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Le Club d’entreprises officialise sa raison d’être avec l’Etat : se mettre au service de l’inclusion est sa priorité…
novembre 25, 2019Ils sont sept, à ce jour, à avoir rejoint de manière formelle la structure signataire de la charte d’engagement avec l’Etat, dont les travaux n’ont autres objectifs que de favoriser l’inclusion des personnes précaires vers l’emploi. Certes, le chiffre apparaît comme minimaliste. Mais, il n’est pas représentatif de l’engouement suscité par une démarche, née de l’initiative nationale, « La France, une chance ; les entreprises s’engagent », définie le 17 juillet 2018 par l’Elysée…
AUXERRE : Au cœur de l’été 2018, le chef de l’Etat s’était entretenu avec une centaine d’entrepreneurs à l’Elysée sur la nécessité absolue d’initier de nouvelles réflexions et méthodologies favorables à l’emploi.
La suggestion élyséenne était simple : faire que les décideurs économiques s’impliquent davantage à ses côtés pour inverser les courbes jusque-là inexorables du chômage en France.
L’idée étant ensuite de décliner l’initiative en l’adaptant au contexte de chaque département dans la perspective de mobiliser dix mille entreprises au terme de l’opération. Des structures issues du vivier des PME, ETI, filiale des grandes sociétés.
Dans un souci de formalisation et de praticabilité de l’initiative, les préfets prirent ensuite le relais, devenant les porte-étendards de la décision présidentielle. En ce qui concerne l’application du projet dans l’Yonne, une réunion liminaire eut lieu le 30 septembre 2019 à la Maison des entreprises à Auxerre.
Une présentation détaillée des objectifs par le préfet le 30 septembre…
Ce jour-là, devant un auditoire bien fourni composé d’acteurs économiques mais aussi de représentants du milieu associatif, furent explicités les mesures et dispositifs permettant de développer l’inclusion professionnelle.
Jamais avare de son temps de présence à consacrer au terrain, le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, anima aux côtés de nombreux référents économiques du territoire une séance de travail exploratoire où il fut permis d’identifier différents axes de réflexions devant être approfondis un peu plus tard lors d’ateliers thématiques animés par les leaders d’un futur club, avec l’appui des services de l’Etat.
La réunion devait se conclure, précisément, sur l’identification des têtes de pont qui auraient à conduire par la suite ce nouveau club de réflexions. Trois chefs d’entreprises s’identifièrent par leur intérêt accordé à la constitution de ce « thin tank » à l’icaunaise.
Le premier à avoir prestement levé la main fut Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement de l’Yonne de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris-Val-de-Loire. Directeur du site industriel avallonnais de Pneu LAURENT, Arnaud MALECAMP lui emboîta le pas. Il manquait à ce tandem de volontaires une contribution féminine : elle se manifesta en la personne d’Emmanuelle BONNEAU, présidente de la société artisanale évoluant dans le secteur du bâtiment, BC Entreprise.
Les trois leaders de l’opération prirent le soin de se retrouver à maintes reprises de façon informelle pour discuter et mieux appréhender la tâche qui leur était confiée.
Treize leviers servirent de trames initiales à l’élaboration d’un futur cahier des charges opérationnel devant voir le jour sur 2020.
Sachant que la mobilisation des entrepreneurs, appelés à rejoindre le trio pilote, repose sur quatre finalités essentielles en terme d’actions : la découverte de l’entreprise pour bien s’orienter et se former ; le développement de passerelles vers l’emploi durable pour les plus vulnérables ; l’accompagnement des personnes habitants dans les territoires les plus fragiles (notamment les quartiers prioritaires de la ville, les zones de revitalisation rurales, les territoires enclavés) et l’accès aux produits et services de base pour les personnes les plus démunies.
Une multitude de thèmes analysés devant aboutir à des préconisations tangibles…
Plusieurs de ces treize leviers ont été regroupés par pôles d’affinité afin de ne pas trop complexifier une procédure qui aurait pu alourdir le principe et décourager les bonnes âmes solidaires de cette action.
