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Noël est une fête chrétienne importante et son cortège de traditions donne à beaucoup la nostalgie de l’enfance. Le sapin décoré, la crèche, le Père Noël, la messe de minuit de moins en moins suivie, malgré un horaire plus compatible avec la dégustation de la dinde : 18 h, 19 h ou 20 h selon les paroisses. L’heure de minuit est surtout respectée dans les monastères. Au monastère de « La Pierre Qui Vire », dans l’Yonne, la veillée débute à 23 heures. La messe peut ainsi se dérouler à partir de minuit…

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, Noël se présente plutôt mal. Avec un conflit israélo-palestinien qui envenime les tensions avec les chrétiens du monde et notamment de France ; une crise économique et une inflation qui vont lourdement pénaliser les achats de fin d’année, tant sur le plan de la nourriture que sur celui des cadeaux.

Face au drame des guerres et du terrorisme, nous aurons malgré tout du mal à faire pleurer dans les chaumières, sur la raréfaction du foie gras et de la dinde… Beaucoup se contenteront d’un plat de « beursaudes », accompagnées de « treufs » (pomme de terre au lard, en morvandiau) !

 

Les chrétiens constituent la population la plus persécutée au monde

 

« L’index Mondial de Persécution » fête son 30ème anniversaire en 2023. Cet organisme permet de recenser les pays où les chrétiens subissent des persécutions et d’intenses discriminations. Le nombre de pays touchés par des oppressions de tout genre est passé de 40, en 1993, à 76 aujourd’hui ! Le trio gagnant, où les violences sont les plus fortes : Corée du Nord, Nigéria et Yémen.

En 2023, 5 621 chrétiens furent assassinés (80% au Nigéria). 4 542 chrétiens détenus en raison de leur foi, dont 1 750 en Inde. Sur les 5 256 chrétiens kidnappés,  4 726 l’ont été au Nigéria. L’ONG « Porte Ouverte » estime que plus de 360 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde, soit un chrétien sur sept !

 

Noël : une fête de plus en plus difficile à vivre pour les chrétiens de nombreux pays

 

Rappelons qu’au Massachusetts, fêter Noël fut interdit jusqu’en 1870… Si dans la plupart des pays musulmans, il n’y a pas de marques distinctes de la fête chrétienne, on comprend moins l’interdiction faite par Israël. Il est proscrit d’afficher des décorations de Noël et autre sapin dans les hôtels et autres lieux d’accueils de touristes. Les contrevenants se verront retirer leur agrément pour l’organisation des fêtes religieuses juives (mariages…).

En Corée du Nord, l’interprétation extrême et autoritaire de l’athéisme tel qu’il est censé être défini dans la doctrine communiste, a conduit à l’interdiction totale de tout ce qui concerne Noël. Il est suggéré que l’état est tellement coupé du monde occidental que de nombreux Nord-Coréens ne connaissent pas la naissance de Jésus, ni même de Dieu. Plus grave, un Coréen surpris à fêter Noël clandestinement, chez lui, encourt la peine de mort ! Les interdictions pullulent et les intégristes de tout poil se font fort de manipuler les populations aux fins de massacrer ou de spolier les chrétiens.

Nous sommes loin des préceptes du sage Averroès. Né à Cordoue en 1126, Ibn Roshd, plus connu sous le nom latinisé d'Averroès, est l'un des plus importants savants du monde islamique, connu notamment pour ses œuvres philosophiques. Averroès reçoit une éducation à la fois religieuse, juridique et scientifique. Il condamna fermement l’intégrisme religieux et la conversion par la violence des juifs en Espagne. Il déclara : « L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l'équation… ».

 

 

Les chrétiens en France : proie des prédateurs et des persécuteurs

 

Rappelons tout de suite que le sapin  et le Père Noël, ne constituent en rien des symboles religieux. Malgré tout, certains s’ingénient à vouloir détruire toute trace de Noël : les politiques en tête. Dans certaines municipalités, plus à gauche et surtout chez les écologistes, on assiste à une véritable ruée contre le christianisme. Tout est à l’avenant : interdiction de dire « fêtes de Noël, pas de sapins (parfois des répliques en métal et payées fort cher à des artistes amis). En Provence, les « Verts » déposent des plaintes quand une mairie expose une crèche avec les fameux santons de Provence…

On est rassuré pour les « Verts », il y aura sûrement moins de foie gras sur les tables des fêtes… Jean-Luc MELENCHON a aussi poussé sa ritournelle en affirmant qu’il était faux de dire que la France avait des origines chrétiennes… Même La Poste demande que les sapins ne soient plus présents dans les bureaux ouverts à la clientèle !

