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Une minute, à peine. Pas une seconde de plus n’est autorisée pour se rejoindre dans les airs à plus de 4 000 mètres d’altitude afin d’y assurer d’étranges chorégraphies. Des figures précises, maintes fois répétées au sol avant l’embarcation dans l’un des avions aux silhouettes si caractéristique, décollant de l’aérodrome de Chéu. « Paris Jump » a réussi son pari : réunir 150 parachutistes internationaux pour un évènement d’exception qui se joue en deux actes…

 

CHEU : « Fais comme l’oiseau », interprétait Michel FUGAIN et son BIG BAZAR en 1972. Des paroles porteuses de liberté qui ont sans doute séduit les adeptes de l’une des disciplines sportives les plus perchées, question altitude : le parachutisme en vol relatif.

Une discipline que les Icaunais ont la chance de pouvoir pratiquer et découvrir de manière régulière en saison, notamment avec la complicité experte de « Paris Jump », l’une des structures associatives les plus en vue dans l’Hexagone avec ses figures marquantes : l’excellente Manue NICOLS ou l’inoxydable, Paul GRISONI, notre « Polo » international. Ce dernier est encore à l’origine avec ses comparses de ce superbe rendez-vous concocté lors de ce long week-end de la Pentecôte, gorgé de soleil.

Un rassemblement annuel qui, à l’instar d’une pièce de théâtre classique, se joue en deux actes. Le premier, ce week-end ; le second du 01er au 04 juin au même endroit. Une aubaine pour celles et ceux qui s’adonnent à ce sport nécessitant physique et concentration, une chance pour celles et ceux qui aiment voir évoluer dans le ciel de l’Yonne ces « papillons » de couleur, formant moult figures géométriques en grappe, au-dessus de leurs têtes.

 

90 000 sauts pour cinq des meilleurs spécialistes de la discipline !

 

Depuis samedi, sur l’aérodrome proche de Saint-Florentin, Chinois, Russes, Américains, Slovaques, Irlandais, Néerlandais, Britanniques…et Français (cocorico !) organisent des sauts en vol relatif à partir de plusieurs avions. Ces sportifs de haute volée ne sont pas venus seuls : ils sont accompagnés de leurs coaches de référence internationale. Parmi les acteurs de ces adeptes de la chute libre, on notait la présence de l’Anglais Milko HOPKINSON, du Néerlandais Angelo DECLERC, des Français Patrick PASSE, Nicolas DAVID et de notre « Polo » GRISONI, frétillant comme aux plus beaux jours à l’idée de remettre le couvert tout là-haut ! Ces cinq-là possèdent à leur actif un sacré palmarès avec plus de 90 000 sauts !

Côté équipement, deux avions bimoteurs d’une capacité de vingt places chacun assuraient les nombreuses rotations dans un ciel azuréen : ils sont venus renforcer les possibilités d’embarquement offertes par le Pilatus de dix places, basé d’ordinaire sur l’aérodrome icaunais.

 

 

 

Un nouveau rendez-vous du 01er au 04 juin dans l’Yonne…

 

La sécurité des vols, au top, était assurée par les équipes de Paris Jump en bonne harmonie avec les usagers de l’aérodrome. On notera la présence de quelques élèves du club icaunais ainsi que plusieurs tandems venus profiter du beau temps et des moyens aériens pour progresser et découvrir ainsi les joies incomparables de la chute libre.

La spécificité d'un des deux gros porteurs étant justement, via sa porte arrière, d’offrir l’opportunité aux parachutistes de se lancer dans le vide en courant... Sensations garanties et poussées d’adrénaline évidentes !

On a hâte de découvrir la deuxième étape de ce challenge international de très belle facture. Rendez-vous est donc pris dès la semaine prochaine à Saint-Florentin où un bimoteur et le Pilatus du centre de Chéu seront à disposition pour que les compétiteurs internationaux se livrent dans les airs à leurs étranges et oniriques chorégraphies.

Précisons enfin, afin d’être tout à fait complet, que les champions du monde Martial FERRE, Polo GRISONI et Nicolas DAVID organiseront un autre évènement international un peu plus tard dans la saison, appelé le « Power Flower » - tiens, tiens, presque une réminiscence de la période hippie dans l’appellation ! – qui devrait rassembler une trentaine de représentants de cette fine fleur des parachutistes internationaux qui exercent leurs talents sur le circuit mondial.

