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Le Livret A et le Livret de Développement Durable et Solidaire (LDDS) ont poursuivi au mois de juillet leur dynamique record de cette année. Une annonce faite par la Caisse des Dépôts (CDC). Près de 38 milliards de collectes depuis janvier pour atteindre l’encours global de 547 milliards d’euros ! Même, le taux est passé de 2 à 3 %, cette augmentation ne peut expliquer un tel engouement pour ce type d’épargne.

 

TRIBUNE : Pourquoi autant d’épargne sur les livrets ? Il est surprenant de constater que l’épargne versée sur les livrets augmente toujours alors que le taux de rémunération, à 3 %, est bien inférieur au taux d’inflation ! Plusieurs raisons à cela : il y a déjà des raisons psychologiques. La raison d’être des livrets, ce sont les disponibilités, placement bancaire donc sûr. En période d’incertitude quand nous redoutons un avenir incertain (chômage, épidémies, guerre, instabilités politiques…), nous souhaitons renforcer l’épargne de précaution.

Il y a aussi des raisons techniques. Contrairement à la période COVID, nous n’épargnons pas plus mais nous orientons notre épargne. On assiste ainsi à une décollecte de certains placements : si les Français placent davantage d’argent sur leur livret A, c’est donc qu’ils en mettent moins sur les autres placements à leur disposition. L’assurance-vie est le placement qui en pâtit le plus. Entre 2019 et 2022, la Banque de France constate que l’encours des contrats d’assurance-vie en euros est passé de 1 723 à 1 436 milliards d’euros soit une chute de 17 %. L’incertitude est telle dans l’esprit des Français que seul « le court terme » trouve grâce à leurs yeux.

 

La France entre progressivement en récession

 

Le processus de récession s’accélère. La dernière grave récession remonte à 2008 avec la crise des « subprimes ». La plus récente date de 2020 avec la pandémie de la COVID. Comme pour la majorité des pays de la planète (Chine, USA, nombreux pays européens…), la France se situe dans cette phase,  quoi qu’en disent et pensent nos dirigeants.

Dans ce cadre, le glissement annuel du PIB français devrait très vite tomber vers les – 3 % et ce, au moins jusqu'à la fin 2023. Le risque est bien réel ! Les caisses de l’Etat sont vides et la politique du « ça coûtera ce que ça coûtera », n’est plus d’actualité.

Qui va investir ? Pas l’Etat français qui ne fait rien sans le Parlement européen et qui n’a plus de monnaie ; beaucoup moins les collectivités qui subissent l’inflation, et qui doivent éponger leurs dettes, tandis que les particuliers investissent de moins en moins vers les équipements et encore moins dans l’immobilier. Il reste donc les entreprises.

Le faible rythme des investissements des entreprises est défavorable à notre économie et provoque une décomposition progressive de la croissance. L’Etat compte sur la voiture électrique pour relancer l’économie. C’est une suggestion très incertaine aussi face aux problèmes techniques posés par lesdits véhicules.

La situation semble simple : la récession est déjà là et la guerre en Ukraine s’installe à notre porte. La crise économique est propre à l’inflation, la récession annonciatrice de chômage, une crise immobilière est prévisible pour 2024… la bourse suivra logiquement…

 

 

Epargne : attention aux chants des sirènes !

 

Depuis peu, sur les réseaux sociaux, nous voyons fleurir les appels à épargner en bourse, via des logiciels auxquels ceux qui les présentent n’y comprennent rien non plus ! La gestion collective est à proscrire.

Dans cette période, il est important de prendre son bénéfice. Vous avez des parts de SICAV, FCP et autres SCPI qui vous laissent une belle plus-value, vendez !  Pour les actions, il faut aussi savoir prendre son bénéfice : se fixer un taux et vendre dès qu’il est atteint. Si vous persistez dans les investissements en bourse, fuyez et soldez les positions sur des actions concernant les sociétés financières et bancaires. Les cours dévissent depuis plusieurs mois tant en France qu’aux Etats-Unis. N’oublions jamais qu’une banque peut faire faillite !

 

 

Quelle destination pour l’épargne ?

 

Conserver sur les livrets un maximum de liquidité. Au-delà, il faut surveiller l’évolution des taux des comptes à terme (CAT) en interrogeant ponctuellement votre banque. Aujourd’hui, nous sommes en moyenne à 3 % mais on peut en trouver à 4,5 %. En période de forte inflation, fin des années 70 et début 1980, les taux de compte à terme dépassaient les 20 % !