Les catholiques sont particulièrement touchés par les agressions et les profanations en tout genre, sans compter l’assassinat du Père AMAL à Rouen en 2016. Les quelques chiffres que lâchent du bout des lèvres les services du ministère de l'Intérieur le prouvent : 1 052 faits recensés, qui se décomposent en 996 actions et 56 menaces. La religion chrétienne est de loin la plus attaquée. La tension est palpable et risque d’augmenter à l’approche des fêtes de Noël. On peut se demander ce que fait le Pape François, par réaction aux agressions des catholiques tant en France qu’à l’étranger !

Ne sacrifions pas les traditions au dictat de minorités agissantes qui voudraient juste nous couper de notre histoire. Le regard des enfants demeure dans nos cœurs. Quant au pied du sapin, ils découvrent les surprises tant attendues. Nous sommes aussi, parfois, ces grands enfants, capable d’émerveillement, de joie et de paix…

Chaque année, la trêve des confiseurs permet d’atténuer, momentanément, la violence de certains conflits. Cette année, rien n’est moins sûr, que ce soit en Palestine, en Ukraine et dans tout le monde occidental. Nous sommes loin du fameux Noël de 1914, où les soldats Français et Allemands se sont retrouvés le 24 décembre. Ils ont trinqué, un verre de schnaps en main, en chantant « Stille nacht, heil’ge nacht… (Douce nuit, sainte nuit…). Il ne s’agissait pas de fanatiques de guerre ou de religion, mais d’hommes libres, qui ont souhaité faire preuve d’humanisme et d’amour du prochain, ne serait-ce que quelques minutes…

« Par ailleurs, la naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l'on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l'enfant croit au Père Noël. L'adulte non. L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. » Pierre Desproges.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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« Qui c’est qui est très gentil ? Les gentils ! Qui c’est qui est très méchant ? Les méchants ! Qui a tous les premiers prix ? Les gentils. Qui roupille au dernier rang ? Les méchants... ». C’est un peu la définition légitime des « risque-tout » (les entrepreneurs) face à leurs éternels opposants, les « risque-rien » (les bureaucrates).

Question simpliste mais ô combien cruciale après coup que l’on aurait pu poser machinalement au numéro un de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) François ASSELIN, en déplacement à Auxerre – le deuxième depuis huit ans en territoire de Bourgogne du nord cette semaine -, est-il un adepte des chansons de Michel FUGAIN et de son fameux « Big Bazar » ?!

« Les gentils, les méchants ». Le titre a été diffusé très largement sur les ondes radiophoniques en 1972. Déjà un constat brûlant et cruel de la société de l’époque, toujours dans le prolongement des « Trente Glorieuses » et juste avant que ne survienne le premier choc pétrolier de 1973, fatal à l’économie hexagonale. Avec sa célèbre maxime publicitaire : « En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées ! ».

« Les gentils, les méchants ». Dans la bouche du patron des patrons de la CPME, cela se transforme en la formule suivante : « les risque-tout » et les « risque-rien » ! On aura compris aisément que les risque-tout sont celles et ceux qui se lèvent tôt le matin, créent de la valeur ajoutée dans le pays, génèrent de l’emploi et du chiffre d’affaires même au tréfonds des provinces de l’Hexagone en prenant le maximum de risques et en sacrifiant leur existence familiale, permettent de maintenir le cap de cette nation aux pieds d’argile dans un contexte géopolitique de plus en plus complexe au niveau économique, bref, celles et ceux qui entreprennent sans regarder la montre et compter les heures qui les séparent d’un hypothétique week-end de labeur !

 

Les congés payés pendant les arrêts maladies : inadmissible pour la CPME

 

Remonté tel un coucou helvétique qui n’est pas prêt de s’arrêter, François ASSELIN qui ne pratique pas la langue de bois lors de ses interventions orales s’insurge au nom des milliers d’adhérents du premier syndicat patronal de France contre la bureaucratie cocardière de ce pays, en déshérence administrative. Pleine de contradictions et d’envies malignes d’empêcher le système économique de tourner rond. La dernière en date qui a suscité le lancement d’une pétition au sein de la Confédération : les congés payés acquis pendant les arrêts maladies.