Soit au total, plus de 300 personnes qui auront fréquenté ainsi ces deux évènements annuels… « Paris Jump », toujours au firmament, en fait !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une honte. Une de plus, me direz-vous, en ce bas monde, vraiment consternant devant autant d’aberrations et d’absurdités. Pernicieuse, sournoise, moins médiatique que d’autres, presque discrète mais tellement réelle pour près de quinze millions de nos compatriotes qui y sont confrontés dans leur quotidien. Comment croire qu’au XXIème siècle, à l’heure de l’intelligence artificielle, des réseaux sociaux superfétatoires et des mondes virtuels, des femmes, des enfants et des hommes peinent encore à se loger convenablement dans ce pays qu’est la France, la sixième puissance mondiale, selon les spécialistes ?

On ne sait quoi répondre devant cette ignominie, cette injustice de l’existence qui ne concerne pas uniquement les déshérités de la vie, les immigrés, les chômeurs, les SDF, celles et ceux qui sont privés des droits les plus élémentaires, et qui se retrouvent sans le sou dans la rue. A la recherche de leurs illusions perdues et du retour à leur dignité ?

La France des mal-logés est à nos portes. A côté de nous, tout de près nous, peut-être même dans notre voisinage, dans notre quartier, dans notre village : il suffit de toquer par curiosité et on vous ouvrira pour montrer l’insondable, le misérabilisme, l’irrespectueux, l’improbable, la souffrance…Et pourtant, ce n’est pas une fiction : cela existe véritablement !

 

Ne pas pouvoir se loger, les promesses de l’an 2000 ?

 

Se plonger dans le très volumineux rapport de la Fondation Abbé-Pierre, publié le 01er février dernier comme à chaque rendez-vous annuel, est en soi très révélateur de la situation exacte sur le terrain.

Alors que l’homme envoie des télescopes géants photographier aux confins de l’espace afin de mieux les percevoir les origines de la vie via des nébuleuses ; alors que des milliards de dollars et d’euros sont dépensés chaque jour aux quatre coins de la planète pour financer on ne sait quels projets pharaoniques clinquants et surfaits, dans des domaines parfois sans aucun intérêt au niveau vital ; alors que l’humanité toute entière se réarme à grands renforts d’enveloppes budgétaires en très nette progression, – malheureusement ô combien nécessaire – pour contrecarrer pendant qu’il en est encore temps les velléités expansionnistes et belliqueuses irréfléchies d’autocrates sans foi ni loi ; des femmes, des enfants, des hommes ne possèdent même pas de toit pour se loger dans un soupçon de confort.

C’est donc cela le monde moderne et le progrès que l’on nous promettait tant, jadis avant de vivre le cap du « sublime » an 2000 ?!

Une honte, vous dis-je. Renforcer depuis bientôt trois ans avec la série de vagues successives de crises en tout genre qui est venue s’abattre sur le globe, et plus particulièrement sur les rivages de l’Europe, vieux continent à la dérive sur bien des sujets, risée des autocraties.

De sanitaire, la crise est devenue économique, de confiance, de poussée inflationniste, de spéculation à outrance – c’est bien connu tous les maux qui nous frappent à l’heure actuelle sont imputables à l’Ukraine !-, financière, dans l’emploi – demandez aux seniors de ce pays, âgés de 50 à 65 ans s’ils sont encore désirés par les entreprises et employables sur le marché ! -, éducative, civique, sociale, de « dé-civilisation » !

 

 

 

15 millions d’exclus des logements confortables et viables…

 

La crise, elle l’est aussi dans l’immobilier. Le 28ème rapport de la docte fondation faisant référence à l’homme de l’hiver 54 – le saint homme ! - est accablant et pointe du doigt toutes les carences de ce pays, noyé dans la paperasserie administrative – mais où est donc cette politique de dématérialisation assouplie dont on nous vantait tant les mérites puisque le moindre dossier à constituer requiert toujours autant de documents inutiles à remplir et davantage de lenteur dans leur traitement ! – et le laxisme à tous les étages qui caractérise tant la technocratie franchouillarde de certains « ronds de cuir », représentant le service public que nos impôts financent !