Il faut prendre en compte la fiscalité : les intérêts perçus via un CAT relèvent du régime fiscal des revenus de capitaux mobiliers et sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU), au taux de 30 % (12,8 % pour l'impôt sur le revenu et 17,2 % pour les prélèvements sociaux).

Soulignons encore l’importance de l’or, les cours continueront de progresser. En ce qui concerne l’immobilier, il semble important d’investir dans les équipements qui permettront de réaliser des économies d’énergie dans les résidences principales et secondaires. L’immobilier de rapport est à privilégier pour les résidences étudiantes. On peut aussi faire ses courses dans les ventes aux enchères : attention aux travaux à prévoir !

 

Une suggestion d’investissement immobilier 

 

Allez, déculpabilisons d’être un peu capitaliste ! Acheter un box voiture, fermé à clef au prix de 10 000 euros. Proposons une location de 60 euros par mois pour six motos. Soit 360 euros de revenu mensuel et donc 4 320 euros par an. Retour sur investissement : 2 à 3 ans. Bonne rentabilité, risque peu élevé. Nous n’avons jamais été aussi créatifs que dans les périodes de crise ou de survie.

On peut s’interroger sur le volume total de l’épargne en France (hors immobilier), soit près de 6 000 milliards, deux fois la dette du pays. Quand on isole les plus démunis et les plus pauvres, combien de personnes, et qui, possède cette épargne ? Quelle utilisation « productive » pour le pays ?

L’Etat semble inefficace pour résoudre l’inflation et la récession : des mensonges concernent les statistiques, et surtout des solutions copiées sur les vieux manuels de l’ENA. Les grandes écoles et les sociétés de conseil produisent assez peu d’artistes et de créatifs !

Dans ce contexte, il paraît important de suivre le conseil de notre Voltaire national : « si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de la monnaie à prendre ». !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Il fallait bien que cela arrive. Etait-ce inéluctable ? Légitime ? Logique ? En tout cas, la décision prise par Evelyne et Cyrille BRASSEUR, à la tête de la société TTB (Techno Textiles de Bourgogne) a été mûrement réfléchie par les dirigeants de la SAS. Le spécialiste icaunais de la confection de bâches à multiples  usages (agricole, bâtiment, poids lourds, protection de matériel…) continuera désormais sa route sans son tandem charismatique originel. Un binôme qui lui avait permis d’occuper une place privilégiée sur les marchés de Bourgogne Franche-Comté et d’Ile-de-France.

 

MONETEAU : Rideau, pourrait-on dire même dans le monde spécifique de la bâche, après la décision qui est survenue ces jours-ci ! L’entreprise, rachetée en janvier 2008 par le couple Evelyne et Cyrille BRASSEUR (elle se nommait à l’époque « Auxerre Bâches ») va continuer sa belle aventure dans ce segment d’activité si spécifique, à partir du 1er octobre 2023, sans ses gérants charismatiques qui lui avaient pourtant donné ses lettres de noblesse, en la rebaptisant par cet acronyme, connu des professionnels de l’artisanat, du bâtiment et de l’industrie, « TTB ». Un sigle signifiant « Techno Textiles de Bourgogne »…

 

Changement de statut en 2021 : de SARL à SAS…

 

Déjà présente dans les années 70, cette société quinquagénaire à la dynamique flamboyante a su se remettre au diapason des nouvelles  techniques et des marchés en pleine croissance sur les domaines de la protection de matériel et la séparation de bâtiments sous sa nouvelle appellation.

Se muant de SARL en SAS en 2021, TTB n’a eu de cesse de croître et d’agrandir ses potentialités de développement. Installée depuis 2014 sur la zone des Macherins – ce fut le tout premier bâtiment qui sortira de terre grâce à la complicité experte de l’agence Yonne Développement et de son corollaire Yonne Equipement -, elle accueille aujourd’hui un effectif d’une petite dizaine de personnes en ses murs. Des professionnels qui exercent leur savoir-faire dans un bâtiment d’une surface importante (plus de 4 000 mètres carrés), ergonomique et fonctionnel dans l’accomplissement de leur métier.