On explique les faits. La CPME est résolument opposée à l’acquisition de congés payés pendant les arrêts-maladies, qui découle d’arrêts récents de la Cour de cassation, pris en application d’une directive adoptée à Bruxelles en 2003 avec l’aval du gouvernement français de l’époque.

« Sur le fond, précise-t-on à la CPME, découpler travail effectif et congés payés est profondément choquant. C’est la valeur travail qui est ainsi attaquée. De surcroît, il est parfaitement injuste qu’un salarié absent pendant une longue période bénéficie d’autant de congés qu’un salarié présent à son poste. Par ailleurs, la rétroactivité qui permettra aux salariés de se retourner contre leur employeur et de réclamer des congés payés au titre de leurs arrêts-maladies des trois dernières années est inadmissible… ».

 

 

Une décision qui révulse profondément François ASSELIN et ce dernier en a fait part aux deux cent cinquante participants de la CPME de l’Yonne – il n’y avait pas que des entrepreneurs issus de la Confédération - : cela risque de coûter plusieurs milliards d’euros chaque année aux entreprises françaises, grandes ou petites, et de condamner certaines PME, ce qui est totalement inacceptable. Dans les faits, les choses ne peuvent rester en l’état.

« Le gouvernement doit comprendre l’indignation des chefs d’entreprise et agir. Il en a les moyens, précise François ASSELIN qui possède ses entrées dans les hautes sphères du pouvoir tricolore, à l’Elysée comme à Matignon.

 

 

7 % de chômeurs et des entreprises qui peinent à recruter !

 

Une CPME qui prend aussi toute sa part dans la consultation lancée par l’Etat concernant le sempiternel serpent de mer de la technocratie française : la simplification administrative. Une arlésienne qui pollue celles et ceux qui ne comptent pas leurs heures pour tenter de faire tourner leurs boîtes qui croulent déjà sous une avalanche de normes, tricolores – elles sont au nombre de 400 000 pour faire simple ! – et européennes, il va de soi !

La baisse de l’activité n’arrange rien avec la chute des carnets de commandes. Quant à l’aspect social, il est omniprésent. Tant au niveau des recrutements difficiles à résoudre que des arrêts maladies qui explosent !

« Les entrepreneurs se sentent dépossédés de leur autorité de chef !, lâche tout de go la figure  patronale des Deux-Sèvres à la tête d’une société positionnée dans le bâtiment et le gros œuvre. Les relations sociales nous échappent et on ne les comprend pas… Mais, une entreprise, c’est un lieu de travail où il faut bosser ! ».

Pas de langue de bois, avons-nous dit ! Autre sujet d’incompréhension pour le représentant de ce syndicat : « on est dans un pays où il y a 7 % de chômeurs et on a des entreprises qui ne trouvent pas de salariés à recruter ! ». Un casse-tête chinois ou une autre configuration de l’opposition entre les « risque-tout » et les « risque-rien », termes que François ASSELIN assène régulièrement dans ses propos ?

 

La gifle de trop aux commerçants et aux artisans !

 

Quant à la campagne actuelle de l’ADEME proposant une drôle d’alternative consumériste – l’apologie de la décroissance qui fait pousser des cris d’orfraie aux commerçants et artisans totalement stigmatisés -, la CPME n’y va pas par quatre chemins. Elle exige le retrait sine die de ces spots qui sont largement diffusées aux heures de grande écoute sur les chaînes télévisées de l’Hexagone.

Explications : « L’ADEME et le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, à grand renfort de fonds publics, ont lancé une campagne de communication faisant, sous couvert de consommation responsable, l’apologie de la décroissance, en prônant une renonciation à l’acte d’achat. Les commerces sont explicitement visés avec un message qui se veut humoristique d’un soi-disant « dévendeur » dont la mission est de faire fuir les clients d’un magasin de bricolage, d’électroménager ou d’habillement.

Une telle campagne à l’approche des fêtes de Noël est une véritable gifle aux commerçants qui subissent l’inflation de plein fouet et s’inquiètent d’une activité économique qui donne des signes de ralentissement. Stigmatiser les commerçants est particulièrement malvenu lorsque l’on sait les difficultés que rencontre ce secteur qui multiplie pourtant les initiatives pour limiter son empreinte carbone. Et que dire de ces industriels français, pleinement engagés dans la transition écologique, qui se battent au quotidien pour faire vivre et dynamiser le made in France ? ».