Aujourd’hui, ce sont au bas mot pas moins de 15 millions de personnes qui sont directement touchées par les problématiques du mal-logement dans l’Hexagone ! Dont 4,1 millions vivent une situation épouvantable, un million d’entre elles étant même privées de logement personnel.

Les chiffres sont vérifiables : ils émanent de la Fondation elle-même et de l’INSEE qui réalise chaque année une enquête nationale sur le logement.

Des chiffres, vous en voulez ? En voici d’autres, tous aussi indigestes pour nos bonnes consciences de nantis que nous sommes.

Cent mille personnes vivent en habitation dite de fortune en France. 643 000 individus sont même hébergés chez des tierces personnes de manière très contrainte. Sans oublier que 25 000 autres logent dans des hôtels à la classification parfois douteuse.

Et parmi, ces exclus d’un logement viable – se loger reste l’un des sacro-saints fondements de l’analyse économique d’un pays avec se nourrir et se vêtir -, il y a énormément de femmes, isolées, en situation monoparentale, au bord de la rupture…

 

 

3,5 millions de personnes sans chauffage et eau chaude !

 

Si les mal-logés sont de plus en plus nombreux en France – rien ne semble stopper le phénomène -, 4,2 millions de personnes vivent en situation de surpeuplement dans les habitats qui les accueillent. C’est-à-dire qu’il manque significativement une pièce à vivre par rapport à la norme d’occupation. Ce qui, outre l’inconfort, peut entraîner une recrudescence de tensions familiales dans bien des cas.

Autre donnée importante : le nombre de personnes en situation d’impayés de loyers. Locataires de surcroît, elles seraient plus d’1,2 million en France à ne plus pouvoir payer les charges et les loyers – au grand dam des propriétaires, évidemment – s’exposant ainsi à une procédure d’expulsion locative, avec les beaux jours qui reviennent en vertu du respect de la législation.

Le nombre de propriétaires occupants qui vivent dans des copropriétés en sérieuses difficultés s’élève, quant à lui, à 1 123 000 personnes.

Evoquons aussi, les précaires de l’énergie. Celles et ceux de nos compatriotes qui se seront passés volontairement de chauffage, voire d’eau chaude, au cours de l’hiver, afin de pouvoir subsister : 3,558 millions de personnes ! Des foyers en activité professionnelle mais appauvris par la flambée des loyers, notamment dans le parc privé, qualifiée parfois « d’insoutenable » par ceux qui la subissent.

Précisons pour être tout à fait complet sur cette analyse, que 5,7 millions de nos concitoyens consacrent plus de 35 % de leurs revenus à leurs dépenses de logement. Cela leur laisse, dans le meilleur des cas, un revenu inférieur à 65 % du seuil de pauvreté, soit 650 euros par mois et par unité de consommation.

La hausse exponentielle de l’inflation n’arrange rien – soit 6,7 % depuis le début de l’année en moyenne – plaçant ainsi les plus vulnérables dans une position de très grande fragilité.

 

Changer de cap en impulsant une vraie politique du logement…

 

Seule note optimiste dans cet édifiant rapport de plusieurs centaines de pages : le confort sanitaire de base qui s’améliore en France – c’est bien le seul ! – puisque se situant à 99 % ! Il correspond au nombre de logements qui disposent désormais d’eau courante, de chauffage et de sanitaires à l’intérieur de l’habitat. Bon, il reste tout de même 1 % de logements dans le pays qui ne possèdent pas tous ces accessoires, synonymes de « grand luxe » il va de soi !

La Fondation Abbé-Pierre est on ne peut plus claire quant à l’action de l’Etat : il est grand temps de changer de cap et impulser une véritable politique du logement en France, à travers une vraie remobilisation générale de tous les acteurs concernés.

