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Le quatrième appel à projets émanant de l’organisme de la Banque verte en matière de santé vient d’être initié. Il court jusqu’au 24 novembre inclus. Sa thématique porte sur la santé pour tous grâce aux vertus du numérique. L’établissement mobilise ainsi 250 000 euros. Des fonds qui se destinent à soutenir entre 15 à 20 initiatives s’appuyant sur les nouvelles technologies afin d’améliorer l’accès à la santé et aux soins…

DIJON : Reconnue d’utilité publique, la fondation CASD (Crédit agricole Solidarité et Développement) a déjà reçu depuis le lancement de ses appels à projets plus de 400 dossiers. Ils proviennent d’acteurs professionnels intervenant sur la thématique de l’année. En 2018, vingt-quatre projets avaient ainsi été distingués dont trois coups de cœur au terme de la précédente manifestation.

A l’occasion de ce nouveau rendez-vous, les responsables de la Fondation ont opté pour un sujet fédérateur et ô combien d’actualité avec la santé pour tous grâce au numérique.

Les projets dont le dépôt des candidatures se terminera en date du 24 novembre inclus, devront s’inscrire dans l’un des trois items suivants : la prévention et l’éducation sanitaire via le numérique (système de santé, pathologie physique ou psychique, dépistage…), l’accès aux soins par le numérique (ouverture de droits, sensibilisation et formation au numérique pour renforcer l’autonomie…) et les soins par l’intermédiaire de la technologie multimédia (téléconsultation, télémédecine, suivi de soins…).

Toutefois, une précision revêt d’une extrême importance pour les structures désireuses de répondre à cette sollicitation : les projets devront impérativement montrer la complémentarité entre l’humain et le digital.

Convaincue que la préservation de la santé demeure un élément central de l’autonomie des personnes, la fondation CASD a reçu le plein soutien de la Médicale et de la CAMCA, la Caisse d’assurances mutuelles du Crédit agricole pour mener à bien cette initiative.

La structure nationale intervient en complément des trente-neuf caisses régionales à l’instar de celle de la Champagne Bourgogne. Elle agit également sur le volet de l’insertion sociale, l’insertion économique et professionnelle, le logement, le bien-vieillir et la santé.

 

Dépôt des dossiers de candidature sur le site :

www.fondation-ca-solidaritedeveloppement.org

 

 


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Intervention remarquée lors du dîner de gala, proposé par le réseau Entreprendre à Auxerre en milieu de semaine dernière. Celle d’un jeune dirigeant de société, Maxime VIAUT, dont le projet CERES (Centrale d’énergie renouvelable écologique et solidaire) prend forme à Germigny avec les bases d’une première unité. Expert de la méthanisation de déchets organiques depuis une quinzaine d’années, cet ingénieur agronome entend bien apporter sa pierre à l’édifice de la transition énergétique dans le microcosme icaunais. Avant de conquérir l’Hexagone. Explications…

AUXERRE : Fruit d’une réflexion parfaitement mûrie il y a deux ans à peine, le projet CERES arrive à mi-parcours de sa conceptualisation définitive aux dires de son instigateur, Maxime VIAUT.  

Alors que son usine de méthanisation est en phase de construction à quelques kilomètres de Saint-Florentin, le porteur de projet a précisé devant un parterre d’une quarantaine d’entrepreneurs réunis par le réseau Entreprendre que le bio-méthane y sera injecté dès le début de 2020.

L’objectif de la SAS est de promouvoir très largement cette énergie propre, issue de la transformation des cultures agricoles, dans le but de baisser l’empreinte écologique totale.

Soutenue depuis 2006 par l’Etat, la filière enregistre un bel essor depuis plusieurs années. En l’espace de quinze ans, ce sont plus de cinq cents centrales de méthanisation qui ont ainsi éclos à travers l’Hexagone.

Toutefois, les chiffres sont à relativiser car ils demeurent encore faibles et très éloignés de la réalité que connaissent depuis longtemps nos voisins allemands. Ils ont déjà installé plus de dix mille centrales de méthanisation !