On appelle cela se tirer une balle dans le pied. A l’heure où l’Etat parle de réindustrialisation à outrance et d’attractivité des territoires à tout crin, le responsable de la CPME ne comprend pas le sens de ces messages donnés à la population.

« Les gentils, les méchants » était l’un des tubes de 1972. Plus de cinquante ans après, le morceau pourrait faire florès à l’audimat de notre France contemporaine confrontée à cette même problématique qui couve depuis longtemps entre les « risque-tout » et « les risque-rien »…

 

Thierry BRET

 


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L’action revendicative orchestrée par la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs de l’Yonne tient encore toutes ses promesses en termes de visibilité. Et surtout d’efficacité ! Quinze jours après les premiers retournements de panneaux à l’entrée de nombreuses agglomérations de notre territoire, les effets de cette mobilisation contre des réglementations européennes trop strictes et la charge de travail trop importante, subie par les professionnels, sont toujours visibles ! A croire, que les services municipaux de toutes ces bourgades qui ont été contaminées par cette « épidémie » se sont déjà mis au vert, anticipant ainsi les futures vacances de Noël !

 

Lundi

Dans la série « Yapukafautquon », l’on apprend dans un texte commun, publié sur le site de « La Tribune », que la ministre des Affaires étrangères Catherine COLONNA et son homologue aux Armées, Sébastien LECORNU, considéraient que « l’urgence doit être une trêve durable entre Israël et le Hamas… ». Avec une telle prise de position, nul besoin d’enfoncer des portes ouvertes, elles le sont déjà ! Et pas de doute que si l’info arrive jusqu’aux oreilles du chef sanguinaire du Hamas qu’est le « sympathique » Yahya SINOUAR, comme à celles du « roi Bibi », le Premier ministre israélien Benyamin NETANYAHOU, dont l’énième procès pour corruption a repris à Jérusalem, les deux vont sans nul doute trembler de concert devant un tel diktat et obéiront le petit doigt sur la couture du keffieh pour l’un et sur celle de la kippa pour le second !  

 

 

Mardi

L’évêque de La Rochelle mis en examen pour tentative de viol…, un formateur de police toulousain condamné pour harcèlement sexuel…, un policier municipal costarmoricain en attente de jugement pour avoir crevé les pneus d’une trentaine de véhicules…, un sénateur soupçonné d’avoir drogué une députée pour l’agresser sexuellement…, le patron d’une compagnie de CRS visé par une enquête pour détournement de biens publics… C’est le grand retour des ripoux ! Si tant est qu’ils aient un jour disparu ! Criminels et malfrats de métier vont bientôt crier à la concurrence déloyale !

 

Mercredi

 

Il faut toujours allumer un contrefeu en cas d’incendie ! Un adage que le maire d’Auxerre avait su mettre en œuvre lors de l’un de ses « rendez-vous avec Crescent » en octobre dernier aux Piedalloues, où chahuté à propos de la fin annoncée de la collecte des déchets, il avait su trouver un « ennemi » commun avec le public, en évoquant le sujet des gens du voyage occupant illégalement le vélodrome. Usant de propos « musclés », pour promettre sous peu la libération des lieux… Manifestement, les intéressés n’étaient pas du même avis, à en juger par cette photo prise il y a quelques jours…

 

 

Jeudi  

Pas moins de 80 000 personnes étaient attendues à Dubaï jusqu’au 12 décembre pour ce grand rendez-vous annuel sur le climat que sont les COP. Une machine à « greenwashing » selon la passionaria écologiste Greta THUNBERG, qui avait résumé les conclusions d’une édition précédente de « bla, bla, bla ». Est-il besoin de rappeler que ces discussions entre « grands » du monde débouchent rarement sur du concret, les accords pris n’ayant pas valeur obligatoire et il y a de fortes chances que cette édition numérotée 28 n’échappe pas à la règle. On s’y écharpe sur la sortie ou non des énergies fossiles, appelant le reste de la planète à supprimer la voiture pour la remplacer par un vélo. De quoi sourire, quand on sait le nombre « d’invités » arrivés jusque-là, à bord de leur jet privé et se souvenir de ce qu’a dit un jour la grande dame qu’était Simone VEIL : « Au fond, ce sont toujours aux faibles que l’on fait la morale, tandis qu’on finit par blanchir les puissants… » 

 