Ce qui est loin d’être le cas, aujourd’hui. On peut d’ores et déjà craindre que la lecture du futur rapport édité en 2024 ne soit aussi désolante que celle qui nous a été offerte cette année. Ainsi va la vie et pourvu que cela dure !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Deux cents grands patrons de multinationales étaient réunis il y a quelques jours au château de Versailles pour la sixième édition de « Choose France », marquée par un montant record de 13 milliards d'euros d'investissements annoncés. Un sommet ayant pour thème : «investir pour un avenir durable». C’était l’occasion de nouvelles annonces d’investissements et de création d’emplois sur l’ensemble du territoire», avait fait savoir le palais présidentiel.

TRIBUNE : Après avoir accueilli 400 acteurs du monde de l'industrie à l'Elysée pour détailler les grandes lignes de la loi « industrie verte » et une visite à Dunkerque pour indiquer l'implantation d'usines dans la région, Emmanuel MACRON a poursuivi sa séquence « ré-industrialisation » avec la sixième édition du sommet « Choose France » le 15 mai à Versailles. Objectif: décrocher de nouveaux investissements étrangers dans l'Hexagone.

La France compte 16 800 entreprises étrangères sur son sol. Elle est le pays le plus attractif d’Europe avec 1 259 nouveaux projets d’investissements recensés en 2022 (+ 3 % par rapport à 2021). Ce record historique est significatif d’une politique économique volontariste d’attractivité et de ré-industrialisation menée par le président de la République depuis 2017.

Une brochette d’acteurs économiques reconnus était donc présente au château de Versailles. On cite Robert IGER, directeur général du Walt Disney Company, Nicolas DUFOURCQ, directeur général de Bpifrance, Yasir Al-RUMAYYAN, gouverneur du Fonds public d’investissement d’Arabie Saoudite, ou encore Mansoor bin EBRAHIM AL-MAHMOUD, directeur général du Qatar Investment Authority. On note au passage, des investisseurs reconnus uniquement pour leur puissance financière et non pour leur qualité dans l’industrie et les services… Va-t-on encore se soumettre aux dictats des grands argentiers ?

 

 

Un florilège de projets importants annoncé…

Ces investissements doivent redonner une indépendance industrielle à la France. Une parfaite illustration : l’implantation d’une usine de production de panneaux photovoltaïques à Sarreguemines, en Moselle. Pour le ministre de l’Industrie Roland LESCURE, cet investissement d’une valeur de 700 millions d’euros doit représenter 1 700 emplois : « Pendant des années, on a subventionné des panneaux photovoltaïques qui étaient faits au bout du monde, là on va avoir des produits made in France». L'usine de production de cellules photovoltaïques doit entrer en service en 2025 et disposer d'une capacité de cinq gigawatts à terme.

Le plus gros des projets annoncés cette année a d'ores et déjà été dévoilé par Emmanuel MACRON lors d'un récent déplacement à Dunkerque : 5,2 milliards d'euros pour une gigafactory de batteries de nouvelle génération du taïwanais Prologium, avec 3 000 emplois à la clé. Dans la même ville, le chinois XTC construira avec le français Orano une usine de composants et de recyclage de batteries pour 1,5 milliard d'euros. Mais, où est l’indépendance industrielle ?

 

 

L'exécutif mettra aussi en exergue des mesures contenues dans le projet de loi « Industrie verte » qui sera présenté en conseil des ministres, comme l'accélération des procédures d'autorisation pour les implantations de sites industriels ou la préparation de cinquante sites clés en main pré-aménagés. Nos généreux investisseurs sont-ils intéressés par le coûteux tapis rouge déroulé par nos gouvernants ?

Parmi les autres projets, le géant suédois de l'ameublement Ikea annonce 906 millions d'euros d'investissements en France d'ici 2026, dont la création d'un centre logistique près de Toulouse. Dans le secteur pharmaceutique, Pfizer injecte, comme l'an passé, 500 millions d'euros supplémentaires. L'américain explique dans un communiqué que grâce à ce nouvel investissement, il va « renforcer les capacités en matière d'essais cliniques en oncologie et de recherche traditionnelle ». A qui va profiter les découvertes ?

De son côté, le britannique GSK annonce 240 millions d’investissements sur trois sites de production à Évreux, Mayenne et Saint-Amand-les-Eaux, et plus de 150 millions pour la R & D (Recherche & Développement). Au total, les 28 projets annoncés devraient permettre la création de 8 000 emplois.