Toutefois, à la lecture des premières indications qui en découlent, on peut dire que le Club d’entreprises, cette fois-ci officialisé depuis le vendredi 22 novembre grâce à la signature de la convention de soutien avec l’Etat, abordera des thématiques éclectiques et inéluctables à la réussite en matière d’insertion professionnelle.
Rapprochement entre l’Education nationale et le monde de l’entrepreneuriat, développement de l’apprentissage, accompagnement des jeunes vers l’emploi, partenariats avec les réseaux de l’inclusion, valorisation des personnes handicapées intégration des talents dont ceux des réfugiés ou résolution de l’éternel problème de mobilité et d’hébergement constituent une photographie précise vers laquelle devront s’activer les participants de ce vaste chantier.
L’un de ces items, la mobilité et le logement, essuiera les plâtres lors d’une réunion de travail ouverte le 19 décembre prochain où beaucoup de choses devront être mises sur la table afin de trouver des préconisations sérieuses qui fassent évoluer les lignes. Ce seront alors les vrais débuts de ce club où la mobilisation des entreprises doit être totale…
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Il construit un bateau et veut développer de la maintenance : Auxerre, port d’attache de Laurent BOUQUET DES CHAUX
novembre 24, 2019Eternel créatif – il peut faire valoir une expérience de trois décennies en qualité d’entrepreneur dans la filière des télécommunications -, ce visionnaire de talent s’est installé dans l’Yonne il y a deux ans à peine. En provenance de la capitale, Laurent BOUQUET DES CHAUX est à 57 ans à la croisée des chemins. Passionné de voile et de bateaux, c’est précisément vers ce domaine qui était jusque-là son jardin secret qu’il dirige depuis peu ses réflexions professionnelles et articule son emploi du temps en conséquence. Avec un projet bien amarré dans sa tête…
AUXERRE : Fin observateur du microcosme économique local, Laurent BOUQUET DES CHAUX possède de la suite dans les idées. Et un dynamisme détonant à revendre !
Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice territorial en matière de progrès et de développement, ce personnage au sens oratoire maîtrisé souhaite capitaliser sur la présence du port de plaisance, remis au goût du jour grâce au réaménagement des quais du cœur de ville, et devenu une source inépuisable de valeurs ajoutées touristiques.
Le fluvial, à l’instar de bon nombre de villes de l’Hexagone qui disposent d’un fleuve ou d’une rivière, représente l’un des enjeux essentiels de l’activité économique de demain.
Concepteur d’embarcations, le garçon est parti d’un simple postulat. Si les services du port de plaisance bénéficiaient de davantage d’opportunités, les plaisanciers de passage dans notre ville resteraient plus longtemps sur site. Peut-être pourrait-on y développer aussi l’hivernage de leurs biens flottants.
Or, selon cet homme avisé, et rompu à l’exercice de l’entrepreneuriat, tous les voyants sont au vert.
Laurent BOUQUET DES CHAUX entend bien s’allier les services de toutes les composantes économiques et institutionnelles du landerneau pour arriver à son but ultime : assurer des prestations de maintenance fluviale à Auxerre.
Le choix de partenaires belges parce que les industriels français étaient trop frileux…
Actionnaire de la société belge TWINSAIL avec laquelle il réalise la conception d’un premier bateau de belle envergure, l’ex-Parisien considère que sa démarche est novatrice, voire unique en France.
Primo, il espère que le premier bateau dont il a dessiné les plans sera livré à Auxerre d’ici l’été 2020. Secundo, il envisage de modéliser la structure de maintenance au port de plaisance auxerrois peu de temps après.
Bref, des arguments tangibles pour changer les paradigmes économiques du cru car ce double projet est porteur de création d’emplois. Une dizaine de postes seraient déjà nécessaires pour couvrir les besoins du futur concept professionnel qui s’installerait d’ici quelques mois dans le paysage.
Présent au Salon du nautisme de Paris (la manifestation se déroulera du 07 au 15 décembre), Laurent BOUQUET DES CHAUX ne compte pas s’y rendre pour y faire de la figuration.
Lui qui a conçu les esquisses de cette embarcation initiale, anticipe désormais sur la commercialisation de ce produit destiné à assurer des prestations touristiques fluviales et maritimes.