Vendredi  

Le 16 novembre dernier, l’on apprenait que le « glyphosate nouveau » était arrivé ! Sans vote majoritaire de ses états membres, la Commission européenne annonçait qu’elle allait renouveler l’autorisation de l’herbicide controversé pour une durée de dix ans. Aussitôt, la FDSEA 89 et les JA de l’Yonne sont montés au créneau, exprimant leur colère en retournant les panneaux d’entrée et de sortie de certaines communes dans le département, notamment le long de l’ancienne nationale 6 entre Auxerre et Avallon. Heu…, non ! En fait me dit-on, cette action symbolique visait à dénoncer des réglementations jugées trop strictes, voire contradictoires et des charges de travail trop importantes. Mais bon ! Il est permis de rêver…

 

 

Samedi 

 

Le parking souterrain de l’Arquebuse amputé de la moitié de ses emplacements ! Un arrêté municipal placardé sur l’une des portes d’accès en explique la raison, à savoir que, compte tenu d’un système de ventilation défaillant, les allées B, C et D seront interdites à la circulation. Mais, précise le document, « jusqu’à la remise en état de l’installation de ventilation par les services de la ville d’Auxerre ». Considérant que ledit arrêté est daté du 06 novembre, il y a urgence, à quelques semaines de Noël ! Pas certain que les chalands privilégiant les enseignes du centre-ville aux galeries marchandes des grandes surfaces environnantes, apprécient la suppression d’une partie de ce parking gratuit.

 

 

Dimanche  

 

Il suffit parfois de quels mots au détour d’une rue, comme ici, place de la République à Paris, pour voir le monde embelli et l’actualité ripolinée de couleurs joyeuses. « Allez-vous faire aimer » …  Tout est dit et rien n’est à rajouter, reste à faire passer le message pour voir ce monde tourner un peu plus rond !

 

Dominique BERNERD

 


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« Le travail, c’est la santé » chantait l’amuseur public numéro un de la variété française, le regretté Henri SALVADOR, en 1965. Une chanson de potache, à ne pas prendre au sérieux et à mettre entre toutes les oreilles des citoyens dans la France de De Gaulle, qui eut un succès retentissant en pleine période des « Yéyés » et avant que ne s’abatte sur l’Hexagone la déferlante pop de la perfide Albion ! Si le titre ne figure plus depuis très longtemps dans les playlists des radios FM qui programment de manière très artificielle et numérique, logiciels oblige, leur contenu musical en 24X24 ; le second couplet de ce morceau sympathique, lui est aujourd’hui totalement d’actualité !

« Rien faire, c’est la conserver… ». On a l’impression désormais que ce leitmotiv, ode au farniente, à la détente et à la paresse, est devenu l’apanage de millions de personnes en France, et ce depuis quelques années. Ces travailleuses et ces travailleurs, comme l’aurait dit l’égérie de Lutte Ouvrière Arlette LAGUILLIER du temps de sa superbe, qui aujourd’hui éprouvent un ras-le-bol généralisé avec ce terme, limite grossier, synonyme de contraintes, d’enfermement, d’ennui, de non-reconnaissance, de pénibilité… : le travail !

Bref, ce mot semble sortir tout droit d’un autre temps, et d’un autre monde, avec ses qualificatifs qui procurent du stress, de la sinistrose et de l’urticaire (quand ce n’est pas une autre pathologie) à bon nombre de nos compatriotes lassés de vivre cela dans leur quotidien. Productivité, rentabilité, profit, implication, horaires…

 

A l’origine du mal : la COVID-19, les confinements et le télétravail !

 

Le pire, c’est que ce ressenti anti-travail continuel qui secoue la France (mais pas que) telle une tempête de force 9 depuis un long moment ne touche pas que la nouvelle génération et ses fameux milléniums, comprenez par-là, celles et ceux qui ont vu le jour dans les années 2000 ! Même les seniors s’y sont mis avec enthousiasme, et ce dès la petite cinquantaine – rappel pour mémoire et selon les critères de l’INSEE tout individu ayant dépassé le cap fatidique des 45 ans intègre de facto cette « sinistre » catégorie dans laquelle on accepte d’être jetée tel un vieux Kleenex usagé à se débarrasser dans la bonne poubelle pour rester dans l’esprit écolo ! – et quittent à tour de bras en démissionnant pour un désir d’autre chose leurs postes de cadre à responsabilités, quand ils ne se font pas débarquer de façon inopinée à cause de la limite d’âge par une DRH toujours condescendante et bienveillante !