Les investissements présentés dans le cadre de « Choose France » ne représentent toutefois qu'une petite part des investissements directs étrangers (IDE) réalisés chaque année dans l'Hexagone. Selon l'agence Business France, 1 725 projets à capitaux majoritairement étrangers se sont implantés sur le territoire l'an dernier.

 

L’arbre « effet d’annonces » cache- t-il la forêt des « effets pervers » ?

 

La France est très attractive, en témoigne cette pluie de milliards investis et ces milliers de créations d’emploi à la clef ! Bien entendu, il faut attendre la réalisation concrète de tous ces projets mais l’histoire montre que depuis de nombreuses années les projets aboutissent.

Cependant, on est en droit de se demander pourquoi nos grandes entreprises continuent à se développer prioritairement hors de France, pourquoi elles n’interviennent pas dans les projets de ré-industrialisation nationale, pourquoi l’Etat Français ne favorise-t-il pas nos entreprises en jouant la carte d’un protectionnisme à l’américaine ? Les 5 285 multinationales françaises représentent plus de 45 200 filiales hors de France pour 2 368 milliards de chiffre d’affaires consolidé ! De facto, la double peine : moins de PIB pour la France et aggravation du déficit commercial par les importations provoquées !

Les multinationales françaises privilégient clairement l’implantation dans les pays étrangers aux dépens de la production en France et des exportations, à l’inverse des multinationales allemandes. Les implantations à l’étranger ont démontré l’amélioration de la productivité et conforté les actionnaires dans la perception des dividendes. Les coûts salariaux, les tentions sociales, un « Droit du travail » hypertrophié, les contraintes technocratiques imposés par l’Europe et surtout une fiscalité assez lourde ont irrémédiablement scellé le divorce entre nos grandes entreprises et l’Etat Français.

Mais, d’autres questions légitimes se posent : nos « gentils » investisseurs étrangers vont-ils rapatrier l’essentiel des bénéfices hors de France ? Quid des transferts technologiques de la France vers l’étranger ? Quid de la nationalité des équipes dirigeantes ? En cas de problème, quel avenir pour les sociétés françaises devenues des filiales étrangères ? En cas de liquidation des sociétés, exigeons-nous le remboursement de toutes les aides financières accordées ?

Si nous étions « mauvaise langue », nous pourrions nous demander si cette politique ne couvre pas une stratégie plus manichéenne. En effet, les intérêts financiers des multinationales profitent directement aux grands stratèges de la haute finance, comme la Banque Rothschild. N’existe-t-il pas une corrélation qui permettrait de supposer que notre Président ne prépare pas son avenir ? Mais nous ne le dirons pas…

A Versailles, la fête a eu lieu ! On peut aussi légitimement penser que ces grands patrons ne paieront pas les 2 700 euros requis pour assister à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de 2024, puisqu’ils seront nécessairement invités…

Jean-Paul ALLOU

 


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C’est sûr, face à un public de scolaires, de niveau collège, il aura vulgarisé à l’extrême ses propos afin de rendre le plus limpide possible ses explications, le géochimiste à l’IMPMC (Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie) ! Chercheur à l’estampille du CNRS, de la Sorbonne et du Muséum national d’Histoire naturelle, le parrain de la 11ème édition de « Ramène ta Science » a passionné son jeune auditoire face aux mystères de l’immensité de la Création !

 

VENOY : Souriant et pédagogue, avec ça ! Le parrain-conférencier de l’opération pédagogique « Ramène ta Science », portée depuis maintenant onze ans par le Conseil départemental de l’Yonne, l’Education nationale et CANOPE, a su trouver les mots justes – tout en les adaptant – pour expliquer les origines de la vie à son jeune auditoire.

Ce brillant scientifique exerce ses activités (et sa passion) au sein de l’IMPCM, l’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie tout en fréquentant les laboratoires du CNRS et du Muséum national d’Histoire naturelle. Un personnage qui sait se mettre au niveau des scolaires pour leur inculquer la passion de la recherche et des sciences.