Lors de cet évènementiel, l’entrepreneur tentera de convaincre des investisseurs et armateurs du bien-fondé de ce modèle original, à la faible consommation énergétique et bâti de plain-pied.
A contrario, il a choisi de construire ses produits en pays d’Outre-Quiévrain du fait de l’absence de contacts sérieux avec les industriels de la filière, trop hermétiques aux exigences requises de son cahier des charges. Voire un tantinet trop gourmands sur leurs prétentions financières pour concevoir ces moyens de locomotion.
En revanche, avec son partenaire du plat pays, Laurent BOUQUET DES CHAUX espère construire trois bateaux chaque année.
Des besoins à assouvir pour développer le projet…
Poussant les portes de futurs partenaires, s’armant de patience tout en prenant son bâton de pèlerin pour prêcher la bonne parole, celle de l’entrepreneuriat bienveillant, notre homme doit trouver des ressources foncières pour créer et développer sa future entité.
Ses besoins immédiats se résument ainsi : il lui faut disposer d’un bief et d’une partie terrestre appropriée, d’environ mille mètres carrés, afin de pouvoir faire transiter les bateaux à l’eau.
Dans l’absolu, et sachant qu’il souhaite aussi proposer l’activité maintenance à d’autres embarcations de passage à Auxerre, le premier bateau finalisé devrait être à quai d’ici le 01er juillet 2020. Selon les objectifs couchés dans son cahier des charges.
De belle taille, près de vingt mètres de long, ce bateau fera ensuite le bonheur d’acquéreurs privés ou collectifs au service du développement d’un tourisme fluvial en forte expansion sur notre territoire.
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Stop à la violence faites aux femmes : il est urgent de mobiliser massivement les consciences…
novembre 23, 2019Les chiffres sont implacables. Ils font mal à leur lecture car ils traduisent avec froideur la cruauté et la bêtise inéluctables de l’homme envers leur alter ego féminin. Des êtres merveilleux si complémentaires à leur épanouissement. Depuis le début de l’année, 137 malheureuses ont perdu la vie dans l’Hexagone. Sous les coups nourris de leurs conjoints. Engendrant d’irréversibles séquelles pour leur cellule familiale. Ce sera la thématique d’une table ronde proposée en ce jour dominical à la veille de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Histoire de sensibiliser les consciences…
AUXERRE : La mondialisation de l’initiative, à savoir créer une journée spécifique de sensibilisation pour évoquer ce sujet de société, n’est pas fortuite. Une femme sur trois sur la planète a subi ou subit encore des violences physiques et/ou sexuelles à un moment donné de son existence. Les auteurs de ces gestes irrévérencieux et amoraux sont leurs partenaires intimes. Maris, compagnons ou conjoints.
Pire, l’analyse statistique de l’ONU qui publie régulièrement des études sur la question, atteste qu’une femme sur deux est assassinée dans le monde par son partenaire, voire sa famille.
Pour couronner le tout, leur émancipation sexuelle est loin d’être une évidence. Près de 750 millions de femmes et de filles étaient mariées avant leur dix-huitième anniversaire sans avoir vraiment données leur consentement. Seulement 52 % des femmes mariées ou en union prennent librement le choix de leurs propres orientations concernant les relations sexuelles.
Alors mettre un terme définitif à toutes ces dérives issues d’un autre âge devient une réelle nécessité. Cette violence faite aux femmes constitue l’une des violations élémentaires des droits humains les plus répandues.
Déjà en 1972, l’ex-BEATLES, John LENNON, accompagné de sa muse existentielle, Yoko ONO, s’était fait le chantre de cette cause primordiale à ses yeux à grand renfort de campagnes publicitaires dans la presse. L’une de ses chansons, parue à cette époque, « Woman is the nigger of the world » (littéralement « La femme est la négresse du monde ») avait provoqué un scandale dans le cercle de la bien-pensance de notre société, caracolant au sommet des hit-parades américains et britanniques.
Pour autant, le natif de Liverpool devait faire son mea culpa en 1980 sur son propre comportement eu égard à la gent féminine en optant pour la rédemption : « J’étais moi-aussi un cogneur… ».
