Le site Internet : www.fondation-patrimoine.org/00000
Contacts : Conseil départemental Yonne
03.86.72.85.03.
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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Guy BEDEL : « La Fondation du Patrimoine œuvre au développement de l’économie locale… »
janvier 05, 2020Le délégué de Bourgogne Franche-Comté de la vénérable institution de défense nationale du patrimoine ne tarit pas d’éloges sur les valeurs architecturales du château de MAULNES. Unique au monde du fait de sa configuration insolite, sa rénovation a été sélectionnée dans le cadre de la Mission Stéphane BERN dont l’objectif est d’inventorier et de sauvegarder des éléments de patrimoine en péril implantés aux quatre coins de l’Hexagone…
AUXERRE : Chaque année, la Fondation du Patrimoine sauve plus de deux mille monuments historiques et culturels en apportant un précieux soutien à leur réhabilitation. Qu’il s’agisse d’édifices religieux, de théâtres, de moulins, de musées, l’organisme reconnu d’intérêt public porte des projets de rénovation en apportant les garanties nécessaires en termes de sécurité et une transparence financière saluée par la Cour des Comptes.
Que le délégué régional de Bourgogne Franche-Comté soit présent lors de la signature de la convention favorable à la restauration de l’emblématique construction datant de la Renaissance n’avait en soi rien d’incongru. Guy BEDEL devait expliquer les motivations premières de l’organisme qu’il représente aux médias présents à cette occasion.
« Sur le terrain, un solide réseau d’experts, composé de bénévoles et salariés accompagne les projets et œuvre au quotidien à la préservation de notre patrimoine et de nos paysages… ».
En marge de la signature de la convention de partenariat formalisée avec le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, Guy BEDEL rappela que la Fondation du Patrimoine concourrait au développement de l’économie locale et à la transmission des savoir-faire en étant présent le plus possible aux côtés de ces ambitieux projets.
« Le château de MAULNES se situe au-delà d’une simple architecture, devait-il ajouter, c’est aussi l’illustration parfaite d’un symbole de tolérance perpétré par l’homme au service de l’intelligence… ».
L’édifice en forme de pentagone offrit l’opportunité au représentant de la structure associative de pouvoir s’épancher quelque peu sur les caractéristiques du chiffre 5 (symbole des amoureux) et le nombre d’or, cette divine proportion dont les bâtisseurs d’œuvres monumentales de l’Antiquité s’inspirèrent à bon escient.
A la tête d’une équipe régionale composée de trente-deux bénévoles et trois salariés, Guy BEDEL évoqua aussi la rigueur financière de cette fondation entièrement tournée vers le territoire et ses habitants.
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Les voyants sont au vert pour JP FLEX MECA : la SARL a trouvé sa place sur une niche prometteuse…
décembre 27, 2019Constituée en avril 2019, la SARL au capital de 10 000 euros se positionne sur le marché de la mécanique. Avec une spécificité toute particulière qui permet à son dirigeant de se distinguer sur son créneau de prédilection : la réparation d’engins agricoles et viticoles. De la pure logique, en vérité, quand on sait que Jean-Philippe GARDET exerce sur ce secteur d’activité depuis plus de vingt ans…
TONNERRE : Après le stage obligatoire assuré par les services de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat lui permettant d’acquérir les bases essentielles de l’entrepreneuriat, le quadragénaire à la tête de JP FLEX MECA s’est très vite fait remarquer de l’association INITIACTIVE 89.
La structure accompagnatrice des porteurs de projets à la création/reprise d’entreprise a eu vent de son projet : la constitution d’une nouvelle société. Une fois la rupture consommée avec son ancien employeur, un distributeur international du matériel agricole/viticole survenue en 2018, Jean-Philippe GARDET n’a eu de cesse de peaufiner son projet afin de le porter sur les fonts baptismaux de la création, en y injectant un maximum d’atouts.
L’un des conseillers techniques de la structure, Julien LACOMBE, prend alors connaissance de la composante du dossier et de son intérêt. Les potentialités sont bien réelles. Surtout que le néo-entrepreneur pourrait intervenir sur une zone de chalandise aux possibilités évidentes, située entre Tonnerrois et Chablisien.
Un prévisionnel déjà largement dépassé, de bon augure pour la suite…
Le feeling passe avec fluidité entre les deux hommes. Et ce dès le premier rendez-vous. Instruites rapidement, les choses vont s’enclencher avec certitude et efficience. Pour aboutir à la dotation d’un prêt d’honneur à l’enveloppe prometteuse de 15 000 euros. Une somme qui sera affectée ensuite à l’achat du matériel nécessaire et d’un utilitaire, servant à l’exploitation de la nouvelle entité professionnelle.
A 47 ans, le dirigeant Tonnerrois renaît de ses cendres. Locataire de ses bureaux administratifs et de son atelier, il multiplie les missions auprès de cibles bien précises : les agriculteurs, les viticulteurs et même le milieu des travaux publics. La demande est telle que l’embauche d’un collaborateur au profil de polyvalent de la mécanique est envisageable. Sans doute au cours de l’exercice 2020.
A l’origine du projet, Jean-Philippe GARDET a investi une enveloppe budgétaire de cent mille euros. Un pactole obtenu avec le soutien de sa banque, le Crédit Mutuel. Aujourd’hui, les prévisions sont orientées vers le beau fixe après quelques mois de mise en pratique. Le chiffre d’affaires prévisionnel est déjà largement dépassé. De quoi augurer de belles perspectives de développement malgré une concurrence âpre sur cette niche de la réparation de matériels agri/viticoles.
Le chef d’entreprise a su aussi déjouer les chausse-trappes habituelles en faisant montre d’inventivité. Outre les activités du milieu agricole, JP FLEX MECA répare aussi le matériel de levage et de manutention. Une corde supplémentaire à son arc qu’il doit de son expérience de perfectionniste au contact des acteurs des travaux publics.
Il peut même s’enorgueillir d’avoir ajouté une spécificité à sa démarche professionnelle. Celle-ci prend la forme de prestations de dépannage visant à améliorer les systèmes de climatisation des engins.
Aux côtés de son épouse, Anne-Lise, actionnaire au capital de la SARL, Jean-Philippe GARDET justifie sa réussite par le biais d’une politique tarifaire élaborée en phase avec la réalité du marché.
Ses qualités, il les définie ainsi : la réactivité, la disponibilité et la somme de conseils qu’il est à même de pouvoir prodiguer dans un domaine technique qu’il pratique avec bonheur depuis maintenant plus de deux décennies.
Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89.
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