« Le message que je vais faire passer au public lors de ma conférence consacrée aux origines de la vie est que l’on n’en sait rien du tout, argumente-t-il, même si j’aborde les débuts du vivant, quelle est la manière dont cela aurait pu se passer et à quelle période à l’échelle du temps… ».

Bien sûr, l’orateur posera la question qui brûle sur toutes les lèvres de l’humanité depuis que l’homme est l’homme : sommes-nous les seuls dans l’univers ?

Un exercice que le géochimiste affectionne : « les questions que nous posent lors de ces interventions un public de collégiens nous permet d’avoir un regard nouveau sur notre discipline scientifique… ».

 

La vie sur Mars ? Toutes les conditions ont été réunies…

 

Sylvain BERNARD étayera ses propos en s’appuyant sur une somme de documents collectés çà et là sur la planète rouge, Mars. Il collabore à l’heure actuelle sur la mission d’exploration de la NASA.

« On cherche à savoir à l’aide d’un Rover si il y a eu de la vie ou pas sur Mars, ajoute-t-il le regard pétillant, aujourd’hui, nous sommes en quête de preuves mais tant qu’on a rien trouvé, on n’en sait rien ! Mais, potentiellement, toutes les conditions ont été réunies pour qu’il y ait de la vie sur cette planète un jour… ».

Une chose est certaine : les scientifiques n’ont pas tout compris encore à l’heure actuelle et que moult interrogations demeurent en suspens. De là à susciter des vocations et à faire de ces jeunes curieux de futurs collègues de l’orateur ? « Oui, pourquoi pas, plaisante-t-il.

 

Trouver des traces de vie parmi les roches anciennes…

 

Fier d’avoir été plébiscité en qualité de parrain, Sylvain BERNARD se dit ravi d’être membre du jury pour apprécier les travaux inventifs de ces collégiens, tout en accréditant le rôle précieux des enseignants.

Quant à la fonction de géochimiste, notre interlocuteur nous précise sa mission : « je suis géologue de formation à la base, mais aujourd’hui je m’intéresse aux traces de vie dans les roches, qu’elles soient anciennes sur Terre ou sur Mars, et je continue à travailler sur la mission de la NASA où il est très compliqué de prouver que le fruit de nos recherches sur les pierres martiennes ait été vivant un jour ou pas. Sachant que l’on s’intéresse à des microbes et à leurs fossiles présents dans ces roches… ».

Un travail besogneux de fourmi, on s’en doute, pour trouver tôt ou tard une trace de ces fameux Martiens qui, au-delà de notre imaginaire si fécond, s’ils existaient ne ressembleraient vraiment pas aux sempiternels « petits hommes verts » !

 

Thierry BRET

 


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Il est donc de la responsabilité des clubs sportifs de prendre des sanctions à l’encontre des joueurs qui ne s’opposent pas à l’homophobie. Ainsi le déclare la ministre des Sports. Le refus de plusieurs joueurs de Ligue 1 de porter un bandeau « arc en ciel » sur leur maillot illustre le profond malaise qui existe dans les vestiaires. Un silence de plomb qui semble s’ébruiter de plus en plus. Pendant ce temps-là, en Turquie, le président sortant, Recep Tayyip ERDOGAN, que les observateurs occidentaux donnaient battu, n’est qu’à un demi-point de la victoire…

 

Lundi

On le disait affaibli par la crise économique, avec une monnaie nationale dévaluée de moitié en deux ans, ébranlé par les 50 000 morts du séisme ayant frappé le pays le 06 février dernier, où l’incurie du gouvernement se dévoila au grand jour, altéré par une image désastreuse à l’international… Les sondages se sont une nouvelle fois trompés. Au soir du premier tour de l’élection présidentielle, l’autocrate islamo-conservateur Recep Tayyip ERDOGAN se retrouve en position de force avant le second tour du 28 mai prochain. Au grand dam de nombreux pays qui continueront à trembler face aux menaces déclarées du néo sultan ottoman d’ouvrir les portes de l’Europe aux millions de réfugiés syriens, ayant trouvé un asile précaire en Turquie. Qui empêchera désormais ERDOGAN de poursuivre sa dérive autocratique ? Un nouveau séisme… ?