Un lâcher de ballons aux allures de symbole…
Dans la capitale de l’Yonne, se mobiliser pour cette noble cause débutera dès la matinée de ce dimanche si particulier. Un lâcher de ballons rendra hommage aux femmes disparues, suite à des violences conjugales, depuis le début de l’année. C’est au pied de la passerelle des Quais de l’Yonne que sera honoré ce temps mémoriel. Et émotionnel. Un instant à vivre à 10h30.
L’après-midi, place aux échanges. Une table ronde concoctée par les acteurs de l’institution préfectorale et municipale locale permettra de s’interroger sur les conséquences familiales imputables à ces violences faites aux femmes.
Plusieurs personnalités seront réunies dans l’une des salles du cinéma CGR pour s’entretenir avec le public de ce sujet ô combien préoccupant de notre environnement sociétal.
Bien sûr, la sénatrice Dominique VERIEN, très impliquée dans différentes commissions parlementaires autour de ces graves faits de société, donnera sa vision des choses. Récemment, l’élue de l’Yonne est intervenue sur les violences sexuelles faites aux mineurs en institutions dans un établissement scolaire du Sénonais.
Bien sûr, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre, Guy FEREZ ne manquera pas de prendre la parole à propos de ce douloureux item.
Il en sera de même aussi pour la procureure de la République, Sophie MACQUART-MOULIN, la présidente du CIDFF, Simone PARIS, de Pierre MONNOIR, président de l’ADAVIRS et de Patrice DECORMEILLE, président du Cercle Condorcet auxerrois.
Evidemment, Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité, sera conviée à cette table ronde devant déboucher sur une réelle prise de conscience collective.
Il y a urgence aujourd’hui à faire connaître les tenants et aboutissants de ces affaires sordides afin d’endiguer la tendance haussière de ces méfaits horribles commis sur les femmes.
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C’est le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel BLANQUER, qui remettra en personne la médaille d’or du concours national du Meilleur apprenti de France au jeune Icaunais. Ce surdoué de mécanique est invité à se rendre à Paris le 12 février prochain. Dans l’antre du prestigieux symbole des savoirs et de la connaissance où il recevra un accessit de plus qui ne peut que ravir ses formateurs du CIFA de l’Yonne…
AUXERRE : Jusqu’où ira le potentiel explosif fait de maîtrise et de savoir-faire de ce brillant élève qui a choisi de se sublimer pour les bienfaits de la filière de la mécanique ?
Bénéficiant d’un contrat professionnel aux établissements NOMBLOT à Auxerre où le responsable de la concession Peugeot, Patrick BAUGE ne cesse de tarir d’éloges sur les aptitudes du garçon, Emilien COUDRAY s’est une nouvelle fois distingué en ce mois de novembre.
En première année de CQP (Contrat de qualification professionnelle), option technicien expert de l’après-vente automobile, le jeune homme, bien dans sa tête et féru de mécanique depuis sa prime enfance, a su se rappeler au bon souvenir de ses formateurs en glanant ce précieux sésame supplémentaire.
Un accessit recouvert du plus noble des métaux, l’or, qui a été obtenu dans la catégorie Maintenance des véhicules, option automobiles particuliers.
Ayant choisi l’alternance au centre de formation de l’Yonne, Emilien COUDRAY est passé par différentes phases qualificatives, soit les phases départementales et régionales, avant d’arriver aux finales nationales du MAF. Parallèlement, il s’est offert une escapade préparatoire au concours général des métiers qu’il a su brillamment remporter à Rennes.
L’avenir professionnel de ce féru de mécanique ne fait aucun doute : Emilien COUDRAY espère obtenir une fois le diplôme dans sa poche une place de technicien en concession pour pratiquer du diagnostic.
Nul n’est devin en la matière mais à la lecture de son palmarès, les concessionnaires de l’Yonne, de Bourgogne et de France sont déjà nombreux sur les rangs pour s’accommoder des brillants services du jeune homme. Il ne devrait avoir à l’issue de son cursus que l’embarras du choix !