Mais, qu’importe ! Le souhait de Maxime VIAUT est précisément de pouvoir développer autant que se peut des structures analogues à CERES dans la majeure partie de l’Hexagone, Yonne et Bourgogne Franche-Comté comprises.

 

 

Un projet bénéficiant de précieux auxiliaires…

 

Le jeune entrepreneur ne s’aventure à la légère sur ce chemin. Le projet a été créé en lien avec plusieurs partenaires issus de l’agriculture locale. Cette alliance favorisera la production du biogaz qui sera ensuite injecté dans le réseau de GRDF.

Son rapprochement avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, mais aussi les pouvoirs publics et surtout le réseau Entreprendre lui aura donné des ailes. Cornaqué par l’un des stratèges de cette structure, l’expérimenté Alain BOUNON, le dirigeant de la SAS a pu faire une formation de cédant repreneur d’affaires profitables pour parfaire ses connaissances en matière de gestion.

Au passage, il aura pu glaner auprès d’une douzaine de chefs d’entreprise, membres du réseau bourguignon, de précieux renseignements lui permettant de garder le cap et de conserver toute l’humilité requise pour mener à terme la feuille de route.

Sa rencontre avec Christophe CHARBONNIER, patron de la société de transport PICQ ET CHARBONNIER, aura été déterminante à plus d’un titre.

Ce dernier est déjà très investi dans l’approche de la transition énergétique des poids lourds, de la mobilité et de la sauvegarde de l’environnement. Avec son appui (Christophe est associé au projet), Maxime VIAUT a espoir de développer à brève échéance une filière de biocarburant spécifique pour alimenter les camions.

D’autres soutiens, et de taille, sont déjà dans les starting-blocks : TOTAL, ENGIE, AIR LIQUIDE, GRDF/GRT.

Pour produire ce gaz, CERES mobilise environ 700 hectares de terrain et, nous l’avons dit, une vingtaine d’agriculteurs, inféodés au concept. Séduits, ils ne pouvaient que répondre par l’affirmative devant l’ingéniosité de ce programme, similaire au commerce équitable, et réalisé en circuit-court. Cette opportunité heureuse représente à leur échelle de pouvoir valoriser leurs terres à faibles rendements. Tous les ingrédients sont donc réunis pour couronner de succès ce concept CERES qui devrait faire parler de lui dans les mois à venir…

 

 

 


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La société industrielle de l’Avallonnais s’est illustrée de bien belle manière lors de la commémoration de son soixantième anniversaire. Notamment sur un double aspect, celui de l’éco-citoyenneté et du pur altruisme. Accueillant la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE en ses murs, son directeur, Frédéric BOUILLY, a tenu à célébrer cette visite en validant un acte d’engagement fort en faveur du renforcement de la sécurité routière au sein de l’entreprise tout en encourageant ses collaborateurs à répondre aux besoins du SDIS, en quête de sapeurs-pompiers volontaires…

AVALLON : La visite officielle de la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE, sur le site de l’industriel suédois en fin de semaine dernière se sera soldée par un geste empli de symboles pour la direction du groupe SKF Slewing Bearings.

Le directeur de l’entité icaunaise, Frédéric BOUILLY, a pris position au nom de l’enseigne qu’il représente localement en faveur du plan « Sept engagements pour une route sûre ». Un concept, porté par les services de la Sécurité routière, qui émanent de la préfecture de l’Yonne.

La signature protocolaire de ce document traduit ainsi la volonté de l’entrepreneur de veiller à la pratique d’une bienveillance déontologique en cas de mobilité de ses collaborateurs lors de leurs déplacements sur les routes.

Comme devait le préciser Cécile RACKETTE cosignataire de cette charte éthique au nom de l’Etat, « les entreprises ont un rôle extrêmement important à jouer en matière de sécurité routière car la majorité des accidents mortels du travail correspondent à des drames survenus sur la route, notamment entre le domicile d’un collaborateur et son lieu de travail… ».

Rappelant les principes élémentaires de sécurité que chacun se doit de respecter au quotidien, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois insista sur le rôle de l’employeur qui fait figure d’inéluctable prescripteur dans les comportements civiques de tous les jours.