 

 

Mardi

L’opération annuelle de lutte contre l’homophobie dans le football menée par la Ligue professionnelle s’est une nouvelle fois soldée par des polémiques, avec des joueurs refusant, au nom de « croyances ou opinions personnelles » de porter le temps d’un match les couleurs « arc en ciel ». Oubliant au passage que l’homophobie ne relevait pas de l’opinion de chacun mais bien d’un délit. La ministre des sports, Amélie OUDÉA-CASTÉRA, est vite montée au créneau, estimant qu’il était « de la responsabilité des clubs de prendre des sanctions » à l’encontre des joueurs concernés. Un discours martial bien éloigné de la mansuétude accordée en novembre dernier à notre sélection tricolore lors de la Coupe du monde au Qatar, refusant, contrairement à d’autres pays, de porter le brassard à bandes colorées, symbole de la discrimination à l'encontre des femmes et minorités LGBTQ+ dans l'émirat. Au nom du « respect du pays organisateur » avait déclaré son capitaine Hugo LLORIS, rejoint dans le débat par Emmanuel MACRON estimant « qu’il ne fallait pas politiser le sport »… Les images quelques jours plus tard d’un président au plus mal dans les sondages, allant réconforter Kylian MBAPPÉ lors de la finale perdue n’étant bien sûr que le fruit du hasard !

 

Mercredi

Comment montrer par l’exemple ce qu’il ne faut pas faire… ? Cette auto-école auxerroise semble exceller en la matière, n’hésitant pas à stationner sur le trottoir de ce boulevard, obligeant de fait poussettes et autre fauteuils roulants à emprunter la chaussée pour circuler. L’histoire ne dit pas si dans le même registre, l’on apprend à l’apprenti conducteur à franchir un stop en douceur sans s’arrêter ou à surfer sur une ligne blanche pour mieux doubler le véhicule qui le précède !

 

 

 

Jeudi

Premier porte-voix des partisans des armes aux Etats-Unis, la National Rifle Association semble avoir encore marqué un point face aux défenseurs d’un meilleur encadrement en la matière. Un juge fédéral vient ainsi d’invalider une loi qui interdisait jusqu’alors de vendre des pistolets à des jeunes de moins de 21 ans. Curieux pays où le puritanisme ambiant fait apparenter le « David » de Michel-Ange à de la pornographie, autorisant pour cela le renvoi d’une enseignante de Floride, qui en avait, crime suprême, montré l’image à ses élèves, mais où l’on a enregistré l’an passé plus de 17 000 morts par arme à feu, dont 650 mineurs…

 

 

Vendredi

Le paradoxe est bien connu : est-ce la poule qui fait l’œuf ou l’œuf qui fait la poule… ? Cette photo en appelle un autre : sont-ce ces dépôts sauvages de sacs poubelles sur le trottoir qui ont motivé la mise en place de ce panneau ou est-ce sa présence qui, par provocation, en ont été à l’origine… ? Seuls les riverains de cette artère auxerroise ont la réponse !

 

 

Samedi

La casserole déborde ! En quoi le fait d’être apparenté au Président de la République vaut-il d’être roué de coups par certains individus en marge d’une manifestation contre la réforme des retraites ? Le combat politique est une chose, l’agression à l’encontre d’un petit-neveu d’Emmanuel MACRON en est une autre, qui met à mal le sens même que l’on donne à la lutte et à la démocratie, même si la condamnation a été unanime. Il est d’autant plus dangereux de voir la haine suppléer ainsi la colère, qu’elle semble aujourd’hui se cristalliser sur une seule personne, censée réunir tous les Français…

 

 

Dimanche

Un ancien Président de la République condamné à trois ans d’emprisonnement dont un an ferme, pour corruption et trafic d’influence, plus de 500 000 hectares partis en fumée dans l’ouest du Canada, conséquence collatérale du réchauffement climatique, retour en grâce d’un dictateur Syrien, chef d’Etat de profession, au sein de ses pairs de la Ligue Arabe, abandon en pleine mer d’enfants et d’adultes migrants par des garde-côtes au mépris de toutes les conventions internationales… Bof ! Une semaine décidément bien routinière et des plus classiques !

 

Dominique BERNERD

 


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