 

 

Un pied dans l’Aube avec le rachat d’une TPE

 

Président de la SAS, Cyrille BRASSEUR est une figure connue et reconnue par ses pairs. Non seulement il est un visage apprécié de ses collègues et adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) mais  ce quinquagénaire investi dans le monde de l’entrepreneuriat, l’est aussi de l’autre côté de la frontière séparant l’Aube de l’Yonne. En juillet 2013, une opportunité de rachat d’une structure identique à la sienne se présente. Une TPE qui est positionnée près de Troyes, à La Chapelle Saint-Luc, sur le segment de la bâche, en version store et protection solaire. Le couple n’hésite pas et acquiert cette entreprise, répondant à l’appellation des établissements COLSON-FROMONT. Une SARL créée à l’origine au beau milieu des années 1970. Avec cette entité qui va désormais les accaparer à temps plein, le couple s’est fixé de nouveaux objectifs, en assurant la promotion de la voile d’ombrage et de la protection solaire, décidément très en verve à l’heure actuelle compte tenu de la recrudescence des épisodes de fortes poussées de fièvre de l’astre diurne !

 

La cession des parts à son successeur effective au 1er octobre 2023

 

D’ailleurs, Cyrille BRASSEUR a rejoint l’association de la zone industrielle de La Chapelle Saint-Luc dont il est le trésorier depuis deux ans. Ingénieur dans le secteur de la production et de la maintenance, Cyrille a fait de TTB une belle pépite dont le chiffre d’affaires annuel initial de 500 000 euros dépasse allégrement les 30 % de progression. Un chiffre qui pourrait poursuivre sa progression avec la cession de l’affaire – toutes les parts détenues par le couple ont été cédées – à un successeur légitime tout trouvé, Xavier BERTHEREAU et son partenaire financier. Xavier BERTHEREAU était jusque-là responsable d’atelier de TTB, et avait été recruté juste avant la crise sanitaire en 2020. C’est en 2022 que le projet de cession aura mûri solidement entre les deux parties. Xavier BERTHEREAU deviendra le futur Directeur Général de la structure, avec en bonus, une période d’accompagnement au cours du dernier trimestre qui sera assurée par Cyrille BRASSEUR.

Fan de rugby – cela tombe bien avec la Coupe du Monde actuelle ! -, adepte de la musique – il joue de la batterie en mode rock’n’roll ! -, Cyrille et son épouse, installée dans l’Aube depuis 2018, tourneront bientôt définitivement la page d’une existence riche et prospère sur le sol de l’Yonne. Pratiquant à ses moments perdus la moto et aficionados de moto-ball – super, il existe un club à Troyes ! -, l’ancien patron de TTB promet de revenir voir ses nombreux amis dans l’Yonne en qualité de membre de plusieurs structures entrepreneuriales…On revient toujours sur les lieux de ses premières amours, même quand on est un Nancéen d’origine !

 

Thierry BRET

 


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Maison fondée en 1844, « Le Conservateur » est un acteur de référence sur le marché patrimonial français. Spécialiste de la gestion d’épargne de moyen et de long terme, il accompagne ses clients dans une approche sur mesure pour la gestion et la valorisation de leur patrimoine personnel et professionnel.

 

AUXERRE : Au fil du temps, « Le Conservateur » a élaboré une vaste gamme de produits (assurance-vie, prévoyance, épargne retraite, placements financiers…) dont une solution d'épargne originale : la tontine.

Groupe indépendant porté par un réseau de conseillers en gestion de patrimoine, agents généraux d’assurance, implanté sur l’ensemble du territoire, « Le Conservateur » place l’intérêt de ses sociétaires (les familles, les dirigeants et leurs entreprises, etc.) au cœur de ses priorités. Il attache une importance particulière à la qualité de la relation qu’il tisse avec chacun d’entre eux : une relation personnalisée et durable dans une convergence d’intérêts, qui accompagne les différentes étapes de la vie de chacun.

Ainsi, en ouvrant son nouveau bureau à Auxerre, l’enseigne est au plus proche des Icaunais. La rentrée 2023 est riche en événements avec un programme de conférences, dont le lundi 06 novembre, en partenariat avec le magazine « Le Revenu » une soirée débat au Domaine BROCARD sur le thème « Comment gérer et dynamiser son patrimoine ? ».

Pour réserver votre place et participer à l’un de ces évènements contact à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Maryline GANDON

 

 


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Les petits plats dans les grands. Sans fioritures et surtout avec réelle gourmandise, pour celles et ceux qui aiment se sustenter lors d’un cocktail avec les délicieux canapés concoctés chez FESTINS ! Voilà ce qui attendait les trois cents cinquante invités du groupe 123 Immobilier qui eurent tout à loisir de mieux appréhender la philosophie et la stratégie de l’un des leaders icaunais de la transaction, venant s’implanter dans l’Aillantais. Une cinquième vitrine commerciale, ouverte depuis janvier, inaugurée dans la convivialité, ce qui n’était pas pour déplaire aux nombreuses personnalités, venues des quatre coins du département…

 

MONTHOLON : Il n’y a pas à dire : on possède le sens de l’accueil dans la commune dirigée par le maire Fernando DIAS GONCALVES ! Surtout lorsqu’il s’agit en substance de célébrer l’arrivée d’une nouvelle enseigne, permettant de renforcer l’attractivité économique du territoire, tout en créant de nouveaux emplois !