L’origine de tous ces maux est souvent identifiée avec la crise sanitaire, celle de la COVID-19, qui a bouleversé le monde au début de l’année 2020. Certaines et certains en regrettent même encore les bienfaits des confinements successifs  qui auront permis de goûter aux joies du repos forcé mais salvateur, loin des crises de nerf d’un supérieur obséquieux à la limite du burn-out et glapissant ses ordres dans les bureaux, à la limite du harcèlement, parce que cela existe bel et bien dans l’univers parfois un peu trop doré et propret que l’on veut bien se faire du monde professionnel…Et ce, tout secteur corporatiste confondu.

 

 

Les sombres perspectives des seniors, déjà qualifiés de vieux !

 

Alors, oui, c’est un constat qui ne cesse de s’amplifier parmi les observations officielles, confortées par les études des cabinets spécialisés dans la sociologie qui moulinent des tonnes de données à n’en plus finir qui, in fine, ne changeront rien ni à la situation, ni à l’équation  : le rapport des Français avec le travail évolue en grande profondeur, c’est désormais une évidence avec lequel il faudra bien composer. On oserait même dire que cela ne semble être que le début, au vu de l’accélération du processus et de son inexorabilité.

Si les jeunes générations désirent davantage de flexibilité, de moments à eux avec des plages de détente et de liberté, les plus vieux – pour éviter ce terme de « senior », employé à toutes occasions par les adeptes du marketing de bas étage qui nous conditionne et qui nous hérisse le poil nous autres actifs de plus de 45 ans ! – espèrent eux de la reconnaissance, du pouvoir d’achat, de la prise de responsabilité, de la progression de carrière, de l’assouplissement, aussi, dans leur rythme de travail intense qui peut frôler la sinécure chronique et la perte de repères.

La réforme de la retraite à 64 ans va donc créer, mais tout le monde s’en fout dans les soupentes de la technocratie hexagonale, une génération de personnes désabusées et fatiguées, des gens usés par 43 ou 44 années de labeur, pour certaines vécues dans la très grande pénibilité, à courir tous les jours après on ne sait quoi, perclus par les douleurs rhumatismales et avec le moral en berne, au fond des chaussettes de ne pouvoir vieillir correctement…sans souci ni pression.

        

Une France du travail à deux vitesses !

 

C’est sûr, les initiatives portées par l’Etat et ses opérateurs publics à l’instar de Pôle Emploi se multiplient à tous les étages (des forums, des colloques – ils ont le mérite d’exister !) pour optimiser la valeur travail auprès de la population !

C’est bien normal si la France veut regagner tout ce qu’elle a perdu en matière de productivité – celle-ci est d’ailleurs très faible à l’échelle mondiale -, le retour à l’industrialisation optimale et même au travail à temps complet puisque notre pays, selon la toute récente étude publiée cette semaine par REXECODE la situe dans les limbes des classements européens, occupant l’avant-dernière place derrière la Finlande !

Les Français travaillent de moins en moins, c’est une certitude avec une durée moyenne de 124 heures de moins par rapport aux ténors de l’Union européenne. Il serait peut-être judicieux d’analyser la situation de près et surtout de remédier à cela dans un pays où existent les RTT, les arrêts maladie, les congés parentaux, les vacances, etc. si l’on veut reprendre notre lustre d’antan, lors des années glorieuses, tant dans le privé que le public.

Nonobstant, un sacré bémol apparaît pourtant : les professions libérales, les commerçants, les artisans, les entrepreneurs indépendants sont parmi ceux qui bossent le plus dans leur quotidien à l’échelle européenne. A croire qu’il y aurait donc une France à deux vitesses dans le monde professionnel, avec celles et ceux qui triment avec plus de 70 heures par semaine, les avantages et la sérénité en moins ! Un aspect égalitaire avec le reste du monde professionnel déconcertant.

« Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os… ». Sacré Henri ! Et si ta chanson était vraiment prémonitoire…

 

Thierry BRET

 


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Elle est light, la brochure 2024 ! Sur la forme, même si la qualité du papier en couché brillant est de belle facture, elle étale ses arguments oniriques sur un cahier de quatre pages, uniquement. Volonté de respecter les engagements de la RSE, oblige ! Sur le fonds, a contrario, elle est des plus réussies ! Dévoilant au premier coup d’œil, les destinations et les journées spectacles ainsi que leurs prix, proposées en grande majorité par autocar. Il n’y a pas à dire mais 2024 regorge de suggestions des plus alléchantes avec les enseignes du groupe PROCARS dont ALBA Voyages et Cars MATHIEU !