En outre, l’utilité de cette convention ne se résume pas à une simple annonce médiatique, qui marquerait les esprits. En interne, la direction de SKF alimentera de conseils et d’informatiques pratiques les différents services en vue de les éduquer sur une optimisation des bonnes manières vécues derrière le volant.

 

 

Encourager le développement du volontariat des sapeurs-pompiers…

 

Un autre bonheur ne venant jamais seul, SKF a profité de cet instant cérémonial auquel participaient le député de la circonscription André VILLIERS, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Sonia PATOURET et le maire d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, pour formaliser la mise à disposition de sapeurs-pompiers volontaires auprès du SDIS de l’Yonne, le Service départemental d’incendie et de secours.

Pour l’heure, la convention signée avec les autorités de secours ne concernent qu’un seul et unique collaborateur travaillant chez l’industriel scandinave. Mais, il est certain qu’un effet gigogne va survenir à la suite de cette annonce et susciter des vocations supplémentaires.

Précisons que les directions de Pneu LAURENT et de la Carrière d’Asnières-sous-Bois ont accepté il y a peu de prendre les mêmes dispositions à l’égard de leurs collaborateurs pour accroître les effectifs du SDIS dans la partie méridionale de notre territoire.

 


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Un chèque de 50 000 euros dans la besace. Et surtout une campagne de communication à la clé, prise en charge à 100 % par le groupe EDF afin de vanter les mérites de la start-up auxerroise dans son cœur de cible : le domaine du bien-être connecté, du travail 4.0 et des territoires durables. Voilà l’excellente nouvelle qui est tombée au soir du 16 octobre à Paris pour Isabelle GALLET-COTY, lorsque cette dernière, présidente de l’entité, s’est vue offrir l’une des distinctions de la 6ème édition des Prix EDF PULSE 2019 devant le numéro un de l’énergéticien mondial. Elle n’est pas belle la vie ?

PARIS : On le savait déjà depuis quelques semaines, l’entreprise de l’Yonne avait obtenu un premier sésame : le droit de participer à la sélection officielle de ce challenge national annuel. Rejoignant ainsi la douzaine de finalistes qui pouvaient prétendre remporter l’édition 2019 dans la catégorie « Territoires durables » d’un défi porté par EDF.

Plus de 330 candidatures avaient été enregistrées de par l’Hexagone pour concourir dans l’une des trois épreuves existantes. Objectif avoué de l’initiative soutenue par l’acteur majeur de la transition énergétique : la mise en lumière des start-up françaises, voire européennes, qui favorisent à grand renfort d’innovations le développement de nouveaux usages électriques.

Il aura fallu quelques semaines d’évaluation pour que des comités d’expert de l’innovation internes et externes au groupe EDF examinent un par un et avec beaucoup de minutie les dossiers des douze start-up retenues pour disputer la phase finale.

Informée de sa sélection, l’équipe de SAUREA croisa les doigts pour recevoir le maximum de suffrages de la part du grand public, sollicité par les réseaux sociaux, et devant se prononcer sur la pertinence de ce projet.

En cas de vote positif, le jeu en valait vraiment la chandelle puisque chacun des lauréats se voyait gratifier d’une campagne de communication réalisée dans les règles de l’art par des professionnels. Une dotation financière alléchante apportait du beurre dans les épinards. En l’occurrence 50 000 euros pour le coup de cœur (comparable à un sérieux coup de pouce) impulsé par le public !

 

 

 

Une cérémonie présidée par le numéro un du groupe EDF…

 

Le 16 octobre, entourée des siens et de son époux, Gilles, qui est aussi l’une des têtes pensantes de la structure entrepreneuriale en sa qualité de directeur technique, Isabelle GALLET-COTY, PDG de la structure icaunaise, gravissait les marches menant à l’immense scène pour y recevoir son prix. Sous les applaudissements nourris de l’état-major du groupe EDF et de son président-directeur général, Jean-Bernard LEVY.

Particulièrement adapté aux sites isolés et aux climats sévères, le moteur imaginé par le père de Gilles, Alain, et multi-breveté depuis présente des caractéristiques ultra résistantes à son utilisation.