Certes, et selon sa date fétiche (le 02 janvier afin de mieux marquer le début de la nouvelle année peut-être au plan comptable !), le dirigeant du groupe 123 Immobilier, Baptiste CHAPUIS, dispose déjà d’un certain recul, vieux de quelques mois à peine, pour jauger de la pertinence d’une telle implantation dans la nouvelle localité de Montholon.

Au vu des premiers résultats en matière de transactions immobilières, le patron du groupe icaunais ne regrette nullement son choix, mûrement réfléchi au préalable comme le furent bien avant celui-ci ceux de l’ouverture des points de vente d’Appoigny, de Migennes et des deux boutiques auxerroises.

 

Une belle pépite de plus sur sa zone de prédilection : Mahfoud AOMAR jubile !

 

Nouvel acteur de l’immobilier sur ce secteur occidental du département, le groupe 123 ne s’est pas implanté ici pour y faire de la figuration. Tout cela résulte d’une fine appréciation territoriale de son dirigeant et des maillages potentiellement réalisables à développer sur cet axe compris entre Toucy, Joigny, Migennes et Auxerre.

Une vraie aubaine stratégique qui ravit à merveille le président de la communauté de communes, un Mahfoud AOMAR, toujours aux aguets lorsqu’il s’agit de flairer la belle pépite économique qui pourrait apporter davantage d’eau au moulin de la prospérité et de l’essor de son secteur géographique préféré ! Il n’est pas président de l’agence Yonne Développement pour rien !

Porte-étendard de la structure icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), Mahfoud AOMAR ne s’est pas privé de réagir à chaud à cette installation.

« C’est super, s’enthousiasme-t-il, c’est une entreprise de plus dans l’Aillantais, avec des emplois et une dynamique, et comme cette équipe est intelligente, ils vont nous ramener que des personnes au potentiel immobilier évident sur ce territoire – un clin d’œil appuyé aux Franciliens de plus en plus nombreux à accéder à la propriété dans le nord de la Bourgogne - ; c’est fabuleux ! ».

Entre Baptiste CHAPUIS et le maire de Valravillon, c’est l’osmose parfaite. Leur credo qui résonne tel un dénominateur commun repose sur l’attractivité !

« L’attractivité, explique Mahfoud AOMAR, cela s’applique à un territoire où l’on peut travailler sans avoir trop de problèmes, où l’on peut avoir une vie tranquille, et où l’on mange bien ! Je pense que ce dirigeant a fait le bon choix en venant s’installer ici ! ».

Bref, le portrait idéal de l’Yonne, non ?

 

 

 

Accueillir le plus de Parisiens possible en résidences principales

 

Quant à Baptiste CHAPUIS, il s’est dit très satisfait de l’accueil des élus, des commerçants et des habitants de la localité.

« Cette cinquième agence que nous ouvrons dans l’Yonne permet d’apporter deux choses : la première, c’est la résidence principale pour toutes les personnes qui quittent Paris et l’Ile-de-France vers davantage de qualité de vie, la seconde c’est pour répondre aux gens du cru qui recherchent de l’accession à la propriété mais aussi de la location qui est très demandée… ».

Hectares de terrain autour des maisons, fermettes à vendre, maisons de caractère et très atypiques qui se négocient entre 300 et 500 000 euros, sont des biens que le groupe possède en nombre beaucoup plus restreint sur Migennes ou à Auxerre. D’où l’intérêt pour son responsable d’avoir optimisé sa présence sur cette partie sectorielle de notre département.

Autre motif de satisfaction pour le président communautaire : l’emménagement du groupe 123 Immobilier dans un local qui était jusque-là vacant. « Et en plus, il y a des salariés, se réjouit-il la malice dans le regard !

Quant à l’hypothétique afflux trop massif de Parisiens dans le secteur, Mahfoud AOMAR balaie l’argument d’un revers de la main : « On ne craint pas de genre de situation, au contraire, ce qui nous intéresse c’est d’avoir le plus de Franciliens possible en résidence principale ! ».