 

VENOY : Envie de se dépayser l’existence ? De se ressourcer à l’autre bout de la planète ? De se détendre vers des destinations plus européennes et accessibles en termes de budget ? Voire de se distraire une journée, peut-être un week-end en visitant un lieu magnifique ou bien assister à un spectacle de belle qualité ? La plaquette 2024, éditée par ALBA Voyages et ses partenaires de transport (ProCars, ProCars Champagne, ProCars Icaunais, ACKERMANN Voyages et Cars MATHIEU) apporte les réponses adéquates pour celles et ceux qui aiment profiter de la vie en découvrant de nouveaux horizons. Et en préservant leur confort !

L’art du tourisme procure de très belles sensations, il semblerait à la lecture du document dévoilé devant plus de 250 personnes, à Venoy mais aussi à Charny, que les envies de bouger donneront des ailes l’année prochaine aux amateurs de circuits touristiques ! Prioritairement en autocar, mais pas que !

Parmi les nouveautés incontournables de ce catalogue 2024 figure le séjour de rêve proposé au Cambodge, le pays des dieux ! Un séjour à biffer d’ores et déjà sur son agenda pour les veinards qui auront la possibilité de s’extérioriser du côté de Phnom Penh, du 04 au 15 mars prochain. Un voyage à vivre, non pas en autocar et pour cause au vue de la distance avec la France, mais en avion ! Sur le même registre, les aficionados de la structure spécialisée dans les voyages finement ciselés auront repéré les vols pour se rendre en Corse ou en Egypte, autres lieux gorgés de soleil !

 

Une clientèle de retraités mais aussi d’entreprises et de collectivités…

 

Profitant d’un après-midi très agréable à faire saliver les férus de beaux paysages, de patrimoine et gastronomie exotiques, le dirigeant de la structure ProCars, Frédéric JOUY et les équipes des différentes filiales qui travaillent à ses côtés ont minutieusement décortiqué les fiches produit de ce catalogue à partir d’un diaporama, où la part belle est faite aux excursions et circuits à travers l’Europe (Lac Majeur, Pays-Bas, Belgique, Autriche…) mais aussi l’Hexagone avec ses typicités à l’instar de l’Alsace, la Bretagne, le pays de Montbéliard, la Vendée ou encore la Provence.

Au vu de la fréquentation de ces deux séances explicatives, l’envie de partir n’a donc pas faibli parmi la clientèle, une population majoritairement de retraités. Mais, aussi de comités d’entreprises et de collectivités. Il est vrai que le menu est propice à des besoins de s’oxygéner et d’oublier quelque peu la grisaille persistante en terre de l’Yonne et de rêver de carnaval de Nice, de réveillon du Nouvel An en Alsace dans le décorum féérique de Strasbourg, de la Touraine et de ses promenades au bord de la Loire, des plages du D Day en Normandie.

« Les transports collectifs restent très prisés des touristes, explique Frédéric JOUY, cela offre l’opportunité de découvrir les sites pittoresques au plus près sans fatigue et sans trop de déambulation… ».

 

 

Même le car qui transporte les joueurs de l’AJA était là !

 

Des cars à la qualité optimale qui garantissent le confort de leurs passagers. Des véhicules que le public a pu admirer après coup en se rendant sur le parvis de la salle des fêtes qui accueillait l’évènement. Celui, tout d’’abord, qui transporte à chaque déplacement les professionnels de l’AJ Auxerre durant leur périple à travers la France (la société est partenaire du pensionnaire de Ligue 2), et un exemplaire de la catégorie « grand tourisme », à l’aménagement cosy (velours sur les sièges, cuir, climatisation) et toilettes.

Satisfait de cette présentation du renouvellement de ses offres touristiques et culturelles (le volet spectacle et visite de sites prestigieux n’est pas mal du tout avec le château de Versailles, le zoo de Beauval, le domaine de Chantilly – ah, le restaurant du célèbre VATEL ! -, la découverte du Tréport mais également les spectacles « Hollyday on ice » ou celui de Michel SARDOU), Frédéric JOUY concluait son exercice oratoire en présentant l’ensemble des conseillères. Sous les applaudissements nourris du public, comme l’aurait suggéré le regretté Jacques MARTIN !

 

Thierry BRET

 

 


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