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Vision kaléidoscopique autour du foncier : l’ATELIER de l’Immobilier initie son propre mode opératoire…
novembre 16, 2019Créer un point de rencontre privilégié autour de l’immobilier et de ses différents corollaires constitue l’ADN de la structure qui rayonne dans l’Auxerrois. Pourvue de nouveaux locaux depuis septembre, l’entité familiale possède une approche transverse et novatrice qui permet aux investisseurs, acquéreurs et vendeurs de converger vers un socle commun d’intérêts. Une vision originale sur un marché plutôt en voie de saturation…
AUXERRE : Deux ans à peine pour occuper déjà une place prépondérante dans le sérail de la transaction et de la négociation immobilière locale : c’est le pari réussi de Julie GENEST, jeune responsable de la société, et de son paternel, Gilles, un exégète aguerri dans ce domaine d’activité.
Incontestablement, l’ATELIER de l’Immobilier s’est fait un nom dans le microcosme auxerrois. Il entend bien le faire savoir en le faisant perdurer sciemment. La structure qui emploie un pôle de six compétences professionnelles a le vent en poupe depuis septembre.
D’une part, sa nouvelle devanture, sise sur l’un des axes névralgiques du cœur de ville, rappelle à bon escient l’image de l’enseigne, présente en ces lieux depuis le 20 septembre.
D’autre part, l’organisation d’un évènementiel en octobre dans l’une des salles du cinéma CGR sous la forme d’un plateau conférence où se pressaient une douzaine de spécialistes de la pratique foncière en France aura tôt fait d’imposer la marque par le prisme d’une communication finement ciselée.
On l’a compris : la structure aime se différencier. Y compris dans son approche pluridisciplinaire de compétences : investissements, défiscalisation, contrats d’assurance, gestions de biens principaux et de résidences secondaires, crédits immobiliers, assurance de prêts…
Le panel représentatif de ces professionnels multi cartes est loin d’être exhaustif. Les idées fusent sans cesse : la dernière en date s’oriente autour de services de conciergerie qui vont être déployés. En outre, la gestion locative de meublés de tourisme de courte durée progresse dans le panel d’interventions. Concept Idéal pour assurer l’hébergement de cadres devant résider dans la capitale de l’Yonne sur de brèves périodes transitoires.
Des programmes fonciers prêts à être lancés pour 2020…
Au plan opérationnel, chacun des six acteurs de l’ATELIER joue sa partition professionnelle en parfaite osmose avec les autres collègues. Seule du haut de son piédestal, Julie s’accorde le droit à la transversalité des fonctions. Normal : son statut de chef d’entreprise devant faire montre d’exemplarité lui somme d’agir en fonction de ce modèle opératoire…
Il est vrai que la jeune femme à la tête bien remplie a pu abondamment profiter des judicieuses recettes que son père, Gilles, lui a transmises au fil d’un temps d’apprentissage s’avérant depuis judicieux.
Capitaliser les vingt-cinq années d’expériences d’un féru en gestion de patrimoine ne peut jamais faire de mal pour construire sa feuille de route entrepreneuriale.
Bénéficiant aujourd’hui des conseils salvateurs d’une agence de communication dijonnaise, « L’AGENCE MOUTARDE » (cela ne s’invente pas !), la société dispose d’une présence forte sur divers outils digitaux. Indispensable pour créer ce flux informatif nécessaire et développer des liens ténus avec les porteurs de contacts précieux se muant en contrats avantageux.
Avant d’entamer 2020 où le recours à un plateau conférence didactique pourrait être réitérer sous une formule donnant accès à des ateliers pragmatiques, L’ATELIER de l’Immobilier est dans les starting-blocks.
Il lance plusieurs programmes de commercialisation destinés aux investisseurs. Notamment à Dijon d’ici le terme de 2019, où aux abords du canal de Bourgogne, les investisseurs pourraient trouver chaussures à leurs pieds dans le cadre d’un programme foncier déclinable autour du neuf.
C’est d’ailleurs dans la capitale des Ducs de Bourgogne que Julie et Gilles GENEST devraient s’exprimer prochainement lors d’un évènementiel concocté avec le concours de l’ordre régional des experts-comptables. Il sera consacré à la gestion de patrimoine. Le thème de prédilection au concepteur d’un atelier bien différent des autres…
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