 

Consolider le capital acquis par la société

 

Dans les faits, l’apport de cette nouvelle boutique commerciale se convertit en quatre postes à taux plein. En outre, dans la partie supérieure de l’édifice, des bureaux sont loués à des professionnels, notamment à une sophrologue qui vient de s’y installer. Une spécialiste de l’hypnose a fait de même dans ce business center. Deux autres locaux sont encore à louer, l’un situé au rez-de-chaussée et le second à l’étage de ce bâtiment. Tout cela dans un esprit bien-être et cocooning, tel que le souhaite Baptiste CHAPUIS.

Avec le site de Montholon, le groupe immobilier dispose désormais de cinq entités, toutes opérationnelles et aux résultats prometteurs malgré les soubresauts imputables au marché. Une cinquième agence, telle une symphonie de Beethoven, parfaitement achevée !

« Cinq vitrines commerciales, je qualifierai cela de très très bien, souligne le jeune dirigeant, il faut savoir demeurer à ce niveau et le consolider avant de penser continuer à augmenter le nombre de ses points de vente… ».

Une manière d’éradiquer avec élégance la sempiternelle question posée à l’entrepreneur, « et à quand la sixième agence ?! ».

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il est copieux, le menu pédagogique proposé par le CNFPT, le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale de l’Yonne ! Se déclinant dans ses versions théorique et pratique, il se compose de 400 heures de formation à assurer auprès des collectivités locales. Celles et ceux des demandeurs d’emploi qui souhaitaient embrasser un jour le métier de secrétaire de mairie en commune rurale sont donc servis. Royalement, au vu des seize modules du cursus ! Gare à l’indigestion !

 

AUXERRE : Elles et ils écoutent en silence les propos liminaires tenus par le président de la vénérable institution, Jean-Pierre GERARDIN, lors de la phase de présentation. La nouvelle promotion des quinze demandeurs d’emploi, débutant ce cycle de formation au métier de secrétaire de mairie en commune rurale, assise autour de tables placées en U, est donc dans les starting-blocks, prête à en découdre avec le volumineux programme didactique qui l’attend.

Au bas mot, ce sont seize modules de formation qui permettent de préparer les stagiaires aux arcanes du poste de secrétaire de mairie, une fonction essentielle par excellence, dans les rouages d’une collectivité rurale.

Pêle-mêle, on y trouve dans le contenu (très bien ordonné, quant à lui !), la connaissance du milieu territorial, celle de la fonction publique qui s’y rapporte, la gestion des rémunérations, la comptabilité et les budgets – le nerf de la guerre de toute collectivité qui se respecte ! -, la rédaction administrative, l’état civil, les élections, l’urbanisme, les marchés publics ou encore la gestion des archives. Il y a même un chapitre pédagogique concernant la gestion du stress en situation d’accueil. A croire que les secrétaires de mairie sont exposées à la vindicte populaire ! Plus sérieusement, ce métier aux multiples tâches n’est pas si facile à exercer car en première ligne face aux revendications parfois agressives de quelques citoyens réfractaires au respect du droit et de la loi !

 

 

Répondre aux besoins des localités rurales

 

Souvent, le secrétaire de mairie – seul collaborateur de l’élu parfois dans certaines communes – est un précieux auxiliaire qui ne ménage pas sa peine. Son absence, même temporaire, peut engendrer des dysfonctionnements importants en raison de la diversité et multiplicité des tâches. Quant à la réglementation, sa complexité aurait pu en rebuter plus d’un : ce qui ne fut pas le cas, lundi matin, dans l’une des salles municipales auxerroises où le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale (CNFPT) a pris habitude de recevoir lors de ses sessions de recrutement régulières.

Pour ces demandeurs d’emploi, c’est donc une excellente opportunité de pouvoir transformer l’essai – ils seront des agents de remplacement dans un premier temps – mais ils peuvent avoir l’opportunité de pérenniser leur poste par voie de concours ou par recrutement direct. D’autre part, l’initiative, judicieuse, du CNFPT est aussi de répondre aux besoins des territoires, plus particulièrement ceux des zones rurales.  

Lors de cette prise de contact, ce fut le temps des explications dans le détail avec la présentation du cursus aux stagiaires et du métier de secrétaire de mairie. Etaient présents les tuteurs qui ont évoqué leur métier avec moult témoignages, les élus et les candidats. Un échange nourri et constructif pour faire toute la lumière sur ce métier indispensable où les pré-acquis sont la loyauté, la discrétion, la disponibilité et…les compétences pour tenir le poste, tout de même !

 

Thierry BRET

 


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