L’appareil a eu aussi son moment de gloire lors des récentes Rencontres industrielles régionales de Bourgogne Franche-Comté (RIDY) lors de la visite à Auxerre de la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY. Suscitant un vif intérêt de l’élue régionale dont on connaît l’appétence pour tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Quant au défi relevé par SAUREA, il est de fiabiliser les installations solaires motorisées dans les zones à fort ensoleillement grâce à ce moteur auto-commuté qui convertit directement l’énergie solaire en énergie mécanique.

Dans l’absolu, l’énergie développée est équivalente à celle d’une femme qui actionne une pompe manuelle. Le moteur assure une pérennité d’usage dans les pays défavorisés, en site isolé car sans maintenance pendant une durée de vingt ans. Fiable et durable, ce processus peu coûteux (environ 3 000 euros) présente, on l’aura compris, un impact environnemental faible.

Depuis le mois de juin, SAUREA commercialise ce produit, qualifié de révolutionnaire auprès d’ONG et de fondations qui développement des zones de captage des eaux au cœur de l’Afrique. Toutefois, d’autres emplois sont d’ores et déjà envisagés à partir de ce concept technologique très poussé : les systèmes de ventilation, d’arrosage, d’humidification,…

 

 

Bénéficiant des largesses financières d’investisseurs (une coquette enveloppe de 300 000 euros obtenue en 2018), SAUREA devrait procéder à une nouvelle levée de capitaux dès la saison prochaine. Toujours pour accroître ses perspectives de développement.

L’apport de ces cinquante mille euros supplémentaires est loin d’être négligeable. A l’instar de la campagne promotionnelle qui découle de ce Prix 2019. Quant à l’appui du groupe EDF, très intéressé par la démarche technologique dans laquelle s’est précipitée la start-up auxerroise, il est bien réel.

Surfant sur la vague du succès depuis trois ans, date de sa création, on devrait entendre parler de SAUREA à brève échéance…

 

 

 

 


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L’occasion était trop belle pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, de célébrer le mariage gustatif entre la fameuse boisson extraite de ses vignes et l’un des fruits préférés des consommateurs de l’Hexagone. Le parterre d’invités (plus de 80 convives) ayant investi son domaine viticole aura pu profiter à bon escient de ce coup de projecteur judicieux décliné avec le concours d’une jeune structure agricole, EARL BETHERY, productrice de fraises 100 % locales…

CHABLIS : Effervescence sympathique au Domaine de VAUROUX pour l’un des rendez-vous incontournables de la saison qui est perpétré chaque année à pareille époque. La dégustation du bourru, vieille tradition locale, s’inscrit parmi les animations conviviales célébrées par la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne.

Logique quand on sait que le président du syndicat patronal n’est autre que le responsable de ce domaine viticole, Olivier TRICON qui ceci dit est toujours en quête d’un successeur comme il se plaît à le formuler !

Plus de quatre-vingt personnes, adhérentes de la CPME mais également personnalités de la sphère politique (la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA, le député André VILLIERS…) participèrent à ces retrouvailles festives où il fut question de découvrir les productions du cru. Dans une ambiance conviviale.

 

 

La Fraise d’Enfer, vedette de la soirée…

 

Olivier TRICON rappela en quelques mots pour les profanes ce que représente aujourd’hui la confédération départementale au niveau de ses mandats électifs. Avant d’accueillir à ses côtés, le jeune céréalier Antoine BETHERY, qui dans un souci de diversification de ses activités produit depuis peu au sein de sa ferme à Aigremont des fraises made in Yonne aux variétés multiples et savoureuses sous la marque, « La Fraise d’enfer ». Une appellation aux accents insolites, convenons-en !

Chantre de la production locale et des circuits courts de la distribution, le président de la CPME invita ensuite ses hôtes à déguster le contenu de succulentes barquettes de fruits qui circulaient parmi l’assistance.

Il proposa aussi à ses invités quelques crus de sa production dont il a le secret de fabrication, notamment un chablis Premier cru Montmains et un chablis Montée de Tonnerre des plus agréables en bouche…

 

 

 


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